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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Internationalisme Palestine

Mardi 20 mai : Journée intersyndicale Palestine

Journée de réflexions en intersyndicale CGT, FSU, Solidaires autour de la question palestinienne et des modalités d’un soutien internationaliste syndical

Le génocide vécu par le peuple palestinien ces derniers mois nous impose de réfléchir aux modalités de notre soutien au peuple palestinien.

Organisée dans un cadre intersyndical, cette journée sera ponctuée de deux tables rondes animées par des militant-es syndicales et des personnalitées extérieures.

La première autour des enjeux contemporains du conflit, la seconde sur nos actions et notre soutien syndical.

Pour s’inscrire à la formation : https://solidaires.org/se-former/catalogue-des-formations/intersyndicales-palestine/

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Écologie Internationalisme Solidarité !

Solidaires à Mayotte après le cyclone Chido – Live Twitch exceptionnel – mardi 8 avril !

Publié le 4 avril 2025

Solidaires à Mayotte après le cyclone Chido – Live Twitch exceptionnel

Au cours des derniers mois, deux délégations de Solidaires se sont rendues à Mayotte afin d’évaluer la situation suite au passage du cyclone Chido.

Nous vous invitons à nous rejoindre mardi 8 avril à partir de 19h sur notre chaîne Twitch. Cette soirée sera l’occasion d’échanger avec une camarade de Solidaires Mayotte, ainsi que des représentants du Secrétariat National de Solidaires, des secteurs de la Santé, de l’Éducation, des Finances Publiques et des PTT.

Nous aborderons non seulement la situation actuelle, les revendications pour une véritable prise en charge des populations sinistrées pour faire face à la catastrophe mais aussi les conditions antérieures au passage du cyclone.

https://twitch.tv/syndicatsolidaires
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antifascisme antimilitarisme antiracisme Éducation Internationalisme Les travailleur·euses n'ont pas de pays !

Construire un mouvement anti-guerre et décolonial, pour la paix, la liberté et contre toutes les extrêmes droites

Depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie de Poutine il y a 3 ans et le retour de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis en janvier 2025, la situation internationale est instable et lourde de menaces pour les peuples, les travailleurs·euses et la paix.

Avec son union syndicale Solidaires, SUD éducation réaffirme pleinement sa solidarité avec le peuple et les travailleurs·euses ukrainien·nes qui se battent pour leur droit inaliénable à l’autodétermination face à l’agression militaire de Poutine. Depuis le début de la guerre, Solidaires, avec l’ensemble des organisations syndicales, se coordonne avec les syndicats ukrainiens pour assurer une solidarité effective et concrète avec les travailleurs·euses ukrainien·nes. SUD éducation a participé avec Solidaires à des convois de solidarité afin d’acheminer en Ukraine de l’aide matérielle. La paix en Ukraine ne pourra être construite sur une capitulation de l’Ukraine et doit être indissociable de la justice et du respect des droits démocratiques et territoriaux du peuple ukrainien.

En tant qu’organisation syndicale de transformation sociale ici en France, notre tâche principale est de construire les mobilisations sur nos lieux de travail et dans la rue contre notre propre gouvernement qui compte faire payer aux travailleurs·euses les hausses de dépenses militaires, sans mettre à contribution les riches et permettant l’enrichissement des industriels de l’armement.

SUD éducation s’oppose à la marche à la guerre opérée par Emmanuel Macron dans son allocution du 5 mars dernier. Dans notre secteur, cela passe par refuser l’enrôlement et la militarisation de la jeunesse à travers le SNU ou tout autre dispositif pouvant s’apparenter à une forme de service militaire. Le SNU est un lieu où l’Etat peut déverser toute sa propagande militariste à un public captif, où l’on fabrique déjà du consentement à l’autoritarisme et à la violence. SUD éducation s’oppose également au label “classes et lycées engagés” qui accompagne le SNU ainsi qu’aux classes défense : ces dispositifs organisent des partenariats entre l’école et l’armée, placent l’éducation au service d’un projet de défense nationale, conditionnent les élèves à l’acceptation de la guerre. Si l’abandon du SNU semble acté par la suppression des crédits qui lui étaient alloués, les annonces de Macron laissent entendre qu’il ne renonce nullement à faire contribuer la jeunesse à l’effort de guerre. Il a, en effet, expressément demandé au ministre des armées et à l’état major la formulation de propositions d’ici le mois de mai « pour permettre à une jeunesse volontaire d’apprendre avec les armées et d’en renforcer les rangs ». SUD éducation s’oppose à tout projet de militarisation de la jeunesse, à tout projet qui assure la pénétration de l’armée dans les écoles. Les crédits du SNU doivent être au contraire réattribués vers la solidarité avec le peuple ukrainien.

Dans l’Enseignement supérieur et la Recherche, SUD éducation s’oppose fermement à la militarisation des programmes de recherche. Dans plusieurs instituts et laboratoires, il est désormais demandé de renforcer les partenariats avec le ministère de la Défense et de penser les recherches de manière duale, pour le civil et pour le militaire. On ne compte plus non plus les partenariats entre universités et les grands groupes industriels de l’armement comme Thalès, Safran ou STMicroelectronics qui fournissent des équipements militaires aux armées russes comme israéliennes.

La situation politique internationale et les réponses politiques d’Emmanuel Macron nécessitent de renforcer les coopérations internationales entre travailleurs·euses et syndicats. A tous les niveaux, SUD éducation travaille à construire l’unité à travers le travail intersyndical contre les guerres impérialistes, contre l’extrême-droite et contre les politiques néolibérales.

Ces prochaines semaines et le 1er mai, SUD éducation appelle à construire un mouvement anti-guerre et décolonial, pour le droit à l’autodétermination des peuples, contre l’économie capitaliste de guerre et l’enrôlement de la jeunesse, contre toutes les extrêmes droites et tous les impérialismes.

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Internationalisme Palestine

31 mars : Projection No other land au Chaplin (Mantes-la-Jolie)



2 heures

Cycle Rétrospective 2024

Depuis plus de 5 ans, Basel Adra, un activiste palestinien en Cisjordanie, filme l’expulsion de sa communauté par l’occupation israélienne qui détruit progressivement les villages et chasse ses habitants. Il rencontre Yuval, un journaliste israélien, qui le soutient dans ses démarches. Une amitié inattendue voit le jour.

Ce film réalisé par un collectif palestino-israélien de quatre jeunes militants a été réalisé comme un acte de résistance créative sur la voie d’une plus grande justice.

VOSTFR • Palestine, Norvège / 2024 / 1h35 / Documentaire

⭐️ 1 nomination aux BAFTA Awards 2025

🏆 1 prix aux Oscars 2025 


Tarif plein 6€ / tarif réduit 4,50€

→ Billetterie en ligne 

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Écologie

5 avril : Pesticides hors de nos vies et de nos lieux de travail – Appel à la Marche vivante pour un Printemps bruyant ! Attac – FSU – Greenpeace – Solidaires

Les pesticides sont une menace pour de nombreux travailleurs et travailleuses, que ce soit dans les entreprises qui les produisent, qui les transportent, dans le monde agricole, chez les fleuristes… Ils font aussi des ravages sur les habitant∙es qui vivent à proximité ou qui les consomment dans l’alimentation ou dans l’eau. Ils sont à l’origine de cancers d’origine professionnelle et environnementale. Une enquête organisée par l’association Avenir Santé Environnement a ainsi révélé en octobre dernier la présence de traces de pesticides dans les cheveux et l’urine de 72 enfants près de La Rochelle, dont 14 interdits, avec une suspicion de lien avec un cluster de cancers pédiatriques.

L’usage de pesticides fait partie des activités humaines responsables de la sixième extinction de masse. Préserver la biodiversité, et notamment les insectes pollinisateurs, est une nécessité, y compris pour notre survie alimentaire.

C’est pourquoi nous nous opposons à tous les retours en arrière sur la réglementation actuellement portés par la FNSEA et repris par des politiques toujours plus nombreux et nombreuses, qui votent la réintroduction des néonicotinoïdes et des reculs sur les normes environnementales dans la loi d’orientation agricole, au mépris des enjeux de santé publique.

Nous condamnons le double jeu de l’Union européenne, première région productrice et exportatrice de pesticides. Celle-ci exporte des molécules agrotoxiques dont elle interdit pourtant la consommation sur son territoire, pour ensuite importer les produits traités. Nous nous opposons aux accords de libre-échange qui nourrissent ce système.

Le chlordécone, pesticide non biodégradable utilisé en Guadeloupe et en Martinique pour la culture de la banane, interdit en 1990 dans l’Hexagone et seulement 3 ans plus tard dans les Antilles, menace encore plus de 90 % de la population actuelle. Cette substance très pathogène pour la santé humaine est présente dans les sols et la mer. La population y est exposée pour des siècles encore. Aucune action ni réparation de la part du gouvernement français ne sont pour autant envisagées. Ce sujet mériterait d’être débattu dans une future Commission “Vérité et Réparations”.

Nous exigeons une autre agriculture, à rebours du modèle productiviste et concurrentiel imposé aujourd’hui, qui rend très difficile le non-recours aux pesticides. C’est le même modèle qui entretient la précarité dans le monde agricole, qui menace notre environnement, notre santé, celle des agriculteurs∙trices et de leurs salarié∙es. Les coûts de la transition vers un autre modèle agricole doivent être pris en charge collectivement, au lieu d’être supportés par les travailleurs et travailleuses seulement. Les agriculteurs et agricultrices doivent être accompagné∙es. Les entreprises qui fabriquent ou manipulent des pesticides doivent se reconvertir. Une véritable rupture écologique ne peut se faire sans conquête de nouveaux droits, tels qu’un nouveau statut du salarié∙e de la transition écologique, qui assure non seulement la formation mais aussi le maintien des conquis sociaux entre deux emplois et d’un emploi à l’autre.

C’est pourquoi nous rejoignons l’appel à manifester lancé par Extinction Rébellion et Scientifiques en Rébellion le 5 avril 2025 à Paris, à 14h au Muséum national d’histoire naturelle vers le Ministère de la Santé, en lien avec la journée mondiale de la santé du 7 avril. Soyons nombreuses et nombreux pour défendre notre santé et notre environnement !

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La Poste Services publics

SAMEDI 5 AVRIL RASSEMBLEMENT Collectif « Sauvons la poste de Gassicourt »


Depuis sa création le 10 juillet 2024, notre collectif n’a cessé d’organiser la mobilisation contre la fermeture programmée de l’agence postale de Gassicourt.
Nous avons d’abord contacté la direction départementale de La Poste qui est restée sourde jusqu’à présent.
Nous avons été reçu en audience par Monsieur le Sous-prefet ainsi que par les élus concernés (maire de Mantes-la-Jolie et député de la 8° circonscription) au cours desquelles il leur a demandé d’intervenir.
Nous avons organisé plusieurs dizaines d’initiatives – présence tous les jeudis après-midi et plusieurs samedis matin de rencontres avec les usagers.
Nous sommes intervenus pour rappeler nos revendications lors des conseils municipaux à Mantes-la-Jolie.
L’agence qui devait fermer le 1° juillet 2024 puis le 1° janvier puis début février 2025 est toujours ouverte à ce jour, signe que la mobilisation des Gassicourtois ne laisse pas indifférents « les décideurs ».
NOUS NE LÂCHERONS PAS
Forts aujourd’hui de la confiance de plus de 1.500 signataires de notre pétition, nous réclamons une poste de plein exercice à savoir :
– Le maintien de notre agence avec tous ses services postaux (lettres et colis) et bancaires (dont le distributeur automatique de billets – DAB) que n’assure pas le « point poste » France Services (pas de service bancaire ni d’ouverture le samedi matin).
– L’ouverture de notre agence tous les jours de la semaine matin et après-midi, le samedi matin et l’arrêt des fermetures intempestives que provoquent le manque de personnels tant que La Poste refusera d’embaucher.

Nous demandons à nouveau que la direction départementale de La Poste nous accorde un rendez-vous afin que nous puissions développer les arguments mis en avant par les usagers eux-mêmes: proximité dans un quartier de plus de 10.000 habitants, respect de la confidentialité, accompagnement dans les démarches et conseils pour les personnes âgées, accès au compte bancaire pour les bénéficiaires du RSA, maintien d’un
des deux seuls distributeurs automatiques dans notre quartier, les subventions d’état qui doivent servir à embaucher …

Le mépris que continue d’afficher la direction départementale de La Poste n’est pas acceptable.


Nous appelons les Gassicourtois à poursuivre leur mobilisation autour de notre pétition et des initiatives que nous organisons régulièrement.


Le samedi 5 avril à partir de 10h00 devant la poste de Gassicourt, nous appelons toutes celles et tous ceux qui partagent notre refus de cette fermeture à venir nous rencontrer autour d’un petit déjeuner citoyen et à participer sur la lancée à 11h00 à une réunion en public pour décider ensemble des
suites que nous donnerons à notre action.
Nous sommes tenaces . Nous ne lâcherons rien parce qu’il en va de l’intérêt des Gassicourtois à disposer d’un véritable service public de proximité.


Mantes-la-Jolie, le 15 mars 2025

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Énergie Histoire Histoire locale

8 avril à Limay Présentation du livre « Énergéticiens d’Île de France » Et projets d’avenir pour le site de Porcheville

Salle Christiane Faure de 14h à 18h00

Edité par l’Institut d’Histoire Sociale Mines-Energie, il retrace la vie du Syndicat du Personnel de la Production et du Transport d’Énergie de la Région Parisienne et inclue un chapitre sur l’histoire sociale d’EDF Porcheville et ses 2 centrales charbon (1954-1993) et fuel (1968 -2017).

Des moments d’histoire locale et internationale

1990, bataille d’ampleur régionale menée avec certains élus pour l’installation d’une usine de service public d’incinération des ordures ménagères sur les terrains de l’ancienne centrale charbon. 2006, retentissement international de l’affaire des Polonais payés 2 euros de l’heure et logés dans un immeuble sur de simples matelas à même le sol (un des salariés polonais viendra spécialement de Varsovie pour témoigner), avec au final une victoire en justice ordonnant l’application des salaires français.

La dénonciation du poison de l’amiante qui ravage les poumons de nombreux salariés et qui les tue comme Serge en 2005 à 53 ans.

L’éprouvant combat mené à partir de 2011, pour dénoncer des faits de harcèlement moral et sexuel de la part d’un cadre de la centrale qui sera finalement condamné en correctionnel.

Et plein d’autres récits, témoignages et portraits parfois
émouvants, parfois drôles.
Le 8 avril En présence de l’auteur René Gaudy, des élu-es locaux, en coopération avec la librairie La Nouvelle Réserve et la ville de Limay. Expositions, stands associatifs, échanges sur la mémoire sociale du site, mais aussi sur son avenir.

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Retraites

La « Fake News » de l’abattement de 10 % pour frais professionnels sur les pensions

Publié le 25 mars 2025 par UNIRS – Union nationale interprofessionnelle des retraité-es solidaires

Assez de mensonges pour accabler les personnes en retraite.

Voici le communiqué des retraité·es Solidaires, au sujet de la « Fake News » de la soi-disant déduction de 10 % du revenu pour « frais professionnels » des retraité·es.

Les retraité·es auraient un abattement sur leur revenu de 10 % au titre de « frais professionnels » ? C’est faux. Cette affirmation mensongère s’avère d’autant plus malhonnête qu’elle est arrivée par Gilbert Cette, président du Conseil d’Orientation des Retraites (COR), qui est censé s’y connaitre en matière de retraite…

La réalité, vérifiable dans le Code Général des Impôts (CGI), est tout autre :

La déduction forfaitaire de 10 % pour frais professionnels est réservée aux traitements et salaires des salarié·es : c’est l’article 83, 3° du CGI.

L’abattement de 10 % concerne les pensions et rentes viagères avec un minimum et un plafond : c’est l’article 158, 5-a, alinéas 2 et 3 du CGI. Cet abattement a été instauré par l’article 3 – I de la loi de finances pour 1978 (loi n° 77-1467 du 30 décembre 1977, JO du 31 décembre 1977 p. 6316).

Déduction forfaitaire pour frais professionnel et abattement de 10 % avec un plafond ne sont pas de même nature, d’un point de vue fiscal. Cet abattement de 10 % est le résultat de choix politiques opérés en fonction du système fiscal qui est déclaratif et des capacités à frauder des uns et des autres. Destiné à alléger la charge fiscale des titulaires de pensions, de retraites et de rentes viagères, il a été accordé par souci d’équité, compte tenu du fait que seuls les retraité·es étaient pénalisés par les modifications successives apportées dans le cadre du calcul de l’impôt, (dont les grands bénéficiaires étaient les contribuables autres que les retraités et les salariés) cet abattement est la contrepartie du fait que les revenus des retraités avaient été et continuaient d’être déclarés par des tiers sans participation à la fraude fiscale.

La suppression de l’abattement de 10% conduirait à majorer fortement le taux d’imposition à l’impôt sur le revenu des personnes retraitées et à rendre imposables des personnes retraitées qui, au préalable, ne l’étaient pas.

Elle toucherait plus fortement les personnes aux pensions les plus modestes car l’abattement de 10 % actuel, est plafonné à 4 321 euros pour les revenus de 2023 imposables en 2024, ce qui correspond à un revenu de 3 600 euros mensuels par foyer fiscal ; seront particulièrement touchés les retraité·es qui seuls, ou à deux perçoivent moins de 3 600 euros par mois.

Nous déplorons le dévoiement du débat public sous le flot continu des fausses nouvelles, des approximations … que les présidents du COR et du Medef, des responsables politiques reprennent et amplifient. Nous voyons bien que ce discours vise à reprendre aux personnes retraitées la revalorisation de leurs pensions qui leur a été appliquée pour 2025, au titre du rattrapage de l’inflation de 2024, suite au rejet du PLFSS 2025 du gouvernement Barnier. Les idéologues doctrinaires au service des riches continuent de mettre en avant, un jour les retraités, un jour les chômeurs, un jour les travailleurs immigrés, un jour les fonctionnaires, pour continuer d’exonérer les très riches d’impôts et de cotisations.

Avec les retraité·es, l’Union Nationale Interprofessionnelle des Retraitées et retraités s’opposera à toute atteinte au pouvoir d’achat des retraité·es.

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antifascisme antiracisme Conditions de travail

Racisme, xénophobie, discriminations… Ni au boulot, Ni ailleurs !

Publié le 26 mars 2025

Le racisme et la xénophobie au travail sont de plus en plus désinhibés.

Les agressions xénophobes, racistes, physiques et verbales sur nos lieux de travail sont en hausse ces dernières années. Elles se sont intensifiées depuis la dissolution en juin 2024 de l’Assemblée Nationale, légitimées par la montée du rassemblement national et le caractère omniprésent et décomplexé de la pensée raciste dans certains médias.

Aujourd’hui, rappeler les fondamentaux semble plus nécessaire que jamais.

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