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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Actu Solidaires 78 La Poste Services publics

Intervention de Solidaires 78 au rassemblement contre la fermeture du bureau de Poste de Gassicourt du 11 janvier 2025

Solidaires 78 s’associe à la défense des services publics, en défendant à la fois leurs salariés et leurs usagers.

Les services publics sont en quelque sorte du salaire redistribué, notamment pour les plus précaires. C’est le parachute de ceux qui n’ont rien. Il ne s’agit pas que la Poste, mais aussi des écoles, de l’hôpital, du rail, des télécoms… même si leur démantèlement est bien avancé.

Il faut rappeler que la logique du service public est de remplir un service, une mission, et pas rechercher un profit, même si la propagande s’évertue à nous marteler le contraire. Cette idée recule, et on cherche à faire croire que les services publics coûtent cher, alors qu’en réalité cela n’est pas un problème.

Force est de constater que les services publics reculent, à l’hôpital les lits ferment, dans les écoles les classes ferment, dans le rail des lignes ferment, et partout les tarifs augmentent : forfait urgences à l’hôpital, + 10 euros du pass Navigo en janvier, etc.

Alors, pour défendre le service public, même si nous nous félicitons d’être là aujourd’hui, pourquoi ne sommes nous pas plus nombreux ? On peut avancer plusieurs hypothèses :
– les service publics ont muté vers plus de numérique, et sont rendus de fait moins accessibles, moins palpables par beaucoup d’usagers. À la Poste, le recul du courrier papier se fait sentir, et les livraisons de colis par d’autres entreprises ou canaux sont nombreux.
– le bureau de Poste de Gassicourt est davantage utilisé par des personnes âgées du quartier, et malheureusement, ces personnes se mobilisent peu, alors que ce sont les plus concernées. Les jeunes à qui on peut en parler ne se sentent pas très concernés.
– parfois, les services publics se retournent contre les usagers et les travailleurs, ressemblant à des sévices publics. On a connu la vague de suicides à France Télécom, les tarifs exorbitants du rail freinent les déplacements des moins fortunés, à l’école le tri social fait des ravages… Il devient parfois difficile de s’identifier aux services publics…

C’est pourquoi nous nous battons non seulement pour le maintien et l’extension des services publics, mais aussi pour leur appropriation par les usagers, pour l’avenir de leur quartier. Nous voulons nous approprier notre territoire, grâce aux services publics, sous la direction de ceux qui en bénéficient et de ceux qui les font tourner.

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Histoire Luttes féministes

17 janvier 1975 – 17 janvier 2025 : la loi sur l’interruption volontaire de grossesse a 50 ans, un grand pas pour les droits des femmes

Publié le 8 janvier 2025

17 janvier 1975 : une loi est enfin votée. Une loi qui n’aurait jamais vu le jour si le MLAC (Mouvement pour la Liberté de l’Avortement et la Contraception) n’avait pas porté ce combat. Ce combat des femmes qui en avaient assez de voir leur vie gâchée par de multiples grossesses ou de devoir avorter dans de sordides conditions et parfois au péril de leur vie.

Ce combat, ce fut des avortements clandestins réalisés dans de bonnes conditions sanitaires, ce fut des départs collectifs et revendiqués en Angleterre, aux Pays Bas et en Suisse, ce furent de nombreuses manifestations.

Nous , mouvement féministe, soutenu par des médecins et par une large part de la société, avons lutté, agi, écrit, publié, filmé, dans l’illégalité et la légalité avant 1975 pour conquérir enfin ce droit fondamental.

C’est poussé par cette mobilisation importante que le gouvernement et des parlementaires ont accepté la pratique de l’avortement en France sous conditions strictes et restrictives, à l’essai, pour éviter que des femmes continuent à mourir dans la clandestinité et pour que l’« ordre public» soit rétabli. Simone Veil a porté la loi à l’Assemblée nationale avec beaucoup de courage contre les réactionnaires et fascistes de tous poils mais seule, elle n’aurait rien pu faire.

1975 a été une victoire des forces féministes et de progrès visant l’égalité entre les femmes et les hommes dans notre société. Et ces mêmes forces féministes ont dû lutter pour acquérir de nouveaux droits, faire évoluer la loi pour qu’elle réponde vraiment aux droits des femmes.

A l’heure actuelle, sont à l’œuvre au niveau national et international, des forces traditionalistes, d’extrême droite, soutenues par des religieux comme le pape. Elles pervertissent les mots liberté, vie et même féminisme. Aux USA, les juges de la Cour Suprême nommés par Trump ont rendu l’avortement impossible au niveau fédéral et de nombreux États en ont supprimé l’accès. En Argentine, le président Milei veut faire de même. Constitutionnalisation ou pas, rien n’est jamais acquis définitivement. De nombreux pays refusent toujours le droit à l’avortement.

De nombreux pays refusent toujours le droit à l’avortement. En Pologne ou dans certains états des USA, toute complication de la grossesse (arrêt spontané foetal par exemple) ou toute grossesse pathologique nécessitant une interruption peuvent passer pour un avortement que les médecins refusent alors de faire. Des femmes meurent par absence de soins.

Nous n’oublions pas ces générations de femmes en France à qui la société refusait ce droit. Nous voulons que nous et les générations futures, partout dans le monde, puissions choisir librement d’être enceintes ou pas, d’être mère ou pas, dans des conditions sanitaires dignes et protectrices.

Toutes concernées, nous « célébrons » la loi de 1975 sur l’avortement.


Le programme de la soirée :



Plusieurs événements auront lieux sur l’ensemble du territoire autour de cette date là. N’hésitez à nous les communiqués à contact@solidaires.org

Les inscriptions sont obligatoires : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLScADJuziaLNmcj9jQKtY4wSdYD8aNfCMuq_zGAH4XioePe1fA/viewform?usp=header

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antiracisme Défense de nos libertés Éducation

Retailleau : encore une honteuse sortie de piste raciste !

Ce communiqué a été publié le 09/01/2025

Dans une interview au Parisien publiée le lundi 6 janvier, Bruno Retailleau s’illustre encore une fois par ses propos racistes et islamophobes. En déclarant que les mères accompagnatrices des sorties scolaires “n’ont pas à être voilées”, le ministre de l’intérieur réaffirme son appartenance à l’extrême-droite.

SUD éducation dénonce une récupération idéologique et condamne une déclaration stigmatisante pour de nombreuses mères d’élèves. Elles prennent sur leur temps libre pour accompagner les classes; sans leur participation, les enseignant·es ne peuvent organiser de sorties scolaires.

Par ailleurs, Bruno Retailleau invoque la loi de 2004 qui interdit aux élèves de manifester ostensiblement une appartenance religieuse. Comme à chaque fois, cette loi, est utilisée à des fins islamophobes et sexistes qui vise toujours les femmes musulmanes faisant le choix de porter le voile. La loi de 2004 ne s’applique pas aux parents d’élèves. Les parents ne sont pas soumis à la neutralité religieuse comme l’a précisé le Conseil d’Etat en 2013.  Cette idée n’est pas nouvelle à droite. Julien Odoul, alors conseiller régional de Bourgogne en 2019, avait exhorté, avec mépris, à une mère accompagnatrice d’une classe à retirer son voile. 

Dans cette même interview, Bruno Retailleau s’est par ailleurs dit “favorable à l’interdiction du port du voile à l’université”.  Une proposition du ministre de l’intérieur que le ministre auprès d’Élisabeth Borne, chargé de l’ESR, Philippe Baptiste, a heureusement contredit rappelant le droit aux étudiantes d’exprimer leurs convictions personnelles, y compris religieuses, au sein des établissements du supérieur. Pour SUD éducation, la liberté qu’ont aujourd’hui les femmes de porter ou ne pas porter le voile à l’université, en France comme dans la majorité des universités dans le monde, doit être défendue sans réserve. 

Rappelons que cette attitude va même à l’encontre de la laïcité pensée par loi loi de 1905 qui impose à l’État la neutralité religieuse et permet à chaque citoyen·ne de pratiquer ou non un culte religieux. Le projet de Retailleau est fondamentalement opposé à la laïcité. De la neutralité de celles et ceux qui exercent un service public, il dérive vers la “neutralité de l’espace public” pour finalement proposer la neutralité “du public”. Bref, un projet totalitaire et réactionnaire. Bruno Retailleau semble par ailleurs avoir une conception de la laïcité à géométrie variable puisqu’il n’hésite pas à défendre la place de crèches dans les bâtiments publics, déclarant : “Je suis pour une laïcité ouverte et tolérante. Je ne suis pas pour cet intégrisme laïcard.”

En évoquant ce sujet dans une interview à l’occasion des dix ans des attentats de Charlie Hebdo, le ministre de l’intérieur procède à un amalgame honteux entre le port du voile et le terrorisme. Ainsi les personnes musulmanes continuent d’être stigmatisées à des fins politiques racistes, xénophobes et islamophobes. Bruno Retailleau cherche par cet article à inquiéter en faisant référence à une soit disante guerre des civilisations, invoquant “les conquêtes de l’occident”. Enfin, il est aberrant qu’un ministre d’extrême droite instrumentalise “l’égalité hommes-femmes” alors qu’on connaît notamment son opposition conservatrice aux programmes de l’EVARS ; en témoignent ses accointances avec l’organisation de parents d’élèves SOS éducation, sortie des rangs de la “Manif pour tous”, qui a plus d’une fois prouvé son idéologie, sexiste, lgbtiphobe, raciste et nationaliste. La lutte contre le sexisme n’a pas à être instrumentalisée à des fins islamophobes.   Les déclarations du ministre s’inscrivent dans une tradition patriarcale de contrôle des corps et des tenues des femmes contre laquelle SUD éducation lutte sans relâche.

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(re)Penser notre syndicalisme

Force et espoir pour 2025 !

Génocide à Gaza, guerre en Ukraine, montée de l’extrême droite en Europe, ou ailleurs, catastrophes climatiques, Mayotte, régressions sociales par le gouvernement Macron, annonces de dizaines de milliers d’emplois supprimés, cette année 2024 a été lourde.

La mobilisation de toutes les forces progressistes a toutefois permis que l’extrême droite n’arrive pas au pouvoir en juin. Les résultats des élections législatives laissent néanmoins une situation de crise démocratique et sociale difficile, sans lever cette menace.

Nos mobilisations sont d’autant plus indispensables.

Nos batailles pour le service public, pour l’emploi, pour de meilleures conditions de travail, pour la protection sociale, contre la répression antisyndicale, pour nos libertés, pour l’égalité des droits et le respect de ceux-ci, pour mettre fin à toutes les discriminations et oppressions, et nos soutiens aux luttes internationales, sont les réponses à l’urgence sociale, environnementale et démocratique.

Dans un tel contexte, les victoires sont de toute évidence trop rares. Mais ces lueurs d’espoir confirment que le mouvement social reste un rempart efficace comme un levier puissant de transformation sociale.

Sans les luttes féministes, la liberté d’avorter ne serait pas inscrite dans la constitution, et sans elles et le courage de Gisèle Pelicot, la notion de consentement ne serait pas au cœur des débats politiques et juridiques actuellement sur le viol. Sans les convergences construites contre les méga-bassines, quatre d’entre elles n’auraient pas été déclarées illégales. Sans la lutte des cheminot-es et des collectifs comme l’Alliance Ecologique et Sociale, pour défendre Fret SNCF, ce levier écologique essentiel resterait ignoré. Et surtout, les agent·es de Fret SNCF transféré·es dans les filiales n’auraient pas pu conserver leurs conquis sociaux !

Nous sortons en 2024 d’un congrès, forts et fortes de nouvelles orientations et revendications. Continuons à construire un outil syndical apte à affronter les échéances qui s’annoncent.

Le secretariat national de solidaires adresse ses vœux de santé, d’épanouissement a l’ensemble des adhérent-es de solidaires, ainsi qu’à toutes celles et ceux qui luttent pour un monde meilleur !
Pour que 2025 soit une année de victoires, de confiance dans notre capacite collective à lutter, gagner, pour une réelle transformation sociale !
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Internationalisme Palestine

Cartographier le génocide à Gaza

À lire sur le site Agence médias Palestine

Le dernier rapport de Forensic Architecture documente l’ampleur et les intentions derrières l’assaut israélien sur la bande de Gaza, renforçant ainsi les arguments de l’Afrique du Sud dans son affaire devant la Cour Internationale de Justice accusant Israël de crime de génocide. Lire à ce sujet cet article en date du 28 décembre dernier sur le site de l’Agence :
Cartographier le génocide à Gaza

A lire aussi sur le site de l’Agence :
Gaza, jour 450 : 7 enfants palestiniens sont morts de froid Quand la destruction d’un hôpital n’est plus une nouvelle
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La Poste

Samedi 11 janvier 2025 à 11 heures, rassemblement pour le maintien du bureau de Poste de Gassicourt

Devant le bureau de poste, place Paul Bert, à Mantes la Jolie

1000 signatures contre la fermeture du bureau de poste de Gassicourt recueillies une à une notamment devant le bureau de poste devant lequel nous sommes présents le jeudi après-midi depuis le mois d’octobre. Les Gassicourtois refusent très majoritairement cette fermeture et réclament un bureau de poste de plein exercice y compris son service bancaire.

Cette mobilisation ne laisse personne indifférent.

Nous avons rencontré le Sous-préfet de Mantes le 22 novembre, le maire de Mantes la jolie le 9 décembre et le député de la 8° circonscription le 11 décembre. Nous avons redit à tous l’opposition de plus d’un millier de mantais à la fermeture.

LA FERMETURE DU BUREAU DE POSTE NE DOIT PLUS ETRE MAINTENUE.

Quant à la direction de La Poste elle n’a encore jamais répondu à nos sollicitations MAIS … elle n’a toujours pas signifié au propriétaire privé des lieux qu’elle quittait les locaux.

LA POSTE DE GASSICOURT NE SERA DONC TOUJOURS PAS FERMEE AU 1° JANVIER 2025. A NOUS MAINTENANT D’OBTENIR QUE LE PROVISOIRE DEVIENNE DEFINITIF.

D’autant que le point d’accueil France Services situé dans les locaux du centre de vie social Paul Bert sera inauguré le 4 janvier et ouvert au public le lundi 6 janvier n’hébergera pas avant février un « point poste ». Le sous-préfet et le maire nous vantent les mérites de ce « point poste » qui assurerait les services de base de la Poste (envoi des plis et des recommandés, colis).

En réalité :

  • Fermeture le samedi matin du point France Services
  • Disparition du guichet et des services de la Banque postale, alors que cette banque gère les comptes de nombreux allocataires du RSA, nombreux dans le quartier
  • Inquiétude sur le maintien du Distributeur de Billets dont rien ne garantit le maintien durable
  • Le point France Services sera financé principalement par la municipalité et donc par les impôts des mantais : plusieurs dizaines de milliers d’euros par an alors que La Poste devenue entreprise privée, a versé à ses actionnaires le 15 octobre 2024 un acompte d’un milliard d’euros sur les dividendes pour l’exercice 2024 !

La fermeture du bureau de poste serait un recul du service rendus aux Mantais. Rien ne la justifie.

Rassemblons-nous le samedi 11 janvier à 11 heures devant la poste pour le maintien du bureau de poste

Le collectif « sauvons la Poste de Gassicourt ».

Notre mail  sauvonslapostedegassicourt@riseup.net

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Solidarité !

Caisse de solidarité en soutien à Mayotte : toutes et tous solidaires des habitant·es de Mayotte  !

Mayotte a été frappé par le cyclone Chido ce 14 décembre. Depuis, le Préfet a appelé les habitant·es à rester confiné·es et de nombreuses habitations, y compris les plus précaires entourant Mamoudzou, ont été détruites et, à cette heure, les autorités font état de 14 personnes décédées, un bilan provisoire qui malheureusement risque de profondément s’alourdir.
SUD éducation présente ses condoléances aux habitant·es de Mayotte et leur apporte un soutien plein et entier.

La catastrophe qui est survenue met au jour le croisement entre crise écologique, système post-colonial et crise sociale. Le département de Mayotte est le département le plus jeune, le plus pauvre, le plus inégalitaire de France, les habitant·es n’ont pas accès à un même service public d’éducation, de santé et ont subi des épisodes de sécheresse leur coupant l’accès à l’eau… Le cyclone Chido montre à quel point ce sont les territoires les plus pauvres qui sont touchés en premier lieu par la crise écologique alors même qu’ils en sont les moins responsables. En effet, les températures extrêmement élevées des eaux dans l’océan Indien expliquent la violence de Chido : le réchauffement climatique annonce des catastrophes environnementales plus intenses et plus fréquentes.

Il est urgent de se mobiliser pour la reconversion écologique de la société, se mobiliser pour la justice sociale et contre le système d’exploitation postcolonial, pour un vrai accès aux droits fondamentaux que sont l’éducation, la santé, le logement… pour soutenir les habitant·es de Mayotte.

Face à l’urgence de la situation et pour soutenir les personnels de l’éducation, les élèves et leurs familles à Mayotte, SUD éducation lance une caisse de solidarité qui sera reversée à SUD éducation Mayotte.

Pour accéder à la caisse de grève, cliquez sur l’image

Comment donner ?

Pour donner par carte bancaire, il vous suffit de cliquer ici.

À quoi sert cet argent ?
Il servira uniquement à la solidarité avec Mayotte. La fédération reversera l’argent au syndicat de Mayotte pour qu’il puisse, selon ses décisions et la somme collectée, le reverser :
 aux personnels de l’éducation ;
 aux membres du syndicat ;
 aux élèves et à leurs familles.

Et mes données personnelles ?

SUD éducation s’engage à ne conserver les informations personnelles que durant la durée de la campagne de solidarité (de la collecte jusqu’à la répartition des fonds collectés).

Après, toutes les informations permettant de vous identifier seront détruites.

Une seule exception : la trace comptable du versement pour des raisons légales et de transparence financière. SUD éducation s’engage à ne vous contacter que dans le cadre de cette campagne de solidarité. Vous aurez bien sûr conformément à la loi la possibilité sur simple demande de rectifier les informations personnelles vous concernant.

Et quelle confiance puis-je avoir dans le fait que ces fonds serviront effectivement à l’aide aux victimes du cyclone chido ?
SUD éducation est une organisation syndicale. À ce titre, elle fait certifier et publie ses comptes chaque année. Chacun et chacune pourront vérifier que l’argent a été effectivement versé au syndicat SUD éducation Mayotte.

Notre communiqué

Des nouvelles de Mayotte

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Internationalisme Les travailleur·euses n'ont pas de pays !

Solidaires et internationalistes n°127

Au sommaire du n°127 de décembre 2024 du bulletin Solidaires et internationalistes :

  • Réseau syndical international de solidarité et de luttes
  • Syrie
  • Liban, Palestine
  • Corée
  • Brésil
  • Education
  • Centres d’appel
  • Kanaky
  • Haïti
  • Sahara occidental
  • Italie
  • Galice
  • Chiapas
  • Ukraine
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Industrie Licenciements Vidéo

[Vidéo] “Valeo m’a tué” Stop aux licenciements !

Une vague de licenciement de près de 150000 salarié-es est en train de ravager l’ensemble du territoire.

C’est une véritable saignée sociale !

Les patrons sans scrupules délocalisent, spéculent afin optimiser leur dividendes et utilisent les salarié-es comme variable d’ajustement.

Trop c’est trop, c’est pourquoi à Valeo , les travailleurs et travailleuses ont décidés d’agir par la grève pour obtenir des garanties pour leurs avenir, accompagné par l’Union syndicale Solidaires et Sud industrie, ils et elles revendiquent un droit de veto au CSE contre les licenciements boursiers et de meilleures conditions de travail.

C’est par le collectif et les luttes que nous arrivons à faire plier le patronat!

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