De 17 à 19 h, la librairie la Nouvelle Réserve (Limay).
Ouvert à tous et à toute

De 17 à 19 h, la librairie la Nouvelle Réserve (Limay).
Ouvert à tous et à toute
La mobilisation de ce mercredi 10 septembre a vu plusieurs centaines de blocages, rassemblements et manifestations, au moment même de la passation de pouvoir entre Bayrou et Lecornu. L’exaspération sociale du pays qui s’est exprimée hier doit être entendue, c’est pourquoi nos organisations CGT éducation 78, FSU 78 et SUD éducation 78 appellent l’ensemble des personnels à s’organiser collectivement par le biais d’assemblées générales ou d’heure d’informations syndicales pour construire la grève du 18 septembre et préparer ses suites.
Face à la stratégie systématique de passage en force du Président de la République et du patronat, nous nous devons d’opposer une réponse collective massive. Le changement de casting ne mettra pas de frein à la politique d’austérité, le blocage du pays par la grève, si !
Les mesures budgétaires avancées par l’ancien gouvernement sont d’une brutalité et d’une injustice sans précédent et font une nouvelle fois payer les plus précaires, les retraité·es, les malades. Les sacrifices pour le monde du travail, ça suffit !
Dans l’Éducation nationale, les restrictions budgétaires ont de plus en plus de conséquences délétères sur la qualité du service public rendu et les conditions de travail des personnels : tri social, manque de remplaçant·es, défaut d’accompagnement pour les élèves en situation de handicap, classes surchargées, manque de personnels médico-sociaux, rémunérations insuffisantes… la liste est longue.
Pour porter et faire appliquer nos revendications de justice sociale, environnementale et fiscale, pour faire vivre nos valeurs de solidarité, pour exiger un autre projet de société, nos organisations CGT éducation 78, FSU 78 et SUD éducation 78 appellent à se mettre massivement en grève le 18 septembre, à rejoindre les mobilisations départementale et régionale et à discuter dès à présent des modalités de reconduction.
Manifestation régionale : départ 14h00 place de la Bastille [parcours à confirmer]
Dans le cadre de la journée nationale de mobilisation du 18 septembre.
11h rassemblement devant la mairie des Mureaux
12h30 Assemblée au Parc Jean Vauzelle à côté de la mairie
Mobilisons-nous nombreuses et nombreux.
Relayer l’information au plus grand nombre.
19 h, AG à la librairie La Nouvelle Réserve de Limay
Avec 250 000 participant∙es, le 10 septembre a été un succès. Il a montré la détermination très forte pour obtenir un budget de justice sociale, fiscale et environnementale. Et maintenant, soyons encore plus nombreux et nombreuses dans l’action le 18 septembre !
Des blocages ont eu lieu dans de nombreuses localités : 100 lycées bloqués, plusieurs universités (à Montpellier, Rennes, Grenoble, Lyon…), des blocages de supermarchés (Carrefour), de centres commerciaux, d’axes routiers, de péages, de ronds-points, de dépôts de bus ou de trams, d’entrepôts logistiques, d’une direction de la SNCF (34), d’une usine d’armement en soutien à la Palestine (13). Les personnes mobilisées se sont retrouvées pour des pique-niques et des cantines, dans des « villages des indigné∙es ».
Notre premier outil, c’est la grève ! Faire grève, c’est bloquer son lieu de travail, comme dans la culture qui est en lutte depuis le budget 2025 et ses coupes dramatiques pour le secteur ou contre la mainmise de Bolloré. Le 10 de nombreux sites étaient fermés ou fortement impactés : le Louvre, l’Orangerie, le musée Moreau, l’Inha, le Trianon, Versailles, Orsay, le Grand Palais, la BNF Richelieu occupée, la Basilique de Saint-Denis, l’Opéra Bastille, l’Opéra Garnier, le Conservatoire national de Paris. Des salarié∙es étaient en grève dans de nombreuses salles de spectacles vivant et à Radio France. Une cinquantaine de librairies étaient fermées. Plusieurs groupes de l’édition, grands (Hachette, Bayard, Madrigall, Mediaparticipation) ou petits, ont eu des grévistes. Le pavillon Villette (Paris) a été occupé par 400 personnes en fin de journée.
Il y a eu près de 30% de grévistes à la SNCF, 34,7% chez Mvélo+ (dans l’Isère), 6,8% dans la fonction publique hospitalière (20% au CH Le Mas Careiron à Uzès !), 6,49% dans l’Education nationale (mais 10% dans les vies scolaires), 6% à La Poste, 4,77% à l’INRAE (recherche), 4,20% dans la fonction publique territoriale. Des salarié∙es d’Amazon étaient également en grève.
Dans plusieurs secteurs, des Assemblées Générales organisent la grève, comme les travailleurs et travailleuses de la culture ou encore de l’informatique d’Île-de-France qui se réunissent à la Bourse du travail de Paris par centaines.
Les manifestations, notamment syndicales ou intersyndicales, ont été un succès parce qu’elles ont permis à toutes et tous de se réunir après les blocages. La participation a été très forte à Montpellier (30 000 personnes), Grenoble (30 000), Toulouse (25 000), Lille (20 000), Bordeaux (15 000), Rennes (15 000), Marseille (15 000), Strasbourg (10 000), Caen (10 000), Lyon (8 000), Dijon (5 000), Nantes (5 000), Amiens (4 000), Perpignan (3 000), Mulhouse (2 500), Le Havre (2 000), Alès (2 000) ou Uzès (2 000).
Des manifestations ont pris des formes variées dans les villes de plus petite taille, comme à Saint-Denis, où elle n’était pas prévue (500 personnes), ou une manif sauvage à Carcassonne (300). 600 à Blois, 500 à Fécamp, 300 à Abbeville, 300 à Vendôme, 300 à Aurillac, 200 à Romorantin, 200 à Aubervilliers, 150 à Bar-le-Duc…
L’ampleur du dispositif policier déployé révèle les craintes d’un exécutif qui se sait illégitime et qui ne connaît que l’entrave aux libertés d’expression et de manifestation. De nombreuses interpellations ont eu lieu. Des manifestant∙es ont été blessé∙es, dont une camarade de SUD Collectivités territoriales à Rennes et un camarade de Solidaires-Etudiant∙es à Tours.
Les appels à la grève pour le jeudi 18 septembre commencent à se multiplier.
Retrouvez tous les appels et préavis de grève
Le préavis de grève fonction publique
Interfédérale cheminote CGT-UNSA-SUD Rail-CFDT
Intersyndicale de la branche P2ST
Faire grève c’est ne pas aller travailler une heure, deux heures, une journée… En cas de grève nationale, ce sont les syndicats qui couvrent les salarié-e-s et agent-e-s en grève.
Dans le privé, un appel à la grève national suffit à vous couvrir. Le Jour J, vous n’allez pas au travail.
Dans le public, des préavis de grève sont déposés auprès des ministères pour couvrir les agent-e-s. Dans certains métiers, il faut vous déclarer en avance (comme les professeurs des écoles ou les animateurs des mairies.)
L’Union Syndicale SUD – Solidaires 78, syndicat de luttes et de transformation sociale, s’est réunie le 3 septembre et a décidé de s’inscrire dans ce mouvement populaire qu’est l’appel à mobilisation du 10 septembre, suite aux annonces faites par le gouvernement Bayrou.
Les syndicats de notre Union Syndicale départementale (Santé, Industrie, éducation, Télécoms, etc.) appellent tous·tes les salarié·es à se mettre massivement en grève dès le 10 et au-delà.
Notre Union syndicale départementale pense qu’elle a toute sa place dans ce mouvement et entend mettre à disposition du mouvement, suivant ses besoins, un soutien logistique (sono, impressions de tracts, locaux, assistance juridique, etc.) et son expérience de lutte dans et en-dehors des entreprises et des services publics, afin de le soutenir dans la mesure de ses moyens.
Solidaires78, le 6 septembre 2025
François Bayrou tente de nous imposer un budget d’austérité. Sous prétexte de « faire des économies » pour « maîtriser les dépenses publiques », il propose un plan d’austérité qui n’a qu’une seule ligne directrice : faire payer la crise aux travailleurs et travailleuses, aux retraité·es, aux jeunes, aux plus précaires, aux privé·es d’emploi, aux étudiant·es… C’est non ! Face à l’immense colère populaire, il tente un coup de poker avec un vote de confiance le 8 septembre. Mais le problème, ce n’est pas le nom du ministre, c’est sa politique. Nous devons censurer ce budget par la grève et imposer d’autres choix.
Coupes dans les budgets des hôpitaux, des écoles, de la justice, des transports : c’est la casse du service public qui s’organise. Les suppressions de postes s’enchaînent. Les salaires stagnent. Les retraites sont rabotées. Les allocations, notamment celles du chômage sont attaquées.
Pendant qu’on nous demande de « faire des efforts », le patronat continue de se gaver. Au moins 211 milliards d’euros d’aides publiques sont distribués chaque année aux entreprises, sans conditions, sans contrôle, sans contreparties. Ces aides finissent trop souvent… en dividendes. En 2024, ce sont 97 milliards d’euros qui ont été reversés aux actionnaires du CAC 40 tandis que ces grandes entreprises réalisent des profits records (131 milliards d’euros en 2024). De l’argent, il y en a !
Et comme si cela ne suffisait pas, F. Bayrou a annoncé une nouvelle réforme du Code du travail. Alors qu’il souhaite offrir des journées de travail gratuit au patronat par la suppression de deux jours fériés, il a également annoncé vouloir passer une étape supplémentaire dans la destruction des protections offertes par le Code du travail et les accords collectifs.
Réduire le délai de contestation d’un licenciement, faciliter le renouvellement des périodes d’essai, faciliter le recours aux CDD et à l’intérim, augmenter le temps de travail, créer de nouveaux jours de carence… Voilà quelques pistes pour “moderniser le marché du travail”. C’est plutôt le grand retour en arrière !
Couper dans les services publics, c’est un choix. Ne pas taxer les ultra-riches, c’est un choix. Refuser d’imposer les grandes entreprises, c’est un choix. Casser le Code du travail, c’est un choix. Précariser les salarié·es et les allocataires, c’est encore un choix. Faire croire qu’il n’est pas possible de faire autrement, c’est tenter d’éviter le débat sur la société dont nous voulons.
Gouvernement et patronat ne comprennent qu’un langage : le rapport de force. Les avancées sociales n’ont jamais été offertes. Elles ont été gagnées par la lutte. C’est par les grèves, les manifestations, l’organisation collective, que nous pourrons bloquer ce projet de budget et imposer d’autres choix. Quel que soit le gouvernement, nous devons nous mobiliser et maintenir la pression pour que ce ne soit pas que le casting qui change mais aussi la politique menée.
Ce que nous défendons, ce sont des vies dignes. Des écoles qui accueillent toutes et tous les enfants dans de bonnes conditions. Des hôpitaux qui soignent sans délai et des soignant·es dont les conditions de travail sont respectées. Des transports accessibles et écologiques. Des services publics accessibles sur tout le territoire. Des retraites et des allocations chômage décentes. Des salaires qui permettent de vivre et non survivre. L’argent existe pour financer tout cela. Il est dans les caisses du patronat et dans les poches des actionnaires.
Face aux mesures qu’on nous impose dont seuls les plus riches sortent gagnants nous exigeons :
Ce budget d’austérité est l’arbre qui cache la forêt d’un modèle à bout de souffle. Nous n’acceptons pas une société fondée sur l’exploitation, l’injustice et les inégalités. Nous portons un autre projet : solidaire, écologique, féministe, antiraciste. Cela passe par une répartition radicalement différente des richesses.
Face à des gouvernements au service des puissants, notre force, c’est notre nombre. L’Union syndicale Solidaires appelle à construire, partout, des mobilisations.Toutes et tous en grève dès le 10 septembre. Organisons-nous en Assemblées générales. Discutons des suites.
Pas d’économies sur nos vies.
De l’argent, il y en a. Allons le chercher ensemble.
Rétablir la vérité sur la dette !
Lors de sa présentation du budget envisagé pour 2026, François Bayrou n’a eu de cesse d’invoquer la dette publique pour justifier les attaques contre notre modèle social. La dette publique et la dette des ménages sont deux choses distinctes et absolument pas comparables : un ménage ne peut pas émettre des titres pour se financer, il ne peut pas emprunter pour rembourser son emprunt, le coût des intérêts lui est bien moins favorable etc. Cette comparaison n’est évidemment pas anodine, c’est un choix idéologique.
Cela permet de présenter l’État comme étant inconsidérément dépensier pour discréditer son action pour l’intérêt général et justifier ainsi la réduction des dépenses publiques.Des mensonges pour casser notre modèle social : Les dépenses publiques ne sont pas responsables de l’augmentation de la dette !
Selon le gouvernement, nous serions « accros » aux dépenses publiques et c’est pour cela que la dette ne cesserait d’augmenter. Or, quoiqu’en dise le gouvernement, celles-ci restent stables depuis 2017.
Si ces dernières années, la dette publique a augmenté c’est parce que le déficit a été creusé par la baisse des recettes. Cette baisse de recettes provient essentiellement des politiques fiscales mises en place depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron,qui ont systématiquement favorisé les plus fortunés et les grandes entreprises en baisse d’impôts, exonérations et cadeaux fiscaux.
Des mensonges pour nous faire payer ! Ne nous laissons pas avoir !
Toutes les contre-vérités avancées par François Bayrou ne servent qu’à une chose : nous faire peur et nous faire accepter que c’est aux salarié·es, fonctionnaires, malades et retraité·es de payer l’addition.
Le budget Bayrou, comme ceux des ministres qui l’ont précédé, est d’une grande violence : coupes budgétaires intolérables, suppression de deux jours fériés, gel du point d’indice des fonctionnaires, augmentation du prix des médicaments, réforme de l’assurance chômage… c’est encore une fois l’enfer promis aux travailleurs et aux travailleuses.
En réponse à ces attaques, une proposition a émergé au cours de l’été : tout bloquer le 10 septembre. Hors partis et syndicats, cette proposition autonome cherche à construire, à partir des réseaux sociaux mais aussi lors d’AG bien réelles qui se sont tenues un peu partout, un mouvement prolongé de blocages, grèves, manifestations en opposition au budget Bayrou.
De nombreuses structures syndicales, associatives, militantes, se sont d’ores et déjà jointes à cet appel. L’accueil syndical Solidaires du Mantois partage la colère face à cette réforme, se réjouit de la possibilité d’un mouvement prolongé et appelle également à participer au mouvement.
Nous proposons un espace d’organisation, ouvert à toutes et tous, syndiquéEs ou non, pour décider localement de ce que nous pourrions faire: le mardi 2 septembre à 19 h à La Librairie La Nouvelle Réserve à Limay.
L’union syndicale Solidaires 78 se réunira prochainement pour prendre position à l’échelle du département.
Ces propos auraient été tenus publiquement par un professeur devant les personnels de l’Éducation nationale et des élèves au sein d’un établissement au Chesnay. Des professeurEs ont réagi vivement et cet évènement aurait amené les élèves à libérer leur parole et à décrire ce qu’ils elles endureraient en classe depuis un certain temps : des propos graves et redondants à caractère raciste, affectant leur dignité.
Cette situation est encore une fois la preuve de la banalisation de la parole raciste, conséquence de la bataille idéologique menée par des médias de propagande. Ce cas de racisme interpelle notamment par la passivité, l’inaction de l’administration, ayant laissé se développer un climat délétère, un malaise parmi les personnels, et les élèves, l’enseignant étant toujours en fonction.
Pour SUD éducation 78 :
En tant que personnels de l’éducation, il est urgent d’empêcher la profération des idées, des discours d’extrême droite dans nos établissements scolaires afin de permettre à chacun.e d’être considéré.e et d’évoluer dans un climat respectueux et réellement inclusif.
De plus, il est du devoir de l’administration de protéger les personnels et les élèves contre le racisme et les discriminations dans l’Éducation nationale ainsi que les lanceuses et lanceurs d’alerte.
Union syndicale Solidaires 78
Manifestation départementale
Versailles 20 juin 2025
Mais les mots ne suffisent pas
Ne suffisent pas devant le colonialisme
Ne suffisent pas devant l’impérialisme
Ne suffisent pas devant l’apartheid
Ne suffisent pas devant l’assassinat de dizaines de milliers de civils
Ne suffisent pas devant des centaines de milliers d’amputés et de blessés
Ne suffisent pas devant la famine organisée
Ne suffisent pas devant la destruction systématique
Ne suffisent pas devant le génocide
Gaza
Cisjordanie
Jérusalem Est
Liban
Syrie
Iran
Aucune sanction de la part des dirigeants occidentaux, juste des mots … et encore pas trop forts, tout en livrant des armes et du matériel militaire à Israël.
Pour l’Union syndicale Solidaires 78, il ne s’agit pas de défendre des régimes capitalistes autoritaires, dictatoriaux, théocratiques, mais de défendre le droit des enfants, des femmes et des hommes à vivre, à s’organiser et à s’autodéterminer.
Fermer les yeux, serait aussi oublier que le régime de guerre permanente et d’apartheid israélien inspire l’extrême-droite française, européenne et états-unienne, dont la logique est fondamentalement la même : rechercher des boucs émissaires, à l’intérieur ou à l’extérieur, pour se maintenir au pouvoir et opprimer celles et ceux qui subissent la précarité, le racisme, l’exclusion.
Depuis l’attaque d’Israël sur l’Iran, les Palestiniennes et Palestiniens ont disparus des médias mainstream et dans les discours des gouvernements occidentaux, alors que le génocide continue à Gaza et en Cisjordanie.
Un pare-feu calculé avec le soutien des gouvernements occidentaux, comme le confirme leurs propos « Israël a le droit de se défendre », « Israël fait le sale boulot pour nous tous ».
Tous derrière le projet sioniste.
Ce qui se passe n’est pas l’apanage du seul gouvernement d’extrême droite comme certains voudraient nous le faire croire.
De la gauche sioniste à l’extrême droite israélienne tous soutiennent, et ont mis en œuvre, ce projet suprémaciste et colonial qui s’appuie sur le racisme, l’apartheid, la colonisation, l’expulsion et la mort.
La France est l’un des pays les plus répressifs, avec les États-Unis et l’Allemagne, envers les mobilisations de solidarité avec la Palestine.
Mais comme nous le disait Rami Abou Jamous lors de son intervention en mai aux Mureaux, en visio depuis Gaza, « c’est par la mobilisation de la société civile mondiale que la situation pourra changer » ajoutant « N’ayez pas peur ».
N’ayons pas peur !
Ne nous laissons pas gagner par le désarroi dû à l’inaction gouvernementale et à la répression.
L’union syndicale Solidaires 78 appelle à agir partout, et en tant qu’organisation syndicale à agir notamment sur nos lieux de travail et d’études.
Comme les dockers de Fos, de Gènes, des États-Unis, d’Afrique du Sud, de Suède…
Comme les syndicalistes de l’aérien en France
Comme les étudiantes et étudiants de France, des États-Unis, de Grande-Bretagne…
Agir concrètement, en continuant sans relâche à informer, à dénoncer et à mobiliser.
Agir concrètement, par les actions de boycott commercial, universitaire et culturel et de désinvestissements, comme hier à Orange et aujourd’hui dans des banques, dans le cadre des campagnes BDS.
Agir concrètement pour un embargo sur l’armement avec Stop Arming Israël.
L’union syndicale Solidaires appelle toutes les organisations syndicales à rompre immédiatement toute relation avec le syndicat israélien Histadrout, syndicat sioniste acteur historique et encore essentiel aujourd’hui.
L’union syndicale Solidaires exige la libération immédiate des militant·es de la Marche mondiale pour Gaza, initiative pacifique à laquelle participent plusieurs organisations du Réseau syndical international de solidarité et de luttes et du Réseau syndical européen pour la justice en Palestine, dont notre Union syndicale est membre.
L’Union syndicale Solidaires exige la fin de la répression vis à vis d’Urgence Palestine et de tous les soutiens aux Palestiniennes et Palestiniens.
L’Union syndicale Solidaires 78 s’associe aux exigences formulées dans l’appel commun pour cette manifestation départementale.
Dans les entreprises, dans les services publics, dans les universités, dans les villes et villages, dans la rue, ensemble :
Agissons pour le soutien aux Palestiniennes et Palestiniens !
Soutien aux Palestiniennes et Palestiniens !
Soutien aux Palestiniennes et Palestiniens !
Soutien aux Palestiniennes et Palestiniens !
Nous vous annonçons la création de l’UDIRS 78 (Union Départementale Interprofessionnelle des Retraité.es de Solidaires 78).
Vous pouvez nous joindre sur notre adresse e-mail EnRetraite@solidaires78.org