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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 69

Une classe en lutte dans les Yvelines !


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org





Source : Le Parisien

Source : Le Parisien

Source : actu.fr

Source : actu.fr

Source : actu.fr

Source : actu.fr

Source : actu.fr

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Éducation Répression Solidarité !

Contre la répression syndicale : Solidarité avec notre camarade Ernesto

Publié le 1 juin 2024 par Solidaires Pyrénées Atlantiques – 64

La répression continue de s’abattre sur celles et ceux qui refusent la régression sociale.

Le 22 novembre 2023, 4 manifestants contre la réforme des retraites étaient convoqués au commissariat de Pau. Le rassemblement de soutien a réuni 200 personnes, solidaires face à la répression. Nous remercions l’ensemble des personnes mobilisées tout au long de la journée, qui ont fait la démonstration que la solidarité de classe n’est pas un concept dépassé.

Après sa convocation au commissariat et le report à deux reprises de son procès, notre camarade Ernesto, syndicaliste à Solidaires étudiant-e-s et SUD éducation, est déféré devant le tribunal correctionnel de Pau le 20 juin prochain. Il lui est reproché des faits supposés de violences lors d’une manifestation contre la réforme des retraites. Bernard, un militant gilet jaune comparaîtra le même jour pour des faits reprochés lors de la même manifestation.

Nous condamnons cet acharnement, nous le redisons : la violence n’est pas à chercher du côté des manifestant·es contre la réforme des retraites mais bien du côté des forces de l’ordre et du gouvernement Macron. Les convocations au commissariat et les poursuites sont là pour casser les militants, criminaliser une colère légitime face à une réforme des retraites injuste. Nous exprimons notre solidarité totale avec notre militant, et invitons les organisations et les militant·es opposé·es à la régression sociale à faire de même.

La nature des faits qui servent de prétexte à ces poursuites montre sans ambiguïté possible qu’il existe une volonté indéniable de la part des autorités de museler toute volonté de contestation dans le pays, en réprimant sévèrement le mouvement social et ses représentant-es. Contre cette nouvelle tentative d’intimidation, il faut répondre par la solidarité la plus large.

Contre la réforme des retraites, contre la répression syndicale, contre la criminalisation du mouvement social, rassemblons-nous le 20 juin à partir de 13h devant le palais de justice de Pau !


Communiqué signé par l’Union syndicale Solidaires, la fédération Solidaires étudiant-e-s – syndicats de luttes, Union départementale Solidaires Pyrénées-Atlantiques, SUD éducation 64-40, Solidaires étudiant-e-s Pau – Béarn, Union locale CGT Pau, FSU Pyrénées-Atlantiques, Génération.s Béarn

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Dans les Yvelines, une classe en lutte... Éducation

25 mai : appel intersyndical éducation 78 manif contre le choc des savoirs, contre les inégalités !

Un appel intersyndical 78, avec la FCPE 78, à la manif du 25 mai à Paris contre le Choc des savoirs.

Contre le “choc des savoirs” Pour l’école publique : un choc des moyens et la lutte contre les inégalités !

Les organisations syndicales des Yvelines, CGT éduc’action 78, FSU 78, Sgen-CFDT 78, Unsa éducation 78, SUD éducation 78, ainsi que la FCPE 78 appellent à poursuivre toutes les mobilisations possibles dans les établissements contre le choc des savoirs, mais aussi pour un choc des moyens et pour la lutte contre les inégalités.
Vous trouverez ci-dessous du matériel commun pour dénoncer les mesures inégalitaires et stigmatisantes du gouvernement (tract pour les familles, motions pour les CA, conseil d’école ou conseil école-collège).

Ces organisations appellent à la journée de mobilisation du 25 mai et à la manifestation parisienne qui aura lieu dans l’après-midi.

Matériel à diffuser auprès des familles

Ces mêmes organisations (CGT éduc’action 78, FSU 78, Sgen-CFDT 78, Unsa éducation 78, SUD éducation 78, ainsi que la FCPE 78) ont produit un tract commun, à l’attention des parents d’élèves.

Affiche intersyndicale

Tract intersyndical

Motion Conseil d’école

Motion CA


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Collectivités territoriales Conditions de travail Éducation Fonction publique

Agent·es territorial·es – Connaître ses droits pour mieux les défendre Demande de stage à déposer avant le 26 mai

Agent·es territorial·es – Connaître ses droits pour mieux les défendre

Ce stage syndical est ouvert à toutes et tous, adhérent·es ou non, fraîchement syndiqué·es ou non, en instance de le devenir ou encore en réflexion, vous êtes les bienvenu·es !

Tou·tes les personnels ont droit à 12 jours de congés pour formation syndicale par an, sur temps de travail et rémunérés.

La date limite d’inscription est le 27 mai (il suffit d’écrire à sudeducation78@ouvaton.org et de déposer votre demande d’autorisation d’absence pour stage syndical auprès de ta hiérarchie – voir le document ci-dessous)

En pièce jointe, vous trouverez le modèle de demande d’autorisation d’absence pour stage.

En espérant vous retrouver nombreuses et nombreux !

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Actu Solidaires 78 Éducation

Contre les groupes de niveau, nous voulons des classes à effectifs réduits, toute l’année !

Contre les groupes de niveau, nous voulons des classes à effectifs réduits, toute l’année !

Notre opposition aux réformes destructrices menées par le gouvernement Macron s’accompagne du projet d’une autre école, inclusive, égalitaire et émancipatrice pour toute la jeunesse.
Parmi les alternatives que nous voulons construire, nous évoquons souvent des classes hétérogènes à effectifs réduits. Mais… des classes à 20, qu’est-ce que ça changerait, réellement ? Comment y travaillerait-on ? En quoi l’accompagnement des jeunes serait-il différent ? Pourquoi est-ce une perspective plus désirable que les groupes de niveau ?

Des conditions de travail et d’études plus favorables

Moins de bruit, moins de fatigue !

Car nous ne travaillons jamais dans le silence : ça discute, ça chuchote, ça rigole aussi parfois, et c’est normal. A 30, c’est infernal. A 20, les élèves sont beaucoup plus libres d’échanger et de discuter entre pair·es car le brouhaha d’une classe à 20 est moindre par rapport à celui d’une classe à 30 élèves. Et au final, c’est la fatigue éprouvée après une journée de cours qui s’en trouve diminuée !

Circuler, bouger, librement !

La classe est plus aérée. Il y a beaucoup moins de tables et de chaises, ce qui permet les déplacements : l’enseignant·e et de l’accompagnant·e d’élève en situation de handicap, surtout lorsqu’elle/il a plusieurs élèves, peuvent circuler dans la classe pour étayer les apprentissages. Les élèves peuvent se déplacer avec ou sans fauteuil roulant, sans chahut pour aller chercher du matériel en autonomie, faire une recherche sur un poste informatique, prendre un manuel, etc.
Contre la domestication et l’immobilité des corps, nous souhaitons une liberté de mouvements, mise au service des apprentissages.

Des espaces différenciés dans la classe !

Au gré des scénarios pédagogiques et des besoins des élèves, il peut y avoir : l’espace cours magistral ; l’espace travail en groupe en îlots sur lesquels les élèves peuvent être autonomes ; l’espace recherche informatique et documentaire ; l’espace travail individuel sur des productions écrites ; l’espace expérimental avec des fac-similés d’archives, d’objets archéologiques ; l’espace musée avec des productions d’élèves ; l’espace conférence avec le tableau numérique ; l’espace explication, avec la professeure expliquant le même point à 3 ou 4 élèves ; l’espace calme, où un·e élève peut s’isoler un moment…
Cette organisation permet également d’offrir une véritable place à chaque élève, contrairement à un groupe beaucoup plus important dans lequel pour certains ou certaines il est plus difficile d’oser prendre la parole.
Enfin, l’espace libéré pourrait permettre d’accueillir un matériel adapté aux besoins : assise ergonomique, tables hautes, tables adaptées aux personnes en fauteuil roulant, etc.

Une pédagogie différenciée, adaptée aux besoins

Connaître chacun·e des élèves, pour mieux les accompagner

Cet effectif réduit permet de prendre la mesure, avec beaucoup plus de précisions, des compétences de nos élèves. Nous avons une connaissance plus fine des différents besoins de chaque élève. Cela nous permet de pouvoir mettre en place beaucoup plus rapidement différents ateliers de travail en fonction des compétences de chacun·e, tout en veillant à ne pas tomber dans l’individualisation des élèves plutôt que dans la différenciation. De même, le risque est de les sursolliciter et de rendre leur journée de 6 heures de travail équivalente à une journée de 8h.
1/3 d’élèves en moins, cela constitue 1/3 de temps en moins pour les corrections. Autant de temps gagné pour penser à tête plus reposée les remédiations et ajuster les accompagnements.

Travailler en ateliers spécialisés
C’est d’abord et avant tout la question pédagogique qui doit primer avant toute considération de gestion des flux ou de rentabilité.
Parfois, nous nous rendons compte que des élèves ont besoin d’un accompagnement très spécifique (lecture non consolidée, alphabétisation des élèves allophones, etc.) : ici, le travail en atelier ponctuel peut être organisé avec l’aide d’un·e collègue de l’enseignement spécialisé.

Apprendre à coopérer !
À 20 on peut faciliter le travail collectif, 5 groupes de 4, ou 4 groupes de 5 pour de vraies équipes, entre élèves de niveau hétérogène évidemment. La coopération permet l’échange de pratiques, d’astuces concernant les apprentissages, mais également la mise en commun des connaissances et des compétences de chacun·e, au profit de tou·tes.
C’est cette coopération entre élèves différent·es qui fera naître la solidarité dans la classe, contre les divisions, l’individualisme et l’esprit de compétition nourris par les politiques gouvernementales.

Les fausses bonnes idées de l’institution :

Expériences de classes de niveau… On pourrait nous rétorquer qu’on aura cet effectif dans les groupes de niveau faible. C’est une fausse bonne idée : il y a 10 ans existait le dispositif « 4eme Aide et soutien ». Prétendument pour aider les élèves à récupérer le niveau et à réintégrer une 3e ordinaire. Résultat : sur les 20 élèves, il n’y en avait que 1 ou 2 qui rejoignaient la 3ème ordinaire. Les autres allaient systématiquement en 3e prépa-pro ou découverte pro et ensuite en voie professionnelle.
Et, il faut bien le dire, le groupe était très passif, réduit à son image de “faible”. Triste.

Des petits groupes… dans de petites salles !

Il arrive souvent que la salle mise à disposition de l’UPE2A (dispositif accueillant les élèves allophones) ne soit pas une salle de classe standard, certaines sont très petite. Les faibles effectifs sont souvent l’argument pour ne pas disposer d’espace suffisant, alors que l’indispensable différenciation nécessite une modulation des espaces et différents lieux pour mettre en œuvre par exemple des ateliers….

Bien sûr, tout ceci demande un tout autre investissement de la part d’un gouvernement qui préfère investir dans le SNU, les groupes de niveau et le Pacte enseignant.

Mais cela demande surtout une autre politique éducative, de celle qui croit en l’éducabilité de tou·tes les élèves et qui vise leur émancipation, et non leur tri et leur domestication.

Tract en version imprimable

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Avril – Mai : programme des accueils syndicaux Solidaires 78 à Limay

Venez nous rencontrer !

Le programme des accueils Solidaires 78, tous les mardis de 17 h à 19 h à la librairie La Nouvelle réserve, entrée libre et gratuite.

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Actu Solidaires 78 Éducation Les travailleur·euses n'ont pas de pays ! Luttes migrant·es

13 mai date limite inscription Stage intersyndical FSU – CGT Educ’action – SUD Éducation, spécial UPE2A – Jeudi 13 juin 2024 à Bagnolet

UPE2A : se rencontrer, s’organiser pour lutter contre les inégalités

La matinée du stage sera consacrée aux parcours migratoires et à l’intégration des enfants migrants à l’école publique en France, avec les interventions de Maxime Lemaitre, chercheur associé au Centre Max Weber, Lyon 2, dont la thèse porte sur ce sujet, et de Frédéric Moreau, militant RESF.

L’après-midi sera l’occasion de présenter les actions intersyndicales menées cette année par nos organisations et d’établir collectivement un bilan de la situation des UPE2A de l’académie afin de construire un plan d’action pour celles-ci.

Ce stage est ouvert à tous les personnels intéressé·es par ces questions et particulièrement les enseignant·es qui enseignent en UPE2A ou celles et ceux qui ont une UPE2A dans leur établissement ainsi qu’aux CPE et psyEN.

Quand ? Jeudi 13 juin de 9h30 à 16h30.

Où ? Local FSU nationale : 22 rue Malmaison 93170 Bagnolet

Transport : Métro 3 Gallieni.

Comment participer ?

1) Si vous avez cours le jour du stage, remettre, au moins un mois avant la date du stage, une demande d’autorisation d’absence adressée au Recteur à partir du : modèle d’autorisation d’absence pour les titulaires et non titulaires ci-dessous :

Date limite de remise de la demande d’autorisation d’absence : lundi 13 mai.

2) S’INSCRIRE au stage auprès auprès du syndicat SUD Éducation 78 :
sudeducation78@ouvaton.org afin de participer au stage.

3) Si vous n’avez pas cours, vous devez malgré tout vous inscrire auprès du syndicat SUD Éducation 78 : sudeducation78@ouvaton.org

LES STAGES SYNDICAUX, UN DROIT POUR TOU·TES !

Chaque enseignant dispose d’un droit à 12 jours par an pour congés de formation syndicale avec traitement intégral. Ce droit n’est assorti que d’une seule contrainte : le dépôt auprès du chef d’établissement d’une demande d’autorisation d’absence un mois au moins avant la date prévue du stage.

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Mercredi 15 mai – Pour un choc des moyens et contre le choc des savoirs : réunion d’information intersyndicale

Contre le “choc des savoirs” Pour l’école publique : un choc des moyens et la lutte contre les inégalités !

Les organisations syndicales des Yvelines, CGT éduc’action 78, FSU 78, Sgen-CFDT 78, Unsa éducation 78, SUD éducation 78, ainsi que la FCPE 78 appellent à poursuivre toutes les mobilisations possibles dans les établissements contre le choc des savoirs, mais aussi pour un choc des moyens et pour la lutte contre les inégalités.
Vous trouverez ci-dessous du matériel commun pour dénoncer les mesures inégalitaires et stigmatisantes du gouvernement (tract pour les familles, motions pour les CA, conseil d’école ou conseil école-collège).

Ces organisations appellent à la journée de mobilisation du 25 mai et à la manifestation parisienne qui aura lieu dans l’après-midi.

Les organisations du 78 organisent également une Réunion d’information le mercredi 15 mai

écrire au syndicat pour avoir le lien de la visio :
sudeducation78@ouvaton.org

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Éducation Répression Solidarité !

SUD éducation attaqué par Darmanin : on ne se laissera pas intimider !

Ce vendredi 19 avril, Olivier Cuzon, militant syndical, représentant en comité social d’administration (CSA) spécial départemental pour SUD Education 29 et co-secrétaire de l’Union interprofessionnelle Solidaires 29, a été auditionné au commissariat de Brest suite à une plainte pour “diffamation et injure publiques à l’encontre de la police et de la gendarmerie” déposée par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin lui-même. 

Le ministre de l’Intérieur poursuit son entreprise de criminalisation du mouvement social et syndical, d’attaques contre les libertés publiques et d’entraves au droit syndical. 

C’est la publication d’un article sur le site du syndicat qui est dans le viseur de Darmanin. Dans l’article portant le titre “Classe défense, défense de classe !”, SUD éducation 29 interroge l’intrusion toujours plus forte de l’armée dans l’école, à travers le SNU et les classes-défense, sous l’angle des récentes enquêtes du journal Médiapart : 

« Ce questionnement est important quand on connait la culture droitière, misogyne et homophobe sous de trop nombreux képis. Les enquêtes de Médiapart révélant l’existence de groupuscules nazis dans certaines casernes, les groupes de discussions racistes des policiers et gendarmes, ou la participation récente de militaires en civil à la répression des dernières émeutes de banlieues ne plaident pas en faveur du républicanisme des militaires.»

Ainsi Darmanin, en tant que ministre de l’Intérieur, s’emploie à maintenir le silence autour de dérives contraires aux principes républicains dans la police et dans l’armée, qui sont pourtant largement documentées par les journalistes. C’est bien l’omerta imposée par le ministre de l’Intérieur qui porte aujourd’hui atteinte aux services de l’État et non les journalistes et les syndicalistes qui dénoncent des propos ou des comportements antirépublicains et discriminants. 

Pour SUD éducation, le ministère de l’intérieur n’a d’autre objectif que de faire taire celles et ceux qui dénoncent des dérives attestées de longue date. Ce faisant, il porte atteinte à la liberté d’expression et à la prose engagée d’une organisation syndicale, qui sont aux fondements de notre démocratie. 

SUD éducation apporte son soutien plein et entier à Olivier Cuzon et au syndicat SUD éducation 29 et revendique le retrait de la plainte déposée par le ministre de l’Intérieur.

SUD éducation engagera toutes les démarches nécessaires pour faire reconnaître l’atteinte grave à la liberté d’expression syndicale que constitue cette plainte et pour faire cesser les intimidations du ministre de l’Intérieur à l’encontre de notre camarade et de notre syndicat. 

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Défense de nos libertés Éducation Répression

Plainte du ministre Darmanin contre Olivier Couzon : soutien à notre camarade de SUD Éducation !


Vendredi 19 avril, notre camarade Olivier Couzon, de SUD éducation 29, a été entendu au commissariat de Brest suite à une plainte déposée par le ministre Gérald Darmanin pour diffamation à l’encontre de la police et de la gendarmerie.

En cause, la publication d’un article dans le journal syndical contenant les propos suivants : « Ce questionnement est important quand on connait la culture droitière, misogyne et homophobe sous de trop nombreux képis. Les enquêtes de Médiapart révélant l’existence de groupuscules nazis dans certaines casernes, les groupes de discussions racistes des policiers et gendarmes, ou la participation récente de militaires en civil à la répression des dernières émeutes de banlieues ne plaident pas en faveur du républicanisme des militaires. ».


Nous apportons tout notre soutien à notre camarade et à SUD éducation 29, mis en cause par un ministre qui s’assoit ainsi sur la liberté syndicale et poursuit l’entreprise de répression anti-syndicale bien affirmée ces dernières années, dans l’éducation comme ailleurs.

Le dernier cas en date est celui de Jean-Paul Delescaut de la CGT du Nord, condamné à un an de prison avec sursis suite à une phrase dans un tract.

Solidaires 78 luttera toujours pour défendre la liberté syndicale, qui est celle de critiquer et de combattre à la fois les pratiques patronales et les politiques gouvernementales.

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