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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Avril – Mai : programme des accueils syndicaux Solidaires 78 à Limay

Venez nous rencontrer !

Le programme des accueils Solidaires 78, tous les mardis de 17 h à 19 h à la librairie La Nouvelle réserve, entrée libre et gratuite.

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Actu Solidaires 78 Agenda militant

Mardi 30 avril – accueil syndical Solidaires 78 à Limay s’auto-former face aux accidents du travail…

Ce mardi 30 avril à la librairie La Nouvelle Réserve (Limay) de 17 à 19 h, un atelier à partir de situations concrètes d’accidents du travail, avec un inspecteur du travail pour nous aider à nous auto-défendre

Avec un goûter partagé où chacun vient avec un petit truc…

Entrée libre et gratuite

ouvert à toutes et tous

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1er mai, appel intersyndical – Ni les actionnaires, ni les réactionnaires : Un 1er mai pour les travailleurs et travailleuses

Le 1er mai, journée internationale des travailleurs et travailleuses, va se tenir dans un contexte marqué par les guerres terriblement meurtrières, notamment en Ukraine et en Palestine. Nos organisations réaffirment leur engagement pour une paix juste et durable dans le cadre du droit international, qui ne peut se faire aux conditions de l’agresseur.

En France, les travailleur·euses sont sous la menace d’un nouveau plan d’austérité. Pour multiplier les cadeaux aux entreprises, ce qui aggrave les inégalités sociales, le gouvernement annonce faire des milliards d’économies sur les politiques sociales et les services publics, la transition écologique ou en faisant les poches des chômeurs et chômeuses, de celles et ceux qui sont malades, ou encore en s’attaquant une nouvelle fois au Code du travail. Loin de “désmicardiser” le pays, il poursuit sa politique au service des plus riches en distribuant de l’argent public aux entreprises privées, notamment les plus grosses, sous forme d’exonérations de cotisations sociales : plus les salaires sont bas, plus les aides publiques sont conséquentes, ce qui encourage les directions d’entreprises à maintenir des millions de salarié·es avec des fiches de paie proches du SMIC. A l’image du SMIC, il faut a minima indexer les salaires, pensions et le point d’indice sur les prix. Il y a urgence d’augmenter les salaires et les retraites.

La précarité et la pauvreté gagnent du terrain, en particulier chez les étudiant·es : un·e sur deux travaille pour financer ses études, deux étudiant·es sur trois sautent régulièrement des repas et plus de trois étudiant·es sur dix renoncent à des soins faute d’argent. Un·e sur deux est mal logé·e. Un.e étudiant.e sur 5 ne mange pas à sa faim. Il faut augmenter les minima sociaux, les bourses d’études et réformer en urgence ce système d’aide pour que chacun·e puisse étudier dans des conditions dignes.

Nos organisations appellent à s’opposer aux politiques d’austérité en France comme en Europe. Alors que des profits records sont enregistrés, il faut sortir du choix délétère que l’on nous impose. Pour une Europe sociale et des peuples : ni dépendance à la finance, ni poison de l’extrême-droite, pire ennemi des travailleurs et travailleuses ! Nos organisations militent pour le renforcement de la protection sociale et s’opposent aux projets de contre-réformes qui réduisent les droits et conquis des travailleurs et travailleuses.

Elles dénoncent les attaques aux libertés collectives et individuelles, notamment contre les bourses du travail et le droit de manifester, les libertés syndicales mais aussi les entraves à la liberté d’expression, par exemple sous-couvert des lois anti-terroristes.

Le 1er mai doit aussi être le prolongement des mobilisations du 8 mars pour l’égalité réelle alors que les femmes sont moins payées et plus souvent en situation de précarité.

Nos organisations appellent les travailleuses et travailleurs, les jeunes, étudiant·es et retraité·es, à manifester partout en France le 1er mai contre l’austérité, pour l’emploi, les salaires, les services publics, la protection sociale, les libertés et la paix juste et durable dans le monde.

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1er mai, ni actionnaires ni réactionnaires !

1 mai 2024

Les luttes des travailleurs et travailleuses d’ici sont indissociables de celles menées dans d’autres parties du monde. Nous appelons à faire de ce 1er mai une journée de solidarité internationale :

  • Parce que l’existence et la défense des droits sociaux, des salaires, des conditions de vie, des libertés syndicales, du droit de grève n’ont de véritable sens qu’à l’échelle des pays du monde entier,
  • parce que les artisans de la mondialisation néolibérale s’attachent à détruire les droits sociaux et empêcher la hausse des salaires par les délocalisations,
  • parce que les conflits qui se passent ailleurs ont une résonance ici, et que cette journée s’inscrit dans un contexte marqué par les guerres terriblement meurtrières, notamment en Ukraine et en Palestine.

Nous dénonçons aussi la complicité de notre pays et de nos gouvernements dans la vente d’armes et les relations avec des régimes oppressifs et colonisateurs. L’Union syndicale Solidaires réaffirme son engagement pour une paix juste et durable, fondée sur le respect du droit international.

En France, nous sommes confronté·es à la menace d’un nouveau plan d’austérité qui laminera un peu plus les services publics et les politiques publiques garantes du respect de l’intérêt général et d’égalité. Ce gouvernement favorise les intérêts des grandes entreprises au détriment des plus vulnérables et prépare une nouvelle attaque du Code du travail à venir sans compter une énième réforme de l’assurance chômage. Nous refusons cette politique qui creuse les inégalités sociales et met en péril les services publics, la transition écologique et les droits fondamentaux des travailleurs et travailleuses.

Face à la précarité croissante, en particulier chez les étudiant·es, les femmes, les chômeur et chômeuses et les retraité·es, nous demandons des mesures urgentes pour garantir des conditions de vie dignes pour tous et toutes. En ce 1er mai, nous devons également poursuivre les mobilisations pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes, car les inégalités persistent notamment sur le plan salarial et plus de 70% des personnes en situation de précarité alimentaire sont des femmes.

Pour détourner l’attention des questions sociales, Emmanuel Macron a fait adopter en début d’année une nouvelle loi sur l’immigration inepte et alignée sur les idées l’extrême droite. Nous exigeons son abrogation et la régularisation des sans-papiers à commencer par nos camarades de DPD et Chronopost en grève depuis depuis plus de 29 mois !

Nous dénonçons aussi l’imposture sociale de l’extrême droite qui ne vote aucun des textes permettant de réduire les injustices et les inégalités mais véhicule un néolibéralisme populiste et exacerbe les haines.

Contre l’extrême-droite et l’ultralibéralisme, nous devons renforcer les luttes sociales.

Nous serons aussi dans la rue pour défendre les libertés collectives et individuelles, y compris le droit de manifester et les libertés syndicales, et nous nous opposons aux atteintes à la liberté d’expression sous prétexte de lutte contre le terrorisme.

L’Union syndicale Solidaires appelle les travailleurs et travailleuses, jeunes, étudiant·es et retraité·es, à se joindre aux manifestations en France et dans le monde le 1er mai, pour lutter contre l’austérité, défendre l’emploi, les salaires, les services publics, la protection sociale, les libertés et la paix juste et durable dans le monde.

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Réfléchir, lutter, gagner

Dans Expressions Solidaires : N°110

Solidaires a officiellement 25 ans.

Notre histoire antérieure à cette création plonge ses racines dans le syndicalisme français du XXe siècle. Nous sommes issu∙es de choix forts d’autonomies, de luttes, de volonté d’agir de façon décloisonnée, interprofessionnelle, en plaçant toujours notre position de travailleuses et de travailleurs au centre.

Il y a ce dont on rêve et ce qu’on arrive à atteindre. Notre âge est un moment symbolique intéressant pour réfléchir notre syndicalisme. Il n’y a rien de mécanique dans ce que nous faisons mais la nécessité de nous regarder en face, de toujours interroger notre projet et nos positions, mais aussi les moyens que nous nous donnons pour le réaliser, y compris dans nos pratiques, avec l’analyse la plus objective possible de la situation.

Où en sommes-nous ? Solidaires a vécu des mutations profondes ces dernières années. Le développement d’un syndicalisme « alternatif », basé sur une construction démocratique originale et en lien permanent avec le mouvement social, fait partie de l’histoire profonde. Pour autant, 25 ans après ces débuts, l’évolution de nos structures professionnelles et territoriales est flagrante : nous sommes touché∙es par les changements de générations militantes, par les transformations de la société et du monde du travail, par les crises sociales, écologiques et démocratiques que nous vivons. Un projet syndical ne se réduit pas au nombre de personnes ayant adhéré aux syndicats de l’Union, mais cela reste un critère important : sommes-nous capables de nous développer ? De convaincre de nous rejoindre ?


Extrait de Réfléchir, lutter, gagner, Les utopiques n°25 « 25 ans de Solidaires », éditions Syllepse, printemps 2024.

Au sommaire de ce numéro :

Réfléchir, lutter, gagner – Repères pour une histoire – Le SNJ, la déontologie au cœur – Du SNUI à Solidaires – Du fonctionnement de fait aux règles statutaires – La formation Solidaires – Du syndicalisme en Loire-Atlantique – SUD PTT : une histoire de moutons et de brebis ? – Des luttes de la fin des années 1980 à SUD Santé Sociaux – Evolution des questions féministes dans Solidaires – Un fonctionnement innovant, inspiré d’autres pratiques – 1989, 1996, 2003 : SUD Solidaires vu d’ailleurs – Après 1995, l’éclosion des SUD. L’exemple du ferroviaire – Canal Marches et les Marches européennes contre le chômage, la précarité et les exclusions – 2006, le mouvement contre la LEC-CPE – La manifestation du 24 mars 2012 – SUD Industrie : de l’entreprise au territoire – Solidaires dans le champ syndical : comment continuer à subvertir les règles ? – Retour sur le titre d’un ouvrage : Solidaires, un modèle syndical alternatif ? – Solidaires a 25 ans. Moi aussi !

Pour commander

https://www.lesutopiques.org/boutique/

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Actu Solidaires 78 Penser notre syndicalisme

Déclaration de l’Union syndicale Solidaires en congrès le 25 avril 2024

L’Union syndicale Solidaires a tenu son 9ème Congrès dans un contexte mondial délétère : guerres en cours ou qui menacent, nationalisme, montée de l’extrême droite, tandis que les trajectoires prises pour ralentir et stopper les changements climatiques sont plus qu’insuffisantes. Comme l’ensemble des populations, les travailleuses et travailleurs sont confronté·es directement aux conséquences de ces conflits comme de la crise écologique.

Sans surprise, loin d’amorcer un quelconque virage pour aller vers plus d’égalité, de justice et d’espoir, ce gouvernement mène tambour battant des politiques ultra-libérales qui démantèlent les conquis sociaux : attaques frontales de l’assurance chômage, discours sur la dette conduisant à raboter encore plus les politiques publiques et les moyens de services publics déjà exsangues, remise en cause du statut de la fonction publique et provocations comme le projet d’extension du licenciement dans la fonction publique, ou encore un énième projet de loi Travail qui remettra en cause les droits des travailleuses et travailleurs… pour mieux asseoir encore la réalité d’un gouvernement totalement au service du patronat et des ultra-riches.

Le gouvernement attaque quotidiennement nos libertés, couvre les violences policières et renforce les systèmes de dominations sexistes et racistes. Élu face à l’extrême-droite, ce pouvoir politique s’approprie ouvertement ses positions (loi immigration…), les installe dans la société, et nous fait glisser dans une société de plus en plus autoritaire, de répression et de sanctions particulièrement à l’encontre des militant-es.

Dresser ce constat lucide, n’est pas faire preuve de défaitisme : c’est une tonalité offensive qui se dégage de nos débats. Notre combat syndical est clairement orienté vers la justice sociale et environnementale, l’égalité, la défense des libertés publiques et individuelles et contre le système capitaliste.

Les débats de notre congrès pointent des éléments essentiels dans la perspective d’un changement profond de société qui se traduiront concrètement par des revendications et des actions claires :

  • une campagne sur les salaires et l’égalité des droits pour tous et toutes parce que la question de la répartition des richesses reste centrale pour une majorité des travailleurs et travailleuses,
  • la conquête de nouveaux droits :
      • – un nouveau statut du salarié·e (pour une continuité du salaire et des droits sociaux entre deux emplois), augmenté de droits notamment dans les phases de reconversion des entreprises polluantes, en associant pleinement les travailleurs et travailleuses à ces reconversions,
      • – une déclinaison de revendications, en particulier d’amélioration de la sécurité sociale :
        – une sécurité de l’accès à l’alimentation incluant les travailleurs-euses qui l’assurent, dans le respect de l’environnement
        -le droit au logement
  • les revendications d’un congé hormonal (dont menstruel), de 26 jours par an, sans justificatifs, inclusif, pour de meilleures conditions de travail de plus de la moitié de la population
  • une véritable politique du handicap offensive pour sortir de l’enclave ces travailleurs et travailleuses,
  • la déconstruction des discours sur l’IA et leurs impacts sur le travail et nos vies…

Solidaires s’engage à mettre toute son énergie pour démontrer que le syndicalisme est porteur d’un projet de transformation sociale pertinent, que l’unité intersyndicale, l’initiative et la maîtrise des luttes par les salarié·es sont une force et à l’échelle mondiale en renforçant le RISL.

Solidaires ouvre en son sein, un débat sur l’évolution du syndicalisme, et sur quel outil serait capable de répondre mieux qu’actuellement aux aspirations des travailleuses et travailleurs.

Nous avons confirmé l’importance d’un lien étroit avec le mouvement social, les collectifs et associations de lutte et la nécessité de développer l’Alliance écologique et sociale.

C’est en portant des perspectives d’amélioration de nos vies et emmenant des luttes gagnantes que nous ferons reculer l’extrême-droite dont le Rassemblement National qui n’est jamais à l’aise en période de fort mouvement social… parce que profondément vecteur d’un projet néolibéral, de divisions et de haine à l’opposé des aspirations d’émancipation, d’égalité et de justice sociale de notre syndicalisme. Une campagne, si possible unitaire, sera proposée et menée contre les idées d’extrême droite plus particulièrement à destination des travailleurs et travailleuses.

Force est de constater que pour relever ces défis, il nous faut également les moyens de gagner tandis que nous avons à faire face à un gouvernement allié du patronat, décomplexé, autoritaire et qui n’hésite pas à réprimer et criminaliser les organisations du mouvement social de plus en plus.

Face à cela, nous avons tiré les leçons du mouvement des retraites de 2023 qui a confirmé la capacité du syndicalisme à mobiliser très largement le monde du travail. Mais pour gagner le rapport de force, il faut plus de grèves, sans exclure les formes de blocages qui se sont multipliées dans leur diversité.

Pour plus de grèves, il faut plus de syndicats de terrain et de lutte, dans les entreprises les administrations, plus de syndiqué·es et la conviction de pouvoir gagner. Organiser massivement les travailleuses et les travailleurs, dans une structure qui défend notre classe sociale, qui cherche à développer une démocratie concrète et à lutter contre toutes les précarités, dominations et oppressions est indispensable pour Solidaires. C’est pour cette raison que le congrès fait de notre développement une priorité des trois prochaines années. Il faut en finir avec les déserts syndicaux qui ne profitent qu’au patronat.

Nous mènerons la réflexion à la base, sur les formes et les tactiques pour faire de la grève l’outil central et populaire de nos prochaines luttes et mobilisations sociales. Cela suppose aussi que l’ensemble des travailleurs, travailleuses dans toutes leurs composantes en soient acteurs et actrices.

Pour Solidaires, face à l’ensemble des attaques, un mouvement syndical fort, unitaire, offensif, indépendant, internationaliste, écologiste et féministe est d’autant plus nécessaire.

Travailleurs-ses en activité, au chômage, en formation, en retraite, avec ou sans-papiers, ont des intérêts communs à défendre. Le congrès confirme le syndicalisme et spécialement notre syndicalisme de terrain, alternatif, horizontal et de transformation sociale comme outil utile et efficace pour répondre aux multiples défis, sortir du renoncement et faire de chaque travailleuse et travailleur l’actrice et l’acteur de sa résistance et de ses luttes.

Au-delà, nous continuerons notre travail quotidien avec les collectifs et organisations du mouvement social, en France et à l’étranger, qui œuvrent chaque jour pour les alternatives qui s’inscrivent dans notre projet de transformation sociale.

La tenue des Jeux Olympiques et paralympiques en France servent de prétexte pour s’affranchir toujours plus du Code du travail, écraser les populations les plus précaires, et étendre le contrôle sécuritaire. L’Union syndicale Solidaires et ses organisations seront particulièrement vigilantes, mobilisées et actrices de toute lutte sociale initiée par les travailleuses et travailleurs à l’encontre de ces reculs.

L’Union syndicale Solidaires apporte son soutien plein et entier à ses syndicats et aux travailleurs et travailleuses actuellement engagé·es dans des mouvement de grève, notamment les luttes des sans-papiers qui continuent.

L’Union syndicale Solidaires proposera à l’ensemble des forces syndicales de discuter de la construction de la riposte face aux mauvais coups qui se préparent. Ni l’austérité, ni le rabotage du code du travail, ni les attaques contre la fonction publique ne sont acceptables.

L’Union syndicale Solidaires appelle d’ores et déjà à défiler en nombre le 1er mai contre l’austérité, pour nos salaires et pour la paix. L’union fait notre force !

Toulouse-Labège, le 25 avril 2024

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Actu Solidaires 78 En grève ! Industrie

SUD Industrie : grève illimitée à la station d’épuration de Saint-Cyr l’école – Caisse de grève en ligne…

À l’approche de la station d’épuration de Saint-Cyr-l’École (Yvelines), ce jeudi 18 avril 2024, ils sont déjà là. Les grévistes agitent des banderoles. Depuis le mardi 16 avril 2024, douze des vingt-deux employés de l’usine Carré de réunion, qui traite les eaux usées de quatorze communes de la plaine de Versailles, sont mobilisés. Ils promettent une grève illimitée. Une caisse de grève a été mise en place pour tenir la distance.


Description

https://actu.fr/ile-de-france/saint-cyr-l-ecole_78545/yvelines-dans-cette-station-depuration-le-climat-au-travail-est-pollue_60966331.html

Les grévistes de CDR reconduisent la grève !

Au cours de la journée les salariés de la maintenance ont été rejoint par ceux de l’exploitation.

Sébastien a été entendu avec la menace de sanction. On lui a fait des reproches qui ne méritent pas une telle menace.

Les problèmes annoncés existent depuis de longs mois.
L’expertise RPS a montré à quel point le management avait un impact négatif sur la santé des agents. Le fonctionnement et l’organisation humaine en ont pris aussi un sacré coup.

Les salariés ne peuvent plus le supporter.

Nous demandons toujours l’arrêt de toute sanction contre Sébastien.
Et, le respect de notre santé.

Demain nous continuons la grève.
Nous réclamons toujours des conditions de travail digne.
Jeux olympiques ou pas, nous ne travaillerons plus comme ça !

La cagnotte en ligne :

https://www.leetchi.com/fr/c/soutien-aux-grevistes-de-la-sevesc-a-la-station-depuration-de-saint-cyr-lecole-1849017?utm_source=native&utm_medium=social_sharing&fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR35Jt5A5eHRImALnaI03THoSDsQ7bi8qiBn8kK1sztgJ9GK2Fo8I1iB6xA_aem_AejOqsOhTi7ChHLJp4cWqV5cF2_nB9YhMtAWkykCZ30GeNQ6lyw4OJygM42Tf9akemDS3a1YNvODhkXY63AHEgPL

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