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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Actu Solidaires 78 Transport

Grève à Transdev Ile de France : Solidaires sur toute la ligne !

L’Union Syndicale Solidaires, réunie en son 8ème congrès, apporte son soutien plein et entier aux grévistes de Transdev Île-de-France.

Face aux projets de privatisations, et au démantèlement des Services Publics, la lutte des salarié-e-s de Transdev Île-de-France est emblématique.

Leur combat contre « l’accord-socle », imposé par la direction de Transdev Île-de-France, s’inscrit dans le cadre plus global de la lutte que l’ensemble des composantes de l’Union Syndicale Solidaires mènent pour la défense du Service Public.

L’Union Syndicale Solidaires, avec sa fédération des Urbains et Interurbains, dénonce la logique répressive dans laquelle s’enferre la direction de Transdev, et lui demande d’abandonner immédiatement toutes les poursuites engagées à l’encontre des grévistes, en particulier contre Jamel et Arnaud, convoqués demain mercredi 29 septembre devant le tribunal de Fontainebleau.

Enfin, l’Union Syndicale Solidaire par l’intermédiaire de ses 400 congressistes appelle l’ensemble de ses composantes à soutenir financièrement les grévistes en participant, dans la mesure de leurs moyens, à la caisse de grève des salarié-e-s de Transdev en lutte.

Le lien vers la caisse de solidarité : https://www.cotizup.com/mec-grevistes

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Actu Solidaires 78

Déclaration du 8e congrès de l’Union syndicale Solidaires

La crise sanitaire a mis au grand jour les conséquences des politiques néolibérales de casse des services publics, en particulier de santé, que nous dénonçons depuis de nombreuses années. Nous voyons très clairement que le gouvernement et les capitalistes ont décidé de profiter de la période pour accélérer la destruction et la vente de nos biens communs. Dans le même temps les profits explosent, notamment ceux liés aux activités de l’industrie pharmaceutique. La loi du profit n’a jamais été aussi forte. Ce sont les femmes, les plus précaires, les sans-papiers, les privé·e·s d’emplois, les jeunes et les retraité·e·s qui en sont les premières victimes. Cette pandémie se produit dans un contexte international de rééquilibrage des puissances impérialistes, centré principalement sur l’affrontement Chine-Etats-Unis.

Dans une volonté affirmée de maintenir l’ordre social par tous les moyens, l’État autoritaire enchaîne les mesures liberticides inacceptables, y compris d’exceptions comme le pass-sanitaire, en renforçant les racismes et justifiant les violences policières. Nous continuerons à la combattre et à porter notre solidarité contre la répression qui s’intensifient contre les militant·e·s.

A la crise sociale, aux attaques contre la démocratie et aux droits des travailleuses et travailleurs, s’ajoute une crise écologique majeure. Le capitalisme détruit les écosystèmes et est à l’origine de la crise climatique actuelle qui s’accélère. Il met ainsi l’humanité au pied du mur. Un changement radical dans nos modes de production et de consommation est indispensable. Les capitalistes anticipent déjà un monde totalement déstabilisé où les nouvelles crises alimentaires et migratoires toucheront des centaines de millions d’humain·e·s menacé·e·s dans leur existence. Nous allons à notre niveau proposer et accompagner la mise en œuvre de solutions écologiquement et socialement justes.

Organiser massivement les travailleuses et les travailleurs, dans une structure qui défend notre classe sociale, qui cherche à développer une démocratie concrète et à lutter contre toutes les dominations et oppressions est plus indispensable que jamais, qui plus est au moment où des nouvelles attaques contre nos droits sociaux arrivent, avec la « contre-réforme » de l’assurance chômage au 1er octobre qui va toucher des centaines de milliers de chômeuses et chômeurs et la menace d’un nouveau retour de la casse de nos retraites.

La période que nous traversons, en particulier la crise sanitaire, sociale et écologique, met nos syndicats et nos structures collectives à rude épreuve. La pandémie a pu déstructurer nos collectifs de travail et nos collectifs militants. L’impossibilité de se voir physiquement, des situations nouvelles se succédant rapidement obligeant à des positionnements rapides, des réalités locales ou sectorielles très différentes ont complexifié nos prises de décisions. Notre Union repose sur des principes et pratiques démocratiques qui nous servent de garde-fou.

Notre congrès a permis de se doter de positions et de revendications pour agir. Nous avons décidé d’une campagne d’urgence pour l’automne 2021 axée sur l’augmentation des rémunérations. Nous allons construire une campagne de fond sur le long terme, « partageons le travail » qui doit permettre de porter des alternatives aux aliénations et destructions actuelles. Elle est centrée sur le partage du travail et la baisse du temps hebdomadaire avec les 32h.

C’est en réaffirmant nos valeurs et renforçant nos revendications comme ce congrès nous l’a permis que nous serons plus fort·e·s encore. Nous continuerons de soutenir les mouvements sociaux au sens large, de participer à des collectifs, qu’ils soient intersyndicaux ou permettant une alliance comme avec le collectif Plus Jamais Ça. Nous l’avons toujours dit, notre Union syndicale est un outil au service de la défense des travailleuses et travailleurs, des luttes et de la transformation sociale. L’urgence de la situation sociale et écologique se combine avec un débat public dans lequel des positions et des propositions racistes et fascisantes s’affirment de plus en plus. Nous luttons contre ces expressions partout où elles se manifestent. La prise du pouvoir politique par l’extrême-droite est une réelle menace.

Cette situation inédite pour nos générations nous oblige à réfléchir à l’ensemble des réponses pour faire face, notamment aux liens plus étroits à développer avec les autres syndicats de lutte et de transformation sociale, sans présupposés. Se fédérer, discuter de la possibilité de la recomposition intersyndicale à la base, dans les territoires et les secteurs, ne doit pas être tabou. Il nous faut réfléchir à la façon d’être le plus efficace pour gagner. L’Union syndicale Solidaires ne construira pas des rapprochements seule et nous verrons si d’autres structures souhaitent partager cette démarche.

En attendant, notre Union est un outil indispensable pour faire face dans la période. Alors que les périls sociaux et écologiques n’ont jamais semblé aussi grands, les inégalités et discriminations n’ont jamais été aussi abyssales, notre ennemie mortelle, l’extrême droite, n’a jamais été aussi forte depuis la Seconde Guerre mondiale. Nous mettrons toute notre énergie pour faire grandir notre union, augmenter nos capacités de défense de l’ensemble des travailleuses et travailleurs et nous investir dans la bataille pour aller vers une société plus juste, plus humaine, et plus démocratique. L’Union syndicale Solidaires reste plus que jamais mobilisée dans les luttes féministes, lgbtq+, contre tous les racismes et toutes les formes d’oppressions. Le 5 octobre, journée de grève interprofessionnelle à laquelle nous appelons activement, est ancrée dans cette dynamique.

Saint-Jean-de-Monts, le 30 septembre 2021

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Actu Solidaires 78

Le bonheur par les luttes

Expressions Solidaires n°101 (septembre 2021), journal de lutte à lire, à partager et à coller !

Le monde va mal et ce n’est pas un scoop. Rien que cet été, les catastrophes écologiques nous ont rappelé à la réalité environnementale actuelle. Le rapport du GIEC a confirmé le gap entre les mesurettes prises et l’urgence de mesures radicales pour sauver notre planète. La crise du Covid mondiale n’en finit pas, et risque de perdurer. L’instauration du pass sanitaire en France, plutôt qu’une campagne de vaccination, dotée des moyens à la hauteur de l’enjeu, a renforcé la logique répressive et de contrôle, et clive au sein de la population. Ceux qui jouent sur les peurs, complotistes, racistes, d’extrême-droite ont trouvé un terrain très favorable pour mettre en lumière leurs idées nauséabondes. Ce sont aussi les licenciements qui continuent à alimenter une crise sociale tandis que le gouvernement appliquera sa réforme inique sur l’assurance chômage dès octobre.

Nos résistances sont d’autant plus centrales et essentielles dans la période !
Sortir du fatalisme et de la sidération, ça veut dire agir, convaincre autour de soi et croire en la force du collectif, malgré les divisions, la résignation.


Notre syndicalisme de transformation sociale n’est pas juste une formule. Défendre les salarié∙es, leurs emplois est central, mais transformer la société pour protéger notre environnement, reconquérir nos droits sociaux, instaurer l’égalité et lutter contre toutes les discriminations est notre seule voie. Le premier pas, c’est pour chacun∙e d’aller concrètement manifester, revendiquer, convaincre, dénoncer, faire grève ! C’est tisser des liens et les solidarités entre les militant∙es qui partagent les mêmes valeurs, auprès des salarié∙es et de la population pour combattre les tenants d’un système capitaliste qui n’en finit pas de s’écrouler.

SOMMAIRE

  • page 1, couverture
  • page 2, l’ours
  • page 3, Pour Clément
  • page 4, Brèves de combat
  • Pages 6 et 7, le dossier : Emploi, climat, il y a des solutions
  • page 8, le jeu
  • Page 9 et 10, l’affiche centrale : les poissons remis au goût du jour
  • page 11, Questions à : l’AVFT
  • page 12, la Galaxie Solidaires : Solidaires Informatiques
  • page 13, les Solidaires en Action : Solidaires 91
  • page 14, retour sur…
  • page 15, l’avenir au présent
  • page 16, la Déclaration

Expressions Solidaires n°101 (septembre 2021)

Union syndicale Solidaires
31 rue de la Grange aux Belles – 75 010 Paris
tel : 01 58 39 30 20 – fax : 01 43 67 62 14
contact@solidaires.org

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Actu Solidaires 78 Éducation

Rencontre/formation mardi 28/09 – À l’école, pas de chef·fes, tous et toutes collègues !

La proposition de loi Rilhac « créant la fonction de directeur ou de directrice d’école » a été adoptée en première lecture au Sénat le mardi 10 mars. Elle repassera à l’Assemblée nationale le 29 et le 30 septembre.

Aujourd’hui, le directeur ou la directrice est un·e professeur-e des écoles qui, après avoir été placé·e sur une liste d’aptitude, a obtenu un poste de direction. Selon la taille des écoles, il ou elle est plus ou moins déchargé-e de sa mission d’enseignement mais reste un-e collègue, avec des responsabilités supplémentaires mais sans aucun pouvoir hiérarchique.

Avec la proposition de loi Rilhac, tout changerait : le directeur ou la directrice bénéficierait « d’une délégation de compétences de l’autorité académique » et disposerait « d’une autorité fonctionnelle ». Et la proposition de loi affirme clairement : « Le directeur participe à l’encadrement du système éducatif ».
Si la proposition de loi venait à être adoptée, le gouvernement pourrait changer en profondeur les missions et le statut des directeurs et directrices. On passerait sans transition d’un fonctionnement horizontal et collégial à un fonctionnement vertical et directif.

Fini le fonctionnement collectif du conseil des maîtres-se-s, finie l’auto-organisation des écoles.

- Que contient cette loi ?

- Comment faire pour résister ?

- Quelles autres solutions ?

Nous vous proposons une réunion publique en plein air afin de discuter, prendre ensemble les mesures qui s’imposent et mener vigoureusement le combat contre cette vision réactionnaire de l’école.

Rendez-vous Mardi 28 septembre, à partir de 17h00 à La Nouvelle Réserve, 5 rue du Maréchal Foch à Limay.
Venez nombreux !

Contact
Solidaires 78

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Actu Solidaires 78

Le 1er octobre les bibliothécaires en grève, pour l’égalité d’accès au service public, contre le pass sanitaire

Les bibliothèques et plus généralement les services publics culturels et de loisirs sont obligés depuis juillet 2021 de contrôler l’accès des publics à leur établissements. ce contrôle est majoritairement effectué par les agent.e.s même, ce qui va à l’encontre des missions et de l’accès inconditionnel qui est le cœur de notre ADN.

Cerise sur le gâteau, à compter du 1er octobre, les enfants de 12 ans et 2 mois devront eux-elles aussi présenter un pass valide !!

C’est pourquoi, la fédération SUD CT et le syndicat SUD Culture et Médias Solidaires, appellent à une journée de mobilisation nationale le 1er octobre.

Pour cela, nous déposons un préavis de grève reconductible.

En PJ, vous trouverez et bientôt sur le site fédéral :
– le préavis reconductible pour le 1er octobre
– le communiqué inter fédéral
– le tract à destination du public

Documents à télécharger

Bibliothèque en grève le 1er octobre Préavie de grève 1er octobre CP Journée de mobilisation Bibliothèqe – SUD CT et SUD Cylture et Média Solidaires

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Actu Solidaires 78

Retraités et retraitées dans la rue le 1er octobre, et le 5 on continue !


Les retraité·es subissent des reculs, année après année :
-  gel des pensions pratiquement en continu depuis 2014, et même baisse de la pension en 2018 par l’augmentation forte de la CSG,
-  alors que les prix augmentent, particulièrement ceux de l’énergie,
-  recul des services publics de proximité dont nous avons tant besoin,
-  numérisation de nombreux services et de nombreuses administrations,
-  casse de l’hôpital public et dégradation des services de santé.

L’arrivée d’un nouveau virus, début 2020, a amplifié les discours contre les personnes âgées, accusées d’être improductives, de coûter cher en pensions, en dépenses de santé, etc.

Nous, nous défendons les droits acquis par les retraité·es qui ont cotisé toute leur vie pour vivre une retraite décente. Nous, nous constatons que le bénévolat des retraité·es compense les carences de l’État : garde des petits-enfants, action des associations et même de mairies, etc.

Le gouvernement continue sa politique de réduction des moyens de la santé, par exemple en fermant des lits dans les hôpitaux. Il prend le prétexte du virus pour imposer des « règles sanitaires » répressives, notamment l’actuel passe sanitaire qui encadre notre vie sociale et professionnelle, participe de la mise en place d’une surveillance numérique généralisée de la population, et peut conduire à l’exclusion du lieu de travail. C’est inacceptable !

Nous, nous agissons pour le renforcement des moyens attribués à la santé et à l’hôpital public, nous nous opposons aux mesures coercitives du gouvernement, nous demandons une politique de prévention qui inclut une politique environnementale et alimentaire privilégiant la santé et la vie plutôt que les profits et les dividendes. Il faut lever les brevets sur les vaccins, permettre l’accès gratuit à la vaccination pour l’ensemble de la population de la planète.

Le 1er octobre, 9 organisations de retraité·es CGT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Solidaires, FGR-FP, Ensemble & solidaires, LSR appellent les personnes en retraite à manifester partout pour exiger :
-  un rattrapage des pertes de pouvoir d’achat depuis 2014,
-  une indexation des pensions sur l’évolution du salaire moyen,
-  une politique sanitaire et de santé totalement différente, qui améliore les ressources de la sécurité sociale pour l’intérêt collectif, et non pour les profits des laboratoires pharmaceutiques et de nombreux professionnels libéraux,
-  une politique de l’aide à l’autonomie effective avec la création d’EHPAD publics et la mise en place d’un grand service public de l’aide à l’autonomie, en établissement comme à domicile, avec une prise en charge à 100 % par la Sécurité sociale des dépenses supplémentaires liées à la perte d’autonomie.

Le 5 octobre, l’intersyndicale CGT, FO, FSU, Solidaires et 4 organisations de jeunes (FIDL, MNL, UNEF, UNL) appellent à une journée de grève et de manifestation. L’Union Nationale Interprofessionnelle des Retraité·es Solidaires (UNIRS) appelle les personnes retraitées à être au milieu des « actifs » ce 5 octobre pour un autre partage des richesses créées par le travail : il faut réduire la part allant aux profits et à la rémunération des actionnaires, et augmenter la part allant à la rémunération de celles et ceux qui produisent ces richesses, celles et ceux qui travaillent.

Le 1er octobre, partout dans la rue
A Paris, rassemblement à 14 h devant le ministère des Finances, à Bercy.

Le 5 octobre, partout on continue
A Paris, manifestation à 14 h, Place de la République.

Documents à télécharger

Retraités et retraitées dans la rue le 1er octobre, et le 5 on continue !

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Actu Solidaires 78 Automobile

2000 nouvelles suppressions d’emplois dans l’Ingénierie/Tertiaire Renault


Renault veut encore supprimer 2000 emplois dans l’Ingénierie/Tertiaire en France. Les nouvelles technologies et mobilités exigeraient au contraire de renforcer la R&D, et pas de faire de l’« Ingénierie-washing » en parlant de développements « made in France » tout en délocalisant et en externalisant.

Communiqué SUD Renault Guyancourt/Aubevoye du 17 septembre 2021

2000 nouvelles suppressions d’emplois annoncées dans l’Ingénierie/Tertiaire Renault :
Les salariés devront défendre leurs emplois et leurs conditions de travail

La direction de Renault vient d’annoncer son intention de supprimer 2000 emplois supplémentaires dans l’Ingénierie/Tertiaire en France. Dans les 3 prochaines années, ce seraient 1 300 suppressions d’emplois dans l’Ingénierie produit, 300 dans l’Ingénierie process et 400 dans les fonctions supports (tertiaire). Durant la même période, Renault procéderait à 400 recrutements dans ces secteurs. On est loin du compte.

Le précédent plan dit de « transformation des compétences », signé par la CFE/CGC, la CFDT et FO, avait déjà comme objectif de supprimer 2500 emplois dans l’Ingénierie/Tertiaire. La direction y a pris gout et en redemande. Le triumvirat Senard/De Meo/Le Borgne à la tête de Renault et de son Ingénierie est bien dans les pas de leurs prédécesseurs Ghosn/Bolloré/Gascon.

Le plan « Renaulution » n’est en rien une rupture avec les précédents plans stratégiques de Renault, mais une accélération du dépeçage de son ingénierie et de ses fonctions supports, sur fond d’attaques contre les conditions de travail et de rémunérations des salariés : intensification et complexification du travail, flexibilité, bureaux partagés, individualisation de la politique de rémunération menant à une hausse des inégalités salariales…

Tout en continuant d’externaliser et de délocaliser de nombreuses activités, la direction de Renault ose parler de « développement des projets véhicules « made in France » » . En fait, de plus en plus de développements sont « not made by Renault in France », mais plutôt « made in Romania », « made in India » ou « made by out-sourcing ».

Les départs du dernier plan n’ont de volontaires que le nom pour une partie des salariés qui voient leur activité supprimée et qui sont fortement incités à adhérer à un dispositif de « Rupture Conventionnelle Collective ». Quant aux mesures d’âges (des Dispenses d’Activité pour ceux qui sont à moins de 3 ans de leur âge de départ en retraite à taux plein), beaucoup de salariés les sollicitent tant la politique menée depuis des années par les directions successives de Renault ont des effets dévastateurs et démotivants.

Pour SUD, ces suppressions d’emplois sont inacceptables. Il faut que cette hémorragie d’emplois et de compétences s’arrête. Les enjeux des nouvelles technologies et mobilités demandent au contraire de renforcer la Recherche et Développement (R&D).

Les syndicats qui ont déjà signé les précédents accords de compétitivité et de réduction d’effectifs (parfois en se disant par la suite « trahis » par la direction) doivent cesser d’y apporter leur caution et d’accompagner la politique délétère de la direction de Renault.

SUD en appelle aux salariés qui, en se mobilisant massivement, auraient la force de contraindre la direction à renoncer à ces nouvelles suppressions d’emplois. L’avenir est à la lutte.

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