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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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En grève ! Les travailleur·euses n'ont pas de pays ! Luttes migrant·es

vidéo sur la grève des sans-papiers de DPD, RSI et Chronopost

Vidéo sur la grève des sans-papiers de DPD, RSI et Chronopost from Union Syndicale SOLIDAIRES & Fédération SUD PTT on Vimeo.

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Solidaires national & Fédération SUD PTT- 2021 – durée 5mn

Canal Marches


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Retraites

24 mars -Retraité·es : Journée de rassemblements régionaux

Le “G9” a décidé de 28 rassemblements régionaux le 24 mars pour porter ses revendications sur le pouvoir d’achat, la santé et les services publics.

Ci-dessous le tract et en pj pour Paris, les autres manifestations sont prévues à : Normandie (Cherbourg ou St Lo, Caen, Rouen), Nouvelle Aquitaine (Bordeaux, Niort, Limoges), Centre Val de Loire (Tours, Orléans), Grand-Est (Nancy, Strasbourg, Colmar, Châlons-en-Champagne, Chaumont, Charleville Mézières), Auvergne Rhône-Alpes (Lyon, Clermont-Ferrand, Aurillac), Pays de Loire (Angers, Nantes, Saint-Nazaire), Occitanie (Toulouse, Montpellier), Corse (Haute Corse, Corse du Sud), Hauts de France (Lille), PACA (Marseille), Bretagne (Carhaix ou Pontivy, Redon ou proximité), Bourgogne-Franche Comté (Dijon), Région parisienne (Paris)

Documents à télécharger Tract 24 mars Paris

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Éducation En grève !

22 mars – Journée nationale de grèves des Assistant·es d’éducation

AED, les méprisé·es de Blanquer

Personnels essentiels au bon fonctionnement des établissements, les assistant·es d’éducation (AED, AP et APS) doivent faire face à des conditions d’emploi et salariales inadmissibles : CDD d’un an renouvelable en attente de la désormais possible CDIsation au bout de 6 ans, temps de travail incomplet, salaire sous le seuil de pauvreté.

Depuis le début de la crise sanitaire, leurs conditions de travail se sont amplement dégradées, notamment par la multiplication des tâches qui leurs sont confiées. Les missions qui sont définies par les textes réglementaires sont suffisamment floues pour que leur soient confiées toutes sortes de tâches, dont certaines ne sont clairement pas de leurs ressorts.

Lorsque c’est le cas, le bras de fer avec la hiérarchie est souvent rude, les chef·fes n’hésitant pas à jouer avec les menaces de non-renouvellement et de sanctions disciplinaires.

Le mépris envers les assistant·es d’éducation s’entend jusque dans l’hémicycle parlementaire lorsque des amendements proposant d’accorder la prime éducation prioritaire aux AED y exerçant sont balayés d’un revers de manche. Grand·es oublié·es du Grenelle de l’éducation, la seule réponse de Blanquer a été la publication d’un décret en décembre 2021 ouvrant la possibilité aux AED de faire des heures supplémentaires, blanc-seing donné aux chef·fes d’établissement leur permettant de faire pression sur les AED pour qu’ils et elles augmentent leur temps de travail selon les besoins du service.

Face à l’autoritarisme : le collectif et la solidarité !

De nombreux collectifs locaux d’assistant·es d’éducation ont vu le jour avec les mobilisations de l’hiver 2021, regroupés au sein d’une coordination nationale.

Ces collectifs ont permis de rompre avec l’isolement dans lequel se trouvent les AED, de créer des solidarités à l’échelle d’une ville ou d’un département, d’impulser des mobilisations locales, de mettre en place des caisses de grève.

Cette dynamique d’auto-organisation SUD éducation la soutient pleinement et appelle au renforcement des collectifs d’AED.

La Coordination nationale des collectifs d’assistant·es d’éducation appelle à une nouvelle journée de grève nationale des AED le 22 mars 2022. SUD éducation appelle les assistant·es d’éducation à se saisir de cet appel et dépose un préavis de grève pour ce jour-là.

La CDIsation ne suffit pas pour sortir de la précarité : gagnons notre titularisation !

Le 24 février 2022, l’Assemblée nationale a voté définitivement la loi portant sur le harcèlement scolaire, dont une des dispositions prévoit la CDIsation des AED après 6 ans de contrat.

La CDIsation, ça change quoi?

Tou·tes les personnels qui travaillent sous contrat dans la Fonction publique se voient automatiquement proposer un CDI après 6 ans de CDD avec moins de 4 mois d’interruption entre chaque contrat. Jusqu’à aujourd’hui, les AED étaient exclu·es injustement de cette disposition.

La CDIsation n’implique pas d’augmentation de salaire, le salaire doit être ré-examiné tous les 3 ans mais il n’existe pas de grille de progression salariale pour les AED à l’heure actuelle. Cette mesure de CDIsation est largement insuffisante : avec un CDI au SMIC, le gouvernement maintient les AED dans la pauvreté. Les AED en CDI vont travailler pour un salaire de 1269 euros nets pour un temps plein de 41h par semaine : c’est de l’exploitation !

L’AED en CDI n’est pas titulaire de la Fonction publique : il ou elle n’a pas accès aux mêmes droits que le fonctionnaires, c’est pourquoi SUD éducation revendique la titularisation de tous les personnels AED qui le souhaitent !

Pour les assistant·es d’éducation, SUD éducation revendique :

  • la titularisation sans condition de tous les personnels qui le souhaitent par la création d’un statut d’éducateur scolaire
  • l’augmentation des salaires avec une grille nationale d’augmentation salariale à l’ancienneté ;
  • la baisse du temps de travail ;
  • l’obtention de la prime REP/REP+ pour tous les personnels travaillant en éducation prioritaire ;
  • la suppression du forfait nuit en internat ;
  • la création d’une brigade de remplacement dans les départements pour ne pas faire peser aux AED en poste dans l’établissement le remplacement des collègues absent·es ;
  • le recrutement massif de personnels AED et la fin du recrutement par les chef·fes d’établissement : pour un recrutement académique ;
  • l’accès à une formation et l’augmentation du crédit d’heure pour formation.
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Écologie

24 mars Réunion publique – GPS&O : Nouvelle augmentation du prix de l’eau et de l’assainissement

 Jeudi 24 mars 2022 à 18h – Agora (Salle E)
254, Bd du maréchal Juin. 78200 Mantes-la-Jolie.
GPS&O


– Le GPS&O a décidé, dans sa séance du 16 décembre 2021, d’augmenter le prix de l’eau de 0,25 € le m3 (à partir du 1er janvier 2022), l’assainissement de + 2,57 %, les redevances, enfin, de 2 à 5 centimes le m3.
– Au total, pour une facture de référence de 120 m3 annuels (pour une famille de quatre personnes), une dépense supplémentaire de 37 € environ.
– Le GPS&O a également réaffirmé sa volonté de poursuivre l’harmonisation des prix des quelque 56 contrats (presque tous en Délégation de Service Public, c’est-à-dire confiés aux sociétés privées) qui gèrent le secteur dans les 73 communes de l’agglomération.
– Le GPS&O a, en outre, approuvé le principe d’une augmentation annuelle systématique équivalent à l’indice du coût de la vie calculé par l’INSEE, à partir de 2023.
– La raison invoquée pour « justifier » ces augmentations est la mise en place de la décarbonatation (eau adoucie avant distribution) et le renouvellement « patrimonial » des réseaux dont l’entretien a été longtemps négligé par les délégataires privés.- A noter que la délibération mettait à part la situation particulière de la seule régie publique de l’agglomération, celle de Limay/Guitrancourt, qui propose la fourniture gratuite de 40 % des m3 à usage domestique. Le Maire de Limay a été amené à intervenir pour rappeler cet acquis social important dont bénéficient les familles et les habitants desservis par cette régie publique, et que le GPS&O voulait faire disparaître par une augmentation uniforme.



Lorsque notre Association s’est constituée en 2009 dans le cadre de l’ancienne CAMY (Communauté d’Agglomération de Mantes en Yvelines), elle a obtenu, grâce à une démonstration implacable comparant les prix de la régie publique de Limay à ceux pratiqués par Suez et Veolia qui se « partageaient » les communes de la CAMY, une baisse de 30% du prix de l’eau et de 72 % du tarif de l’abonnement en 2010.
De même, à Poissy et aux Mureaux, des Associations comparables (Eau Val de Seine, Les Mur’eau) ont combattu pour le retour ou le maintien de régies publiques dans leurs communes pour la distribution de l’eau et l’assainissement.
La loi NOTRe de 2015 a contraint les communes et les communautés d’agglo à fusionner dans de gigantesques ensembles, tel le GPS&O qui regroupe 73 communes de la Vallée de la Seine et plus de 400 000 habitants.
Les prérogatives traditionnelles qui relevaient auparavant des communes, comme la gestion de l’eau potable, ont été déléguées à ces gigantesques intercommunalités qui décident désormais des tarifs et de la reconduction des contrats, presque tous confiés aux délégataires privés Suez et Veolia qui n’étaient « concurrents » qu’en apparence et qui, depuis 2021, ne constituent plus qu’une seule entreprise « monopolistique », puisque Veolia a racheté Suez !
A ce propos, il faut rappeler la position de l’AMF (Association des Maires de France) et de l’AMRF (Association des Maires Ruraux de France)  qui «demandent de laisser les communes, les communautés de communes et d’agglomération organiser librement les compétences eau et assainissement ; alors que le mécanisme de délégation (…) le rend en réalité peu applicable au regard de sa compétence ». (12 novembre 2019).
Or, force est de constater que très peu de Maires et d’élus du GPS&O défendent cette revendication qui est pourtant la position officielle des Associations dont ils sont membres 
Le résultat est connu : les contrats de DSP (au privé) sont systématiquement reconduits, les prix augmentent de manière uniforme, l’harmonisation se fait plutôt à la hausse et la seule régie publique de Limay/Guitrancourt, qui a mis en place une tarification sociale, doit combattre pour se maintenir et la défendre________________________________
En 2016, l’AREP-CAMY a donc proposé aux Associations de Poissy et des Mureaux de fusionner pour devenir l’AREP-Val de Seine afin de pouvoir intervenir au niveau communautaire.Mais chacun comprend que l’intervention et le contrôle des citoyens est devenu beaucoup plus difficile face à ces intercommunalités « monstrueuses »… qui ont d’ailleurs été conçues pour éloigner toujours plus les citoyens des instances de décision !Il existe pourtant une solution conforme, à la fois, à la position de l’AMF et de l’AMRF et à l’intérêt des habitants du GPS&O :

  • Créer dès maintenant le cadre d’une régie publique à l’échelle de la communauté d’agglomération afin d’accueillir progressivement les communes à échéance de leurs actuels contrats de DSP qui ne seraient donc pas reconduits.
  • Adopter une tarification sociale à l’exemple de la régie de Limay/Guitrancourt qui rend gratuits 40 % des m 3 à destination domestique

Les élections présidentielle et législatives à venir (ainsi que municipales à Mantes la jolie), sont l’occasion de réaffirmer et de faire prévaloir ces propositions auprès des élus et des candidats qui ont le pouvoir de les mettre en œuvre.
Participez à notre réunion du 24 mars à l’Agora de Mantes la jolie, animée par Jean-Claude OLIVA, directeur de la Coordination Eau Ile-de-France, dans le cadre du « Printemps de l’eau 2022 », et de la « Journée mondiale de l’eau »
Adhérez à l’AREP-VS pour mener ce combat dans le Val de Seine.

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Actu Solidaires 78 En grève ! Luttes féministes

Grève du 8 mars : de Mantes à Paris…

La veille du 8 mars, le 7 en soirée les FFFrac étaient en  manifestation dans les rues de Mantes la Jolie  : une ambiance combative et très animée. Des arrêts symboliques permettaient des interventions  orales notamment sur le pourquoi et le comment de la grève des femmes, le bilan de Macron , les femmes ukrainiennes  face à la guerre ainsi que des chants féministes très appréciés.

Le 8 à Paris   : la déferlante féministe  fut très réussie, unitaire,  jeune, mixte et dynamique avec plusieurs arrêts symboliques

photos des défilés, dont celle du die in au Père Lachaise, un moment très poignant.

La GREVE DES FEMMES : ça vient d’où et pourquoi ?

Depuis 1968 dans certains pays, il y a eu plusieurs grèves gagnantes de femmes, spécifiquement pour demander l’égalité notamment des salaires et contre les discriminations (en Angleterre, en Islande).

Mais depuis les années 2010 la grève des femmes comme outil de lutte est devenue centrale pour la nouvelle vague du féminisme qu’on voit se développer mondialement à l’occasion du 8 mars journée internationale de lutte pour les droits : de façon très massive en Argentine où une femme meure toutes les 30 heures ou en Pologne pour le droit à l’avortement.

En France, l’appel à la grève des femmes pour le 8 mars est défendu depuis 2014 par l’Union syndicale Solidaires.

Depuis, l’appel est repris par le Collectif national pour les droits des femmes, On arrête toutes et la CGT. En 2022, beaucoup d’autres collectifs et syndicats dont la FSU rejoignent cet appel.

Le 8 mars 2017, dans pas moins de 30 pays, les féministes ont organisé une grève internationale des femmes de la production et du travail domestique.

Le 8 mars 2018 en Espagne, la gréve préparée pendant un an, par des assemblées, a réuni 6 millions de femmes.

Cette nouvelle forme de mobilisation pour unifier la lutte dans le monde entier, confère à ce « nouveau » mouvement des femmes un caractère réellement international.

Grève de la reproduction sociale : c’est quoi?

Il ne s’agit pas de n’importe quelle grève.

La grève des femmes allie grève du travail salarié et grève du travail reproductif.

Le travail reproductif, c’est l’ensemble des tâches, rémunérées ou non, ayant lieu dans la sphère privée, familiale ou non, qui permettent la reproduction des travailleurs et travailleuses ainsi que celle de la force de travail.

C’est l’ensemble du travail domestique (tâches ménagères, éducation des enfants, préparation des repas, des habits, entretien de la maison…), du travail de soin psychologique (travail émotionnel, charge mentale), et de la reproduction sexuelle.

Pour le 8 mars, il ne s’agit donc pas uniquement de se mettre en grève sur notre lieu de travail, mais aussi de cesser d’effectuer l’ensemble des tâches qui sont attendues socialement des femmes, qui constituent la fameuse double journée de travail.

La grève des femmes permet de visibiliser le travail reproductif comme un véritable travail.

Souvent invisible, gratuit, il passe inaperçu.

Pourtant, il est central dans le système capitaliste. Sans lui, il n’y a plus de travailleurs ni travailleuses, ni de profit pour les entreprises.

À l’heure actuelle, ce travail domestique à la maison est accompli en partie par des femmes immigrées-parfois maltraitées et sous-payées-, car il a été partiellement externalisé, notamment dans les foyers des classes dominantes et aisées.

Défendre la grève du travail reproductif, c’est donc aussi faire le lien entre lutte des classes, féminisme et antiracisme, qui sont intrinsèquement liés.

Récemment, nombre de luttes victorieuses ont lieu dans les secteurs du travail reproductif salarié, notamment le nettoyage : grève d’ONET, grève des Holiday Inn, des Hôtel Ibis etc…

En faisant la grève du travail productif et reproductif, non seulement nous bloquons la production et la reproduction, mais nous dégageons également du temps pour nous organiser solidairement, pour débattre librement, nous former pour mieux résister.

Trop souvent les femmes ne peuvent pas se mettre en grève et ou en lutte car pèsent sur elles la charge de la famille !

Cette grève est à la fois une grève sociale mais aussi politique : elle est contre le système économique et patriarcal dont l’oppression des femmes est une des pierres angulaires.

En défendant une grève totale, on libère un espace pour la lutte des femmes.

Alors, toutes en grève pour le 8 mars !

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Actu Solidaires 78

Formation interprofessionnelle Palestine : fragments, luttes et analyses

Palestine : fragments, luttes et analyses
Centre d’études et de formation interprofessionnel
Formation interprofessionnelle

Palestine : fragments, luttes et analyses

Organisme : CEFI Solidaires national
Lieu : Paris (75010)
Date de début : 21 mars 2022
Date de fin : 22 mars 2022
Durée : 2 jours
Thématiques :
International
Vous inscrire à cette formation

Pas d’inscription individuelle : Inscriptions auprès des Solidaires locaux, fédérations et syndicats nationaux qui transfèreront au CEFI. Repas de midi et Transport pris en charge par le CEFI. Hébergement et repas du soir pris en charge par la structure inscrivante.

Contact : inscriptionscefi@solidaires.org

Nous reviendrons dans un premier temps sur la genèse du conflit et l’histoire des luttes palestinienne avant de discuter de la situation actuelle dite « post-Oslo ». La deuxième journée sera axée sur notre action en tant que militant·e·s syndicales avec un premier échange autour des réalités du travail en Palestine à partir de la diffusion du film « Contre-feux : résistance sociale et syndicale en Palestine », et un second temps de réflexion sur notre stratégie syndicale de soutien au peuple palestinien.
Cette formation sera aussi l’occasion d’inviter des camarades des associations avec lesquelles nous militons quotidiennement sur la Palestine, pour débattre, se faire une idée générale des enjeux actuels et repartir avec des éléments et pistes concrètes pour faire vivre notre syndicalisme internationaliste sur cette question.



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Retraites

Le 24 mars, les Retraités seront dans la rue pour les pensions, la santé et les services publics

POURQUOI les retraités sont sacrifiés ?
• Pourquoi nos pensions « décrochent » chaque année et baissent régulièrement au regard du coût de la vie ? Pourquoi en 10 années avons-nous perdu près de 10 % du montant initial de nos pensions ?
• Pourquoi a-t-il fallu le scandale ORPEA pour que les médias s’intéressent à la situation des personnes très âgées dans les EHPAD, situation que nos organisations dénoncent depuis des années ? Pourquoi les résidents des EHPAD ont-ils été interdits d’accès aux urgences hospitalières au beau mi-
lieu de la pandémie, entraînant ainsi 34 000 décès parmi les 600 000 résidents des Ehpad, soit plus d’un décès sur trois constaté en France ? Retraités, nous sommes :
– sciemment appauvris,
– volontairement sacrifiés.
Nous ne l’accepterons jamais !


Le 24 mars 2022, nous manifesterons dans les régions et les départements pour dire notre colère et nos revendications. En pleine période électorale présidentielles et législatives, nos 9 organisations tiennent à imposer le social dans l’actualité et rappellent leurs revendications :

Retour à l’indexation de nos pensions sur les salaires ! C’est la désindexation, depuis 1987, qui a entraîné une baisse continue des
revenus des retraités. Alors que les entreprises du CAC 40 ont enregistré 137 milliards d’euros de profit en 2021, que les grandes banques ont réalisé plus de 31 milliards d’euros de profit, il est inadmissible que des retraités perçoivent moins de 800 euros par mois.
• Pas de pension inférieure au SMIC !

• Rattrapage des pertes de pouvoir d’achat équivalent à un mois de pension par an.
• Annulation de la hausse de la CSG de 1,7 point décidée par le gouvernement actuel en 2017 !
• Rétablissement de ½ part fiscale supplémentaire pour les parents isolés, les veufs-veuves qui a été injustement supprimée !
• Amélioration des pensions de réversion versée aux conjoints survivants !

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