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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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La Poste

2,5 % maximum d’augmentation en 2024 !? La Poste se moque de nous !

Après les jérémiades habituelles sur la baisse du courrier, la négation de l’inflation (y en a plus, tu l’as pas vu ?) et les chansons sur les super revenus des postier·es, la direction de La Poste annonce des augmentations salariales qui ne couvrent pas celle des prix. En résumé nos revenus et salaires ont baissé ces dernières années et cela pourrait être de même en 2024.

Des patrons trop détendus qui osent tout, morceaux choisis :

« Les salaires sont attractifs, bien au-dessus du marché et c’est pour cela que des gens viennent travailler à La Poste et y restent ».

« Les fonctionnaires de La Poste touchent déjà des primes que la fonction publique ne touche pas. Nous n’avons pas à leur verser une prime pouvoir d’achat ».

Sur Mayotte et les DOMs en général : « Vu le climat, ils font des économies de chauffage ».

Sans réaction des travailleuses et des travailleurs, ils ne vont pas se calmer !

Le 06 février 2024 plusieurs débrayages sur les salaires ont eu lieu, en Gironde et sur plusieurs PIC, c’est l’exemple à suivre pour construire le rapport de force !

Comme la CGT FAPT, nous appelons à la grève le 15 février prochain, date de la prochaine plénière NAO.

  • Augmentation générale de 300 € nets par mois pour toutes et tous.
  • Salaire minimum à l’embauche de 1800€ nets.
  • Treizième mois avec maintien des primes existantes.

Nous militons pour une grève reconductible le 02 avril mais toutes les occasions de constituer des équipes pour promouvoir l’action et organiser la riposte sont bonnes à prendre.

NOUS N’OBTIENDRONS QUE CE QUE NOUS IRONS CHERCHER !

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En grève ! La Poste Les travailleur·euses n'ont pas de pays ! Luttes migrant·es

Manifestation le 30 janvier à 13h : + de 2 ans de lutte des travailleurs sans-papiers pour leur régularisation (Créteil)

Le 7 décembre 2021, des travailleurs sans-papiers de l’agence Chronopost d’Alfortville (filiale à 100% de La Poste, groupe appartenant à l’Etat), ont démarré un nouveau piquet de grève devant cette agence. Ils se joignaient ainsi au piquet de grève installé à l’agence DPD (autre filiale de La Poste) au
Coudray-Montceau (91et à celui de l’entreprise RSI (intérim BTP) à Gennevilliers.


Cette lutte, à Chronopost Alfortville, a pris le relais de celle qui, entre juin 2019 et janvier 2020, avait permis d’imposer la régularisation de 27 travailleurs surexploités par cette filiale de La Poste et ses sous-traitants, Derichebourg et Mission Intérim, et la régularisation de 46 autres travailleurs, d’autres sociétés, ayant
activement participé à ce combat. Parmi les 83 travailleurs écartés de la régularisation à l’époque, nombreux poursuivent le combat dans le conflit actuel.


Dans leur lutte, les actuels salariés de Chronopost, comme les anciens du piquet de 2019, ont reçu le renfort de nombreux travailleurs sans-papiers d’autres entreprises, la plupart exploités dans les mêmes conditions, et présents depuis deux ans sur le piquet et dans les manifestations, pour exiger aussi leur régularisation.
La Poste, patron de combat contre les sans-papiers !

Soutien financier à la lutte : Piquet Chronopost Alfortville https://www.cotizup.com/sans-

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antiracisme En grève ! La Poste Luttes migrant·es

Chronopost 2 ans de lutte des travailleurs sans-papiers, caisse de soutien en ligne

Installé devant l’agence, un piquet permanent est tenu par les salariés de Chronopost, en grève, et par des dizaines de travailleurs sans papiers d’autres entreprises présents en soutien . Dans ce combat commencé en commun avec les grèves sur les piquets RSI à Gennevilliers (92) et DPD au Coudray-Montceau (91), les travailleurs du piquet Chronopost affrontent un système d’exploitation du travail sans-titre, basé sur la sous-traitance en cascade et le marchandage de main d’œuvre. Comme lors du premier conflit de 2019/2020, qui avait permis d’imposer la régularisation de 73 travailleurs, dont 27 Chronopost, les grévistes affrontent des employeurs particulièrement rodés et acharnés dans le déni, refusant de reconnaitre tout lien de travail avec les sans-papiers qu’ils recrutent pourtant abondamment. Ces entreprises bénéficient d’une protection insupportable des pouvoirs d’Etat. La Poste, entreprise publique, a érigé en modèle économique revendiqué ce système de dumping social. Les ministères, la préfecture, les services de l’Etat sont aux abonnés absents. Si au bout de près de 2 ans, quelques cartes de séjour ont été délivrées, aucune régularisation pour la très grande majorité du piquet.

Les travailleurs continuent donc leur mobilisation, en maintenant un rythme permanent de manifestations, de participation à de très nombreuses mobilisations interprofessionnelles, et en étant à la pointe dans la lutte contre la loi Darmanin qui vise l’immigration.

Pour soutenir les grévistes :

Le piquet est au 2 chemin de Villeneuve-ST-Georges, à Alfortville.

Caisse de grève en ligne: https://www.cotizup.com/sans-papiers-chrono-alfortvill

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Dans les Yvelines, une classe en lutte... Éducation En grève ! La Poste Poste / Télécom Seule la lutte paie ! Transport

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 63

Une classe en lutte dans les Yvelines !


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org


Source : actu.fr

Source : actu.fr

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Source : actu.fr

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Actu Solidaires 78 Conditions de travail Dans les Yvelines, une classe en lutte... En grève ! La Poste Poste / Télécom Précarité

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 62

Une classe en lutte dans les Yvelines !


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org


Source : Actu.fr


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La Poste Poste / Télécom

Jeudi 1er juin Mobilisation chez l’opérateur Orange

Mobilisé.es contre les suppressions de postes

– Une stratégie de démantèlement de l’entreprise

Depuis un an, la nouvelle direction du groupe se montre très agressive envers le personnel et ses instances représentatives. Elle fait passer au pas de charge cessions, réorganisations et compression des effectifs. Son projet de plan social est une première chez Orange qui, jusque là, se reposait pour réduire ses effectifs sur des départs massifs à la retraite non compensés par les embauches (31500 emplois supprimés sous Stéphane Richard…).

– Un mépris total de la main d’œuvre qu’elle sous-traite

La direction se défausse de ses responsabilités d’employeur concernant les conditions de travail : le groupe exploite des dizaines de milliers de travailleurs dans une chaîne de sous-traitance en cascade (voir dans l’émission Complément d’enquête diffusée le 20 avril, la fuite dédaigneuse de Christel Heydemann face à la journaliste qui l’interpellait sur la mort par électrocution d’un jeune auto-entrepreneur intervenu pour le compte d’Orange). Ces manœuvres dramatiques et court-termistes ont pour seul but de gaver des actionnaires insatiables.

– les instances représentatives du personnel bafouées

La direction a aussi pris la fâcheuse habitude de ponctuer les séances du CSEC (Comité Social et Économique Central) par des menaces et du chantage, notamment sur les droits des salarié.es. De plus, elle ignore délibérément les revendications et les alertes des représentant.es du personnel.

– Une rémunération variable basée sur la performance sociale, mais la direction se gave encore

Tandis que l’augmentation salariale décrétée par les négociations obligatoires annuelles 2023 n’est que de 4%, et donc nettement inférieure à l’inflation, Christel Heydemann s’est faite octroyer une augmentation de 70% par rapport au salaire de son prédécesseur. Quant à la réforme des retraites, elle et Jacques Aschenbroich, le président du conseil d’administration d’Orange, n’en ont cure, puisqu’une retraite complémentaire a été mise en place spécialement pour eux. Le lendemain de l’AG des actionnaires du 23 mai, face à tant d’indécence et suite à une tentative d’entrave au bon fonctionnement de l’instance, l a délégation SUD décida de quitter la séance du CSEC. En effet, la direction a cherché à passer outre l’avis des élu.es pour imposer son projet concernant la prime variable commerciale des agences PRO et PME.

– Un plan de départ “volontaire” sous la contrainte

Un avenir vers ailleurs est promis à 669 collègues de la division SCE (Services Communications Entreprises). Nous avons déjà connu ce type de contexte délétère où une direction d’Orange met tout en œuvre pour dégrader les conditions de travail et pousser ainsi le personnel vers la sortie. Nous rappelons que le jugement du 30 septembre 2022 a condamné en appel la direction Lombard pour harcèlement moral institutionnel et fait jurisprudence. SUD mettra tout en œuvre pour s’opposer à une nouvelle casse de l’emploi et des conditions de travail.

rdv avec vos élu.es sud du CSEC

jeudi 1er juin dès 11h00

6 place d’alleray PARIS 15

Métros VOLONTAIRES / VAUGIRARD

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Dans les Yvelines, une classe en lutte... Éducation La Poste Luttes migrant·es Retraites Revue de presse

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 55

Une classe en lutte dans les Yvelines !


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org


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Source : Le Parisien

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Source : Le Parisien

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