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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Mardi 10 octobre Limay 19h30 Rencontre dédicace , “Des vies pour l’égalité, mémoires d’ouvriers immigrés” à La Nouvelle Réserve

MARDI 10 OCTOBRE  2023   à 19H30  

À LA LIBRAIRIE La Nouvelle Réserve  – Limay 78

Entrée libre

RENCONTRE-DÉDICACE 

 “DES VIES POUR L’ÉGALITÉ – MÉMOIRES D’OUVRIERS IMMIGRÉS” 

En présence des auteurs Vincent Gay, Abdellah Fraygui & Abdallah Moubine 

Soirée organisée en partenariat avec SOLIDAIRES 78 & ATTAC 78 Nord

Immigrés marocains arrivés en France à la fin des années 60 et au début des années 70, Abdellah Fraygui et Abdallah Moubine découvrent les usines françaises, le travail à la chaîne,

la répression contre les syndicalistes, le racisme… Mais également des opportunités pour revendiquer, se battre pour sa dignité, dans les usines et dans leurs quartiers.

Des vies de luttes qu’ils livrent ici dans un récit à deux voix. 

Vincent Gay est militant de la gauche radicale et collaborateur des éditions Syllepse.

https://www.syllepse.net/syllepse_images/produits/une-des-vies-pour-l-egalite.jpg?2

Librairie coopérative La Nouvelle Réserve, 5, rue du maréchal Foch, 78520 Limay

Tél : 09.72.48.11.55



		
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Lecture Retraites

Les Utopiques N° 23 – Été 2023 : retraites : pas d’austérité pour Pépé et Mémé – En retraite, pas en retrait

Les Utopiques N° 23 – Été 2023 – Cahier de réflexions Union syndicale  Solidaires 

Le dossier de ce numéro a pour titre « En retraite, mais pas en retrait ». Il a l’ambition de traiter d’un point de vue syndical les questions liées à la retraite et plus globalement à la vieillesse. Anne Millant plante le décor : « Les vieux et les vieilles ; comment la société les perçoit, comment ils et elles se voient ». Prolongeant le propos, Gérard Gourguechon parle de « L’intergénérationnel contre l’âgisme ». Les inégalités sociales générées par le capitalisme frappent de plein fouet les personnes âgées : Patrice Perret explique «L’évolution du pouvoir d’achat des personnes retraitées»; Bernard Ennuyer traite de « Vieillesse et inégalités de vie » ; Verveine Angeli démontre les discriminations subies quand on est « Vieux, vieille et immigré·e » ; enfin, Jean Vignes interroge et propose : comment « Vieillir en société » ?

Les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes concernent beaucoup d’anciennes et anciens. Trois articles y sont consacrés : « Des EHPAD hors de contrôle », par Jean-Marc Debéthune ; « Je travaille en EHPAD », par Anissa Amini ; « Crimes sexuels en EHPAD: ignorés ou impunis », par Anne Millant.

Prendre en compte les aîné·es, c’est aussi parler de santé, de soins, d’accompagnement. « La ménopause, c’est pas la mort,… c’est encore l’amour », telle est le thème d’une conférence gesticulée d’Axelle, Corinne, Hélène, Liliane, Marie-Christine, Odile et Pascale ; les propos d’une partie de l’équipe sont recueillis par Verveine Angeli. Michèle Béarez traite de « La santé des personnes retraitées », tandis que Loïc Damiani explique en quoi il s’agit « De nouveaux défis pour le service public municipal ».

Anne Millant l’affirme et le démontre : « La vieillesse [c’est aussi] de puissants tabous ». Un d’entre eux est d’ailleurs « La fin de vie », dont Gérard Gourguechon retrace l’histoire de la difficile prise en compte par la société.

Et en matière syndicale, comment ça se passe ? C’est ce que Gérard Gourguechon nous explique à travers « Les personnes retraitées dans les organisations syndicales ». Marylène Cahouet et Joël Chenet nous fournissent un éclairage sur « La construction de la section fédérale des retraité·es de la FSU ». Annie Dromernarre l’histoire d’ « Ensemble et Solidaires – UNRPA, une association qui traverse le temps », membre du Groupe des 9 organisations syndicales et associatives de retraité·es qui travaillent et agissent ensemble.

Avec l’association Vieux, inégaux, fous – Attention fragile, Dominique Le Vaguérèse-Boltanski raconte la brève mais fort intéressante histoire de « Mathusalem, le journal qui n’a pas peur des vieux ». Trait d’union avec la dimension internationale de notre syndicalisme, Patrick Le Tréhondat décrit les «Retraité·es en Ukraine : entre misère et douleur». Philémon « Macko» Dràgàn nous propose un entretien avec « Celle qui n’était pas sage », Geneviève Legay.

Pour ce numéro, nous livrons quatre articles hors dossier: « Vers une démocratie autogérée ? Dans et hors de l’entreprise », par Ophélie Gath ; « Pour une politique du travail », par l’équipe d’animation des Ateliers Démocratie et Travail ; « Six mois de manifestations et de grèves… On en cause ? », par Christian Mahieux. Enfin, poursuite des échanges avec la revue Libre pensiamento, nous reproduisons « Une bataille pour la défense du rail public gagnée », par Miguel Montenegro.

Comme d’habitude, de nombreuses illustrations accompagnent les articles. La couverture de ce numéro est de Christian Pigeon ; c’est la reprise d’un dessin de 2013, alors reproduit dans une série d’autocollants de l’Union syndicale Solidaires dans le cadre d’une lutte… pour le droit à la retraite : « Retraites : no austerity for papy and mamy », « Retraites : pas d’austérité pour pépé et mémé », « Retraites : solidaires avec pépère et mémère »

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Accidents du travail Actu Solidaires 78 Lecture

Jeudi 25 mai – rencontre Matthieu Lépine auteur de L’Hécatombe invisible

À partir de 20 heures, à la librairie La Nouvelle Réserve de Limay, rencontre avec Matthieu Lépine

Ils s’appelaient Michel, Harouna, Franck, Romain, Hugo, Christiane, Yucel ou encore Teddy. Ils étaient ouvriers, travailleurs indépendants, apprentis, parfois même stagiaires. Tous ont en commun d’avoir perdu la vie dans l’exercice ou l’apprentissage de leur métier.

Matthieu Lépine dénombre les accidents du travail mortels depuis plus de quatre ans. Son ouvrage dévoile le bilan terrifiant de ce recensement inédit. Chiffres, témoignages, analyses, L’Hécatombe invisible lève un tabou sur une réalité ignorée : la mort au travail est un fait social majeur en augmentation qui concerne des travailleurs souvent jeunes et au statut précaire.

Non-respect des obligations de sécurité, négligence de la formation, recours massif à une main-d’œuvre intérimaire ou employée en sous-traitance, déresponsabilisation des entreprises, la dégradation généralisée des conditions de travail est au cœur des enjeux sur la question des accidents professionnels. Un document édifiant.

Matthieu Lépine enseigne l’histoire-géographie en Seine-Saint-Denis. L’Hécatombe invisible est son premier livre

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Lecture Luttes féministes

Samedi 15 avril Féministes, luttes de femmes, lutte de classes / Une féministe révolutionnaire à l’atelier (Versailles)

Le samedi 15 avril à 17 heures, salle Montgolfier à l’Hôtel de ville de Versailles rencontre des Ami·es du Monde Diplomatique avec

  • Suzy Rojtmann, autour de son livre Féministes, luttes de femmes, lutte de classes (Éditions Syllepse – 2022)
  • Fabienne Lauret, autour de son livre BD Une féministe révolutionnaire à l’atelier (Éditions La Boîte à Bulles – 2022).

Féministes, luttes de femmes, lutte de classes

Le mouvement féministe contemporain en France a plus de cinquante ans, un temps d’histoire, histoire d’un enthousiasme fou de se retrouver ensemble, émaillé de victoires décisives, mais jalonné de difficultés face à un patriarcat qui se défend bec et ongles.
Dans cette histoire, on oublie souvent une des actrices essentielles : la « tendance lutte de classes » comme elle s’est définie elle-même, après Mai 68, dans les années 1970.
Restituer cette histoire occultée, c’est le but de ce livre, réalisé à partir de trois colloques organisés par le Collectif national pour les droits des femmes.
Il aborde l’histoire pionnière du MLF et de toutes ses tendances : celle des groupes femmes créés dans les entreprises et les quartiers, celle des militantes d’extrême gauche, de gauche, des syndicalistes, qui, impliquées avec conviction, ont bataillé dans leurs organisations respectives.
L’histoire des luttes ouvrières où les femmes ont dû s’affirmer (Lip, Renault, banques, Chèques postaux). L’histoire méconnue des groupes de femmes immigrées ou dans les populations colonisées. L’histoire des luttes pour la visibilisation et l’affirmation des lesbiennes.
C’est aussi celle de la conquête du droit à l’avortement et son remboursement, celle de la création de collectifs féministes : contre le viol et contre le racisme ; de l’unité avec la création de la Maison des femmes de Paris, d’Elles sont pour et du Collectif national pour les droits des femmes, des combats internationaux avec la Marche mondiale des femmes.
C’est la parole de ses actrices elles-mêmes qui donne corps et vie à cette histoire.

Ce sont les contributions de 28 autrices qui donnent corps à ce livre, illustré avec des documents d’époque.


Une féministe révolutionnaire à l’atelier

Comme d’autres « établis » – démarche amorcée à la suite de mai 1968 et visant à faire entrer des militants révolutionnaires dans les usines – Fabienne Lauret se fait embaucher à l’usine Renault-Flins, dans les Yvelines, le 3 mai 1972.

Son engagement pour la cause ouvrière, à l’instar de nombreux établis, deviendra très vite la trajectoire de toute une vie. Elle passera ainsi plus de trente-six ans à l’atelier de couture et au comité d’entreprise de l’usine.

Dans cette BD coscénarisée par Philippe Guillaume, Fabienne Lauret retrace une vie de luttes syndicales et féministes, de l’obtention du samedi comme jour de congé au droit à des conditions de travail et salaires décents. Véritable journal d’usine des années 1970 à 1990, ce témoignage raconte la condition ouvrière et les discriminations sexistes qui révoltaient Fabienne, sans oublier le racisme omniprésent envers les nombreux immigrés qui occupaient les postes les plus pénibles.

Un témoignage tout à la fois personnel, intime, sociologique et historique, à l’heure où la menace d’une fermeture plane sur Renault Flins…

Préface de l’historienne Ludivine Bantigny.

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Actu Solidaires 78 Idées, débats, cultures Lecture

26 novembre : rencontre En lutte ! Carnets de chant, la révolution en chantant

Il y a des jours où vient l’envie de contester, de lutter contre des injustices, des réformes, des événements. Pour accompagner ces mouvements, En lutte ! Carnet de Chants retrace l’histoire de 24 chants de protestation.

Samedi 26 novembre : En lutte ! Carnet de chants – on apprend, on échange, on chante, on partage, on lutte !


Rencontre avec Véronique Servat, co-autrice d’En lutte ! Carnet de chants, éd. du Détour, 2022.

Présentation de l’ouvrage, repas partagé, chorale…

à la librairie La Nouvelle Réserve, à partir de 18 heures

Viens avec ta guitare, ton banjo, ton harmonica ou ton triangle, apporte un petit plat  à partager et surtout ton envie de chanter !

à l’initiative de la librairie La Nouvelle Réserve et de l’Union syndicale Solidaires 78

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Histoire Idées, débats, cultures Lecture

De Mai 68 au Mouvement de Libération des Femmes (MLF)

Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication du livre de : « De Mai 68 au Mouvement de Libération des Femmes (MLF) » sous la direction de Monique Dental et Marie-Josée Salmon aux Editions du Croquant.

Il est issu des trois tables rondes organisées en mai 2008 par le Réseau Féministe « Ruptures » :

  • 1968 : La prise de conscience : des féministes à l’œuvre
  • 1970-1980 : La révolution féministe et ses conquêtes
  • 2008 : 40 ans après. Quel héritage ? Quelles transmissions générationnelles ? Pour quels engagements féministes ?

A travers des témoignages et des analyses, ce livre nous fait vivre – ou revivre – l’avènement et l’essor du Mouvement de Libération des Femmes (MLF). Mai 68, en effet, a été la brèche par laquelle le mouvement féministe a ressurgi, contestataire, joyeux, mais aussi constructif. Pour autant, cette brèche ne s’est pas refermée : en irriguant la société, il a contraint les partis politiques et les syndicats à le prendre en compte. Une histoire souvent houleuse faite d’avancées et de reculs.

Ce qu’on appelle les acquis du féminisme sont le résultat de luttes opiniâtres et c’est pourquoi il importait de mettre en valeur les actrices souvent oubliées ou effacées de l’histoire. En mai 68, en opérant une « révolution » dans la révolution, elles se constituent comme sujets en partant de leur vécu. Plus tard, les féminismes diront dans les manifestations : le féminisme a changé ma vie. Il apparait clairement que le mouvement féministe n’a rien de monolithique, qu’il se caractérise par la diversité des parcours de ses militantes et par la pluralité des courants.

Nous avons aussi souhaité marquer l’évolution du mouvement féministe : ses avancées, ses reculs, ses stagnations. Parfois on le croit mort et il ressurgit quand on ne s’y attend pas, comme aujourd’hui où il revit avec MeToo.  
Connaître le passé éclaire le présent pour mieux penser l’avenir.  

Nous espérons qu’il retiendra votre attention et vous remercions de diffuser l’information à vos contacts et réseaux.
Vous pouvez vous procurer « De Mai 68 au Mouvement de Libération des Femmes (MLF) » en librairie où il se trouve depuis la semaine dernière, ou bien le commander chez votre librairie, et, également, auprès de nous en nous envoyant un chèque de 16.- euros (12.- euros + 4.- euros de frais de port) libellé à l’ordre du Réseau Féministe « Ruptures » à nous adresser 38 rue Polonceau 75018 Paris.

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Idées, débats, cultures Lecture Podcast

À lire, voir, écouter pendant l’été

La lettre Solidaires 78 prend ses quartiers d’été et vous donne rendez-vous à la rentrée… Pour patienter, des militant·es de Solidaires 78 (et au-delà !) vous proposent quelques conseils de lectures, de podcasts, de vidéos…


Un livre : Comme nous existons, de Kaoutar Harchi.
Kaoutar Harchi est une sociologue, enfant de l’immigration postcoloniale née dans l’Est de la France en 1987.

Dans ce récit autobiographique, Kaoutar Harchi fait un retour sur son parcours, marqué par l’amour de ses parents qui ne cherchent qu’à la protéger. Marqué aussi par les humiliations, les agressions, les rapports de domination dans lesquels on l’enferme incessamment : des rapports de race, de genre, de classe qui constituent invariablement les jeunes issu·es de l’immigration postcoloniale comme un problème. Des assignations identitaires pour une jeune fille née en France et pourtant toujours considérée comme cette Autre, cette Étrangère à qui il faut apprendre à être française, à rentrer dans le rang, à ne pas se faire remarquer, à rester à sa place de femme.

Ce récit permet à l’adulte et à la sociologue de poser un regard distancié et critique sur sa vie et sur le quotidien de ses parents, de mettre en lumière les différentes étapes et rencontres qui la conduiront de la honte vers la colère et la révolte et, finalement, vers la nécessité impérieuse de comprendre, de savoir, de penser le monde et la société.

Car le cœur du récit est bien l’entrée en pensée critique, politique et engagée, qui se confirmera à travers son métier de chercheuse en sociologie et ses prises de positions publiques

Un récit qui remue, assurément, écrit dans une langue à la fois fluide et émouvante.

J.


Un podcast assez intéressant à écouter et diffuser, qui apporte un argumentaire bien construit  sur les problématiques liées à la numérisation et dont très peu de structures militantes abordent la question de façon plus approfondie
https://floraisons.blog/compter-gerer-exploiter/
Mathieu Amiech, fait partie du collectif Écran Total qui regroupe des professionnels se dressant contre la numérisation de leur profession (agriculture  éducation et santé …).


– Le livre de Carmen Castillo  (Un jour d’octobre à Santiago, Verdier)
ou un super polar politique  : Marseille 73 de Dominique Manotti ; 2020. Points poche. L’autrice, une des voix majeures du roman noir français, nous entraîne dans une enquête difficile sur une vague de crimes racistes ciblant les arabes dans les années 70, dans cette grande ville où règne l’Omerta, mais aussi les nervis de l’OAS et le passé non encore résolu de la guerre d’Algérie. Un récit policier passionnant et historique qu’on ne lâche pas !

– Il y a aussi ce site de podcasts qui me semble intéressant http://www.spectremedia.org/

F.


Un film.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Goliath_(film)
Sur les lobbies et leur action. Très d’actualité.
L’argumentaire de Macron y est déjà présent.

Un podcast.
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/lsd-la-serie-documentaire/la-rafle-du-vel-d-hiv-recits-d-un-crime-francais-episode-1-et-2-5101310
La rafle du Vel d’Hiv, récits d’un crime français. 8 épisodes.

Un livre.
« Au commencement était… » de David Graeber et David Wengrow.
En s’appuyant sur les dernières découvertes en anthropologie et en archéologie, les auteurs, spécialistes eux-mêmes reviennent sur le mythe d’une évolution naturelle et inéluctable des chasseurs cueilleurs, au capitalisme en passant par l’agriculture, les villes la bureaucratie et l’État.
Où l’on apprend que pendant des milliers d’années d’autres formes politiques et sociales ont existé.

L. – M.


– Un livre : Kanaky, de Joseph Andras. Un récit enquête sur les “Sur les traces d’Alphonse Dianou” qui vient de sortir en poche (Babel – Actes Sud). Joseph Andras (Pour vous combattre, De nos frères blessés, etc.) retrace ici le parcours militant d’une des figures de la prise d’otage d’Ouvéa (1988 – action qui s’est soldée par une intervention militaire et un bilan de 21 morts, dont 19 Kanaks), un livre puissant porté par une écriture envoutante.

– Deux podcasts :
Charles Piaget, À voix nues (France Culture) ; “Ces cinq entretiens avec Charles Piaget constituent une sorte de leçon de choses du syndicalisme. Loin des a priori idéologiques, Charles Piaget nous convie au récit de ses propres découvertes et expérimentations, qu’il continue aujourd’hui.”
Un grand moment, une écoute indispensable (pour tou·tes les syndicalistes !) de l’un des protagonistes du mouvement des LIP.
Carmen Castillo à la librairie La Nouvelle Réserve – Limay (enregistrement diffusé sur Radio Libertaire le 7 juin, dans l’émission “ça booste sous les pavés “).

– Une revue : Les utopiques n°20 – Syndicalistes contre l’extrême droite

Un tweet…


Un petit livre, clair, pas simpliste et pas cher qui date de 2020… Dix questions sur l’anarchisme de Guillaume Davranche aux Éditions Libertalia.

Guillaume Davranche présente de façon extrêmement synthétique l’anarchisme, comme courant politique très structuré, porteur d’une alternative au capitalisme et d’une vision globale de transformation de la société, à partir de ses fondamentaux idéologiques, tout en se référant aux pratiques existantes.

Et un autreLe bateau usine, un roman de Takiji Kobayashi, traduction Évelyne Lesigne-Audoly, Éditions Allia (petite collection).
En mer d’Okhotsk, dans le Pacifique, zone de tensions entre l’Union soviétique et le Japon, marins et ouvriers travaillent dans des conditions inhumaines et subissent la maltraitance du représentant de l’entreprise à la tête de l’usine. Un sentiment de révolte gronde. Un premier élan de contestation échoue, les meneurs sont arrêtés par l’armée. Mais un nouveau soulèvement se prépare.

G.

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