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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Dans les Yvelines, une classe en lutte... En grève ! Travaux publics

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode 15


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à solidaires78@wanadoo.fr


Grève – Les salariés de l’entreprise Bonna Sabla en grève à Conflans-Sainte-Honorine

Alors que ces travaux sont terminés, les intérimaires, qui représentent ici 70 % des travailleurs, n’ont pas touché leur prime de 4 000 euros de « bonne fin de chantier ». Pourtant négociée avec la direction, cette prime a été versée aux salariés en CDI seulement.

Après avoir travaillé pendant le premier confinement, ils n’ont pas reçu non plus leur prime Covid de 1 000 euros qui leur aurait été promise. En outre, la direction leur a annoncé que le site allait fermer. La raison avancée : elle n’a pas remporté d’appel d’offres pour les lignes 18 et 16.

« Notre contrat se termine le 20 novembre mais on restera même après cette date si on n’obtient pas notre prime », assure Briphil. Au-delà de cette inégalité de traitement, le gréviste ne comprend pas pourquoi le site ferme. Il est ouvrier chez Bonna Sabla depuis un peu plus de deux ans : « Lorsque j’ai commencé, on m’a assuré que, grâce aux chantiers du Grand Paris Express, j’aurais du travail ici jusqu’en 2025. » Comme pour tous les autres

Source : Le Parisien, 6 novembre 2021

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En grève ! Industrie Solidarité !

Soutenez les grévistes à Bergams et Transdev !

Plusieurs grèves ont lieu actuellement pour défendre les salaires, l’emploi et les conditions de travail comme à Transdev en Ile-de-France ou à l’usine Bergams (Essonne) avec des grèves de plusieurs semaines.

Les grévistes ont besoin de soutien, chaque geste de solidarité, même minime, compte !

Les caisses de solidarités :

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En grève ! Santé-Social Secteur associatif

Equalis : le syndicat ASSO solidaire de la mobilisation des salarié-e-s face aux avantages indécents de la direction

Communiqué du syndicat Asso Solidaires, voir aussi, sur cette lutte notre article

Depuis plusieurs semaines, les salarié-e-s d’Equalis se mobilisent face aux révélations sur les avantages indécents de la direction. Asso-Solidaires soutient cette mobilisation : nous relayons ici la lettre ouverte de la CGT adressée aux membres du Conseil d’Administration et aux salarié.es de l’association.

Mobilisation des salarié-e-es d’Equalis le 27 septembre dernier (photo La Marne)

LETTRE OUVERTE DE LA CGT AUX MEMBRES DU CONSEIL D’ADMINISTRATION ET AUX SALARIÉ.E.S D’EQUALIS.

« Le CA est à l’heure de l’épreuve !

Equalis est à la une de différents médias nationaux et des réseaux sociaux qui se sont emparés d’un scandale mettant notre association au cœur de la tourmente. Nous sommes à un tournant, soit le CA prend ses responsabilités et a le courage de mettre fin à la dérive, soit il continue à cautionner le scandale.

De quoi s’agit-il ?

Il s’agit de la révélation du train de vie de notre directeur général M. Arthur Anane et des hauts dirigeants d’Equalis et de leur rémunération extravagante.

« Un salaire de 11.400€ euros net par mois et une Audi Q7 de fonction, 456 cv, coûte, en leasing, la bagatelle somme de 2097 euros par mois», « en 2020, la rémunération d’Arthur Anane a atteint des sommes de plus de 200.000 euros», Monsieur ANANE « a aussi droit à 533 euros mensuel pour se loger » selon Le Canard enchaîné.

« Sept autres membres de la direction touchent entre 94.000 et 130.000 brut annuel et dix directeurs adjoints bénéficient d’une bagnole de fonction » ajoute le même journal. Ces informations sont relayées par le Figaro, le Nouvel Obs, France Info, Nice matin, La dépêche, Radio Sud Est, etc.

Les représentants du personnel au CSE n’ont pris connaissance du rapport du commissaire aux comptes sur les comptes annuels que le lundi 20 septembre 2021. Ce rapport précise que « le montant brut global de la rémunération des 3 hauts cadres s’élève à 581 482€ » sans aucune mention des avantages en nature.

De plus, par ces mêmes journaux, nous apprenons que « le commissaire aux comptes, le 3 juin », « a refusé de certifier la gestion d’Equalis, saisissant le parquet de Melun ». Aujourd’hui encore, le journal « Le Monde » nous apprend qu’une « enquête est ouverte pour abus de confiance ».

Ces scandales entachent l’image de l’association Equalis à court, moyen et long terme, non seulement auprès de l’opinion publique nationale mais également auprès des partenaires et du milieu associatif ainsi qu’auprès de l’ensemble du secteur social et médico-social. Ils portent un coup dur à notre association auprès des financeurs et des décideurs. Ils compromettent leur confiance et impactent durablement l’ensemble des salariés ainsi que le maintien des services. Au final, et principalement, ce sont les usagers et les personnes précaires – à qui sont censées être affectés les deniers publics – qui sont les premières victimes de ces scandales. En effet, l’image d’Equalis est ternie par ceux-là mêmes qui prétendent la diriger.

La CGT et ses représentants du personnel n’ont cessé, depuis la « fusion », de demander plus de clarté. Ils ont à maintes reprises averti des conséquences désastreuses d’une gestion non transparente et raisonnable. Les procès verbaux des CSE témoignent de nos questionnements sur la rémunération des dirigeants, l’utilisation des voitures de fonction etc.

Cette demande nous a été refusée et est restée lettre morte sous de multiples prétextes jusqu’au lundi 20 septembre, date des révélations scandaleuses étalées par la presse.

La présidente d’Equalis n’a jamais cessé de rappeler que nous étions « bien payés » en appliquant scrupuleusement la Convention collective du 15 mars 1966, qui détermine des salaires indécents pour un travail difficile. En revanche, en ce qui concerne les salaires des dirigeants, la Convention Collective n’est pas respectée et les montants sont bien au-delà de ce que prévoit la CCN 66.

Plusieurs salarié.e.s ont été obligés de quitter l’association, beaucoup de turn over dans certains services, la multiplication des protocoles, des procédures de reporting, des surcharges de travail, des sous-effectifs, des managements brutaux etc. Ceci, en fait, reflète une incapacité de gestion dont la responsabilité entière revient à l’actuelle direction.

C’est pourquoi la situation n’exige pas des « correctifs » mais de prendre des mesures fortes et en premier lieu la démission de M. Anane afin de sauver notre association et préserver nos emplois. Sans ces mesures fortes et indispensables, l’ensemble des salarié.e.s risque de tout perdre.

Nous refusons de cautionner ces scandales et nous appelons les salariés à exprimer leur indignation. Nous vous appelons à une journée de mobilisation et de grève.

Venez nombreux.ses nous rejoindre au rassemblement prévu le lundi 27 septembre à partir de 08h30 devant le siège d’Equalis : 400 Chemin. de Crécy, 77100 Mareuil-lès-Meaux

Préservons nos emplois et notre association

La CGT- Equalis »

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Éducation En grève ! Précarité

19 oct. journée de grève des AESH : un succès local et national !

À l’occasion d’une journée nationale de grève, se tenait mardi 19 octobre le 3e rassemblement local appelé par le collectif d’AESH du 78 (Accompagnants d’élèves en situation de handicap, essentiellement des accompagnantes), avec le soutien du syndicat Sud éducation 78.


Plus d’une cinquantaine de personnes, rassemblées devant la mairie de Mantes-la-Jolie, AESH et soutiens (notamment des enseignants grévistes et des parents d’élèves), dans une ambiance joyeuse et déterminée. Les personnes qui ont échangé avec les AESH, dont beaucoup avaient entendu parler de leurs revendications en cette journée de mobilisation nationale, ont fait part de leur compré­hen­sion et de leur solidarité.

Les AESH dénoncent le mépris salarial et professionnel dont elles sont l’objet : sous-effectifs et flexibilité de déplacement, grande précarité du statut, temps partiel imposé et salaire de misère (entre 700 et 800 €p mensuels ; en deçà du seuil de pauvreté).


La grève demande l’abandon des PIAL, le nouveau système de gestion des AESH mis en place par le ministère de l’Éducation nationale, qui permet de les envoyer dans des établissements scolaires sans connaître les élèves ni l’équipe éducative.
À la place de leur contrat précaire, les AESH demandent leur titularisation sous un statut d’éducateur scolaire spécialisé avec un service hebdomadaire de 24 heures te 11 heures annexes, aligné sur celui des professeures des écoles
Cette journée, un succès à l’échelle de la France – 80 rassemblements dans le pays –, a mis à mal la volonté du ministère de rendre invisibles ces travailleurs de travailleurs de l’ombre, petites mains de l’école inclusive, qui sont sorties des salles de classes dans lesquelles ont les avaient cantonnées.
Les AESH nous ont montré une fois encore que le collectif rend fort, c’est pour cela que nous vous invitons à rejoindre leur collectif, le samedi 27 novembre à 10 heures au local syndical situé au 19, rue de la Vaucouleurs, à Mantes-la-Ville.

Sud éducation 78
Contact presse : 06 71 48 60 88

Fédé Sud éduc
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Éducation En grève ! Industrie Internationalisme

Seule la lutte paye


Une nouvelle rubrique – que nous espérons riche et fournie ! – pour présenter les victoires du camp des travailleurs et des travailleuses, ici et ailleurs…


Guerville : une professeure des école enfin nommée ! “C’est la preuve que si on ne se mobilise pas, on n’obtient rien”

Voir dans notre précédent épisode “Dans les Yvelines, une classe en luttes”


Victoire des grévistes de l’usine Tubaces (pays basque espagnol) après 236 jours de grève !

Leur message de victoire (voir notre appel à Solidarité) :

“Après 236 jours de grève, nous ouvriers de Tubacex avons gagné. Il n’y a plus un seul licenciement. Nous avons perdu quelques batailles, été frappés par les flics, diffamés par les médias mais on a gagné la guerre.

Tout ce qu’a gagné cette direction mafieuse, menteuse et rapace a été l’union des travailleurs à la base.

Les rats à deux pattes tomberont tous !

On rentrera dans l’usine tous groupés.”

Image extraite du journal révolutionnaire toulousain “SEUM”, disponible ici : https://seumrevolution.noblogs.org/


Éducation : personnels en CUI : 350 000 – Rectorat de Versailles : 0
En novembre 2016 et janvier 2019, déjà 5 camarades en CUI (contrat précaire) avaient gagné 47000€ au tribunal des prud’hommes d’Evry.
Aujourd’hui, ce sont 31 personnes, accompagnées par SUD Éducation 91 et défendues par Maître MARTINIE qui ont vu le jugement des prud’hommes confirmé par la cour d’appel de Paris.

Le Lycée Robert Doisneau, établissement mutualisateur et employeur de ces personnes principalement AVS dans des écoles du département, a donc été condamné en première instance puis devant la cour d’appel à verser aux 31 plaignantes plus de 300 000 € pour défaut de formation et annualisation abusive (25h par semaine payées 20).

L’avocat du rectorat a demandé de nombreux reports d’audience afin de « jouer la montre » et décourager les plaignantes. 4 ans de ténacité collective ont eu raison de cette stratégie, la victoire est là.

Avec les 3000 € que la cour d’appel l’a condamné à payer à SUD Éducation 91, c’est au total une facture 350 000 € que le rectorat va devoir régler. Ne nous trompons pas, il ne s’agit pas d’une erreur mais d’un calcul cynique de leur part : le choix est fait d’enfreindre la loi, en sachant que très peu de personnes en contrat CUI (680 € par mois) osent se lancer dans une procédure judiciaire. Ce sont ainsi des centaines de personnes qui ont travaillé gratuitement 4 à 5 heures par semaine pour le rectorat pendant plusieurs années. Heureusement ces 36 personnes ont rencontré SUD Éducation qui a pu les accompagner durant ces années difficiles, où la longueur de la procédure n’a pas empêché l’effort collectif de payer. SUD Éducation 91 félicite les 36 personnes qui ont retrouvé leur dignité et pour lesquelles le rectorat a été condamné à débourser 350 000 €.

Face aux abus de la hiérarchie, plus que jamais SUD Éducation revendique la formation et la titularisation sans conditions de tous les personnels précaires.

AED, AESH, CONTRACTUEL.LES, PRÉCAIRES ET TITULAIRES… Construisons des solidarités au-delà des catégories et des contrats en défendant les salarié·es les plus exposé·es  en revendiquant, en luttant ensemble,

ENSEMBLE ON EST PLUS FORT !

Au collège Charles Péguy, au lycée Rosa Parks (91) la lutte a payé
Face à une organisation du travail nuisible, les personnels organisés localement et soutenus par SUD Education 91 ont engagé un rapport de force avec la hiérarchie qui faisait la sourde oreille.

Les préavis de grève et de rassemblement, ainsi que la forte mobilisation des personnels de nettoyage ont permis de ramener la hiérarchie à la raison :

– Engagement du département à pérenniser un poste d’agent territorial qui n’était pas pourvu, au collège Charles Péguy

– Au lycée Rosa Parks,  qui voyait un tiers des agent·es non remplacé·es et des plannings toxiques imposés, un accord a été obtenu qui convient aux deux parties.

SUD Éducation félicite les personnels pour leurs victoires et invite les personnels à oser engager le combat face aux organisations du travail absurdes. La lutte paie !
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Dans les Yvelines, une classe en lutte... En grève ! Nettoyage

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode 14


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à solidaires78@wanadoo.fr


Grève – Aubergenville, Seine entretien : “On est là depuis 4h du matin jusqu’à 13h ou 14h. On n’a pas d’heures en fait”


Mobilisation du collectif AESH 78 à Mantes-la-Jolie

Source : 78actu.fr

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Actu Solidaires 78 Automobile En grève ! Industrie

Sud Renault 78 : La mobilisation fait reculer la direction de Renault sur les 20 mn de pause


Face à une participation en hausse à des débrayages, notamment à Cléon (600 grévistes le 4 octobre et 750 le 12 octobre), la direction a renoncé à basculer le paiement des 20 mn de pause dans la garantie accessoire. C’est une première victoire obtenue par la mobilisation.

A l’issue de la troisième réunion du 12 octobre de négociation d’un nouvel accord de compétitivité 2022/2024, la direction de Renault a annoncé avoir procédé à certains « ajustements » [1] :

  • Maintien de 100 % de la rémunération associée aux pauses de 20 minutes pour les salariés actuels [2] (Merci aux camarades de Cléon, ainsi qu’à tous les collègues qui ont débrayé à Lardy, Le Mans, Villaroy…)
  • Majoration des heures supplémentaires à 25 %, contre 20 % dans la première version de la direction (… et 50% à partir de la 8ème HS aujourd’hui)
  • Franchise basculée en demi-journée de CTI pour les salariés au forfait jour, et en 6 h de CTI pour les autres
  • Samedis matin obligatoires : 6 par an contre 8 prévus initialement (rémunérés à 125 %)
  • Délai supplémentaire pour la mise en œuvre du nouveau dispositif d’écrêtage des CTI qui serait effectif au 1er avril 2022. [3].

La direction a également précisé les sites et les bâtiments qu’elle compte abandonner et faire évacuer [4] :

  • Plessis-Robinson : Équinove (Novadis et Arcade)
  • Vélizy : Connect
  • Guyancourt (Technocentre) : Gradient, Avancée (hors Design), Modem, Asteria, Pluton.
  • Boulogne-Billancourt : M7-M8, Quai Le Gallo, Cristallin, Kinetik. Un regroupement est prévu à terme dans un nouveau bâtiment à Boulogne, qui est encore en attente d’un permis de construire.

C’est donc un projet massif de fermeture de sites qui ne dit pas son nom. Renault parle juste de « libérer » certains sites !

La suite des réjouissances va être ponctuée par une série de réunions entre la direction et des délégués syndicaux centraux (gare au syndrome de Stockholm !) :

  • 19, 20 et 21 octobre : observatoire des métiers
  • 4, 9, et 16 novembre : transformation de l’emploi et des compétences
  • 30 novembre : Qualité de Vie au Travail, reconnaissance, protection sociale
  • 7 décembre : Synthèse et mise en signature de l’accord

Si la direction a préféré reculer sur les 20 mn de pause, son projet comporte toujours de nombreux reculs sur le temps de travail et sur l’emploi : 2000 départs « volontaires » dans l’Ingénierie/Tertiaire [5], perte de 20 mn de salaire par jour pour les nouveaux embauchés, allongement possible d’une heure par séance de travail (overtime), calcul des Heures Supplémentaires sur le mois au lieu de la semaine… D’autres mobilisations vont donc être nécessaires.

Notes

[1] Les entités suivantes ne sont pas concernées par les propositions concernant l’OTT : ElectriCity, Société des Automobiles Alpine, Sodicam2, Renault Software Labs, Renault Digital.

[2] Dans son projet initial, la direction voulait réduire le salaire de base de 20 minutes par jour. Pour rappel, ces 20 mn/jour avaient été exclues du Temps de Travail Effectif (TTE) en 1999 (d’où la notion de « pause ») pour atteindre une moyenne de 35 h de TTE par semaine. Cependant, leur rémunération avait été maintenue. En basculant le paiement de ces 20 mn dans une prime dite « Garantie Accessoires », la direction promettait de maintenir le niveau de rémunération des salariés actuels (mais pas des nouveaux embauchés). Sauf que toutes nouvelles augmentations ou primes seraient ensuite déduites de cette « Garantie Accessoires », selon son principe de fonctionnement établi dans l’« Accord à Vivre de Renault » de 1989 (voir les articles 1 et 2 de l’annexe de cet accord).

[3] Au moment de la transition, les jours CTI supérieurs à 15 jours basculeraient dans le compte transitoire dans la limite de 10 jours. Ensuite, dans le nouveau dispositif, tous les CTI supérieurs à 15 jours basculeraient dans le CTC à la fin de chaque trimestre.

[4] Division par deux du nombre de sites tertiaires d’Ile-De-France d’ici 2025.

[5] Le caractère « volontaire » des départs est tout relatif lorsque de nombreuses activités sont supprimées, que les possibilités de reclassement interne se réduisent comme peau de chagrin et que l’avenir de son métier, voire de l’entreprise, s’assombrit.

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En grève ! Industrie

SOUTIEN A LA LUTTE DES SALARIÉS DE BERGAMS

Plus de deux semaines de grève des salarié.e.s de Bergams , une majorité de femmes, qui produisent à Grigny (dans l’Essone) des sandwichs ou salades pour des grands groupes comme air France ou Relai.

Cette grève, c’est à cause de l’augmentation du temps travail des horaires modulés sur la journée, une baisse énorme de rémunération ( jusqu’à 300 euros par mois), une dégradation de leurs conditions de travail et de leur vie personnelle….

Les patrons ont poursuivit les grévistes en justice pour « blocage », le juge a ordonné une médiation, le blocage n’est pas levé !

Nous encourageons les structures à alimenter la caisse de soutien, relayer et populariser cette lutte et apporter tout soutien concret possible.

https://sudindustrie.org/wp-content/uploads/2021/10/Motion-SIF-UFSI-SL91-Solidaires.pdf

SEULE LA LUTTE PAIE !

Lire le détail de la motion de soutien du congrès de Solidaires en cliquant sur l’image.

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Éducation En grève ! Nettoyage Restauration Revue de presse Transport

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode 13


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à solidaires78@wanadoo.fr


Éducation : pénurie de personnel dans les écoles maternelles

La mobilisation et la grève des Atsem de Versailles a permis des premières avancées, mais il reste beaucoup à faire…

Source : 78actu.fr

Éducation : pénurie de remplaçant·es dans les écoles

Source : 78actu.fr

Éducation : pénurie de personnel dans les cantines des lycées

Source : 78actu.fr

Fin de grève à Transdev

Source : 78actu.fr

Nouvelle mobilisation des personnels de la mairie de Limay…


Grève à Equalis contre l’indécence du salaire du directeur

Voir aussi notre article sur cette journée de mobilisation dan sles Yvelines

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