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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Poste / Télécom

Sud PTT – Aubergenville : les collègues trient par terre à genoux !

Alors que la réorganisation de la PPDC (Plate-forme de Préparation et de Distribution du Courrier, Ndlr) d’Aubergenville et des PDC de Septeuil et des Mureaux s’est mise en place avec l’aval du CHSCT ce 2 novembre, la catastrophe annoncée a bien lieu.

Plutôt que de réorganisation c’est une désorganisation complète qui oblige les collègues d’un îlot à trier à genoux par terre le peu de courrier amené près d’une heure après la prise de service. Quasi aucune lettre ordinaire depuis 2 jours mais uniquement des recommandés et objets spéciaux non triés avec une fois partie en tournée une nouvelle attente de plusieurs dizaines de minutes devant des dépôts désespérément vides pour les collègues.

La direction doit immédiatement revoir sa réorg, injecter les emplois nécessaires et convoquer le CHSCT pour qu’il fasse face à cette tragédie.

Les facteurs des Yvelines ne sont pas des chiens! Les usagers de la Poste ne doivent pas payer la note en recevant leur courrier avec des dizaines de jours de retard.

Voir la vidéo en ligne

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Les travailleur·euses n'ont pas de pays ! Luttes migrant·es

Pour une politique d’accueil permanent et inconditionnel ! Non à la politique de l’immigration à géométrie variable du gouvernement !

Depuis quelques jours, les musiques sur l’immigration choisie et la double peine reprennent. Si nous ne connaissons pas encore le contenu précis de cette nouvelle loi immigration, les déclarations de Darmanin et Dussopt donnent les grandes lignes. Des mesures essentiellement répressives, qui réduiront encore les droits des étranger∙es, les expulseront toujours plus, avec encore moins de garanties et de recours… L’exception : avoir une utilité économique. L’être humain ravalé au rang de marchandises !

Si les ministres donnent l’illusion d’une timide avancée sur la régularisation des travailleuses et travailleurs sans papiers, en évoquant une facilitation de l’accès au marché du travail pour certain∙es, il s’agit de la création d’un énième titre de séjour très temporaire, ciblé sur certains métiers dits en tension. Ils poursuivent en fait le projet d’immigration jetable, clairement énoncé par le ministre de l’intérieur sur BFM : “Si le métier n’est plus en tension, la personne perdra son titre de séjour au bout d’un an”.

On nage aussi en plein cynisme avec un titre de séjour conditionné à la connaissance de la langue française mais sans y mettre les moyens ! Par contre des millions d’euros sont investis pour les Centre de Rétention Administratives, prisons qui ne disent pas leurs noms et zones de non droits.

Enfin, en écho à la récupération à des fins racistes par l’extrême-droite du meurtre d’une enfant, on nous annonce l’inscription systématique des personnes sous OQTF (obligation de quitter le territoire français) au fichier des personnes recherchées. Rappelons que l’OQTF est une mesure administrative, en aucun cas une condamnation pénale ! Et le ministre de l’intérieur surenchérit dans cette croisade. Clamer que les Préfets auront pour mission de « rendre la vie impossible » aux étranger∙es en situation irrégulière (en supprimant notamment les prestations et les logements sociaux) est intolérable. On pensait le harcèlement et la traque interdits par la Loi ! Pour l’Union syndicale Solidaires ces propos sont insupportables ! Elle nous rappelle les heures les plus sombres de notre histoire.

“Être gentils avec les gentils et méchants avec les méchants” : derrière ce vocabulaire simpliste, c’est bien de tri des migrant∙es dont il s’agit, dans un but purement utilitariste.

Pour l’Union syndicale Solidaires, on ne peut pas envisager les déplacements humains comme des phénomènes comptables, ou des rapports sur investissement ! On ne peut pas conditionner la liberté de circulation et d’installation au gré du besoin de main-d’œuvre à bon marché du patronat. C’est pour cela que Solidaires et SUD PTT participent activement à la lutte des travailleurs sans papiers de DPD, Chronopost et RSI pour leur régularisation et l’amélioration de leurs conditions de travail.

Les personnes migrant∙es fuient la guerre et la misère, conséquences des politiques menées entre autres par la France. Leur accueil doit être permanent et inconditionnel.

Nous devons faire preuve de solidarité pour construire ensemble une société où les droits et libertés fondamentales sont les mêmes pour toutes et tous indépendamment de nos origines, partout, sans discrimination.
Pour une société plus juste et égalitaire, plus solidaire,
Pour la fermeture des CRA et l’ouverture des frontières !
Pour un titre de séjour unique de 10 ans !
Régularisation de tou∙te∙s les sans-papiers !
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Luttes logement

Pétition – Non à la criminalisation des locataires en difficulté et des squatteurs de logement vide !

Les députés du groupe Renaissance ont déposé une proposition de loi d’une grande brutalité  à l’égard des personnes sans-domicile qui squattent « en état de nécessité » un logement vacant, mais aussi des locataires qui ont une dette de loyer ou qui sont menacés d’expulsion.

D’une part, elle prévoit de condamner à 3 ans de prison et 45 000 € d’amende les personnes et familles sans-abri qui occupent un logement vide de tout meuble, pour se protéger de la rue. Elle permet en outre de les expulser sur décision du Préfet, en quelques jours et sans jugement, alors que 3,1 millions de logements sont vacants et qu’aucune action publique n’est mise en œuvre pour en diminuer le nombre… 

D’autre part, le locataire convoqué au tribunal pour une dette de loyer sera sanctionné par la résiliation automatique de son bail et son expulsion prononcée, même s’il réussit à régler sa dette de loyer par la suite. 

Rappelons qu’à l’heure actuelle, pour éviter la résiliation du bail et l’expulsion du locataire, le juge peut lui accorder un échéancier pour rembourser l’impayé de loyer : s’il le respecte, son bail se poursuit et il n’est pas expulsé.

Enfin, outre une réduction drastique des délais de procédure, la proposition de loi prévoit que si le locataire expulsé ne se met pas de lui-même à la rue, il devient un délinquant : il risque 6 mois de prison et 7 500 € d’amende après interpellation, comparution immédiate et condamnation. 

C’est le choix entre la rue, où l’on meurt à l’âge moyen de 48 ans, ou la prison pour celui où celle qui refusera de quitter son logement afin de protéger sa famille  ! 

Ces députés préfèrent lutter contre celles et ceux qui ne peuvent se loger ou honorer leur loyer, faute de  logements sociaux en nombre suffisant et de loyers abordables, tandis que les APL sont rognées et que les lois protégeant les locataires, les personnes mal-logées et sans logis sont bafouées… 

C’est plus facile et plus rentable de réprimer les squatteurs et les locataires en difficulté que d’agir enfin contre la crise du logement.

Elle va encore aggraver la crise du logement, tandis que le nombre de sans-abris ne cesse de progresser et que l’inflation fragilise les locataires déjà confrontés à la cherté des loyers et à la hausse des charges. 

Elle doit être débattue à l’Assemblée nationale à partir du 28 novembre : c’est demain ! 

Mobilisons-nous, parlons-en autour de nous, faisons signer massivement cette pétition pour que soit retirée cette proposition de loi cruelle et immorale !

PETITION A SIGNER ICI : https://www.change.org/p/non-%C3%A0-la-criminalisation-des-locataires-en-difficult%C3%A9-et-des-squatteurs-de-logement-vide

Organisations Signataires : AITEC, ALDA, ATD Quart Monde,  ATTAC France, Bagagerue ,CGT, CNL, CNAFAL, CNDH Romeureupe, COPAF, DAL, Emmaüs France, FAP , Femmes Egalité, Fnsat-gvd, FSU, France Nature Environnement Paris, FTCR , HALEM, GISTI, La Cloche, LDH, les enfants du canal, SAF, Secours catholique, SM, Union Syndicale Solidaires, Utopia 56,…

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Actu Solidaires 78 Dans les Yvelines, une classe en lutte... Écologie Éducation En grève ! Industrie Luttes logement Santé-Social Transport

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 40

Au sommaire : mobilisations et grèves – Santé, lycées pro, éducation aux Mureaux, industrie, logement, écologie, etc.


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org


Source : 78actu.fr

Saint-Germain-en-Laye. Rénovation du lycée Jeanne-d’Albret : les parents et enseignants ne décolèrent pas

Source : 78actu.fr

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Source : 78actu.fr

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Actu Solidaires 78 En grève ! Poste / Télécom

Démantèlement d’Orange… STOP ! ! !

Le bilan dévastateur de Stéphane Richard : en 12 ans,

Filialisation généralisée et externalisation de l’ensemble des activités :
Service client sous-traité à 90%
Activités techniques sous-traitées (SCOPELEC, RC CENTRIC)
Les Pylônes mobiles transférés à la filiale TOTEM
Le réseau fibre non dense basculé chez Orange Concession
Le Système d’information partiellement externalisé chez SOFRECOM/C2S Tunisie…

Conclusion : plus de 40 000 suppressions d’emplois.

Aujourd’hui, après la casse d’Alcatel, la Directrice Générale, Christel Heydemann poursuit le démantèlement d’ORANGE . . .

MOBILISation

CONTRE la BRADERIE

DES BOUTIQUES

Six mois après son arrivée, Christel Heydemann accélère le processus et sa première décision stratégique est de sacrifier la vitrine commerciale d’Orange en transférant 2/3 de ses boutiques vers sa filiale Générale de téléphone. Avec son projet industriel qui s’attaque à l’intégrité de l’entreprise,

c’est l’ensemble des 65 000 salarié-es d’Orange qui se retrouve  dans une insécurité permanente.

Aujourd’hui, ce serait le dilemme pour les vendeurs et vendeuses des boutiques, partir vers la filiale, sous une autre convention collective, ou changer de métier pour rester sur leur bassin de vie…  mobilités forcées, comme sous l’ère de l’ancien PDG Didier Lombard, dont la condamnation pour harcèlement moral institutionnel a été confirmée en appel.

La nouvelle direction ose lancer ce nouveau projet d’ampleur de cession au détriment de la santé mentale et physique des salarié-es, alors que nous déplorons au moins 6 suicides au sein d’Orange depuis ces derniers mois. Déterminé, SUD, à l’initiative de la plainte qui a abouti à une jurisprudence historique, protégera et défendra les droits de tous-tes ses collègues.

Pour le maintien du réseau distribution au sein d’Orange

SUD appelle à la Grève

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Éducation

Méfiez-vous des syndicalistes – Journal de Sud éducation 78 n° 5

Le nouveau journal de Sud éducation 78 est sorti !

Édito :

Votons pour une autre école et une autre société…

Consacrer un numéro spécial aux élections professionnelles du 1er au 8 décembre peut sembler opportuniste, mais cela nous a semblé impératif dans cette période où les droits syndicaux des travailleuses et des travailleurs sont sévèrement attaqués.
Il est plus qu’urgent d’utiliser tous les moyens, péda-gogiques et syndicaux pour changer l’école et changer la société.
Voter SUD Éducation, c’est voter pour une autre école. Une école qui vise l’émancipation individuelle et collective des élèves et des personnels, en encourageant les pédagogies coopératives et critiques, notamment lors de formations et de débats organisés localement.
Voter SUD Éducation, c’est voter pour une autre socié­té où la véritable représentation des salarié·es se trouve dans les Assemblées générales, les rassemblements locaux, les actions et discussions collectives.
Voter SUD Éducation, c’est voter pour aller chercher les quelques droits que la « démocratie institutionnelle » nous laisse et en conquérir d’autres, c’est montrer que nous sommes là, partout, tout le temps, dès qu’il le faut…

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Actu Solidaires 78 Éducation En grève !

Casse des lycées pro – courrier aux parents d’élèves – Mantes-la-Ville

Le 18 octobre, au lycée Camille Claudel, une trentaine de grévistes: prof matière professionnel et général, AESH, CPE, secrétaire du proviseur et chef des travaux du tertiaire.

Nous avons décidé de nous diviser en 3 groupes, un sur Paris,l’autre sur l’AG à la gare de Mantes la Jolie et le dernier à préparer un écrit (en pièce jointe) que nous allons remettre aux parents délégués afin d’expliquer les motifs de grève de cette journée.

Nous avons pris contact avec le Courrier de Mantes, LFM et une autre radio Locale, celle ci nous a proposé 20 mn d’antenne.

Très peu de mobilisation des lycées prof du coin, malgré la casse de celui ci, c’est bien dommage car on aurait pu organiser un rassemblement dans Mantes, avec tract, pour informer les gens de ce qui va nous tomber sur le nez dès septembre 2023.

Courrier aux parents d’élèves du lycée Camille Claudel (Mantes-la-Ville)

Vous vous demandez pourquoi les enseignants de LP font grève ce 18 Octobre 2022 ?

L’enseignement professionnel est en danger.

L’inquiétude est vive depuis la rentrée car les Lycées Professionnels ne sont plus gérés par le Ministère de l’Education nationale mais par une ministre déléguée avec une double tutelle du Ministère du travail.

Dans les faits, cela aura un impact direct sur la formation des élèves et leur parcours.

  • Réduction du temps de formation générale et professionnelle
  • Des formations spécifiques à chaque bassin qui ne laisseraient plus le choix de formation aux jeunes
  • Un patronat bien éloigné des problématiques sociales de nos jeunes, qui prendrait la main sur leur formation.
  • Des jeunes utilisés à moindre coût par les entreprises
  • Une perte de poste conséquente avec un budget toujours plus limité : moins de projets, moins d’encadrants, la fin des sorties scolaires
  • A terme, ce serait la fin d’un diplôme national
  • En résumé, cette réforme donne la main au patronat sur la formation de nos jeunes

Comment nos jeunes de 14 ans pourraient sérieusement s’intégrer dans le monde de l’entreprise ? C’est une régression inquiétante !

Nous revendiquons que sans formation scolaire générale et professionnelle, un jeune ne peut pas envisager un avenir professionnel dans de bonnes conditions et devenir un citoyen conscient du monde dans lequel il vit.

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Éducation Répression

Non à la répression contre Kai, syndicaliste à Sud éducation

À regarder sur le site d’Arrêt sur Images

Parmi les nombreux fantasmes qui agitent régulièrement les médias dominants se trouve en bonne place le lycée de banlieue, où le niveau baisserait, où certains sujets seraient désormais interdits d’enseignement, et où l’autorité serait quotidiennement bafouée. Les troubles, les blocages et les gardes à vue de nombreux lycéens depuis la rentrée au lycée Joliot-Curie de Nanterre, dans les Hauts-de-Seine, fournissent un excellent cas d’école. Nous allons donc disséquer ce mouvement de lycéens, et son écho médiatique, ainsi que plus largement, les “mutations dans l’intérêt du service” des enseignants (syndiqués) jugés fauteurs de troubles par les rectorats. Sur notre plateau, Kai Terada, professeur de mathématiques au lycée Joliot-Curie et délégué départemental Sud éducation des Hauts-de-Seine, du moins jusqu’à sa mutation-surprise à la rentrée dans les Yvelines ; ainsi que la professeure des écoles Hélène Careil, elle aussi mutée “dans l’intérêt du service” hors de l’école Marie Curie de Bobigny (et syndiquée chez Sud éducation). En visio, la proviseure du lycée Joliot-Curie de 2018 à 2021, Barbara Martin, désormais directrice du lycée français de Toronto et autrice de La méthode Barbara, paru ce 12 octobre chez Fayard.

Suspendu par le rectorat, sans motif donné au prof

L’enseignant Kai Terada a découvert à la rentrée scolaire 2022 qu’il était suspendu pendant quatre mois – et muté dans les Yvelines –, sans motif : “La suspension n’étant pas considérée comme une sanction disciplinaire, l’administration n’est pas tenue de donner une motivation”, explique-t-il. Au Parisien début septembre, le rectorat a indiqué qu’il avait été suspendu “afin de garantir le fonctionnement serein de cet établissement” suite à une “évaluation à 360°” dont aucun enseignant n’a pu lire le rapport “malgré les demandes”, rappelle Terada. L’ex-proviseure du lycée, à qui Daniel Schneidermann demande si Terada troublait la sérénité du lycée, répond simplement : “Non.”

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Histoire Idées, débats, cultures Lecture

De Mai 68 au Mouvement de Libération des Femmes (MLF)

Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication du livre de : « De Mai 68 au Mouvement de Libération des Femmes (MLF) » sous la direction de Monique Dental et Marie-Josée Salmon aux Editions du Croquant.

Il est issu des trois tables rondes organisées en mai 2008 par le Réseau Féministe « Ruptures » :

  • 1968 : La prise de conscience : des féministes à l’œuvre
  • 1970-1980 : La révolution féministe et ses conquêtes
  • 2008 : 40 ans après. Quel héritage ? Quelles transmissions générationnelles ? Pour quels engagements féministes ?

A travers des témoignages et des analyses, ce livre nous fait vivre – ou revivre – l’avènement et l’essor du Mouvement de Libération des Femmes (MLF). Mai 68, en effet, a été la brèche par laquelle le mouvement féministe a ressurgi, contestataire, joyeux, mais aussi constructif. Pour autant, cette brèche ne s’est pas refermée : en irriguant la société, il a contraint les partis politiques et les syndicats à le prendre en compte. Une histoire souvent houleuse faite d’avancées et de reculs.

Ce qu’on appelle les acquis du féminisme sont le résultat de luttes opiniâtres et c’est pourquoi il importait de mettre en valeur les actrices souvent oubliées ou effacées de l’histoire. En mai 68, en opérant une « révolution » dans la révolution, elles se constituent comme sujets en partant de leur vécu. Plus tard, les féminismes diront dans les manifestations : le féminisme a changé ma vie. Il apparait clairement que le mouvement féministe n’a rien de monolithique, qu’il se caractérise par la diversité des parcours de ses militantes et par la pluralité des courants.

Nous avons aussi souhaité marquer l’évolution du mouvement féministe : ses avancées, ses reculs, ses stagnations. Parfois on le croit mort et il ressurgit quand on ne s’y attend pas, comme aujourd’hui où il revit avec MeToo.  
Connaître le passé éclaire le présent pour mieux penser l’avenir.  

Nous espérons qu’il retiendra votre attention et vous remercions de diffuser l’information à vos contacts et réseaux.
Vous pouvez vous procurer « De Mai 68 au Mouvement de Libération des Femmes (MLF) » en librairie où il se trouve depuis la semaine dernière, ou bien le commander chez votre librairie, et, également, auprès de nous en nous envoyant un chèque de 16.- euros (12.- euros + 4.- euros de frais de port) libellé à l’ordre du Réseau Féministe « Ruptures » à nous adresser 38 rue Polonceau 75018 Paris.

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