Nous vous annonçons la création de l’UDIRS 78 (Union Départementale Interprofessionnelle des Retraité.es de Solidaires 78).
Vous pouvez nous joindre sur notre adresse e-mail EnRetraite@solidaires78.org
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Une grande marche citoyenne part le 15 juin 2025 de Paris.
Soyez nombreuses et nombreux à rejoindre ces marcheurs qui feront plusieurs étapes avant d’arriver à Bruxelles le 23 juin. Chaque étape permettra à celles et ceux qui les soutiennent de marcher avec eux quelques kilomètres et de participer aux différents rassemblements.
Objectif : Marcher vers Bruxelles avant la réunion du Conseil européen des chefs d’État et de gouvernements afin d’exiger que l’Union européenne prenne ses responsabilités !
Départ de la marche : 15 juin 17h à Paris Pavillon de la Villette
Rejoignez-nous au départ !
Les citoyennes et citoyens indignés par la situation du peuple palestinien à Gaza sont appelés à participer à une Marche de Paris à Bruxelles, entre le 15 et le 23 juin 2025, pour faire pression sur les autorités européennes afin qu’elles prennent des sanctions contre Israël.
Les co-organisateurs de cette initiative la LDH (Ligue des droits de l’Homme), la CGT, l’Association Belgo-Palestinienne (ABP), l’Association France Palestine Solidarité (AFPS), la FSU, l’Union Syndicale Solidaires et la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) feront de chaque étape un évènement de mobilisation. Plusieurs personnalités engagées soutiennent d’ores et déjà la marche comme la comédienne Corinne Masiero, le comédien Swann Arlaud, la chanteuse Clara Ysé ou encore l’autrice et metteuse en scène Lorraine de Sagazan…
Le premier rendez-vous est fixé à Paris (Pavillon de la Villette, 30 avenue Corentin Cariou) le dimanche 15 juin pour un départ de la marche à 17h.
Le départ est précédé d’un point presse au même endroit à 16h30, avec des dirigeants des organisations, des personnalités et les divers soutiens de l’initiative comme Médecins sans frontières et Médecins du Monde. La Marche citoyenne pour Gaza fera une dizaine d’étapes avant d’arriver à Bruxelles le 23 juin 2025.
L’objectif est de fédérer l’élan de soutien des citoyennes et citoyens français et belges à la population de Gaza autour de l’appel lancé à cette occasion.
Les participantes et participants à la marche et leurs soutiens appellent « les responsables politiques de toute l’UE et les institutions européennes à exercer sans aucun délai une pression maximale sur le gouvernement israélien pour faire cesser le massacre. »
Chaque étape sera l’occasion d’un rassemblement et de prises de parole pour accueillir et encourager les marcheuses et marcheurs mais aussi pour réaffirmer les revendications de notre appel.
Rendez-vous le samedi 15 juin 2025 à Paris, le 16 juin à Creil, le 17 juin à Beauvais, le 18 juin à Cambrai, le 19 juin à Douai, le 20 juin à Lille, le 21 juin à Roubaix, le 22 juin à Gand (sous réserve) et pour finir le 23 juin à Bruxelles.
Retrouvez l’appel complet et l’itinéraire de la marche sur : https://marchepourgaza.org/
Et sur les réseaux sociaux Instagram, Bluesky, Mastodon
Intervention de Aurélien Boudon, secrétaire national de l’Union syndicale Solidaires au rassemblement du 9 juin à Montargis : “Face au fascisme, aux racismes, le Gâtinais résiste”
Union syndicale Solidaires
31 rue de la Grange aux Belles – 75 010 Paris
01 58 39 30 20
Nous contacter
17 juin 2025 de 19:00 à 21:00
https://www.twitch.tv/syndicat
“Etre agent·es dans une administration de contrôle : pour qui ? pour quoi ? ”
C’est quoi une administration de contrôle ? À quoi ça sert ? Qui y travaille et comment on y fait du syndicalisme ?
Retrouve nous en live en présence de Sud Travail, Solidaires CCRF et SCL, Sud Rural Territoires et Solidaires Finances Publiques.
On parlera aussi des attaques successives contre ces services publics essentiels (DGCCRF, Inspection du travail, Finances Publiques…), et de la solidarité syndicale face à ces offensives.
RDV sur notre chaîne Twitch : syndicatsolidaires
Publié le 10 juin 2025
Depuis qu’il est sous la direction de Gilbert Cette, économiste macroniste, le Conseil d’orientation des retraites (COR) rédige des rapports qui poursuivent tous un même but : susciter un sentiment de panique par l’affirmation de déficits réels ou supposés, certains parfaitement fantaisistes puisque prévus en 2070, c’est-à-dire dans 45 ans (!) pour imposer de nouvelles régressions au droit légitime à disposer de sa retraite.
En l’occurrence pour faire face aux déficits Cette n’a d’autre idée que de repousser une nouvelle fois l’âge légal de départ à plus de 66 ans ! Cette hypothèse serait « expansive », toute autre, comme l’augmentation des cotisations sociales, serait « récessive ».
Mais à supposer que les prochaines années soient déficitaires, et quand bien même ces déficits atteindraient 1,4 % du PIB en 2070 (rappelons que le COR avait prévu que les années 2022/2023 seraient déficitaires alors qu’elles ont été en réalité excédentaires), le problème, quoi qu’en pense Gilbert Cette, n’est pas l’âge légal mais encore et toujours les recettes qui font défaut au système.
Et il est évident que plus notre population vieillit, plus les besoins en financement de nos retraites seront importants. Commençons donc par revisiter les 80 milliards d’euros d’exonérations de cotisations sociales dont l’efficacité est plus que douteuse. Instaurons une véritable égalité salariale entre femmes et hommes, augmentons le taux d’emploi des femmes au niveau de celui des hommes, luttons réellement contre le chômage, augmentons les salaires… Ce sont aussi des dizaines de milliards d’euros qui échappent à la collectivité et à la justice sociale.
Pour l’Union syndicale Solidaires, il n’y a qu’un seul moyen d’obtenir satisfaction : instaurer le rapport de force pour financer nos retraites et notre protection sociale. En cette année des 80 ans de la sécurité sociale, la construction de mobilisations et de grèves sera le plus sûr moyen de fêter son anniversaire.
La branche des Métiers du livre de Sud Culture se construit petit à petit, depuis sa création au mois d’avril avec plusieurs camarades du secteur.
La constitution de cette branche part de la nécessité de construire une riposte syndicale qui soit forte aujourd’hui dans le monde du livre pour faire face à la brutalisation, la concentration et l’extrême droitisation du secteur… Mais aussi de la joie d’avoir gagné la représentativité pour les librairies et de la responsabilité qui en découle pour répondre à celles et ceux qui nous ont donné leur voix.
Donc pour se rencontrer entre camarades du secteur, déjà syndiqué·es ou intéressé·es pour échanger sur le syndicat, la construction de la branche et tous ces enjeux, nous organisons plusieurs permanences entre mai-juin :
Emploi, salaires, conditions de travail… Lors de la réunion du Comité Social et Economique du 31 mars 2025, les représentants du personnel étaient consultés sur le bilan social de l’Etablissement Renault Ile-de-France de l’année 2024.
L’Accord sur la structure de la BDESE et du Bilan Social signé le 10 décembre 2024 par la CFE-CGC, la CFDT et la CGT était supposé « Fournir des données pertinentes en lien avec la politique sociale du Groupe » et « Gagner en lisibilité pour faciliter la compréhension des données sociales ». On est loin de l’objectif affiché.
Il est difficile de faire des comparaisons et de suivre l’évolution des données sociales avec les mouvements de personnel qui ont eu lieu en 2023 (démantèlement et transfert de salariés vers Ampere Sas et Ampere ST, intégration des salariés qui sont restés Renault des sites de Douai, Lardy et Cléon) et en 2024 (fusion des établissements de Guyancourt, VSF et du Siège).Effectif de l’établissement Renault Ile-de-France par site
En 2024, si l’on exclut les mutations et les alternants, il y a eu plus de départs (472 départs de salariés en CDI) que d’embauches (410 embauches en CDI), soit une légère diminution des effectifs.Effectifs par classe d’emploi de l’établissement Renault Ile-de-France
Les données sur les rémunérations ne comptabilisent que les éléments de salaire soumis à cotisations sociales. Cela exclut le versement des primes (intéressement, participation…) et des actions qui échappent à ces cotisations. En application de l’Accord sur la structure de la BDESE et du Bilan Social, celui-ci ne fournit pas non plus les rémunérations des 123 salariés classés I17 et I18, c’est-à-dire tout en haut de l’échelle des salaires. Les comparaisons sur les écarts de rémunération sont donc tronquées.
Cependant si l’on compare uniquement les rémunérations soumises à cotisations sociales, un salarié de l’établissement Renault IDF classé H16 gagne en moyenne 5,5 fois plus qu’un salarié classé C6. L’écart serait encore plus important si l’on pouvait comparer les postes A2 et I18, c’est à dire l’étendue du spectre des classes d’emploi de l’établissement.Rémunération moyenne annuelle par classe d’emploi de l’établissement Renault Ile-de-France La rémunération prise en compte comprend tous les versements soumis à cotisation sociale (voir la rubrique « brut annuel sécurité sociale » de la fiche de paie de décembre 2024)
L’établissement compte 30 % de femmes. Selon le tableau 2 .1.3, le salaire des femmes serait inférieur de 3,9 % chez les non-cadres et de 9,5 % chez les cadres. Or selon les tableaux 2.1.1 et 2.1.2, le salaire des femmes serait en moyenne de 12,7 % inférieur à celui des hommes. L’écart est particulièrement important pour les classes d’emplois D7 à G13.
L’accroissement des inégalités salariales est un des facteurs d’injustice et de perte du collectif. Le résultat des dernières NAO va hélas encore dans ce sens.
Les chiffres du bilan social sur les accidents de travail sont sous-évalués car de nombreux accidents ne sont pas déclarés ou reconnus, notamment ceux d’origine psychosociale. En effet, la direction émet systématiquement des réserves sur ces accidents et de nombreux accidents d’origine psychosociale ne sont pas déclarés par les salariés.
La déclaration de deux cancers broncho-pulmonaires et/ou d’asbestose montre la persistance des effets de l’exposition professionnelle à l’amiante, un des scandales majeurs de ces dernières décennies dont les directions successives de Renault portent une lourde responsabilité.
Plusieurs salariés de l’établissement ont déclaré une maladie professionnelle pour syndrome dépressif. Cela devrait apparaitre en tant que tel dans le bilan social (tableau 3.3.1).
54 salariés ont été reclassés à la suite d’une inaptitude avec restrictions médicales (tableau 4 .6.1). Or le CSE n’a pas été consulté sur ces reclassements en 2024. D’autre part, il aurait été souhaitable de savoir si ces inaptitudes sont d’origine professionnelle ou pas.
Au chapitre 5, la notion de formation est très large. La plupart des formations dispensées par l’établissement ont en fait été des vulgarisations technologiques ou des séances obligatoires sur ordinateur (e-learning) de sensibilisation sur des sujets sociétaux.
Contrairement aux années précédentes, il ne nous est pas présenté de réelles perspectives sur la « politique emploi » pour l’année qui vient. L’accord Contrat social France 2025/2027 signé par la CFE-CGC, la CFDT et FO est passé par là, qui permet à la direction de saucissonner sa politique d’emploi, avec des pseudo-négociations secteur par secteur. Nous en avons un aperçu avec l’annonce d’un plan de suppressions d’emplois à la Direction des Achats sur fond de délocalisation de cette activité en Roumanie. Les Dispenses d’Activité sont certes attendues par de nombreux salariés dépités par l’évolution de leurs conditions de travail et par la marche de l’entreprise. Mais la notion de départ volontaire dans le cadre d’une Rupture Conventionnelle Collective est très relative quand un salarié voit son activité supprimée ou délocalisée. Le rôle dévolu aux syndicats se réduit à accompagner les projets de la direction de réduction d’emplois. SUD appelle à combattre les suppressions d’emplois et à prendre le chemin opposé des derniers accords de compétitivité. La baisse du temps de travail et la répartition des activités permettraient à tous les salariés de conserver leur emploi.
Les élus SUD voteront contre le bilan social 2024.
Pour : 17 (CFE-CGC)
Contre : 15 (SUD, CFDT, CGT, SM-TE)
Nos organisations syndicales FSU, SE-Unsa, CFDT Éducation, Formation, Recherches Publiques, CGT éduc’action, SUD éducation mènent une campagne d’ampleur en vue d’obtenir un statut de la Fonction publique pour les personnels AESH.
Nous appelons l’ensemble des personnels à signer la pétition, à se saisir des motions aux conseils d’école et conseils d’administration et à participer aux initiatives dans les territoires.AESH : pour la création d’un corps de fonctionnaire, signez la pétition !
par SUD éducation
Depuis 2013, les AESH ont gagné grâce à leur mobilisation des avancées dans leurs conditions d’emploi : une grille indiciaire avec changement d’échelon automatique tous les 3 ans, la possibilité de CDI au terme de 3 années de CDD… néanmoins elles restent insuffisantes pour sortir de la précarité. Les dernières mesures proposées par le ministère avec la création d’une indemnité de fonctions et la prise en charge des accompagnements sur le temps méridien n’améliorent pas les conditions de travail des personnels AESH.
Les AESH constituent le deuxième métier de l’Éducation nationale en nombre de personnels mais elle n’est toujours pas reconnue et leurs salaires sont toujours aussi bas !
Pourtant, l’accompagnement des élèves en situation de handicap est une mission essentielle et pérenne de l’école inclusive qui constitue un véritable métier avec des compétences professionnelles spécifiques pour faire réussir les élèves et qui relève ainsi d’un véritable statut.
Aujourd’hui, travailler en tant qu’AESH dans l’Éducation nationale, c’est :
· une rémunération nettement en-dessous des qualifications requises,
· des temps incomplets imposés,
· une formation lacunaire avant comme après la prise de fonction,
· une faible protection dans les conditions d’emploi et de travail.
Gagner la création d’un corps de la Fonction publique de catégorie B pour les AESH, c’est obtenir :
· la reconnaissance du métier
· un emploi à temps complet,
· un salaire à temps plein,
· une véritable formation initiale et continue de qualité,
· un déroulé de carrière,
· un cadre d’emploi protecteur avec les mêmes droits que leurs collègues fonctionnaires (mobilité, paritarisme…).
Signer la pétition
Nos organisations syndicales FSU, SE-Unsa, CFDT Éducation, Formation, Recherches Publiques, CGT éduc’action, SUD éducation mènent une campagne d’ampleur en vue d’obtenir un statut de la Fonction publique pour les personnels AESH.
Nous appelons l’ensemble des personnels à signer la pétition, à se saisir des motions aux conseils d’école et conseils d’administration et à participer aux initiatives dans les territoires.
A Gaza, la famine est clairement assumée par Israël comme arme de guerre au mépris de toutes les règles du droit international.
C’est un génocide, pointé comme plausible par la Cour
Internationale de Justice en janvier 2024 et qui se déroule sous les yeux du monde entier qui laisse faire.
Et maintenant, Israël annonce clairement son plan pour s’emparer de Gaza et regrouper puis expulser ses habitants, avec l’appui direct des États-Unis et la passivité complice des chancelleries occidentales.
En Cisjordanie, dont Jérusalem-Est, la population est assiégée,
déplacée de force, menacée par les colons et l’armée israélienne.
Le Collectif Palestine 78 dénonce la guerre génocidaire menée par l’État israélien contre le peuple palestinien et exige :
Pour l’émission Cash Investigation du 10 avril 2025 intitulée “L’Intelligence artificielle a-t-elle déjà pris le contrôle sur notre quotidien ?“, les journalistes de France 2 se sont intéressés à l’utilisation de l’intelligence artificielle à la DGFiP. Ils se sont appuyés sur le travail de Solidaires Finances Publiques, que vous retrouvez ci-dessous. Face aux caméras, l’administration a plus de mal à esquiver les questions, ce qu’elle fait pourtant régulièrement dans les instances de dialogue social…
En voici les extraits :
L’IA à la DGFiP supprime des emplois ?
L’IA à la DGFiP, vraiment efficace ?
👇 Télécharger le dossier qui a servi de base de travail à l’équipe de Cash Investigation 👇