L’Union syndicale Solidaires 78 vous donne rendez-vous pour une soirée de solidarité avec la Kanaky le mardi 8 octobre à partir de 19 h à la librairie la Nouvelle réserve à Limay
Entrée libre et gratuite
L’Union syndicale Solidaires 78 vous donne rendez-vous pour une soirée de solidarité avec la Kanaky le mardi 8 octobre à partir de 19 h à la librairie la Nouvelle réserve à Limay
Entrée libre et gratuite
e communiqué a été publié le 04/10/2024SUD éducation exprime son opposition ferme au communiqué du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche du 4 octobre 2024, qui stigmatise les prises de position des étudiant·e·s concernant le conflit en Palestine et au Liban.
En invoquant les principes de laïcité et de neutralité, le ministère tente de restreindre la liberté d’expression légitime des étudiant·e·s et personnels sur des sujets de justice et de solidarité internationale. SUD éducation dénonce cette tentative de museler la solidarité avec le peuple palestinien et affirme que l’université doit rester un lieu où s’expriment librement l’esprit critique et la réflexion sur les conflits internationaux. La liberté académique inclut la possibilité de s’engager sur des questions politiques et sociales, y compris la défense des droits des peuples opprimés.
En réprimant ces voix, le ministère compromet les principes mêmes qu’il prétend défendre : ceux d’un enseignement supérieur indépendant, critique et ancré dans la réalité du monde. La volonté de contrôle idéologique des universités exprimée par le ministre n’est pas acceptable. SUD éducation rappelle également que la répression de la solidarité avec la Palestine s’inscrit dans un contexte plus large de criminalisation des mouvements sociaux.
Nous appelons les directions d’universités à ne pas céder à ces injonctions répressives et à garantir la liberté d’expression et de réunion au sein de leurs établissements.
SUD éducation restera aux côtés de celles et ceux qui se mobilisent pour une paix juste et durable entre Palestinien·ne·s et Israélien·ne·s, paix qui ne sera possible que dans le cadre de la reconnaissance des droits du peuple palestinien.
Aussi, SUD éducation appelle à manifester les 5 et 6 octobre 2024 partout en France en soutien au peuple palestinien et au peuple libanais.
Dossier VISA n° 14 |
---|
![]() |
Sud Éducation 95 : La lutte antifasciste est une lutte syndicale ! |
---|
![]() |
Soirée unitaire : Lutter contre les idées d’extrême droite |
---|
![]() |
CODEX 83 : Le Rassemblement National pourfendeur de l’antisémitisme ? |
---|
![]() |
Solidaires et internationalistes, contre l’extrême droite nationaliste et xénophobe |
---|
![]() |
LA VIE OUVRIÈRE – Comment combattre l’extrême droite ? |
---|
![]() |
Dossier VISA n°14 |
---|
![]() |
VISA à la fête de l’Humanité les 13, 14 et 15 septembre 2024 |
---|
![]() |
Dans une situation politique marquée par les poussées réactionnaires, SUD éducation réaffirme l’urgence de se saisir syndicalement de la lutte pour les droits des personnes trans et intersexes.
Le gouvernement Barnier, tout juste nommé, représente une menace directe pour les droits des personnes LGBTQI+ : mis “sous surveillance” par le Rassemblement national, il regroupe de nombreuses personnalités de droite proches de la “Manif pour tous” et des milieux réactionnaires homophobes et transphobes. Soutenue par les Républicains, l’arrivée au gouvernement de sénateur·ices ayant porté au printemps la proposition de loi visant l’interdiction des transitions des mineur·es marque une étape supplémentaire dans la stratégie de harcèlement envers les personnes LGBTQI+. Les attaques envers les personnes étrangères, par un gouvernement ayant soutenu la loi “Asile et immigration” et soutenant la suppression de l’Aide médicale d’Etat (AME), sont également une menace directe contre les droits des populations précaires et leur accès à la santé. Ne soyons pas dupes : derrière ce gouvernement, ce sont toutes les transitions et de manière plus large le droit à disposer de son corps par l’IVG, la PMA, l’interdiction des chirurgies sur les enfants intersexes, l’accès à la contraception et l’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle, qui sont attaquées.
L’école est un sujet central dans la lutte pour les droits trans et intersexes. Lieu d’accueil des mineur·es trans et intersexes, l’école est souvent un espace de violences, quand l’Education Nationale faillit à sa mission d’accompagnement, de soutien et d’émancipation de ces jeunes. Les personnels trans et intersexes sont également mis sous pression, et trop rarement protégé·es par les hiérarchies lorsqu’iels sont menacé·es sur leur lieu de travail. Les violences hétérosexistes structurent le milieu scolaire : injures, harcèlements, mépris affiché, « outings » forcés. Aujourd’hui, certaines personnes trans peinent encore à faire valoir leur changement de genre ou d’identité sur leur lieu de travail, dans les documents officiels ou administratifs. L’école, “mère des batailles” selon Gabriel Attal, est aussi au cœur des offensives réactionnaires partout dans le monde, de la Floride à l’Italie, en passant par les offensives contre le “wokisme” relayées de la macronie au RN. Le rapport sur les LGBTIphobies de SOS homophobie de 2022 précise que 8% des actes de transphobie recensés s’exercent en milieu scolaire. SUD éducation se place du côté des élèves trans et intersexes ainsi que des personnels LGBTQI+ et revendique une réelle protection des enfants, contre les violences médicales, physiques, morales et sexuelles dont iels sont victimes.
Face à la transphobie et aux violences contre les personnes intersexes, ce sont de nouveaux droits qui sont à conquérir : l’accès au changement de la mention de sexe et du prénom à l’état civil libre et déjudiciarisé, la garantie d’accès remboursé à toute forme de transition médicale et aux médicaments, la fin des opérations forcées contre les enfants et adolescents intersexes, le financement de la recherche, la lutte contre les violences, de réels moyens pour les services publics, la garantie réelle de dépsychiatrisation…
SUD éducation revendique :
Pour cela, mobilisons-nous toute l’année dans nos établissement pour défendre les droits des personnels et élèves trans, et participons en nombre aux rassemblements qui sont organisés pour défendre ces droits, comme la marche de l’ExisTransInter ce samedi 12 octobre à Paris.
Sites :
Livre :
Utilisables en classe :
L’écologie traduit dans des actions une inquiétude légitime qui doit s’exprimer dans le respect des droits des citoyens
Nous constatons de multiples atteintes aux droits des citoyens lors de l’organisation des mobilisations d’ampleur locale ou nationale visant à porter la question écologique dans l’espace public.
Les médias mainstream entretiennent une confusion entre des images d’actions fortes et un mouvement qui entend s’exprimer d’abord par une pratique non violente dans le cadre de la désobéissance civile.
Ensuite, des initiatives des autorités préfectorales , des interdictions de manifester, et toutes autres mesures administratives visant les milltants écologistes sont devenues d’usage courant alors même que les recours exercés contre ces décisions permettent de suspendre leurs effets sinon d’en obtenir le retrait ou l’annulation.
L’accumulation des lois visant à restreindre les libertés publiques, et notamment l’exercice des libertés d’association et de manifestation, ont servi à générer de multiples atteintes contre les organisations allant jusqu’à leur dissolution.
L’attitude des plus récents gouvernements a surtout consisté à stigmatiser le mouvement écologiste en essayant de le disqualifier dans son existence d’acteur indispensable de la société civile et dans des fonctionnements démocratiques qui restent essentiels à la structuration de la diversité d’opinions et d’expression.
Sur tous ces domaines qui sont aux confins de la défense des droits politiques et du fonctionnement des institutions en conformité avec l’état de droit, la LDH occuppe une place éminnente et indispensable..
C’est pourquoi nous vous invitons, dans un premier temps, à participer au débat organisé par la fédération des Yvelines de la Ligue des droits de l’Homme,
le 12 octobre 2024
de 15h à 17h
Maison des associations Espace 1901
22 rue Maurice Ravel
78190 Trappes
Le thème en sera :
Ecologie et désobéissance civile
Nous, associations, collectifs de personnes exilées, collectivités accueillantes et syndicats, faisons part de notre vive préoccupation quant aux intentions du gouvernement Barnier en matière d’immigration. Après le feuilleton de la loi sur l’asile et l’immigration, nous nous opposerons à toute nouvelle dégradation des droits des personnes exilées en France et continuerons à défendre une politique migratoire d’accueil et de solidarité.
A peine nommé, le Gouvernement fait de l’immigration son cheval de bataille et multiplie les annonces outrancières et dangereuses. Le ministre de l’Intérieur a déjà annoncé réunir les préfets « des dix départements où il y a le plus de désordre migratoire pour leur demander d’expulser plus, de régulariser moins ». Nous dénonçons cette représentation mensongère des migrations : non, il n’y a pas de désordre migratoire, ni de crise migratoire. Nous assistons à une crise de l’accueil et de la solidarité, et une mise en danger des personnes exilées par des politiques de restriction et d’exclusion dont les gouvernements successifs se font les champions. Collectivement, nous revendiquons la régularisation des personnes sans-papiers, la protection des mineur·e·s non accompagné·e·s, le respect de la dignité et des droits humains.
Le ministre de l’Intérieur a annoncé vouloir remettre en cause l’Aide médicale de l’État (AME). La santé des personnes exilées est à nouveau instrumentalisée pour venir alimenter des considérations de politique migratoire. Nous souhaitons rappeler que l’AME est un dispositif de santé, essentiel pour l’accès aux soins des personnes et qu’elle répond à des enjeux de santé publique. A ce titre, cette politique publique se décide au ministère de la Santé. Nous nous inquiétons de voir nos gouvernant·e·s s’approprier la rhétorique d’extrême droite basée sur l’appel d’air et les dépenses incontrôlées, pourtant largement pourfendue par nombres d’études et rapports récents. Enfin, nous alertons sur le fait qu’environ un quart des bénéficiaires de l’AME sont mineur·e·s, et qu’il est intolérable de vouloir priver des enfants de l’accès aux soins.
Rien ne sera épargné aux personnes issues de parcours d’exil. Le gouvernement envisage même une nouvelle loi sur l’asile et l’immigration pour promouvoir des mesures pourtant censurées par le Conseil constitutionnel en début d’année. Ceci, à l’heure où nous constatons déjà les premières conséquences dramatiques de la loi promulguée le 26 janvier 2024. Ce gouvernement s’est lui-même placé sous la tutelle de l’extrême droite et a choisi de faire des personnes exilées le bouc-émissaire de tous les maux. Ses propositions s’inscrivent dans l’intensification du climat de peur pesant sur les personnes étrangères, et plus généralement sur toutes les personnes victimes du racisme. Le programme est clair : restrictions des droits, criminalisation des migrations et des personnes solidaires, répression des personnes exilées, enfermement à tout-va. Dans sa déclaration de politique générale devant l’Assemblée nationale ce mardi 1er octobre, le Premier ministre a annoncé vouloir « lutter contre le racisme » et traiter le sujet de l’immigration avec dignité, mais il se contredit aussitôt en prévoyant d’augmenter la durée maximale légale de rétention, d’empêcher les personnes exilées de franchir les frontières, et en faisant peser sur elles toutes les suspicions. En revanche, Michel Barnier ne remet à aucun moment en question les déclarations inquiétantes du ministre de l’Intérieur. Nous dénonçons l’orientation du gouvernement, et rappelons notre attachement à un État de droit qui respecte les personnes et les considère avec humanité, pas comme des indésirables.
Nous, associations, collectifs de personnes exilées, collectivités accueillantes, et syndicats, appelons à mettre fin à cette obsession migratoire xénophobe et dangereuse, et à respecter les droits de chaque personne, indépendamment de sa nationalité, de son origine, de sa religion, de son orientation sexuelle et de genre. Nous appelons chacun·e à la vigilance et à la solidarité, à continuer à soutenir et à participer aux actions, comme les luttes des travailleur·se·s Sans Papiers pour leur régularisation. Nous resterons mobilisé·e·s contre tout nouveau coup porté au respect des droits et à la dignité des personnes étrangères.
Signataires :
Ah Bienvenue Clandestin·es ! / Assemblée Citoyenne des Originaires de Turquie – L’ACORT / Les Amoureux au ban public / Anafé / ANVITA / Ardhis / Association des Travailleurs Maghrébins de France (ATMF) / ATTAC / CCFD-Terre Solidaire / CGT / La Cimade / CNAJEP / CRID / Dom’Asile / Emmaüs / FCTR / Femmes Egalité / FSU / Gisti / Grdr – Migrations-Citoyenneté-Développement / Humanity Diaspo / J’Accueille / LDH / Ligue de l’Enseignement/ Limbo / Madera / Médecins du Monde / MIF / Mouvement de la Paix / MRAP / On Est Prêt / Organisation de Solidarité Trans (OST) / Oxfam / Pas Sans Nous / Patrons Solidaires / PLACE Network / Planning Familial / Polaris 14 / RAAR / Réseau Féministe « Ruptures » / RESF / Ripostes, pour une coordination antifasciste / SAF (Solidarités Asie France) / Singa / SOS Racisme / Thot / UEE / Union syndicale Solidaires / UniR Universités & Réfugié.e.s / Utopia 56 / Visa – Vigilance et initiatives syndicales antifascistes / Watizat / Weavers
Association Bretillienne des Familles / AMPB-Accueil Migrants Pays Bigouden / ASTI Les Ulis / Accueil Réfugiés Bruz / L’Auberge des migrants / Bienvenue Fougères / Centre social Accueil Goutte d’Or / Collectif Ile-de-France Bouge ta Pref / Collectif Migrants 83 / Collectif pour le Respect des Droits des Étrangers – 93 (RDE93) / COPAF / Droit à l’Ecole / Fédération Etorkinekin Diakité / Fontenay Diversité / Forum Social des Quartiers – Rennes le Blosne / Grigny Solidarité Palestine / Groupe accueil et solidarité (GAS) / L’Hirondelle de Martigné-Ferchaud / Intercollectif : Coordination Sans-Papiers 75, CSPM, CSP 17e / L’IOSPE – InterOrga de soutien aux personnes exilées de Rennes / LDH Section d’Arles / LDH de Martigues / LDH – Pays de Rennes / Maison de l’Hospitalité de Martigues / Migrants en Bretagne Romantique – QMS / Pantin Solidaire / Paris d’Exil / Plouër Réfugié-e-s / La Pourtère / Réseau Territoires Accueillants 35 / RESF 75 / Rosmerta (Avignon) / Solidarité Jean Merlin / Solidarité sans papiers Creil / Soutien Migrants Redon / Tous Migrant / UD CGT 35 / Un Toit c’est Un Droit Rennes / VIAMI Val d’lle-Aubigné Accueil Migrants / La Vigie de la Laïcité 13
Depuis sept longues années, nos voix se sont régulièrement élevées contre la promesse présidentielle d’Emmanuel Macron de développer puis de généraliser le service national universel (SNU) [dispositif expérimenté depuis 2019, dans le cadre duquel des jeunes participent à des « séjours de cohésion » et à des missions d’intérêt général]. D’avancées en reculs, cette fausse bonne idée est agitée comme l’étendard de sa politique de jeunesse, alors qu’elle est une hypocrisie et une gabegie financière. La Cour des comptes, si elle utilise d’autres mots, ne dit pas autre chose que nous.
Il est temps d’abandonner le service national universel. Le SNU est l’illustration parfaite d’une façon de gouverner au forceps : la « chose » d’Emmanuel Macron n’a jamais été débattue au Parlement et s’impose par la contrainte aux mondes de l’éducation nationale et de l’éducation populaire. Alors, nous l’affirmons, le SNU n’est qu’une politique de l’image et du vide. Outil de communication vide d’ambition, outil vide de sens mais gonflé de moyens financiers et humains : un véritable gaspillage à l’heure d’une situation budgétaire délicate.
Alors que le gouvernement doit s’atteler à réduire et rationaliser les dépenses en faveur de l’insertion et de l’environnement, la « charge financière déraisonnable » du SNU, dénoncée dans le rapport parlementaire pour avis sur le projet de loi de finances pour 2024 [avis n° 1781 signé Jean-Claude Raux, à l’initiative de cette tribune, au nom de la commission des affaires culturelles et de l’éducation de l’Assemblée nationale], n’est ni tenable ni souhaitable.
Le 13 septembre, la Cour des comptes alertait elle aussi, dans un rapport, sur un « coût largement sous-estimé ». Le SNU constitue un dérapage annoncé pour nos finances publiques. Déjà 160 millions d’euros sont consacrés à une politique qui n’atteint pas ses objectifs : chaque année, le nombre de jeunes en SNU est en deçà des prévisions (voir par exemple l’annexe au projet de loi de finances pour 2024, « projet annuel de performances, mission interministérielle sport, jeunesse et vie associative », page 122).
Il faudrait, selon la Cour des comptes, trouver 3,5 à 5 milliards d’euros pour financer le dispositif en cas de généralisation à l’ensemble d’une classe d’âge. Nous ne les avons pas. Ou cela signifierait la programmation de la fin du financement des associations, de l’éducation populaire, dont les budgets seraient totalement absorbés par le SNU… Sous-effectifs dans les services déconcentrés, crise de recrutement d’encadrants dûment formés, conditions de travail fortement dégradées, manque de bâti adapté, problématiques de transport… le SNU a souvent incarné la désorganisation généralisée.
Le gouvernement peut encore arrêter la catastrophe annoncée. L’urgence est d’autant plus vive lorsque cette obstination entraîne des mises en danger pour les jeunes participants. Sur le seul premier semestre de l’année 2023, la Cour des comptes relève que le « ministère rapporte dix-sept situations d’agression, de harcèlement ou de propos délictueux de la part d’encadrants ».
Un autre investissement massif et utile pour la jeunesse est possible. Si nous souscrivons à la volonté de favoriser l’engagement des jeunes et de faire de la mixité sociale une réalité du quotidien, nous maintenons que le gadget présidentiel du SNU n’est pas adapté. Bien au contraire. Il favorise l’entre-soi. Il impose un engagement unique.
Alors que le SNU contraint les jeunes et le tissu associatif dans une vision étriquée et formatée, rien ne prouvera jamais qu’il développe l’esprit citoyen. A contrario, nous soutenons qu’il faut des espaces d’engagements pluriels. Ils peuvent trouver corps dans l’éducation nationale notamment dans un parcours citoyen renouvelé, mais aussi prendre racine plus profondément si on offre une véritable place aux associations et à l’éducation populaire ! Cela commence par la suppression du SNU.
Liste complète des signataires :
Jean-Claude Raux, député de Loire-Atlantique
Marine Tondelier, secrétaire nationale des Écologistes
Manuel Bompard, coordinateur national de La France insoumise (LFI)
Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste (PS)
Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste français (PCF)
Cyrielle Chatelain, présidente du groupe Écologiste et Social
Mathilde Panot, présidente du groupe La France insoumise – Nouveau Front Populaire
Boris Vallaud, président du groupe Socialistes et apparentés
André Chassaigne, président du groupe Gauche démocrate et républicaine (GDR)
Guillaume Gontard, président du groupe Écologiste – Solidarité & Territoires (EST)
Patrick Kanner, président du groupe Socialistes, écologistes et républicains (SER)
Cécile Cukierman, présidente du groupe Communiste, républicain, citoyen et écologiste – Kanaky (CRCE-K)
Manès Nadel, président de l’Union syndicale lycéenne (USL)
Karel Talali, secrétaire général de l’Union étudiante (UE)
Maëlle Nizan, présidente de la Fédération générale des associations étudiantes (FAGE)
Hania Hamidi, secrétaire générale de l’Union nationale des étudiants de France (UNEF)
Annah Bikouloulou et Emma Chevalier, secrétaires nationales des Jeunes Écologistes
Emma Fourreau et Aurélien Lecoq, co-animateur et co-animatrice des Jeunes Insoumis
Emma Rafowicz, présidente des Jeunes Socialistes
Assan Lakehoul, secrétaire général des Mouvement Jeunes communistes de France (MJCF)
Mathilde Hériaud et Julien Layan, co-coordinatrice et coordinateur des Jeunes Génération·s
Léna Raud, secrétaire nationale de l’Union des étudiants communistes (UEC)
Helno Eyriey, président Groupe des organisations étudiantes et des mouvements de jeunesse du Conseil économique, social et environnemental (CESE)
Manon Rousselot-Pailley, présidente du Mouvement rural de jeunesse chrétienne (MRJC)
Abdelkrim Mesbahi, président de la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE)
Sophie Vénétitay, secrétaire générale et porte-parole du Syndicat national des enseignements de second degré – Fédération syndicale unitaire (SNES-FSU)
Morgane Verviers, secrétaire générale de l’Union nationale des syndicats autonomes (UNSA) Éducation
Julie Ferrua et Murielle Guilbert, co-déléguées de générale de l’Union syndicale Solidaires
Jean-Michel Bocquet, pour le Collectif Camps colos
Vendredi 25 octobre 2024 à 20 h.
Salle des fêtes de Mézy sur Seine (35, rue Alfred Lasson).
(Parking à 50 m, angle rue Erambert et rue d’Apremont).
Cher(e)s ami(e)s,
L’actualité des phénomènes climatiques, des scandales sur les eaux « minérales » traitées de manière frauduleuse, la présence de PFAS dans l’eau du robinet en provenance des captages de notre région (https://eau-iledefrance.fr/des-pfas-dans-leau-du-robinet/), les facturations abusives et les remises en cause par le GPS&O des réductions de prix obtenues dans les années 2009/2010 (en profitant des transferts d’un fournisseur privé à un autre), nous imposent de réorganiser notre Association afin d’élargir son périmètre d’intervention et ses capacités d’action.
Même si, dans la dernière période, nous sommes intervenus à chaque fois que des dossiers privés ou collectifs nous ont été confiés (Achères, Hardricourt, Aubergenville, Mantes la ville, Résidence du Lac à Mantes la jolie…), ainsi que nos amis du Collectif des Mureaux, même si nous avons aidé à la constitution d’Associations similaires à Plaisir, aux Clayes sous Bois, à Versailles… il reste que le « rapport de force » parmi les maires, les élus au GPS&O, et dans le département des Yvelines, n’est guère favorable au rétablissement de régies publiques de l’eau et de l’assainissement, alors que la démonstration a été faite des avantages obtenus sur les prix, la qualité de l’eau et la gestion démocratique de la ressource, partout où elles ont été rétablies (Val d’Orge dans l’Essonne, Est-Ensemble dans le 93…). (https://eau-iledefrance.fr/une-gestion-patrimoniale-solide-qui-assure-lavenir/).
Nous vous invitons donc à cette réunion du 25 octobre 2024, et à la faire connaître à vos divers « réseaux » associatifs et citoyens.
D’avance merci.
Cordialement.
Maurice Martin (AREP-VS).
AREP-VS. Agora. 254, Bd du Maréchal Juin. 78200 Mantes la jolie.
1 octobre 2024
Après avoir imposé la réforme des retraites contre l’avis d’une très large partie de la population et sans majorité à l’Assemblée, Emmanuel Macron persiste à appliquer à tout prix sa politique au service du patronat et des plus riches. Il s’apprête à faire adopter un budget d’austérité.
Nous avons une majorité !
Il existe une majorité dans ce pays, composée de celles et ceux qui travaillent pour gagner leur vie.
Elle exprime des revendications claires pour changer la vie en positif :
-augmenter le SMIC, augmenter les salaires, les indexer sur les prix
-abroger la réforme des retraites
-développer les services publics (transports, santé, éducation, Poste…) sur tout le territoire
Emmanuel Macron ne comprend que le rapport de force. Pour imposer le changement, nous devons le construire.
L’Union syndicale Solidaires appelle, dans l’unité avec la CGT, à se mobiliser massivement par la grève et les manifestations le 1er octobre pour imposer nos mesures d’urgence !
Nous n’aurons que ce que nous prendrons !
Grèves et manifestations le 1er octobre