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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Internationalisme Les travailleur·euses n'ont pas de pays ! Palestine

Solidarités internationales

Le Réseau syndical international de solidarité et de luttes se rend en Ukraine avec un convoi d’aide aux travailleurs et distribue des dons

https://www.laboursolidarity.org/Le-Reseau-syndical-international-2339

Pologne : le syndicat Inicjatywa Pracownicza (OZZ IP) s’adresse aux travailleurs venant d’Ukraine

https://www.laboursolidarity.org/Pologne-le-syndicat-Inicjatywa

Ukraine : nouvelle loi du travail inacceptable

https://www.laboursolidarity.org/Ukraine-nouvelle-loi-du-travail

Journaliste palestinienne assassinée par Israël : des sanctions s’imposent

Ce matin, mercredi 11 mai, à Jénine, Israël a franchi un pas supplémentaire dans la violation permanente du droit et dans les crimes de guerre : Shireen Abu Aqleh, journaliste américano-palestinienne de 51 ans a été assassinée par l’armée israélienne d’une balle en pleine tête.

Un nombre important de soldats de l’armée d’occupation avaient pris d’assaut la ville de Jénine et bouclé une maison pour arrêter un jeune Palestinien. Des confrontations avec des dizaines de jeunes palestiniens s’en sont suivies.

Shireen Abu Aqleh qui portait un gilet pare-balle barré du mot « PRESS » a été touchée par une balle réelle à la tête. Elle est décédée.

Un autre journaliste, Ali Samoudi, a également été touché d’une balle réelle dans le dos. Il a précisé « les forces d’occupation ont ciblé directement les journalistes. »

Des témoins ont déclaré que les soldats ont tiré à balles réelles en direction de jeunes Palestiniens et des équipes de presse.

Le 25 avril 2018, le journaliste palestinien Ahmed Abu Hussein succombait à ses blessures dans la bande de Gaza. Un soldat israélien l’avait visé par balle. Un autre journaliste, Yasser Mortaja, était mort sur le coup de la même manière. Ces deux journalistes couvraient la “marche du retour.”

Les journalistes palestiniens (et parfois internationaux) sont soumis quotidiennement à des restrictions de déplacements et à des interdictions d’accès, à des confiscations ou destructions de leur matériel, à des arrestations. Selon un décompte de Reporters Sans Frontières, en quatre ans, au moins 144 journalistes palestiniens ont été victimes de violations de la part des forces de l’ordre israéliennes dans la bande de Gaza, à Jérusalem-Est et en Cisjordanie : tirs de gaz lacrymogènes, balles en caoutchouc, coups de matraques, grenades assourdissantes, tirs à balles réelles…

Shireen Abu Aqleh, 51 ans, journaliste de terrain expérimentée a été l’une des premières correspondantes d’Al Jazeera en Palestine. Pendant un quart de siècle, elle a été au cœur des actions de la résistance palestinienne pour en rendre compte. Faisant fi du danger, elle a couvert les guerres, les attaques et les agressions de l’occupation israélienne contre les Palestiniens.

Israël tente de bâillonner ceux qui documentent les crimes de guerre, comme il l’a fait en désignant comme terroristes les ONG de défenses des droits humains palestiniennes. Israël assassine les journalistes, celles et ceux qui résistent : 11 jeunes du village de Beita, village qui refuse la colonisation de ses terres ont été assassinés par l’armée israélienne en une année.

Le premier ministre israélien a donné à ses soldats un permis de tuer. Ils en usent et en abusent y compris contre les journalistes.

Les crimes de guerre israéliens sont connus, documentés. Ils durent depuis des décennies. Ils n’entrainent cependant aucune sanction de la part de la communauté internationale. Jusqu’à quand ? L’Union européenne se déclare choquée par le meurtre de Shireen Abu Aqleh. Prendra-t-elle enfin des sanctions contre Israël ?

L’AFPS transmet ses condoléances les plus sincères à la famille de Shireen Abu Aqleh. Elle transmet sa solidarité aux journalistes palestinien·nes et aux comités de résistances populaires qui la côtoyaient quotidiennement.

Elle exhorte la France, l’Union européenne de mettre fin à l’impunité dont bénéficie Israël depuis toujours en prenant des sanctions immédiates. Les crimes de guerres doivent être sanctionnés de la même manière où qu’ils soient perpétrés.

Le Bureau national de l’AFPS
Le 11 mai 2022

(CGT-FSU-Solidaires) La diplomatie française doit exiger la libération des syndicalistes biélorusses arrêté.es !

https://solidaires.org/sinformer-et-agir/actualites-et-mobilisations/internationales/cgt-fsu-solidaires-la-diplomatie-francaise-doit-exiger-la-liberation-des-syndicalistes-bielorusses-arretees/

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Actu Solidaires 78 Pourquoi des prisons ?

émission radio Actualité des luttes : “Des prisons pourquoi faire ?”

Nous étions une trentaine de personnes aux profils très diversifiés ce mercredi 2 février 2022, à l’appel de l’Union Syndicale Solidaire, à la librairie La Nouvelle Réserve de Limay, pour discuter de la prison et du modèle de société qu’elle représente : des militant.es qui luttent contre le système carcéral, des anciens détenus, des personnes qui interviennent auprès des prisonniers, des curieux, et beaucoup d’habitant.es du Mantois qui refusent la construction d’une prison de Magnanville.

Écouter l’émission

Au cours de cette rencontre, Nadia Menenger, autrice de deux livres sur la prison (“A ceux qui se croient libres” et “La liberté ne se mendie pas”, éditions l’Insomniaque) et Alex, membre du journal l’Envolée (porte voix des prisonniers en lutte, qui a édité le livre “La peine de mort n’a jamais été abolie”), ont pu donner un état des lieux actuel de la prison : 70 000 personnes sont détenues en France aujourd’hui, nombre qui ne fait qu’augmenter ces dernières années du fait de l’alourdissement des peines, des prolongements de détention pour contestation des conditions de (sur)vie carcérale, et que les programmes de construction pénitentiaires n’ont en rien amélioré. Plus on construit de prisons plus on enferme.

Les intervenants ont aussi insisté sur la composition sociale de la population carcérale : ce sont en très grosse majorité les pauvres, les exclus, les sans-papiers, les chômeurs que l’on enferme. L’image du prisonnier ultra-violent, asocial et inarrêtable ne sert qu’à renforcer l’adhésion de la population à un système carcéral qui maintient l’ordre économique injuste et inégalitaire imposé par cette société.

Les différentes réformes, de droite comme de gauche, n’ont pas infléchi cette tendance et les auteurs ont souligné l’hypocrisie de l’abolition de la peine de mort (la France étant la dernière à l’avoir votée en Europe !) alors que l’on enferme parfois jusqu’à la mort, avec des peines qui n’en finissent plus.

Enfin, avant un échange riche avec la salle, où chacun.e a pu exprimer soit un témoignage de détention particulièrement violent et injuste, soit un désaccord, soit une question ou un prolongement sur un aspect de la discussion, nous sommes revenus sur les luttes de prisonniers contre le sort qui leur est fait et sur les solidarités possibles avec l’extérieur. La prison étant un pilier de cette société capitaliste, au même titre que la police et la justice, lutter contre la prison c’est aussi lutter pour des hausses de salaires, contre le chômage, pour le lien social, la santé et l’éducation et contre l’exclusion, l’autoritarisme et le tout sécuritaire.

Toujours est-il que l’opposition au projet de prison de Magnanville nous rassemble, et que nous avons affûté nos armes théoriques pour combattre ce projet, et tous les autres !

Dans l’émission de ce jour, nous vous proposons un montage de cette rencontre

Les ouvrages de cette soirée :

À ceux qui se croient libres – Thierry Chatbi, 1955-2006, Nadia Menenger, L’Insomniaque

La liberté ne se mendie pas, L’Envolée, 2001-2008, Olivier Cuelo, Nadia Menenger, L’Insomniaque.

La Peine de mort n’a jamais été abolie, Dits et écrits de prison choisis par L’Envolée

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Luttes migrant·es

2 juin – Ciné débat Que m’est-il permis d’espérer ? Aux Mureaux

Le Réseau AMY (Réseau pour l’Accueil des Migrants en Yvelines, collectif d’associations) propose un   Ciné-débat   avec le film QUE M’EST-IL PERMIS D’ESPÉRER ? Jeudi 2 juin 2022à 20h30 – Entrée : 5€  – Cinéma Frédéric Dard  Les Mureaux 7813077, rue Paul Doumer – 56, Bd Victor Hugo  – en présence du réalisateur.

Film documentaire réalisé par Vincent Gaullier et Raphaël Girardot-  sorti en 2022 et primé au Festival du film social « Il n’y a pas de crise des migrants, il y a une crise de l’accueil » 

Dossier Presse : http://www.permisdesperer.fr

contact@reseau-amy.org    Site : reseau-amy.org – 

Voir le Tract d’info

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En grève ! Santé-Social

12 mai – ARS Versailles. Mobilisation des personnels des services de soins critiques et intensifs

Tract d’appel départemental à mobilisation pour les personnels des services de soins critiques et intensifs suite à l’attribution d’une prime mensuelle de 100€ uniquement aux cadres et infirmier·es.
Nous vous donnons rendez-vous le 12 mai de 13h30 à 15h30 devant l’ARS de Versailles, 143 boulevard de la Reine.

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Automobile En grève ! Nettoyage

Renault – 4ème jour de grève des salariés de PEI

La grève des salariés de PEI continue. La direction de Renault leur a bloqué l’accès aux bâtiments du Technocentre depuis jeudi matin, mais les grévistes sont bien déterminés à continuer à se faire entendre.

Jeudi 5 mai : En arrivant le matin sur le site, les salariés de PEI ont découvert qu’ils ne pouvaient plus pénétrer dans les locaux du Technocentre [1] : la direction de Renault avait dévalidé leur badge, y compris ceux des délégués du personnel PEI du Technocentre. Ils ont juste pu entrer dans la partie de l’accueil située avant les tourniquets. Malgré ce blocage, les grévistes ont fait du bruit toute la journée pour continuer à se faire entendre.

Les directions de Renault et de PEI ont d’autre part sélectionné quelques salariés, en leur disant qu’ils n’étaient pas concernés par les motifs de la grève, qu’ils ont fait rentrer par l’entrée livraison, dite « PC4 », à l’arrière du site.
 

Signez la pétition de soutien aux salariés de PEI en grève

La direction de Renault a également convoqué un CSSCT (Comité Hygiène Sécurité Conditions de Travail) pour « faire le point sur la prestation de nettoyage » avec les représentants du personnel Renault. Le nouveau directeur du Technocentre y assistait. Face aux retours des salariés inquiets de l’état des sanitaires, la direction a assuré construire des solutions de « back-up » pour maintenir le niveau de propreté du site, mais elle n’a pas voulu dire lesquelles. Elle a affirmé également avoir des « contacts pluri-quotidiens » avec la direction de PEI, mais là aussi sans en dire plus.

C’est en fait par la presse que les grévistes ont appris que « concernant l’entretien du centre de recherche et de développement, le nouveau contrat prendra effet le 20 mai prochain » (Le Parisien du 5 mai 2022). Il est fortement à craindre que ce nouveau contrat soit revu à la baisse par Renault et qu’il ait des conséquences néfastes pour les salariés de PEI : réduction des horaires de travail (et donc des salaires), mutations sur d’autres sites, voire des licenciements.
 

Article du Parisien sur la grève PEI

Le directeur du Technocentre a également envoyé un mail dans la matinée à tous les résidents pour les rassurer sur les « perturbations » engendrées par le « mouvement social des équipes PEI en charge du nettoyage » et affirmer « pouvoir aboutir rapidement à une situation maîtrisée ».

Vendredi 6 mai : Les grévistes ont découvert qu’ils ne pouvaient même plus rentrer à l’accueil du Technocentre. La direction avait fait installer des barrières 20 mètres devant l’entrée du bâtiment de l’Avancée, avec la présence de « gorilles » chargés de filtrer les entrées. Les grévistes de PEI, qu’ils soient ou non délégués, se sont vus refusés de nouveau l’entrée, même pour aller aux toilettes.

Lors d’une nouvelle assemblée générale, les grévistes ont élu un comité d’organisation de la grève composé de délégués et de non syndiqués, avec autant de femmes que d’hommes.

Ils ont appris que la direction de Renault menaçait de faire appel à une autre société pour faire le ménage si PEI n’assurait pas un service minimum. Les grévistes ont longuement discuté de cette nouvelle situation, d’abord dans le comité d’organisation de la grève, puis en Assemblée Générale. Face au chantage de faire intervenir une autre société, les grévistes ont accepté d’assurer un service minimum à certaines conditions :

  • Mise en place d’un service réellement « minimum » qui ne vise pas à briser la grève,
  • Ouverture des négociations,
  • Accès au Technocentre pour les grévistes et les délégués.

Ces propositions ont été ont votées à l’unanimité des grévistes.

Les revendications des grévistes de PEI sont toujours :

  • Paiement des salaires à 100% (le chômage partiel mis en place depuis 2 ans fait perdre jusqu’à 2 à 300 € par mois à certains salariés, et la perte de salaire serait encore supérieure avec le non-paiement des vendredis),
  • Fin de la politique des paliers [2],
  • Arrêt de la dégradation des conditions de travail,
  • Aucun licenciement, aucune mutation imposée.

La lutte continue !

Notes

[1] Jusqu’à jeudi matin, la direction de Renault avait interdit l’accès au site uniquement aux élus du personnel et aux représentants syndicaux de PEI extérieurs au site, et cela avant même le déclenchement de la grève, ce qui est illégal. A partir de jeudi matin, ce sont tous les grévistes qui ont subi le même sort.

[2] Renault impose des « paliers » budgétaires dans ses contrats commerciaux passés avec PEI, ce qui lui permet de baisser le tarif de la prestation en cas de circonstances exceptionnelles.

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Défense de nos libertés Internationalisme Luttes féministes

Défendre le droit à l’avortement partout, tout le temps! Solidarité avec les états-uniennes !

Défendre le droit à l’avortement partout, tout le temps! Solidarité avec les états-uniennes !

Aux Etats-Unis, le droit à l’avortement a été reconnu en 1973 par l’arrêt historique de la Cour suprême dit « Roe versus Wade », contraignant les États à légaliser l’avortement. Mais sous la présidence Trump, les attaques pour faire annuler cette décision se sont multipliées. La nomination à la Cour suprême, par ce dernier, de 3 juges hostiles à l’avortement juste avant la fin de son mandat faisait craindre le pire.
Cette crainte pourrait devenir une réalité dans les semaines qui viennent. Les anti-avortement pourraient parvenir à faire revenir la Cour suprême des États-Unis sur sa décision emblématique de 1973.
Ce droit fédéral était déjà battu en brèche par des lois locales remettant en cause le droit à l’avortement dans certains États voire en l’interdisant.

Face à ce recul dramatique des droits des femmes, dans un pays où la mortalité maternelle est l’une des plus élevées au monde (900 décès/an) et touche près de 4 fois plus les femmes noires, l’Union Syndicale Solidaires appelle à rejoindre les mobilisations de soutien aux femmes et minorités de genre américaines qui auront lieu partout sur le territoire.

Nous dénonçons la remise en cause des droits fondamentaux des femmes et la collusion entre les conservateurs, les extrêmes droites et les pouvoirs religieux, qui perpétuent la domination patriarcale. Nous le redisons : ce projet de loi vise à contrôler le corps et les droits des femmes !

Enfin, interdire ce droit fondamental,

  • C’est accentuer les inégalités de classes, entre les femmes qui peuvent payer pour se rendre dans un État autorisant l’avortement et celles qui ne le peuvent pas ;
  • C’est renvoyer ces dernières à la clandestinité, et à nouveau les acculer à des avortements non médicalisés, avec leurs complications, ou encore les condamner à mort !

Nous appelons à la solidarité internationale !

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Les travailleur·euses n'ont pas de pays ! Luttes migrant·es Vidéo

[Vidéo] Cassons les préjugés sur les immigré.es

La crise économique et sociale est un prétexte pour les politiques et l’extrême droite pour alimenter de fausses informations sur les travailleuses et travailleurs immigré.es.

Elles et ils sont les bouc émissaires d’une politique néo-libérale et autoritaire.

Solidaires se bat contre contre l’ensemble de ces préjugés, rappelle et défend que les travailleuses et travailleurs immigré.es ne sont pas nos ennemi.es mais nos camarades.

— Vidéo réalisée dans le cadre des émissions “Expression directe” diffusée sur la chaîne du service public : diffusion sur France 2 le 03/05/2022 vers 13h50. Rediffusion sur France 5 le 05/05/2022 vers 22h30 et sur France 3 le 07/05/2022 vers 17h00. Série Expression Directe 2022 n°1 Réalisation : Canal Marches / Union Syndicale Solidaires

La vidéo à diffuser :

https://fb.watch/cMZso-sXRr/
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Commerce

Cap au Sud à Marionnaud

Cher-es collègues, en février 2023 aura lieu, par voie électronique, la mise en place d’un Comité Social et Economique (CSE) de l’Unité Economique et Sociale.
Avec le CSE, la direction doit informer régulièrement vos représentant-es de la bonne marche de chaque société et recueillir au préalable leur avis. Iels peuvent l’interpeller sur votre situation individuelle et collective, ainsi que diligenter des expertises sur le plan économique et des conditions de travail.



MARIONNAUD
Nos revendications
✓ Augmentation des salaires
✓ Stabilité des horaires de travail
✓ Passage de temps partiel à temps plein pour ceux/celles qui le souhaitent
✓ Arrêt du turn-over, symptôme du malêtre

SUD c’est quoi ?
Le syndicat SUD (Solidaires, Unitaires et Démocratiques) est représenté dans toutes les professions du public et du privé et dans toute la France.
Nous sommes présents dans le secteur de la parfumerie (Adopt, April,
Nocibé et Sephora), ainsi que dans d’autres entreprises du commerce
(Apple, Carrefour, Naf Naf, SFR, etc.) et chez les étudiant-es.
Nous nous sommes fait connaître ces dernières années pour notre dé-
fense de l’emploi chez New Look, du Code du travail chez Nike et de
la santé et de la sécurité chez Amazon, où nous sommes la première organisation syndicale de l’entreprise.

Contactez-nous sans tarder pour être candidat-e. Vous pouvez vous aussi vous syndiquez pour mieux connaître, faire respecter et développer vos droits (le montant de la cotisation mensuelle est de 0,5 % du salaire net, déductible de vos impôts).

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antifascisme Internationalisme Luttes féministes

En Afghanistan, les talibans ordonnent aux femmes de porter un voile intégral en public

Après l’interdiction faite aux Afghanes de prendre l’avion sans parent masculin et la fermeture des collèges et lycées aux filles, cette nouvelle mesure est la plus sévère restriction à la liberté des femmes depuis le retour au pouvoir des talibans.

Une attaque contre l’une d’entre nous est une attaque contre tou·tes !

Solidarité féministe internationaliste

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