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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Actu Solidaires 78

Lancement du plan d’action contre les accidents du travail et les accidents de service

L’Union syndicale Solidaires lance un plan d’action afin de rendre visibles les accidents liés au travail dans les entreprises, les associations et les 3 versants de la fonction publique, ainsi que leurs conséquences sur la santé physique et psychique des victimes. Il faut sortir de l’invisibilité des accidents du travail, du déni et de l’impunité des employeurs.

Ce plan d’action s’inscrit dans le prolongement de la participation de Solidaires à la journée internationale du 28 avril pour la sécurité et la santé au travail depuis 2022, et aux Assises de la santé et la sécurité des travailleurs et des travailleuses avec la CGT, la FSU et nos partenaires associatifs.

Matériel

Des brochures à destination des salarié·es :

  • « Faire des accidents du travail dans l’entreprise un enjeu collectif » pour le secteur privé (actualisée en 2024).
  • « Faire des accidents de service dans la fonction publique un enjeu collectif » pour la fonction publique.

Un exemple : le Protocole intersyndical contre les accidents du travail du Pays basque

***

Calendrier

25-29 novembre 2024 : 2e session de formation de formateurs et formatrices « Agir syndicalement contre les atteintes à la santé liées au travail dans la fonction publique ».

25 et 26 mars 2025 : Assises de la santé et la sécurité des travailleurs et des travailleuses.

28 avril 2025 : journée internationale pour la sécurité et la santé au travail.

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Actu Solidaires 78

Budget 2025 : d’autres choix sont possibles et nécessaires !

PLF et PLFSS 2025 : Solidaires dénonce un budget d’austérité et des coupes sans précédent dans les services publics et la protection sociale !

Les projets de loi de finances et de la sécurité sociale 2025 viennent d’être présentés. Ils sont inacceptables. La réduction du déficit est le prétexte à des coupes massives dans les services publics déjà fortement attaqués ces dernières années. La répartition de ces coupes reste inconnue pour 5 milliards qui passeront par amendement. Elles se traduiront par de nouvelles suppressions d’emplois notamment à l’Éducation nationale, aux Finances et à France Travail, un gel des rémunérations et des investissements, une forte dégradation de la qualité du service rendu et des fermetures qui vont éloigner davantage les services publics de la population.

De plus, les efforts vont à nouveau peser fortement sur la population dans un contexte d’inflation continue à l’image des taxes sur l’électricité en forte augmentation. Ainsi, plutôt que d’agir sur les conditions de travail, ce sont les arrêts maladie qui sont dans le collimateur et seront moins bien indemnisés. Les consultations de médecine seront elles moins bien remboursées et les retraité·es attendront 6 mois supplémentaires pour voir leurs pensions revalorisées. Tout ceci aggravera les inégalités et le renoncement aux soins et donnera une place privilégiée aux mutuelles privées qui voient s’élargir leur marché.

À l’inverse, les plus hauts revenus et les grandes entreprises sont largement épargnés. Alors que les entreprises du CAC 40 ont généré plus de 146 milliards de bénéfices en 2023 et que 200 milliards ont été versés aux entreprises sans contrepartie sociale ou environnementale ces cadeaux fiscaux ne sont remis en cause qu’à la marge tandi que loin de la communication des derniers jours, leur contribution aux recettes reste modeste.

Enfin, les investissements pour la bifurcation écologique sont largement en deçà de ce qu’exige la situation. Alors qu’une tempête directement causée par le réchauffement climatique vient de s’abattre sur le pays, aucune rupture n’est engagée. Au contraire, une partie des aides dont le Fonds vert, sont remises en cause. Pour limiter à 2 degrés le réchauffement d’ici 2050 il nous faut investir un minimum de 36 milliards d’euros chaque année. L’inaction coûtera bien plus cher : 10% du PIB chaque année.

Pour L’Union syndicale Solidaires il est urgent de choisir une autre voie :

  • entamer une revue des niches fiscales et supprimer celles sans utilité sociale ou écologique
  • revenir sur la baisse des impôts de production et de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (20 milliards d’euros de recettes estimées)
  • rétablir l’ISF (4,5 milliards d’euros de recettes estimées)
  • imposer les revenus financiers au barème progressif de l’impôt sur le revenu et créer de nouvelles tranches pour un impôt vraiment progressif,
  • supprimer les exonérations de cotisations qui coûtent cher au budget de l’État, détruisent la protection sociale et tirent les salaires vers le bas (80 milliards d’économies).
  • taxer les rachats d’action de manière conséquente et les superprofits (20 milliards de recettes estimées)
  • investir dans les services publics et la bifurcation écologique

La question de la dette pèse fortement sur le débat public, et les intérêts de la dette pèsent fortement sur les finances publiques. Pour l’Union syndicale Solidaires, la question de l’annulation d’une partie de la dette n’est pas un tabou. Nous avons su le faire par le passé.

L’Union syndicale Solidaires défend un autre budget pour une autre société, plus juste, plus sociale, plus écologique.

Pour aller plus loin :

-Budget 2025 : analyse et revendications de Solidaires

-Budget 2025 de l’Éducation nationale : Analyse & Revendications de SUD éducation

-Un véritable programme de Services Publics porté par Solidaires Finances Publiques

20240111-PLF-PLFSS25-solidaires-1

Documents à télécharger

communiqués
interpro national
politique économique et sociale du gouvernement

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Actu Solidaires 78 La Poste

Jeudi 16 octobre – réunion contre la fermeture de la Poste de Gassicourt

Prochaine réunion publique du collectif contre la fermeture de la Poste de Gassicourt, jeudi 16 octobre à 19h30, Espace Guy Mainière, rue Maurice Braunstein.

Le collectif appelle les habitants du Mantois à le rejoindre, en signant et partageant la pétition, en participant à la prochaine réunion, en le contactant à l’adresse sauvonslapostedegassicourt@riseup.net pour avoir plus d’informations sur ses actions.

Le collectif « Sauvons la Poste de Gassicourt »

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Éducation

Maintenant l’école publique !

Depuis un an des enquêtes journalistiques ont illustré la gabegie financière, parfois au-delà des obligations légales, liée au financement public des établissements privés sous contrat. Dans leur cadre unitaire inédit depuis 30 ans, les organisations signataires de la tribune parue dans Le Monde du 30 janvier 2024, pour que l’école publique, laïque, gratuite et obligatoire soit la priorité du pays, travaillent à la construction d’un plan de sortie du financement public de l’école privée.

Dans un cadre unitaire inédit depuis 30 ans, les organisations signataires de la tribune parue dans Le Monde du 30 janvier 2024, pour que l’école publique, laïque, gratuite et obligatoire soit la priorité du pays, travaillent à la construction d’un plan de sortie du financement public de l’école privée.

Ces organisations sont signataires d’un communiqué – publié le 9 octobre 2024 – qui marque la volonté d’un travail collectif pour la défense de l’école publique laïque.

Communiqué du collectif pour l’école publique laïque : Maintenant l’école publique !

ou

Communiqué du collectif pour l’école publique laïque : Maintenant l’école publique !

Ce communiqué a été publié le 09/10/2024 Et un communiqué Sud Éducation vient porter un point de vue complémentaire à ce communiqué:
https://www.sudeducation.org/communiques/declaration-de-sud-education-au-csa-du-9-octobre-2024/

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Éducation Répression

Non à la répression dans l’Éducation


Lorsqu’un agent de l’éducation nationale saisit son administration pour dénoncer la répression : le rôle des Tribunaux administratifs consiste à s’empresser de la couvrir.

Il existe une facette méconnue des dossiers de répression qui se sont multipliés ces dernières années dans l’Éducation nationale, c’est le confondant manque de rigueur manifeste avec lesquels ils ont été constitués. Souvent les éléments factuels sont soit manquants soit carrément erronés (à Nanterre, un réprimé a été accusé d’insulte durant une séance du conseil d’administration alors qu’il n’était pas présent puisque qu’il n’était pas élu, à Bobigny, accusation de harcèlement par mail sans fournir le moindre mail pour en attester, à Melle accusation de blocus d’un lycée ouvert et dépourvu de grille, à Saint-Denis accusation d’autogestion alors que le directeur académique refusait de nommer un directeur sur le poste…).


Il est constant que les dossiers de requête des réprimé·es soient autrement plus fournis, détaillés, circonstanciés, émaillés de témoignages variés, que ceux de l’administration. Il est constant aussi que les réprimé·es se comportent de façon plus respectueuse envers l’institution judiciaire : requêtes présentées
dans les délais impartis (contrairement à l’administration, par exemple dans le cas de Nanterre, le Rectorat de Versailles a présenté son mémoire en défense le 7 juillet 2024 alors qu’il lui était enjoint de le présenter le 19 août 2023), présence à toutes les audiences (contrairement aux Rectorats qui se permettent souvent de ne pas se présenter, comme par exemple à Melle lors de l’audience sur le fond), réponses longues et circonstanciées de leurs avocat·es aux demandes d’information des juges en
audience (contrairement aux rectorats qui présentent souvent des observations lapidaires comme pour Saint-Denis, Bobigny, etc. quand ils sont présents).
Pourtant, ce sont presque toujours les rectorats qui obtiennent gain de cause contre les réprimé·es. Pire, les arrêtés des tribunaux administratifs sont souvent des copier-coller des mémoires écrits par les rectorats, reprenant les arguments des rectorats, aussi fallacieux, fantaisistes, peu étayés, voire
manifestement mensongers, soient-ils.
Tout se passe comme si la parole des réprimé·es n’avait aucune valeur, qu’elle ne méritait aucune considération quels que soient le sérieux et le soin avec lesquels elle a été recueillie, malgré le respect avec lequel les réprimé·es se conforment aux demandes de la justice.
Cette absence d’impartialité qui se répète procédure après procédure a un effet délétère sur le comportement des administrations, qui s’enhardissent et vont toujours plus loin dans le déni des droits des agent·es, puisqu’elles savent que quoi qu’elles fassent, leurs turpitudes seront toujours couvertes et
validées par les tribunaux administratifs.
Le rôle officiel des tribunaux administratifs est de trancher des litiges entre les administrations et les particuliers en toute impartialité, et en droit. Nous sommes forcé·es et effaré·es de constater que leur rôle réel est de protéger coûte que coûte l’administration contre les agent·es et de légitimer la répression.
Ce déni de justice doit cesser car nous avons droit au respect !
Les réprimé·es exigent que justice leur soit rendue, et que leurs dossiers soient étudiés avec toute l’impartialité qui leur est due.

Communiqué du collectif Sois prof et tais toi, 7 octobre 2024


« Sois prof et tais toi ! » Collectif des réprimé·es de l’Éducation nationale
Mail : stop.repression.education@gmail.com YouTube : Sois prof et tais toi
Twitter : @soisproftaistoi, #SoisProfEtTaisToi Site : collectifdesreprimees.fr

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(re)Penser notre syndicalisme Agriculture Écologie

Jeudi 16 octobre – Table ronde intersyndicale : Bien produire pour bien manger et pour bien vivre, le travail doit payer !

Bourse du travail de Paris

Table ronde unitaire CGT – FSU – Solidaires – Confédération paysanne

Bien produire pour bien manger et pour bien vivre, le travail doit payer !

Tel est le fil conducteur de la convergence inédite en cours entre le monde du travail salarial et le monde du travail paysan.

Les crises sociales s’enchainent : réformes des retraites et 49.3 , Covid, Ste Soline et la criminalisation de l’action syndicale, stigmatisation des quartiers populaires, accélération de la crise agricole…

Le monde social est en ébullition et confronte ses réalités face à un gouvernement qui précarise le travail au service du capital.

A cela s’ajoute le vol démocratique depuis les législatives et la nomination d’un gouvernement pro-libéral avec comme 1er ministre M Barnier, ex ministre de l’agriculture sous la présidence de N Sarkozy.

Aussi, nos organisations, dans l’intérêt des travailleuses et travailleurs avons des propositions et n’entendons pas céder aux diktats du capitalisme.

Bien au contraire il est urgent de renforcer nos liens et perspectives communes notamment dans ce secteur si fondamental dans nos vies qu’est l’alimentation.

Relever le défi d’une alimentation de qualité et produite en proximité pour toutes et tous passera assurément par la revalorisation du travail et par une politique publique de la formation volontariste et de l’installation massive gage de notre souveraineté alimentaire.

Dans ce contexte social, et alors que rien ne se profile pour que les travailleur.se.s voient leur travail rémunéré à leur juste valeur, le sujet est plus que jamais d’importance.

Autour d’une table ronde organisée en présence de la CGT, FSU, Solidaires et la Confédération paysanne nous vous invitons à venir en débattre le 16 octobre 2024 à partir de 18 heures à la Bourse du Travail à Paris.

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(re)Penser notre syndicalisme Accidents du travail TPE / TPA

Le panneau syndical – octobre 2024 – numéro 3

Budget 2025 : ce n’est pas aux travailleurs et travailleuses de payer !

Le nouveau gouvernement vient de présenter un budget d’austérité avec des coupes budgétaires records ! Alors que le principal poste de dépenses de l’État est constitué de cadeaux fiscaux aux entreprises et notamment aux plus grandes d’entre-elles qui pourtant dégagent des bénéfices records (146 milliards en 2023 pour les entreprises du CAC 40) nous refusons que l’effort repose sur les travailleurs et travailleuses. Nos services publics doivent être renforcés et non pas sacrifiés. Nous n’accepterons aucune remise en cause des conquis sociaux. Alors qu’est lancé un concours Lépine des économies à faire sur notre dos, nous le disons : de l’argent il y en a, dans les caisses du patronat !

Solidaires a publié ses propositions pour un budget 2025 plus juste et qui réponde aux urgences sociales . Nos propositions et analyses.

Élections TPE/TPA : Faire entendre la voix de tout·es les salarié·es !

  • Du 25 novembre au 9 décembre 2024 se dérouleront des élections syndicales pour les salarié·es du particulier employeur ou travaillant pour des entreprises ou associations de moins de 11 salarié·es (et qui n’ont donc pas de CSE!). Le vote se fera en ligne ou par correspondance.

Solidaires présente sa candidature dans toutes les régions pour pouvoir siéger dans les Commissions Paritaires Régionales Interprofessionnelles (CPRI).

  • Ce scrutin compte également pour la représentativité interprofessionnelle, dans les branches ou encore au Conseil des prud’hommes.
  • On connait toutes et tous des salarié·es concerné·es (dans notre boulangerie, notre association, notre club de sport, nos ami·es…). Mobilisons-nous pour faire connaitre ce scrutin et renforcer la représentativité de Solidaires.

Votons et faisons voter Solidaires !

Accidents du travail : Solidaires lance son plan d’action

AT
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Répression

Halte à la répression antisyndicale d’où qu’elle vienne !

Tayeb Khouira, porte-parole du syndicat Sud aérien et secrétaire national de l’Union syndicale Solidaires a été intimidé et retenu arbitrairement par les services de renseignements pour ses opinions supposées et activités syndicales. Or la plainte qu’il a déposée pour ces faits vient d’être classée sans suite par le Procureur de la république du Tribunal judiciaire de Bobigny.

Si cette décision ne nous surprend pas, nous tenons à réaffirmer notre soutien plein et entier à un militant syndical, brutalement réprimé par l’Etat. En effet, le 20 janvier dernier, notre camarade s’est rendu au commissariat après un appel non identifié, exigeant sa présence immédiate. Alors qu’il pensait rencontrer des policiers en raison de la perte par sa fille de sa carte bleue, il a finalement été interrogé pendant près de 2 heures par des agents du renseignement (DGSI).

Ces derniers refuseront de dresser le moindre PV à la suite de cet entretien et n’auront pas cessé de l’intimider. Aussi, Tayeb Khouira a dû supporter deux heures d’interrogatoire politique, relatif à son engagement syndical, à ses positions sur la Palestine et à sa fréquentation supposée d’une mosquée.

Profondément choqué, il a immédiatement déposé plainte, notamment pour atteinte arbitraire à la liberté individuelle par personne dépositaire de l’autorité publique. A l’issue d’une enquête inexistante, au cours de laquelle il a été « entendu » à nouveau par les services de renseignement (DGSI), le parquet conclut sans surprise à un classement.

Mais nous tenons à réaffirmer une chose : alors que la répression s’intensifie violemment à l’encontre tant des militants syndicaux que des soutiens de la Palestine, nous ne céderons pas face aux intimidations.

Tayeb Khouira, accompagné de ses avocates et de l’Union syndicale Solidaires, est déterminé à aller au bout de la procédure et à se battre contre la répression antisyndicale qui cherche à affaiblir la capacité des travailleurs et des travailleuses à se défendre.

Face à un gouvernement déterminé à imposer une cure austéritaire et à intensifier le tournant autoritaire en cours, il faut plus que jamais revendiquer nos droits à militer à nous organiser.

Solidarité avec Tayeb Khouira et toutes les victimes de la répression antisyndicale !

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Accidents du travail Internationalisme

Iran : 52 mineurs tués dans une tragédie évitable

Le 22 septembre, une explosion de méthane survenue à 700 mètres de profondeur dans la mine de charbon de Tabas a fait au moins 52 morts et 20 blessés.

Avant la catastrophe, les travailleurs avaient alerté la direction sur une odeur de méthane dans les galeries, mais ils avaient été quand même obligés de rejoindre leur poste de travail. La mort de ces travailleurs était tout à fait évitable.

Nous condamnons ces négligences aux conséquences dramatiques.

Nous exprimons nos condoléances et notre solidarité aux mineurs et à leurs familles.

Cette catastrophe minière ne constitue pas un événement isolé :

– en 2009, 20 mineurs ont été tués dans plusieurs accidents,

– en 2013, 11 sont morts dans deux incidents distincts,

– en 2017, une explosion avait tué au moins 42 personnes à Azadshahr,

– en mai 2021, à Damghan, deux mineurs avaient perdu la vie dans un effondrement, puis six autres en 2023 dans une explosion.

La fréquence de ces accidents miniers mortels montre clairement que les mineurs font face à un problème systémique, et à un manque de volonté politique pour y remédier :

– d’une part le non-respect de normes de sécurité permettant d’assurer la sécurité des salariés,

– d’autre part l’insuffisance des services d’urgence dans les zones minières.

La répression des syndicats indépendants contribue à faire taire les travailleurs sur les conditions de sécurité. Le travail qu’ils mèneraient réduirait par ailleurs grandement la probabilité de tels accidents.

La responsabilité du pouvoir en place est clairement engagée. Les statistiques officielles de 2023 indiquent en effet que 2 115 personnes ont été tuées en 2023 dans des accidents de travail, et 27 000 blessées.

Selon les conventions internationales du travail, le gouvernement et les employeurs privés sont tenus de protéger la sécurité et la protection de la vie des travailleurs sur le lieu de travail.

Nous sommes solidaires des travailleurs/euses mobilisé.es et des syndicats iraniens.

Nous soutenons leur demande de mesures permettant de protéger la vie des mineurs, ainsi que d’inspections sérieuses.

La santé et la sécurité des mineurs ne peuvent être laissées à la discrétion des seuls employeurs.

Confédération française démocratique du travail (CFDT)

Confédération générale du travail (CGT)

Fédération syndicale unitaire (FSU)

Union syndicale Solidaires

Union nationale des syndicats autonomes (UNSA)

Paris, le 10/10/2024

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