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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Finances publiques Ressources juridiques

Le guide du télétravailleur et de la télétravailleuse

Ce guide – réalisé par Solidaires Finances publiques – a pour objet de présenter le dispositif actuel de télétravail, les évolutions réglementaires, de faire un focus sur les principaux risques que présente ce type d’activité ainsi que quelques revendications de notre organisation sur le sujet.

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Éducation En grève ! Luttes féministes Précarité

Sud éducation – Précarité des femmes, inégalités salariales : c’est non !

Ce tract a été publié le 12/02/2022

L’égalité salariale et la lutte contre la précarité sont des enjeux essentiels de l’émancipation des femmes. Pourtant, les politiques d’emploi dans le secteur public comme dans le privé reproduisent, voire aggravent les inégalités et la précarité.

  • Les femmes gagnent 23% moins que les hommes !
  • 78 % des emplois à temps partiel sont occupés par des femmes !
  • Dans la Fonction publique, les femmes gagnent en moyenne 16,4% de moins que les hommes.
L’Éducation nationale, mauvais élève de l’égalité salariale !

Dans l’Éducation nationale, les femmes gagnent 13,6% de moins que les hommes.

Salaire brut moyen d’un enseignant du public : 3 373 euros,
Salaire brut moyen d’une enseignante : 2 997 euros.

Salaire brut moyen d’un non-enseignant : 2 361 euros,
Salaire brut moyen d’une non-enseignante : 1 890 euros.

Les temps partiels

Les femmes sont sur-représentées parmi les personnels travaillant à temps partiel, car le partage des tâches reste encore aujourd’hui inégal dans la société : les femmes effectuent 72 % des tâches ménagères et 65 % des tâches parentales. Cette division genrée du travail a des conséquences sur la rémunération et sur l’avancement. En 2019, dans le premier degré, 11 % des enseignantes sont à temps partiel contre 3 % des hommes. Dans le second degré, 11 % des enseignantes contre 4 % des hommes.

Les heures supplémentaires

Alors que 74,2 % des enseignants du second degré public font au moins 1 HSA, ce chiffre est de 65,5 % chez les enseignantes. De même, 43,8 % des hommes font au moins 2 HSA et 33,7 % des femmes. La politique de Blanquer d’augmentation des heures supp’ aggrave les inégalités salariales, tout en dégradant les conditions de travail de chacun⋅e.

Les femmes sont moins promues que les hommes

Dans le 1er degré, en 2019, 16,1 % des hommes ont accédé à la hors classe et 7,7 % à la classe exceptionnelle, alors que 11,5 % des femmes ont accédé à la hors classe et 3 % à la classe exceptionnelle.
Dans le second degré, en 2019, chez les certifié⋅es, 27,8 % des hommes ont accédé à la hors classe contre 24,4 % des femmes, et 7,1 % des hommes à la classe exceptionnelle contre 5,2 % des femmes.
Le système de promotion et de notation favorise les progressions de carrière des hommes et aggrave donc les inégalités.

Les revendications de SUD éducation pour l’égalité salariale :
  • l’égalité salariale entre les hommes et les femmes, avec un salaire unique aligné sur le plus favorable ;
  • l’égalité entre les hommes et les femmes au travail comme dans la retraite,
  • le maintien des avantages préférentiels pour les femmes tant que l’égalité des salaires et de la prise en charge des enfants n’est pas réalisée, vers la majoration des retraites du niveau des inégalités de salaires constatées
  • la neutralité des congés maternité, un congé parental mieux réparti entre les parents et mieux rémunéré,
  • La notation des agent⋅es dans l’Éducation, les jurys de concours et de certification doivent être profondément réformés pour mettre fin aux mécanismes de cooptation patriarcale
  • la suppression de la précarité (dont sont victimes majoritairement les femmes), par une titularisation sans condition de toutes et tous les précaires, et l’arrêt du recrutement de nouveaux et nouvelles précaires ;
  • le développement des services de la petite enfance (modes de garde individuels et collectifs) pour que les choix professionnels (temps partiels, disponibilités, congés parentaux…) puissent en être vraiment.
Pour la journée de lutte pour les droits des femmes, SUD éducation revendique la reconnaissance du métier d’AESH avec un vrai statut et un vrai salaire !

À l’occasion du 8 mars, SUD éducation rappelle sa revendication d’une mesure sociale pour les personnels de l’Éducation nationale qui ont un rôle essentiel dans la scolarisation des élèves en situation de handicap et dont 90 % sont des femmes : un vrai statut de la Fonction Publique pour les AESH.
La contractualisation des AESH = une des cause des inégalités salariales entre hommes et femmes dans l’Éducation nationale

Les femmes sont surreprésentées dans les professions les moins rémunérées : 92 % des AESH sont des femmes. Le salaire moyen des AESH est de 750 euros nets par mois pour des contrats de 24h. Nombre d’AESH sont contraint·es de cumuler plusieurs emplois dans l’Éducation nationale et le périscolaire pour pouvoir vivre.

Le 8 mars, tou·tes en grève : nous ne nous tairons pas !

Les luttes féministes ont permis de conquérir des droits et de progresser vers l’égalité entre les femmes et les hommes. Mais cette égalité est loin d’être effective.
C’est pourquoi la journée du 8 mars ne se « fête » pas et n’est pas la « journée de la femme » mais bien celle de lutte pour les droits des femmes ! Continuons à nous mobiliser pour l’égalité !

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Actu Solidaires 78 En grève ! Santé-Social

7 mars : en grève à l’appel de Sud Santé Sociaux 78

Le syndicat SUD Santé Sociaux 78 a déposé un préavis de grève illimité à compter du 7 mars pour les motifs suivants :
– Octroi de la prime soins intensifs de 100€ à l’ensemble du personnel de ces secteurs
– 400 € net d’augmentation incluant les revalorisations du Ségur pour l’ensemble du personnel
– Amélioration des conditions de travail pour stopper la fuite des collègues
– Passage aux 32h / semaine (4J en 8H) et 30h (3N en 10h)
– Arrêt des rappels à domicile
Etc…
Ce préavis de grève concerne le public comme le privé et chacun·e peut donc se mettre en grève.

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Actu Solidaires 78 En grève ! Luttes féministes Santé-Social

Sud Santé- sociaux 78 : le 8 mars grève pour la journée internationale de luttes pour les droits des femmes

Le syndicat SUD Santé Sociaux des Yvelines appel à la mobilisation le 8 mars pour la journée internationale de luttes pour les droits de femmes. C’est parce que nos métiers sont très féminisés que nous sommes exploitées, sous payées et méprisées par ce gouvernement. Il est temps de dire STOP à l’exploitation et d’être enfin reconnue comme il se doit.
RDV le 8 mars à Paris Gare du Nord à 13h30 pour un départ en manif à 14h.
Un premier RDV est organisé samedi 5 mars à partir de 13h à République

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Automobile

Renault – Qualiopi, la muse des subventions publiques


Renault renforce son règlement intérieur sur les formations afin d’obtenir la certification Qualiopi qui permet de les faire subventionner par des fonds publics. Qualiopi vient du nom Calliope, la muse de l’éloquence en Grèce. En France, c’est surtout celle des subventions publiques.

Déclaration des élus SUD au CSE du 24 février 2022

Information et consultation du CSE de Guyancourt sur le projet de modifications du Règlement Intérieur de l’établissement de Guyancourt :

La direction modifie le règlement intérieur de l’établissement de Guyancourt pour y annexer une règlementation des formations organisées en France par Renault.

Cette modification ne doit rien au hasard. Elle s’inscrit dans le cadre de la certification QUALIOPI qui est devenue obligatoire à partir du 1er janvier 2022 pour bénéficier de fonds publics. Cette modification du règlement a donc pour but principal une prise en charge des formations par des financements publics ou mutualisés. SUD dénonce cette chasse systématique aux fonds publics, aux exonérations fiscales et de cotisations sociales, qui sont au final financées par les impôts et les cotisations des salariés.

A ce sujet, SUD souhaite connaitre le montant des subventions versées au titre des formations organisées par Renault en 2021, et la prévision pour celles de 2022.

D’autre part, le règlement « Renault organisme de formation » annexé au règlement intérieur de l’établissement encadre le respect des horaires (Article 3.1), ainsi que les absences, retards ou départs anticipés aux formations. L’article 3.2 stipule qu’« En cas d’absence, les stagiaires doivent informer l’organisme de formation et indiquer la durée de l’absence prévue afin que le formateur ou l’organisme de formation puisse statuer sur la possibilité de suivre ou non la formation. En cas de départ avant l’horaire prévu de fin de formation, le stagiaire doit avertir le formateur ou l’organisme de formation afin d’autoriser (ou non) cette absence et permettre la validation (ou non) de l’action de formation. »

Cet article donne beaucoup de pouvoir au formateur, qui ne partage pas les mêmes contraintes et objectifs que le salarié en formation. Le salarié peut être mis dans une situation d’urgence et ne pas pouvoir prévenir le formateur de son absence, qui doit alors faire preuve de tolérance.

Pour assurer un fort taux de présentéisme, le salarié doit avoir du temps libéré pour se former, être soustrait aux injonctions et aux urgences du travail pendant sa formation, et avoir une adaptation de sa charge de travail lui permettant de se former.

Renforcer le présentéisme aux formations, c’est aussi dispenser des formations intéressantes, menées avec pédagogie et qualifiantes, permettant notamment d’assurer une réelle reconversion.

Pour les salariés dont les postes sont supprimés, les RH doivent contacter les salariés et leur proposer des formations de reconversion, ce qui n’est pas le cas. Ces formations doivent s’inscrire dans un réel parcours de reclassement interne, c’est-à-dire avec l’assurance d’occuper un poste à l’issue de cette formation et de conserver son emploi dans l’entreprise.

Les élus SUD s’abstiendront sur cette modification du règlement intérieur.

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Écologie

12 mars : Marches pour le climat et la justice sociale

Le rapport du GIEC sonne l’alarme !

Le second volet du rapport du GIEC, paru le 28 février, confirme la multiplication des risques climatiques que nous connaissons déjà et qui vont s’amplifier avec le réchauffement climatique : vagues de chaleur, incendies de forêt, pénurie d’eau, inondations et leurs conséquences, victimes, déplacements de population, pertes de rendements agricoles, pertes d’exploitation pour les entreprises touchées.

Il met l’accent sur les mesures d’adaptation nécessaires pour limiter les effets des risques climatiques. Les experts du GIEC insistent sur la préservation et surtout la restauration de notre environnement et enjoignent à une baisse drastique de nos émissions de gaz à effet de serre.

Passivité des politiques, voire complicité ou compromission !

Alors que les constats liés au réchauffement climatique sont avérés, aucun responsable politique n’a jusqu’à présent bouleversé les politiques publiques en faveur de la justice sociale et écologique. Macron ne fait pas mieux depuis 5 ans bien au contraire. Devant une façade repeinte en mode greenwhashing, il se proclame leader de la sauvegarde de la planète avec son « Rendre notre planète à nouveau formidable » (make our planet great again). C’est pourtant lui qui a allégé le code de l’environnement, les procédures de consultation en matière de conséquence environnementale, qui accentue la répression envers les militant.es en lutte contre les projets climaticides. Sous sa mandature, la France a été condamnée par le Conseil d’État pour son inaction climatique. La loi climat et résilience qui a écarté la majeure partie des 150 propositions de la Convention citoyenne pour le climat n’a pas changé les fondements de la politique libérale de Marcon.

Les mesures fiscales du quinquennat Macron ont accru la perte de recettes qui financent l’action publique et les biens communs : l’abandon de l’ISF et la mise en place de la flat-tax représentent une perte de près de 10 milliards€ ; près de 70 Mds€ ont été versés aux actionnaires des entreprises du CAC 40 en 2021, en plein contexte pandémique …

Son inaction touche notre quotidien, nos factures énergétiques, notre alimentation, la qualité des emplois,… Agir pour des fins de mois meilleures et contre la fin du monde, devrait être le débat principal en cette période électorale !

Nucléaire, ni fiable , ni écologique !

Le revirement d’E. Macron à propos du nucléaire montre son allégeance constante au système capitaliste. La construction de l’EPR de Flamanville a coûté un véritable pognon de dingue avec près de 20 milliards d’euros (environ 5 fois plus que le budget initial). Le projet d’enfouissement des déchets radioactifs à Bure avance contre l’avis général et ce, en tentant de museler les opposant.es par la répression judiciaire. Le parc des centrales vieillissant connaît des incidents à répétition. Et pourtant, Macron a annoncé, unilatéralement, la relance du nucléaire en France avec la construction de nouveaux réacteurs mettant en avant l’avantage d’une énergie décarbonée. Le discours “cousu main” du lobby nucléaire ne trompe personne. Le nucléaire coûte très cher. L’extraction de l’uranium n’est pas sans conséquences sociales et environnementales. La construction d’une centrale demande la production de dizaines de milliers de tonnes de béton, énergivore, préjudiciable pour le climat. Le nucléaire produit des déchets durablement toxiques. Pour toutes ces raisons, la question de la sortie de la production d’électricité par le nucléaire se pose et d’autant plus dans une période de tension internationale. L’Union syndicale Solidaires est favorable à une décision politique en ce sens.

Exigeons des mesures claires et immédiates qui répondent aux besoins sociaux et aux nécessités écologiques qui ne peuvent attendre.

  • Un SMIC à 1700€ nets et la revalorisation du point d’indice dans la fonction publique
  • L’augmentation des salaires, pensions et minima sociaux de 400 euros
  • L’égalité salariale et la revalorisation des métiers les plus féminisés
  • Un écart de salaires de 1 à 5 (entre les plus bas et plus hauts salaires dans les entreprises, administrations)
  • Pour la justice fiscale, l’abandon de la flat-tax et le rétablissement de l’ISF, l’abandon des mesures sur le CICE, lequel ne sert pas l’emploi mais nourrit les actionnaires, la taxation du transport aérien et maritime jusque-là exonérés
  • Pour l’urgence climatique, faire du financement de la rénovation des logements, une priorité notamment pour le logement social.

Pour une profonde transformation de la société, Solidaires revendique :

  • Une réforme du système fiscal qui le rende plus redistributif, tournée réellement vers des enjeux de justice sociale et écologique en prenant une vraie bifurcation écologique. Pour cela l’argent ne manque pas : à elles seules, l’évasion et la fraude fiscales grèvent les finances publiques de 60 à 80 Mds€ par an,
  • Le renforcement et le développement de transports collectifs urbains, péri-urbains et ruraux qui privilégient le ferroviaire,
  • Une organisation des services publics, avec un maillage de proximité tant dans les territoires ruraux que périurbains et urbains, dont les missions répondent aux besoins des populations.
  • Une politique publique d’aménagement du territoire axée sur le développement d’emplois locaux, non délocalisables, en particulier dans les secteurs du commerce de proximité, du tissu industriel local et de l’agriculture paysanne.
  • Pour l’égalité des droits pour toutes et tous au travail et dans la vie de la Cité
  • Pour de vraies mesures contre les discriminations, aucun.e travailleur.euse n’est illégal.e,
  • Un temps de travail à 32h pour participer à la résorption du chômage et à libérer du temps pour le vivre ensemble et la participation à l’organisation collective de la transformation de la société.

    Le 12 mars, des mobilisations sont déjà prévues dans plus de 100 villes.
    L’Union syndicale Solidaires appelle à y participer massivement pour mettre au cœur de la campagne électorale, justice sociale et écologique et la nécessité de faire converger alarme climatique et alarme sociale.

Solidaires appelle à la grève le 12 mars dans le secteur privé comme dans le public et met à disposition son outil syndical partout où cela sera utile.

>> Voir notre rubrique consacrée à cette journée de mobilisation

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International Lecture

Liberté et démocratie pour les peuples d’Ukraine

Pour réagir à l’agression de la Russie poutinienne contre l’Ukraine, les éditions Syllepse (Paris), Page 2 (Lausanne) et M Éditeur (Montréal), les revues New Politics (New York), Les Utopiques (Paris) et ContreTemps (Paris), les sites À l’encontre (Lausanne) et Europe solidaire sans frontières, le blog Entre les lignes entre les mots (Paris) et le Réseau syndical international de solidarité et de luttes se sont associés pour coéditer Liberté et démocratie pour les peuples d’Ukraine.

Vous trouverez en fichier joint le premier volume de ce livre. Le volume 2 est en préparation.couverture

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Liberté et démocratie pour les peuples d Ukraine 1

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Actu Solidaires 78

STOP à la guerre ! Rassemblement à Mantes 2 mars 19h

Pour dénoncer cette guerre, s’opposer à tous les impérialismes, exprimer notre solidarité avec le peuple ukrainien et avec les manifestants en Russie et ailleurs, accueillir tous les migrants de guerre (ou pour d’autres raisons), nous appelons à un rassemblement le mercredi 2 mars à 19 heures devant la Tour Saint-Maclou à Mantes-la-Jolie.

Pas de guerre entre les peuples, pas de paix entre les classes !

Ceux qui déclenchent les guerres se connaissent et ne meurent pas. Ceux qu’on envoie au combat ne se connaissent pas et meurent.

Nous relayons la déclaration du Réseau syndical international de solidarité et de luttes, auquel Solidaires appartient.

Stop à l’agression russe en Ukraine ! Pour une Ukraine libre et souveraine pour les travailleurs et travailleuses !

Jeudi 24 février, la Russie a commencé son opération militaire en Ukraine après que Vladimir Poutine a reconnu l’indépendance des territoires de Donetsk et de Louhansk.

Les troupes russes ont envahi le territoire du Donbass, attaquant des installations militaires suspectes. Des rapports et des enregistrements font état de bombardements et d’attaques terrestres dans toute l’Ukraine, y compris dans la capitale Kiev.

Les offensives du gouvernement Poutine visent à affaiblir la résistance militaire afin de renverser le gouvernement Zelensky, qui est subordonné aux intérêts impérialistes des États-Unis, de l’OTAN et de l’Union européenne.

Nous ne pouvons pas accepter la répression militaire et l’intervention contre le peuple qui est le fait de la Russie ; il est tout aussi inacceptable d’ouvrir un espace quelconque aux représentants de l’impérialisme qui cherchent à étendre leur domination avec des guerres qui garantissent le profit et plus de pouvoir pour les capitalistes.

L’invasion militaire russe a des conséquences dramatiques en termes de déplacement de populations, de régression des conditions de vie des travailleurs et travailleuses, de régression des libertés syndicales et autres libertés démocratiques.

La guerre ne profite qu’aux puissants, aux marchands d’armes et aux capitalistes. Les travailleurs, travailleuses, le peuple subiront la mort, la privation de liberté, le viol et le pillage, la destruction. Les conséquences militaires et économiques vont au-delà du territoire de l’Ukraine.

Mais contrairement à ce que les gouvernements, le patronat et la bourgeoisie européennes voudraient nous faire croire, il y a déjà beaucoup d’autres guerres dans le monde ! Elles sont alimentées par les ventes d’armes de ceux qui font semblant de regretter cette guerre en Ukraine. Être contre la guerre, c’est rejeter le militarisme, la course aux armements, les ventes d’armes…..

Nous condamnons et dénonçons l’agression de la Russie contre l’Ukraine et exprimons notre entière solidarité avec le peuple attaqué. Pour l’autodétermination des peuples d’Ukraine et pour une Ukraine libérée des griffes de la Russie, de l’OTAN et des impérialistes américains et européens !

  • Troupes russes hors d’état Ukraine !
  • Dissolution de l’OTAN. Débarrassons-nous des troupes et des bases américaines dans les pays d’Europe occidentale et orientale !
  • Nous appelons les organisations du réseau syndical international de solidarité et de luttes à se joindre aux mobilisations anti-guerre dans les prochains jours.
  • Soutien à ceux et celles qui, en Russie, rejettent la politique de Poutine parce qu’ils et elles se battent pour la paix, la solidarité entre les peuples, contre le nationalisme et l’extrême droite. Soutien aux personnes résidant en Ukraine, qui rejettent toute politique xénophobe, d’exclusion ou fasciste.
  • Solidarité avec les syndicalistes indépendants d’Ukraine, de Russie, de Biélorussie, de Pologne, … dont nous relayons les revendications et les expressions sur le site du Réseau.

Stop Russian aggression in Ukraine ! No Nato ! For a free and sovereign Ukraine for working men and women !
http://www.laboursolidarity.org/Stop-Russian-aggression-in-Ukraine

Stop à l’agression russe en Ukraine ! Pour une Ukraine libre et souveraine pour les travailleurs et travailleuses !
http://www.laboursolidarity.org/Stop-a-l-agression-russe-en

Para um fim à agressão russa na Ucrânia ! Por uma Ucrânia livre e soberana para os trabalhadores !
http://www.laboursolidarity.org/Para-um-fim-a-agressao-russa-na

Fermate l’aggressione russa in Ucraina ! No alla NATO ! Per un’Ucraina libera e sovrana per i lavoratori !
http://www.laboursolidarity.org/Fermate-l-aggressione-russa-in

¡Detener la agresión rusa en Ucrania ! ¡No a la OTAN ! ¡Por una Ucrania libre y soberana para los trabajadores !
http://www.laboursolidarity.org/Detener-la-agresion-rusa-en

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