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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Actu Solidaires 78 Agenda militant Éducation En grève ! Répression

Lundi 16 décembre – Rassemblement de soutien à Kai Terada au Tribunal administratif de Versailles à 9 heures

La situation de Kai Terada est symptomatique de la répression menée par l’Éducation nationale, sous forme de sanctions déguisées :

 Mutation arbitraire et forcée de la part de l’Administration,
 Atteinte aux droits syndicaux,
 Neutralisation illégale de sa mutation,
 Suppression de sa demande de mutation

Après des années de procédure, la situation de Kai Terada est enfin jugée au Tribunal administratif de Versailles le lundi 16 décembre 2024.

Nos organisations syndicales demandent le rétablissement de Kai Terada sur son poste au lycée Joliot-Curie de Nanterre sans perte d’ancienneté, le rétablissement de tous ses droits statutaires à commencer par le droit à mutation.

Nos organisations syndicales appellent à un rassemblement de soutien le lundi 16 décembre, à 9 heures, devant le Tribunal administratif de Versailles.

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Agriculture Écologie Répression

Solidaires dénonce la répression contre la Confédération paysanne

Tout un symbole ; à quelques heures de la signature de l’accord Mercosur, la Bourse du Commerce européenne était inaugurée au Grand Palais à Paris jeudi 5 décembre ! La Confédération paysanne y a organisé une action militante en déployant une grande banderole « Sauvez les paysan·nes, mangez un trader ». L’objectif de cette action non violente était notamment de dénoncer la spéculation boursière sur les céréales et le danger que représente l’accord Mercosur entre l’Union européenne et des pays d’Amérique du Sud

Contrairement aux opérations de la Fnsea qui se déroulent sous le regard bienveillant des forces de l’ordre, y compris lorsqu’elles s’en prennent à des institutions publiques et leurs agent·es, nos camarades de la Confédération paysanne ont été nassé·es, matraqué·es et 5 d’entre elleux ont été placé·es en garde à vue. Garde à vue qui a été prolongée toute la nuit. 3 camarades ont finalement été relâché·es dans la journée du 6 décembre et 2 sont présenté·es aux juges ce samedi 7 décembre. Un rassemblement de soutien devant le tribunal judiciaire de Paris est organisé dès 9h.

Pour l’Union syndicale Solidaires, le traitement réservé aux militants et militantes de la Confédération paysanne est scandaleux, honteux, révoltant. Nous apportons notre soutien plein et entier aux camarades qui sont jugé·es et réclamons leur relaxe. Nous dénonçons la répression ciblée de l’État contre une partie du monde paysan porteur d’un autre projet agricole que celui mortifère de la Fnsea et des lobbies agroalimentaires. Une autre agriculture est possible !

https://www.confederationpaysanne.fr/actu.php?id=15102
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Actu Solidaires 78 Éducation En grève ! Répression

Appel intersyndical académique – Rassemblement de soutien à Kai Terada au Tribunal administratif de Versailles le lundi 16 décembre à 9 heures

La situation de Kai Terada est symptomatique de la répression menée par l’Éducation nationale, sous forme de sanctions déguisées :

 Mutation arbitraire et forcée de la part de l’Administration,
 Atteinte aux droits syndicaux,
 Neutralisation illégale de sa mutation,
 Suppression de sa demande de mutation

Après des années de procédure, la situation de Kai Terada est enfin jugée au Tribunal administratif de Versailles le lundi 16 décembre 2024.

Nos organisations syndicales demandent le rétablissement de Kai Terada sur son poste au lycée Joliot-Curie de Nanterre sans perte d’ancienneté, le rétablissement de tous ses droits statutaires à commencer par le droit à mutation.

Nos organisations syndicales appellent à un rassemblement de soutien le lundi 16 décembre, à 9 heures, devant le Tribunal administratif de Versailles.

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Actu Solidaires 78 Éducation Répression

Jeudi 28 novembre, Versailles – Rassemblement en soutien à notre collègue Laetitia : non à la répression syndicale

Nous appelons toustes les collègues à témoigner leur soutien et leur solidarité à notre collègue Laetitia Salini en proie à la répression de sa/notre hiérarchie.

 En participant au rassemblement devant le TA de Versailles le jeudi 28 novembre à partir de 13 heures 30 (un préavis de grève couvre les collègues qui souhaiteraient venir)

 En signant la pétition en ligne contre la mutation forcée de Laetitia

 En diffusant au maximum la situation au collège de Chatou… par exemple cet article de Libération

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Éducation Répression

Répression au collège Auguste Renoir de Chatou Soutien à Laëtitia Salini !


Collectif des Réprimé·es de l’Éducation nationale « Sois Prof Et Tais-Toi »

Laëtitia Salini est une enseignante en SEGPA, en poste au collège Auguste Renoir depuis le 1er septembre 2020.
Elle est syndiquée, et réprimée pour s’être opposée aux agissements de la principale du collège Auguste Renoir en poste
depuis 2021. Cette dernière fait régner un climat de terreur au sein du collège, à coups d’intimidations, de comportements
vexatoires, et de menaces, provoquant de nombreux départs au sein de l’équipe pédagogique. Voir un article de presse
complet ici.


Le 13 juin 2024, l’administration l’a mise en congé d’office, pour raison médicale (pour suspicion de pensée suicidaire !), en la sortant de l’établissement de la manière la plus inhumaine qu’il soit. Ce congé d’office a duré 4 mois, il a été renouvelé chaque mois par mail sans aucune information, ni explication et surtout sans qu’elle ne soit passée devant le comité médical. *Petit rappel juridique : on ne peut être mis en congé d’office sans être d’abord passé devant un comité médical, sauf cas d’extrême danger (ce qui n’était pas le cas de Laëtitia) et si c’est le cas, celui-ci ne peut être renouvelé plus d’une fois sans être passé devant le comité médical. Tout cela est parti d’un mail envoyé par Laëtitia le 26 avril 2024 au psychologue de l’éducation nationale : « vous attendez qu’il y ait un drame dans cet établissement pour
agir !». Un comité médical restreint s’est tenu le 17 septembre 2024 mais elle n’a été informée ni de sa date, ni de sa
décision.


Elle a reçu par mail une convocation pour le 9 octobre 2024, elle a été reçue ce jour-là par l’inspectrice de l’éducation nationale ASH et le chef de la division des enseignants du 1er degré qui lui ont proposé 3 postes, qu’elle a refusés. On lui a dit que : « si elle revenait à Chatou, elle serait suivie et que ce serait très dur pour elle », est-ce là encore une forme d’intimidation et de chantage de la part de sa hiérarchie ? On lui a aussi dit qu’elle ne pourrait pas reprendre immédiatement mais qu’elle devrait voir la médecine du travail.


Or, le lendemain, le 10 octobre 2024 en fin de journée, on l’avertit par mail qu’elle est mutée dans l’intérêt du service pour une reprise le lundi 14 octobre dans un établissement à Achères. On ne lui communique aucune information quant à l’horaire, son emploi du temps, ni qui contacter…


La répression dont Laëtitia est victime est un cas d’école à plusieurs titres :

  • l’utilisation des dispositifs médicaux et de santé à des fins de gestion du personnel : comme à Saint-Denis, ou
    Marseille, il s’agit d’éloigner les personnes considérées comme gênantes pour des motifs médicaux fallacieux, soi-disant pour leur propre bien. Il s’agit en réalité d’une utilisation abusive et cynique de dispositifs censés venir en aide aux agent·es de la fonction publique qui sont détournés pour les besoins de l’administration pour les éloigner de leur établissement d’exercice ;
  • l’utilisation de la mutation dans « l’intérêt du service » pour complaire à la demande de supérieur·es hiérarchiques qui veulent faire taire des personnes souvent syndiquées qui cherchent à dénoncer ou alerter sur des situations de management toxique. Une nouvelle fois, comme à Bobigny, Saint-Denis, Nantes, Reims, Nanterre, Marseille, etc. aucun moyen de défense n’est accordé à la personne qui subit cette mutation. Dans le cas de Laëtitia, elle n’a même pas eu accès à son dossier administratif !

    Soutien à Laëtitia Salini !
    Non à la répression !
    Abandon de toutes les procédures !


    Signer la pétition ici.
    La cagnotte de soutien est ici.

« Sois prof et tais-toi ! » Collectif des réprimé·es de l’Éducation nationale
Mail : stop.repression.education@gmail.com
YouTube : Sois prof et tais-toi
Twitter : @soisproftaistoi, #SoisProfEtTaisToi
Site : collectifdesreprimees.fr

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Éducation Répression

Communiqué du collectif Sois prof et tais toi

Lorsqu’un agent de l’éducation nationale saisit son administration pour dénoncer la répression :
Le rôle des Tribunaux administratifs consiste à s’empresser de la couvrir Il existe une facette méconnue des dossiers de répression qui se sont multipliés ces dernières années
dans l’Éducation nationale, c’est le confondant manque de rigueur manifeste avec lesquels ils ont été constitués. Souvent les éléments factuels sont soit manquants soit carrément erronés (à Nanterre, un réprimé a été accusé d’insulte durant une séance du conseil d’administration alors qu’il n’était pas présent
puisque qu’il n’était pas élu, à Bobigny, accusation de harcèlement par mail sans fournir le moindre mail
pour en attester, à Melle accusation de blocus d’un lycée ouvert et dépourvu de grille, à Saint-Denis accusation d’autogestion alors que le directeur académique refusait de nommer un directeur sur le poste…).


Il est constant que les dossiers de requête des réprimé·es soient autrement plus fournis, détaillés, circonstanciés, émaillés de témoignages variés, que ceux de l’administration. Il est constant aussi que les réprimé·es se comportent de façon plus respectueuse envers l’institution judiciaire : requêtes présentées
dans les délais impartis (contrairement à l’administration, par exemple dans le cas de Nanterre, le Rectorat de Versailles a présenté son mémoire en défense le 7 juillet 2024 alors qu’il lui était enjoint de le présenter le 19 août 2023), présence à toutes les audiences (contrairement aux Rectorats qui se permettent souvent de ne pas se présenter, comme par exemple à Melle lors de l’audience sur le fond), réponses longues et circonstanciées de leurs avocat·es aux demandes d’information des juges en
audience (contrairement aux rectorats qui présentent souvent des observations lapidaires comme pour Saint-Denis, Bobigny, etc. quand ils sont présents).


Pourtant, ce sont presque toujours les rectorats qui obtiennent gain de cause contre les réprimé·es. Pire, les arrêtés des tribunaux administratifs sont souvent des copier-coller des mémoires écrits par les rectorats, reprenant les arguments des rectorats, aussi fallacieux, fantaisistes, peu étayés, voire
manifestement mensongers, soient-ils.


Tout se passe comme si la parole des réprimé·es n’avait aucune valeur, qu’elle ne méritait aucune considération quels que soient le sérieux et le soin avec lesquels elle a été recueillie, malgré le respect avec lequel les réprimé·es se conforment aux demandes de la justice.


Cette absence d’impartialité qui se répète procédure après procédure a un effet délétère sur le comportement des administrations, qui s’enhardissent et vont toujours plus loin dans le déni des droits des agent·es, puisqu’elles savent que quoi qu’elles fassent, leurs turpitudes seront toujours couvertes et
validées par les tribunaux administratifs.


Le rôle officiel des tribunaux administratifs est de trancher des litiges entre les administrations et les particuliers en toute impartialité, et en droit. Nous sommes forcé·es et effaré·es de constater que leur rôle réel est de protéger coûte que coûte l’administration contre les agent·es et de légitimer la répression.
Ce déni de justice doit cesser car nous avons droit au respect !


Les réprimé·es exigent que justice leur soit rendue, et que leurs dossiers soient étudiés avec toute l’impartialité qui leur est due.

« Sois prof et tais toi ! » Collectif des réprimé·es de l’Éducation nationale


Mail : stop.repression.education@gmail.com

YouTube : Sois prof et tais toi


Twitter : @soisproftaistoi, #SoisProfEtTaisToi

Site : collectifdesreprimees.fr

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anti-validisme Répression

Répression du mouvement social : Aucune sanction pour les militant∙es et militant∙es handicapé∙es et antivalidistes de l’association Handi-Social !

Le 23 octobre prochain, 16 personnes militantes antivalidistes, dont plusieurs personnes handicapées seront jugées par la cour de cassation de Paris. Ce qu’on leur reproche ?

D’avoir occasionné une heure de retard pour des passager∙es en train et en avion suite à un blocage de TGV et d’une piste d’aéroport à Toulouse en 2018.

Mais rappelons les faits : les camarades militant∙es ont mené de telles actions pour faire entendre leurs voix: “c’est parce que la France n’a pas hésité à faire reculer nos droits dans un contexte ou l’ONU retient 3 termes pour parler de la politique handicap de la France : ségrégation, privation de liberté et atteinte aux droits humains.”

Porté∙es par le collectif Handisocial, il était question de dénoncer le non-respect des droits fondamentaux par l’Etat Français qui refuse d’appliquer ses propres lois sur l’accessibilité depuis 50 ans, les réduisant même, et de mettre en œuvre la Convention internationale des droits des personnes handicapées de l’ONU ratifiée en 2010.

Réclamer le droit d’accéder aux transports, aux logements, à l’école, à la culture, à la santé est-il un crime ? Visiblement oui pour la justice française qui a condamné les 16 militant∙es à des peines en 1ère instance: amendes, prison avec sursis. Aujourd’hui, Handisocial et les militant∙es antivalidistes exigent la relaxe au titre de la liberté d’expression.

L’Union syndicale Solidaires soutient les camarades réprimé∙es, appelle à se mobiliser aux côtés des associations antivalidistes le 23 octobre

  • A Paris, à 8h15 devant le Zimmer place du Chatelet, puis à 9h à la cour de cassation, quai de l’Horloge
  • A Toulouse, devant le Tribunal judiciaire où un rassemblement se tiendra à 11h30

L’Union syndicale Solidaires revendique :

  • L’arrêt de la répression des militantEs qui luttent pour l’accès à leurs droits
  • La fin des politiques validistes mises en place par l’Etat français et contraires aux recommandations de la convention de l’ONU pour les personnes handicapées

Pour en savoir plus :

L’appel Handisocial:

https://www.handi-social.fr/articles/actualites/communique–militantes-handicapees-antivalidistes-condamnes–vers-une-relaxe-sur-le-fondement-de-la-liberte-dexpression–1824097

La cagnotte de soutien Handisocial:

https://www.helloasso.com/associations/handi-social/collectes/entravees-segreguees-discriminees-les-personnes-handicapees-reclament-justice

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Éducation Répression

Non à la répression dans l’Éducation


Lorsqu’un agent de l’éducation nationale saisit son administration pour dénoncer la répression : le rôle des Tribunaux administratifs consiste à s’empresser de la couvrir.

Il existe une facette méconnue des dossiers de répression qui se sont multipliés ces dernières années dans l’Éducation nationale, c’est le confondant manque de rigueur manifeste avec lesquels ils ont été constitués. Souvent les éléments factuels sont soit manquants soit carrément erronés (à Nanterre, un réprimé a été accusé d’insulte durant une séance du conseil d’administration alors qu’il n’était pas présent puisque qu’il n’était pas élu, à Bobigny, accusation de harcèlement par mail sans fournir le moindre mail pour en attester, à Melle accusation de blocus d’un lycée ouvert et dépourvu de grille, à Saint-Denis accusation d’autogestion alors que le directeur académique refusait de nommer un directeur sur le poste…).


Il est constant que les dossiers de requête des réprimé·es soient autrement plus fournis, détaillés, circonstanciés, émaillés de témoignages variés, que ceux de l’administration. Il est constant aussi que les réprimé·es se comportent de façon plus respectueuse envers l’institution judiciaire : requêtes présentées
dans les délais impartis (contrairement à l’administration, par exemple dans le cas de Nanterre, le Rectorat de Versailles a présenté son mémoire en défense le 7 juillet 2024 alors qu’il lui était enjoint de le présenter le 19 août 2023), présence à toutes les audiences (contrairement aux Rectorats qui se permettent souvent de ne pas se présenter, comme par exemple à Melle lors de l’audience sur le fond), réponses longues et circonstanciées de leurs avocat·es aux demandes d’information des juges en
audience (contrairement aux rectorats qui présentent souvent des observations lapidaires comme pour Saint-Denis, Bobigny, etc. quand ils sont présents).
Pourtant, ce sont presque toujours les rectorats qui obtiennent gain de cause contre les réprimé·es. Pire, les arrêtés des tribunaux administratifs sont souvent des copier-coller des mémoires écrits par les rectorats, reprenant les arguments des rectorats, aussi fallacieux, fantaisistes, peu étayés, voire
manifestement mensongers, soient-ils.
Tout se passe comme si la parole des réprimé·es n’avait aucune valeur, qu’elle ne méritait aucune considération quels que soient le sérieux et le soin avec lesquels elle a été recueillie, malgré le respect avec lequel les réprimé·es se conforment aux demandes de la justice.
Cette absence d’impartialité qui se répète procédure après procédure a un effet délétère sur le comportement des administrations, qui s’enhardissent et vont toujours plus loin dans le déni des droits des agent·es, puisqu’elles savent que quoi qu’elles fassent, leurs turpitudes seront toujours couvertes et
validées par les tribunaux administratifs.
Le rôle officiel des tribunaux administratifs est de trancher des litiges entre les administrations et les particuliers en toute impartialité, et en droit. Nous sommes forcé·es et effaré·es de constater que leur rôle réel est de protéger coûte que coûte l’administration contre les agent·es et de légitimer la répression.
Ce déni de justice doit cesser car nous avons droit au respect !
Les réprimé·es exigent que justice leur soit rendue, et que leurs dossiers soient étudiés avec toute l’impartialité qui leur est due.

Communiqué du collectif Sois prof et tais toi, 7 octobre 2024


« Sois prof et tais toi ! » Collectif des réprimé·es de l’Éducation nationale
Mail : stop.repression.education@gmail.com YouTube : Sois prof et tais toi
Twitter : @soisproftaistoi, #SoisProfEtTaisToi Site : collectifdesreprimees.fr

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