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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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En grève ! Histoire Industrie

Samedi 17 juin, Oui, Lip vivra ! 50 après, que nous dit aujourd’hui la lutte des Lip ?

Ce sera la question au cœur des deux journées organisées par le Comité Lip 50 ans les samedi 17 et dimanche 18 juin prochain dans les locaux de l’Union syndicale Solidaires, 31 rue de la Grange-aux-Belles, Paris 10.
Comme le dit l’appel du comité : “La grève des Lip de 1973 porte en elle les aspirations d’égalité et d’émancipation qui nous animent, elle nous parle, elle nous inspire, elle est notre patrimoine commun.”
Au programme, des projections, une expo, 4 tables rondes : sur les luttes ouvrières des années 70, Lip et la lutte des femmes, la reprise en autogestion, l’unité syndicale et l’auto-organisation.
Un livre est également à paraître pour l’événement : Lip vivra ! – Editions SyllepseCouverture livre LIP Vivra


Et la magnifique affiche est réalisée par Alain Frappier.
Réservez votre week-end !
Blog Mediapart du Comité Lip 50 ans : Le blog du Comité Lip 50 ans | Le Club de Mediapart

L’appel sur Politis.fr : 50 ans après, que nous dit la lutte des Lip ? – POLITIS

L’appel sur le site de Solidaires : (appel unitaire) 50 ans après, que nous dit aujourd’hui la lutte des Lip ? | Solidaires

LIP50-Affiche petit


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Le système de rémunération des salariés Renault remis en cause

La direction de Renault soumet deux accords d’entreprise sur la rémunération et la prime d’ancienneté à la signature des syndicats. Ces accords sont censés « simplifier » la structure de la rémunération et l’adapter à la nouvelle convention collective de la Métallurgie. Gare aux dégâts collatéraux !

Socle social commun et effets de bord

Deux accords sur la structure de la rémunération et sur la prime d’ancienneté sont mis à la signature des syndicats de Renault en central.

L’accord sur la structure de rémunération intègrera un certain nombre de primes dans le salaire de base :

  • Le complément d’aménagement horaire ;
  • La Prime Différentielle Horaire (PDH) [1] liée aux horaires de normal, et le Complément Mensuel Horaire (CMH) lié aux horaires successifs ;
  • Les éléments d’augmentation individuelle (Complément de Carrière (CC), blocs, Unité d’Expérience Métier (UEM)) des APR tels que définis par l’accord reconnaissance de 2017 [2].

Les primes qui ne sont pas cité dans l’accord sont conservées (prime de brevet, indemnité de déplacement…).

Concernant les primes liées aux conditions de travail, au travail en équipes ou en atelier, elles seront soit conservées, soit intégrées au salaire de base, soit garanties dans une rubrique « complément de rémunération », soit rachetées au salarié.

D’autre part, l’accord exclut la prime d’ancienneté du taux horaire, d’où une baisse de celui-ci. Cette baisse sera compensée dans certains cas, comme pour le calcul des Heures Supplémentaires, par une « garantie ».

Les deux allocations de juin (« vacances ») et novembre (« fin d’année ») pour les non Cadres sont également revues à la baisse, avec une « compensation » de l’écart qui sera intégrée dans le salaire de base.

L’accord sur la prime d’ancienneté des APR et des ETAM modifie le mode de calcul de la prime.

  • Calcul actuel : Années d’ancienneté x valeur du point x coefficient [3]
  • Nouveau calcul : Années d’ancienneté x Valeur du point x Taux par classe d’emploi

Ce nouveau mode de calcul entrainera pour certains salariés une baisse de leur prime d’ancienneté (et parfois quelques hausses). Au 1er janvier 2024, les pertes sur la prime seront placées dans une « garantie » qui s’annulera en fonction de la progression de l’ancienneté ou de la classe d’emploi. Tant que le nouveau calcul ne dépassera pas la prime versée selon l’ancien mode de calcul (avant du 31/12/23), le total « prime d’ancienneté + garantie » n’évoluera pas et sera bloqué.

Restructuration des CSE

D’autre part, la direction a réuni un « Groupe de Réflexion Paritaire en vue de la négociation relative à la structure du dialogue social au sein de Renault Group » le 12 mai 2023 où elle a exposé ses intentions.

En ce qui concerne l’avenir des établissements et de leurs CSE [4] suite au démantèlement de l’entreprise, la direction privilégie un regroupement multisites par entité juridique : 1 CSE Ampere sas, 1 CSE Ampere Software et Systèmes et 1 CSE Renault sas. Selon elle, « L’évolution de l’organisation rend le maintien des 4 établissements [actuels (Guyancourt, Lardy, VSF, Siège)] inopérant » sur l’Ile-De-France.

Pour la gestion des Activités Sociales et Culturelles (ASC), la direction envisage 2 solutions de regroupement et de repartage des budgets ASC des CSE actuels :

  • Création de CASCI (Comité des ASC Interentreprises)
  • Convention entre les CSE

Il est pour l’instant trop tôt pour dire quels seront les gagnants et les perdants de cette restructuration des CSE.

Quant au « dialogue social », la direction se préoccupe aussi de la structuration et du rôle des syndicats. Selon elle « les DSC et DSCA [5] Renault sas assurent déjà des responsabilités transversales [exerçant les] missions de coordinateur Groupe [et un] rôle essentiel dans la construction d’un dialogue social de qualité au sein du Groupe  ». « La nouvelle organisation groupe rend plus que nécessaire de créer une coordination syndicale au niveau central Groupe ». A notre connaissance, les syndicats s’organisent comme ils l’entendent. Ce ne sont pas des services auxiliaires de la DRH.

Notes

[1] La Prime Différentielle Horaire est une prime compensatrice attribuée au personnel en normale afin de compenser financièrement la réduction d’horaire de 1982 de 40 à 39h par semaine.

[2] L’accord reconnaissance est remis en cause. L’acquisition de compléments de carrière est appelé à disparaitre avec les nouveaux accords Renault et la nouvelle Convention Collective de la Métallurgie

[3] Selon l’accord Renault actuel, la prime d’ancienneté a une valeur de base mensuelle correspondant à 35 heures en moyenne de travail par semaine, calculée de la façon suivante :
Valeur du point d’ancienneté* X coefficient de prime** X nombre d’années « premier contrat », selon les modalités ci-dessous :

  • de 3 à 15 années d’ancienneté : multiplicateur égal au nombre d’années révolues,
  • de 16 à 17 années d’ancienneté : multiplicateur égal à 15,
  • de 18 à 19 années d’ancienneté : multiplicateur égal à 16,
  • de 20 à 24 années d’ancienneté : multiplicateur égal à 17,
  • 25 années d’ancienneté et plus : multiplicateur égal à 18.

Cette prime est revalorisée en fonction des augmentations générales de salaires intervenant chez Renault.

* En 2023, le point vaut 5,912 €. Le nouvel accord fixe la valeur du point à 6 € en 2024, soit une hausse de 1,49% bien en-dessous de l’inflation.

** Le « coefficient de prime » est égal au coefficient du salarié divisé par 100 (exemple pour un ETAM au coefficient 305, le coefficient de prime est égal à 3,05).

[4] CSE : Comité Social et Economique

[5] DSC : Délégué Syndical Central. DSCA : Délégué Syndical Central Adjoint

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Dans les Yvelines, une classe en lutte... Histoire Industrie International Répression Retraites Revue de presse

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 54

Une classe en lutte dans les Yvelines !


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org


Source : La Gazette en Yvelines

Source : Le Courrier de Mantes

Source : Le Parisien

Source : Le Parisien

Source : Le Parisen

Source : Le Parisien

Source : Le Parisien

Source : 78actu.fr

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Actu Solidaires 78 Automobile Dans les Yvelines, une classe en lutte... Histoire locale Industrie Les travailleur·euses n'ont pas de pays ! Luttes féministes Revue de presse

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 53

Une classe en lutte dans les Yvelines !


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org


Source : 78actu.fr

Source : 78actu.fr

Source : La Gazette en Yvelines

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Écologie Énergie Histoire Idées, débats, cultures Industrie Répression

Mercredi 8 mars – Ciné débat La Syndicaliste aux Mureaux

CINE-DEBAT

Journée internationale pour   les droits des femmes

Mercredi 8 mars 2023 – 20h

Séance unique – entrée gratuite

La syndicaliste, film de Jean-Paul Salomé, avec Isabelle Huppert

                                                                                                                                Cinéma Frédéric Dard Les Mureaux

A l’occasion du 8 Mars 2023, présenter ce combat courageux d’une syndicaliste et lanceuse d’alerte est particulièrement d’actualité. Car il y a de plus en plus de judiciarisation des actes militants, de femmes malmenées parce que femmes (inégalités de salaire, projet de loi Retraites etc..), mise en avant de l’énergie nucléaire sans débat …

La Syndicaliste rappelle une histoire vraie de 2012 rapidement étouffée : celle de Maureen Kearney, syndicaliste à Areva, retrouvée chez elle ligotée à une chaise, la lettre A scarifiée sur le ventre. Engagée dans un combat contre sa direction pour dénoncer des transferts de technologie nucléaire entre la France et la Chine via EDF… elle porte plainte, mais tout un système économique, politique et judiciaire semble vouloir sa perte : de victime de viol, elle devient inculpée !

Adapté du livre-enquête éponyme de Caroline Michel-Aguirre, le réalisateur le reprend point par point, dans un montage d’une belle intelligence. Tout est vrai dans cet exemplaire thriller qui tient en haleine !

De quoi être convaincu.es que nous devons continuer à défendre nos droits et nos vies, sans relâche. Collectivement nous sommes plus fort.es !

Soirée co-organisée par la municipalité des Mureaux et Attac 78 Nord pour le débat.

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Dans les Yvelines, une classe en lutte... Énergie Histoire Histoire locale Industrie

N’Autre histoire – Sur les cheminées de Porcheville…

L’annonce de la démolition des cheminées de la centrale de Porcheville fait grand bruit dans la région mantaise. Plantées depuis plus de 50 ans avec leur 220m, « ces 2 tours » comme les nomment certains-nes, sont devenues un emblème de l’agglomération. Un brasseur récemment installé à Mantes les a même imprimées sur les étiquettes d’une de ses bières où elles sont représentées crachant du houblon. Une mise en bière prémonitoire !

Pour de nombreux militants CGT comme moi, y ayant travaillé et lutté, il faudrait ajouter à leurs sommets 2 poings serrés symboles des bagarres sociales menées. En défense du service public aujourd’hui détruit par la privatisation et l’ouverture à la concurrence avec l’envolée des prix de l’énergie. Luttes solidaires en défense des droits des sous traitants comme les femmes de ménage ou aux cotés des chaudronniers polonais payés 2 euros de l’heure en 2006 lors de la rénovation. Pour la santé collective en exigeant les protections nécessaires contre l’amiante ce poison qui a tué notre pote Serge à 53 ans, poison que j’ai également respiré dans la cheminée. Luttes contre le harcèlement moral et sexuel subis par plusieurs copines, ayant abouti à la condamnation d’EDF aux Prud’hommes et du cadre harceleur en correctionnelle. Luttes nombreuses pour la défense des retraites et toujours d’actualité…

Même rasées leurs empreintes, faites de nos luttes, de nos joies, de nos pleurs de nos tourments et aussi de nos espoirs graveront notre région. Peut être resteront – elles (avec leurs chaudières et turbines en coupe) dans les pages d’un fameux dictionnaire illustré à la page «centrale thermique » pour représenter le fonctionnement de ce type d’installation de production d’électricité ? Pour finir, à quelques jours de Noël cette évocation des cheminées me rappelle une blague qui circulait à la centrale à cette période : « N’oublies pas de déposer tes chaussures de sécurité en bas des cheminées des fois que tu y trouves une augmentation de salaires ! »

Philippe Morice

https://actu.fr/ile-de-france/porcheville_78501/porcheville-les-cheminees-de-la-centrale-electrique-vont-bientot-disparaitre_55367384.html

https://actu.fr/ile-de-france/porcheville_78501/porcheville-la-disparition-des-cheminees-de-la-centrale-electrique-fait-debat_55715246.html

https://actu.fr/ile-de-france/mantes-la-jolie_78361/mantes-la-jolie-la-brasserie-artisanale-gardera-les-cheminees-de-la-centrale-de-porcheville-sur-ses-etiquettes_55718767.html

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Des voix pour SUD pour une autre voie

Profession de foi des candidates et des candidats SUD aux élections du Comité Social et Économique de Renault Guyancourt/Aubevoye/Vélizy du 21 au 23 novembre 2022.

Non au démantèlement de Renault

La fuite en avant pour réduire les coûts et récupérer du cash met en danger l’avenir de Renault et de ses salariés. La perte de compétences place Renault sous un seuil critique et nous met sous pression.
  • Ventes de Horse et du Technocentre, délocalisation dans l’Ingénierie/Tertiaire, réductions d’emplois… Faisons obstacle à cette casse sociale et industrielle par notre mobilisation individuelle et collective.
  • Le transfert des salariés de la maintenance des moyens d’essai de l’Ingénierie dans une autre société a suscité une forte mobilisation. Celle-ci a permis d’en réduire l’impact et d’empêcher d’autres transferts.
  • La stratégie de Luca De Meo et JD Senard interroge. La crise de l’Alliance n’en finit pas. Renault fait entrer Geely dans son capital alors que la concurrence et les tensions avec la Chine s’intensifient. Les délocalisations et le démantèlement de Renault déstabilisent les collectifs de travail et réduit ses capacités industrielles.
  • L’avenir des salariés qui travaillent en France sur des activités thermiques ou transverses est menacé. Le statut de ceux transférés dans Ampère n’est pas connu. Servons-nous du vote SUD pour montrer notre désaccord !

La transition écologique doit se faire pour et avec les salariés

Si notre modèle actuel doit absolument se transformer face aux enjeux environnementaux, cette mutation ne doit pas se faire au détriment des salariés du secteur automobile.
  • Face aux enjeux climatiques, il faut développer des moyens et des compétences en Ingénierie et embaucher.
  • La voiture électrique permet de réduire les émissions de gaz à effet de serre et de polluants, mais elle est chère. La production d’électricité, la fabrication et la fin de vie des batteries posent toujours d’énormes problèmes.
  • Le thermique et l’hybride sont des savoir-faire à ne pas abandonner pour l’instant.
  • Diversifier nos activités permet de ne pas dépendre des aléas d’un seul secteur.
  • Le secteur automobile ne peut à lui seul résoudre tous les problèmes environnementaux. L’urgence climatique impose un changement de notre modèle de société, de ses modes de production, de consommation et de décision.

Des acquis sociaux à défendre et de nouveaux droits à conquérir

Avec la signature par la CFDT, la CFE/CGC et FO d’une nouvelle convention collective de la Métallurgie, la direction a pu mettre fin aux accords Renault et à 70 ans de conquêtes sociales. C’est le sombre bilan du syndicalisme d’accompagnement.
  • Un nouveau système de classification des emplois, impactant fortement notre évolution salariale et professionnelle, et des nouveaux accords d’entreprise vont voir le jour, rendant nécessaire de nouvelles résistances.
  • Il faut une Augmentation Générale des Salaires pour tous au moins du niveau de l’inflation, y compris pour les salariés en Dispense d’Activité dont les revenus stagnent, et une remise à niveau des salaires des femmes.
  • Pour arrêter de s’autofinancer, l’allocation télétravail doit prendre en compte les frais de chauffage, les indemnités kilométriques doivent être augmentées, l’avance des frais professionnels rétablie et le pool taxi réaligné.
  • Les bureaux partagés doivent être réaménagés pour réduire les nuisances sonores et les salariés qui le souhaitent doivent disposer d’un poste de travail nominatif.
  • Toute heure travaillée doit être payée ou récupérée. SUD a fait condamner Renault pour écrêtage illégal du compteur Horaire Variable des ETAM et absence de consultation par les Cadres de leurs heures de travail.
  • Le temps passé en télétravail doit être mieux encadré et la déconnexion ne pas être à la seule charge du salarié.

Des activités sociales et culturelles mieux partagées

La grille de subvention doit être réévaluée pour que tous les salariés, quels que soient leurs revenus et leur situation familiale, puissent partir en vacances, accéder aux sports, aux loisirs et à la culture à un coût abordable, y compris à Aubevoye.
  • Un « compteur subvention » doit permettre à chaque salarié de connaitre à tout moment le solde de sa subvention et d’utiliser celle-ci en totalité.
  • Le processus de subventionnement des vacances doit être simplifié pour que la totalité de la subvention allouée vienne se déduire de la facture du salarié, avec des conditions de subventionnement moins contraignantes.
     

Telles sont les actions prioritaires que les élus SUD mèneront avec vous !

Télécharger la profession de foi SUD

Des candidates et des candidats qui vous représentent

1er collège : Ouvriers et Techniciens Professionnels
Loïc ThibaultMohamed Cheikh
2ème collège : Employés, Techniciens et Agents de Maitrise (ETAM)
Christian MorelChristine SeignéEmmanuel RinguetStéphanie BoudierJérôme ThierryIsabelle Folliot
Jean-Jacques AndréAnne MartinonOlivier HuglinSiham RemiliSébastien CapelleCéline Bécaud
Olivier ChalumeauWilly HuaultOlivier AubierSimon Le GourvellecChristophe DelaineJérôme Rawyler
3ème collège : Ingénieurs et Cadres
Emmanuelle Cohen-SolalPascal LabbéCécile Thomas-PoignantStéphane GuillemetSylvie SanguiolPascal Bodin
David AllenicDelphine PetitjeanFabrice HeurtelOlivier LouisetFrançois GuérinDenis Mozzo
Pascal LauwersTin Tan Tai Hang
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Actu Solidaires 78 Conditions de travail Dans les Yvelines, une classe en lutte... Énergie Industrie International Les travailleur·euses n'ont pas de pays ! Luttes contre les discriminations Pourquoi des prisons ? Transport

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 43

Au sommaire : centrale de Porcheville, maltraitances, déshumanisation, mobilisation contre les bombardements turcs au Kurdistan, prison de Magnanville, etc.


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org


Porcheville / centrale électrique

Source : 78actu.fr

Source : 78actu.fr

Porcheville. Les cheminées de la centrale électrique vont bientôt disparaître

Source : 78actu.fr

Mantes-la-Jolie : la communauté kurde s’indigne après les frappes turques en Irak et en Syrie

Source : 78actu.fr

Yvelines : l’État ne cède pas et veut toujours sa prison à Magnanville

Source : 78actu.fr

Mantes-la-Jolie la galère des SDF pour accéder aux toilettes

Source : 78actu.fr

soupçons de maltraitance est menée au foyer de vie d’Ecquevilly où sont accueillis des adultes handicapés.

Source : 78actu.fr
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Automobile Industrie

Renault – On sait ce qu’Ampere…

Le 8 novembre, Luca De Meo a annoncé le démantèlement de Renault et fixé des objectifs de marge opérationnelle à deux chiffres pour chaque nouvelle entité. Ce saucissonnage augure de nouvelles délocalisations et dégradations des conditions de travail dans l’Ingénierie et les Fonctions support.
Bien plus qu’une nouvelle réorganisation, c’est le démantèlement de Renault que Luca De Meo a annoncé dans sa conférence de presse du 8 novembre. Le contrat de travail de 2406 salariés Renault de notre établissement sera transféré dans Ampere grâce à l’article L1224-1 déjà utilisé en 2021 dans la Maintenance de l’Ingénierie. Chaque entité devra renégocier ses accords collectifs… à la baisse, comme son budget CSE.Cette « révolution » va recréer de la complexité, des silos voire des doublons, et mettre en concurrence les équipes du Technocentre et d’Aubevoye scindées en plusieurs entités juridiques. Comment dans chaque entité arbitrer ensuite les priorités, quel fournisseur choisir : à l’intérieur ou à l’extérieur du groupe… ?[…] La suite à lire ici https://sudrenault.org/on-sait-ce-qu-ampere

Power/Ampere : les élus SUD de Guyancourt et Aubevoye demandent une expertiseLe découpage de notre établissement en plusieurs entités juridiques aura d’importantes répercussions en termes organisationnels et de conditions de travail. C’est pourquoi les élus SUD souhaitent que le CSE fasse appel à un cabinet d’experts indépendants avant la mise en oeuvre de ce projet.https://sudrenault.org/power-ampere-les-elus-sud-de-guyancourt-aubevoye-demandent-une-expertise

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