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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Actu Solidaires 78 Santé-Social

Rassemblements le 26 novembre pour le social et le médico-social

Voici le tract départemental pour les rassemblements qui doivent se tenir le 26 novembre dans le cadre de la non revalorisation des personnels des établissements et services sociaux et médico-sociaux.

Ils se tiendront à la même heure, 14 h, l’un à Plaisir, l’autre à Versailles parvis de la préfecture, Avenue de Paris.

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Actu Solidaires 78 Automobile Licenciements Vidéo

Sud Renault Flins : Face à la crise : défendre l’emploi et des alternatives fortes [vidéo]

Le capitalisme profite de la crise sanitaire pour se renforcer. Il touche des subventions et licencie massivement dans l’aéronautique, l’industrie, la chimie, le commerce…


Sud Aérien comme Sud Renault et pleins d’autres, réfléchissent à des alternatives économiques, écologiques et sociales pour un monde plus juste.
Le partage du temps de travail, les 32 heures sans perte de salaire, l’arrêt des licenciements, une production socialement utile et écologique… autant de solutions portées par les salarié.es et l’Union Syndicale Solidaires pour un changement radical de société.

Vidéo réalisée dans le cadre des émissions “Expression directe” diffusée sur les chaînes du service public : diffusion le 27/10/2020 sur France 2 vers 00h30 puis rediffusion le 29/10/2020 sur France 5 vers 08h50.

Canal Marches / Solidaires

Les liens :

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Actu Solidaires 78 Luttes féministes

Violences faites aux femmes : rassemblement le samedi 21/11/20 à Mantes la Jolie à 11H30

 Le 25 novembre est la journée internationale de lutte pour l’élimination des violences faites aux femmes.

Le confinement rend les actions plus difficiles à organiser mais un ensemble de collectifs féministes appellent à se mobiliser largement partout en France soit le 21 novembre  soit le 25 novembre pour être visibles et rappeler nos exigences et notre colère.
A Mantes la Jolie, le Collectif FFFRAC (Fières, fortes, féministes radicales et en colère) appelle à un rassemblement le samedi 21/11/20 au 1 Rue de Chanzy à Mantes la Jolie à 11H30.

Le rassemblement a été déclaré au nom des FFFRAC, en précisant que nous respecterons les règles sanitaires de distanciation physique par groupe de dix ainsi que le port du masque.Nous comptons sur vous pour respecter ces mesures.
Vous trouverez en PJ 

  • le tract qui sera distribué ce jour là-la plaquette de la LDH sur les droits à manifester pendant le confinement
  • un modèle d’attestation dérogatoire 

Nous vous attendons nombreuses et nombreux pour faire entendre nos voix et nos revendications. 
Pour les FFFRAC

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Actu Solidaires 78 Santé-Social

Dans les Yvelines, Sud Santé sociaux 78 prend soin de poursuivre la lutte…

Implantée dans plusieurs hôpitaux du département, le syndicat Sud Santé Sociaux des Yvelines publie des journaux à destination des personnels, illustration du dynamisme et de la combativité de ses sections…

À découvrir et à faire circuler auprès des soignant·es

La Boussole, n° 4 – octobre 2020, journal de la section Sud Santé sociaux de l’hôpital gérontologique Philippe Dugue
Sudoscope, Poissy, n°5, juillet août 2020
Virus, n° 124, journal de la section syndicale du Centre hospitalier de Versailles

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Actu Solidaires 78 Éducation

Éducation : une délégation reçue par le sous-Préfet de Mantes la Jolie le 10 novembre 2020

Dans le contexte de la journée de mobilisation du 10 novembre pour obtenir un renforcement du protocole sanitaire, une délégation composée de représentants d’organisations syndicales (FSU-CGT Educ’action-Sud éducation) et de fédérations de parents d’élèves (FCPE) a été reçue par le sous-Préfet de Mantes la Jolie. Une trentaine de peronnels et de parents étaient présents devant la sous-préfecture, représentatifs des établissements en lutte dans le Mantois (Jules Ferry, la Vaucouleurs, George Sand…).

Un état des lieux de la situation a été porté à la connaissance de M. le sous-Préfet concernant la gestion indigne de l’hommage à Samuel Paty qui a généré au-delà de l’incompréhension une violence institutionnelle qui pour beaucoup de personnels s’est traduite en mal-être et en colère.

Notre démarche s’inscrit dans la volonté que les établissements scolaires restent ouverts de la maternelle à l’université et ce, afin de ne pas revivre le 1er confinement avec la détresse des personnels, des élèves et de leur famille et ses conséquences pédagogiques mais aussi sociales et humaines. Nous pensons que le cadre sanitaire actuellement posé – qui n’est pas de nature à assurer cette sécurité – ne permettra pas que cette ouverture soit possible dans la durée. De plus cet accueil doit permettre des conditions décentes d’apprentissage pour tous et d’épanouissement des élèves.

C’est pourquoi, nous exigeons le renforcement immédiat et sans équivoque du protocole sanitaire : distanciation physique dans les classes, la demi-pension, les transports… Cela nécessite que l’ accueil des élèves dans les établissements scolaires, soit organisé en effectifs allégés de la maternelle à l’université.

Cette organisation devra privilégier des temps en présentiel très réguliers, que le travail donné en autonomie à la maison ne nécessite ni connexion ni aide des parents, que la prise en charge des plus jeunes puisse être quotidienne avec la participation des collectivités locales en terme de locaux et de personnels adaptés permettant cet accueil.

Des propositions ont été faites comme l’accueil des élèves dans le 1er degré en demi-journée école et demi-journée collectivités locales, ce qui signifie davantage d’ enseignants en faisant immédiatement appel à la liste complémentaire mais aussi au recrutement massif de personnels pour encadrer les élèves.

Concernant les matériels de protection fournis aux personnels, nous déplorons trop souvent leur absence. Quant aux masques à la protection discutable, le nombre fourni ne couvre pas l’ensemble du temps de leurs missions. Concernant les élèves, nous voulons que des masques adaptés soient fournis gratuitement à tous, pour des raisons financières et sanitaires.

Par ailleurs, le port du masque et son utilisation continue par les personnels comme les élèves a des conséquences sur leur santé physique et psychologique qui doivent aussi être prises en compte.

Le plan VIGIPIRATE écarlate, nécessite d’être clarifié car dans nos établissements son respect, est très problématique et souvent difficile à mettre en place. Ont été évoqués les déplacements en dehors des établissements inscrit dans l’emploi du temps et notamment l’incohérence de maintenir l’activité piscine qui, de plus, va à l’encontre des gestes barrières.

La situation sanitaire a remis en lumière l’état désastreux de nos locaux scolaires : des fenêtres bloquées, l’absence de point d’eau, de sanitaires en état de fonctionner et en nombre suffisant ne permettant même pas le respect des règles élémentaires d’hygiène. Les effectifs démesurés dans les établissements et dans les classes que nous ne cessons de dénoncer et qui aujourd’hui ne permettent aucune réelle distanciation physique.

Mais aussi les conséquences de l’externalisation par le département des missions concernant la demi-pension et l’hygiène des locaux dans les collèges. Se traduisant par des personnels en nombre insuffisant avec des missions mal définies et dans des temps contraints impossibles à tenir. Ces mêmes problématiques sont signalées dans le 1er degré où de nombreuses municipalités ont aussi fait le choix d’externaliser ces missions. Avec des conséquences dramatiques sur l’application très approximative des protocoles sanitaires dans les écoles. De manière générale nous constatons que le renvoi des responsabilités au local participe à l’inégalité de traitement sur le territoire.

Notre délégation a alerté le sous-préfet afin que toutes les problématiques évoquées soient entendues et relayées auprès des autorités compétentes. Que les écueils rencontrés lors du premier confinement de mars servent d’appui pour que les mêmes erreurs ne soient pas réitérées voire aggravées par cette gestion incohérente comme c’est le cas depuis septembre. Gestion qui s’est tout particulièrement illustrée au retour des congés d’automne par sa cacophonie et son mépris affiché pour les personnels, les élèves et leurs familles.

Nous dénonçons l’impréparation de l’état face à la propagation de la COVID. Nous dénonçons l’irresponsabilité du ministre Blanquer et de son protocole sanitaire adaptable en fonction des problèmes structurels des établissements scolaires et du nombre insuffisant de personnels. C’est-à-dire qui ne protège personne. Rien n’a été pensé depuis Juillet 2020, cette gestion, toujours en réaction et jamais en anticipation, génère de fortes tensions qui ne s’apaiseront pas avec des réponses répressives.

C’est pourquoi nous exigeons, qu’immédiatement, les mesures sanitaires prises dans les établissements scolaires , le soient en suivant très scrupuleusement les prescriptions du Haut Conseil de la santé publique et en s’appuyant sur les compétences des professionnels que nous sommes et la réflexion collective de la communauté éducative notamment celle des parents d’élèves.

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Actu Solidaires 78 Défense de nos libertés Traçage

Contre la loi « sécurité globale », défendons la liberté de manifester

Nous nous opposons à la proposition de loi « sécurité globale ». Parmi les nombreuses propositions dangereuses de ce texte, trois articles risquent de limiter la liberté de manifester dans des proportions injustifiables, liberté déjà fortement restreinte sur le terrain et de nouveau remise en cause par le Schéma national du maintien de l’ordre.

L’article 21 concerne les caméras portables qui, selon les rapporteurs du texte, devraient équiper « toutes les patrouilles de police et de gendarmerie […] dès juillet 2021 ». S’il est voté, le texte autorisera donc la transmission des flux vidéo au centre de commandement en temps réel. Cela permettra l’analyse automatisée des images, et notamment la reconnaissance faciale des manifestants et des passants, en lien avec les 8 millions de visages déjà enregistrés par la police dans ses divers fichiers.

Ces nouveaux pouvoirs ne sont justifiés par aucun argument sérieux en matière de protection de la population et ne s’inscrivent aucunement dans une doctrine de gestion pacifiée des foules. L’effet principal sera de faciliter de façon considérable des pratiques constatées depuis plusieurs années en manifestation, visant à harceler des opposants politiques notamment par des placements en « garde à vue préventive », par l’interdiction de rejoindre le cortège ou par des interpellations arbitraires non suivies de poursuites. Ces pratiques illicites seront d’autant plus facilement généralisées que l’identification des militants et des militantes sera automatisée.

L’article 22 autoriserait la surveillance par drones qui, selon le Conseil d’État, est actuellement interdite. Ici encore, la police n’a produit aucun argument démontrant qu’une telle surveillance protégerait la population. Au contraire, nous avons pu constater en manifestation que les drones sont avant tout utilisés pour diriger des stratégies violentes contraires à la liberté de manifester : nassage, gaz et grenades lacrymogènes notamment. Comme pour les caméras mobiles, la reconnaissance faciale permettra ici aussi d’identifier des militantes et militants politiques.

En clair, le déploiement massif des caméras mobiles et des drones, couplés aux caméras fixes déjà existantes, entraînerait une capacité de surveillance généralisée de l’espace public, ne laissant plus aucune place à l’anonymat essentiel au respect du droit à la vie privée et ne pouvant avoir qu’un effet coercitif sur la liberté d’expression et de manifestation.

L’article 24 vise à empêcher la population et les journalistes de diffuser des images du visage ou de tout autre élément d’identification de fonctionnaire de police ou militaire de gendarmerie. Autrement dit, les images des violences commises par les forces de l’ordre ne pourront dés lors plus être diffusées. Le seul effet d’une telle disposition sera d’accroître le sentiment d’impunité des policiers violents et, ainsi, de multiplier les violences commises illégalement contre les manifestantes et manifestants.

Nous appelons les parlementaires à s’opposer à ces trois dispositions qui réduisent la liberté fondamentale de manifester dans le seul but de faire taire la population et de mieux la surveiller.
Signataires

  • ACAT France
  • Action Droits des Musulmans
  • Alternatiba Marseille
  • Antanak
  • ANV-COP21 Marseille
  • Association Dédale
  • Assodev-Marsnet
  • ATTAC
  • Bee-home
  • Canal-D
  • CCPA – Collectif Climat Pays d’Aix
  • CECIL
  • Cliss 21
  • CNNR
  • COLL•E•C – Collectif d’Échanges Citoyens du Pays d’Aix
  • CREIS-TERMINAL
  • DONUT Infolab
  • FAIbreizh
  • FAImaison
  • FDN
  • FFDN
  • Franciliens.net
  • GISTI
  • Globenet
  • Hoga
  • Illyse
  • Indie Hosters
  • INP-net
  • L’Auberge des Migrants
  • La Quadrature du Net
  • Les-Tilleuls
  • Ligue des droits de l’Homme
  • Mailden
  • Marseille révoltée
  • Minga
  • MODE 83
  • Moutons Numériques
  • Mouvement Écologiste Indépendant »
  • Numericatous
  • Observatoire des Libertés et du Numérique
  • Parti Pirate
  • Ploss Auvergne Rhone Alpes
  • Rap Marseille
  • ReAct
  • RESINE média
  • RevLibre
  • ritimo
  • Sherpa
  • Solidaires Informatiques
  • Syndicat de la Magistrature
  • Syndicat des Avocats de France
  • Toile-Libre
  • Union syndicale Solidaires
  • Vélorution Paris-Île-de-France

>> Voir sur le site de La quadrature du net

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Actu Solidaires 78 Éducation Luttes féministes

Violences sexistes et sexuelles au travail – Stop ! – Dossier de SUD éducation

Alors que Macron avait annoncé faire de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles la « Grande cause de son quinquennat », SUD éducation constate qu’aucune mesure n’a été mise en place ni pour prévenir les violences sexistes et sexuelles au travail ni pour accompagner les victimes. Chaque jour, en France, des femmes sont victimes de violences psychologiques, verbales, économiques, médicales, physiques ou sexuelles. Tous les deux jours, une femme est assassinée par son conjoint ou ex-conjoint : déjà 149 féminicides depuis le 1er janvier 2019 (en augmentation par rapport à 2018 où l’on avait recensé 121 féminicides à la même date).

Stop aux violences sexuelles et sexistes sur nos lieux de travail

Dans l’Éducation nationale, les violences sexistes sont communes, courantes et impunies. Si 1 femme sur 5 affirme avoir vécu des situations de violences au travail, seulement 5% porte plainte pour les dénoncer. Elles comprennent insultes, discriminations, harcèlement, menaces, chantage, mais aussi les agressions physiques et sexuelles. Les femmes les plus exposées au harcèlement sont celles qui subissent des discriminations liées à leur origine et à leur identité de genre et/ou leur orientation sexuelle. Dans le cadre du travail, ouvrières et salariées précaires et dans une moindre mesure les professions in-termédiaires subissent une pression sexuelle plus intense que celle des autres catégories sociales. La circulaire du 9 mars 2018, qui prévoit la pro-tection des victimes de violences sexistes et/ou sexuelles, n’est pas appliquée : les collègues qui ont dénoncé les violences subies n’ont bénéficié ni de protection ni d’accompagnement conve-nables. Pourtant l’employeur est responsable de la santé et de la sécurité des agent-e-s sur leurs lieux de travail !

Assez d’inégalités salariales

De plus, les travailleuses de l’Éducation nationale subissent aussi le sexisme de l’institution dans l’évolution de leur carrière. 12 % des femmes sont à temps partiel, contre 3 % des hommes, avec des conséquences sur la rémunération et sur l’avance-ment. Dans les postes les plus précaires et moins payés , comme celui d’AESH, 90 % sont occupés par des femmes. Plus les élèves sont jeunes plus la profession est féminisée : en 2006, 80 % des enseignant-e-s du primaire sont des femmes alors qu’elles ne sont que 35% dans les universités. Chez les agents-e-s, la répartition du travail est sexuée : aux hommes les postes de techniciens et de chefs cuisine, aux femmes les tâches dites polyvalentes (nettoyage ou service des repas).

Ras-le-bol de l’éducation aux inégalités

Le système scolaire perpétue les violences de genre et contribue à les fabriquer auprès des élèves. Quel exemple la hiérarchie donne-t-elle aux élèves en ne protégeant pas les personnels victimes de violence et en octroyant l’impunité aux agresseurs sexuels ? Quel modèle social l’institution propose-t-elle aux élèves en n’agissant pas pour abolir le système patriarcal et la division sexuée du travail ?

L’éducation proposée aux élèves véhicule l’invisibilisation et l’infériorisation des femmes et les enferme dans des rôles binaires en fonction des genres stéréotypés filles/garçons qui entravent leur émancipation. D’ailleurs, les femmes, absentes ou très minoritaires dans les programmes scolaires et manuels scolaires ne sont pas érigées en modèles disparaissant de tout récit historique. Et pourtant, elles existent et ont existé!

A l’école : une éducation nécessaire aux sexualités

Rappelons qu’à l’école, si les garçons sont plus exposés à la violence (insultes, bagarres…), les filles, subissent plus d’agressions sexuelles et sexistes (baisers imposés, jeux où on doit tou-cher leurs fesses dans la cour de récré, et surtout cyber-harcèlement). Afin que cessent les violences, l’école doit éduquer permettre une construction aux sexualités, dans une perspective non hétéro-centrée, en insistant sur l’éducation au consentement.

Contre toutes les formes de violences sexistes et sexuelles, SUD éducation appelle à participer massivement à toutes les initiatives à l’occasion des journées de luttes du 21 au 25 novembre.


Vous trouverez ci-dessous :

le matériel (tract et affiche) de SUD éducation

le matériel (tract et affiche) intersyndical CGT-FSU-SUD éducation

la brochure SUD éducation intitulée “Lutter contre le sexisme dans l’éducation nationale : ressources et analyses”

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Actu Solidaires 78 Luttes féministes

Les violences conjugales et intrafamiliales ne sont pas une affaire privée

Avec le retour du confinement, les violences conjugales et intrafamiliales ne doivent pas être oubliées.

Le confinement n’est pas synonymes de sécurité pour tou·tes : s’il est déconseillé de sortir, il n’est pas interdit de fuir!Faites circuler ces numéros autour de vous, collez cette affiche dans votre hall, chez vos commerçant·es, à votre travail, etc.

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