Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication du livre de : « De Mai 68 au Mouvement de Libération des Femmes (MLF) » sous la direction de Monique Dental et Marie-Josée Salmon aux Editions du Croquant.
Il est issu des trois tables rondes organisées en mai 2008 par le Réseau Féministe « Ruptures » :
1968 : La prise de conscience : des féministes à l’œuvre
1970-1980 : La révolution féministe et ses conquêtes
2008 : 40 ans après. Quel héritage ? Quelles transmissions générationnelles ? Pour quels engagements féministes ?
A travers des témoignages et des analyses, ce livre nous fait vivre – ou revivre – l’avènement et l’essor du Mouvement de Libération des Femmes (MLF). Mai 68, en effet, a été la brèche par laquelle le mouvement féministe a ressurgi, contestataire, joyeux, mais aussi constructif. Pour autant, cette brèche ne s’est pas refermée : en irriguant la société, il a contraint les partis politiques et les syndicats à le prendre en compte. Une histoire souvent houleuse faite d’avancées et de reculs.
Ce qu’on appelle les acquis du féminisme sont le résultat de luttes opiniâtres et c’est pourquoi il importait de mettre en valeur les actrices souvent oubliées ou effacées de l’histoire. En mai 68, en opérant une « révolution » dans la révolution, elles se constituent comme sujets en partant de leur vécu. Plus tard, les féminismes diront dans les manifestations : le féminisme a changé ma vie. Il apparait clairement que le mouvement féministe n’a rien de monolithique, qu’il se caractérise par la diversité des parcours de ses militantes et par la pluralité des courants.
Nous avons aussi souhaité marquer l’évolution du mouvement féministe : ses avancées, ses reculs, ses stagnations. Parfois on le croit mort et il ressurgit quand on ne s’y attend pas, comme aujourd’hui où il revit avec MeToo. Connaître le passé éclaire le présent pour mieux penser l’avenir.
Nous espérons qu’il retiendra votre attention et vous remercions de diffuser l’information à vos contacts et réseaux. Vous pouvez vous procurer « De Mai 68 au Mouvement de Libération des Femmes (MLF) » en librairie où il se trouve depuis la semaine dernière, ou bien le commander chez votre librairie, et, également, auprès de nous en nous envoyant un chèque de 16.- euros (12.- euros + 4.- euros de frais de port) libellé à l’ordre du Réseau Féministe « Ruptures » à nous adresser 38 rue Polonceau 75018 Paris.
Stage de formation syndicale, vendredi 25 novembre à Mantes-la-Jolie, organisé par SUD éducation 78 et la CGT éducation 78, avec la participation du groupe ICEM nord ouest francilien.
Descriptif
La matinée sera consacrée à une introduction en plénière à la pédagogie Freinet, à un arpentage du livre de Catherine Chabrun Entrer en pédagogie Freinet (éditions Libertalia) ainsi qu’à la présentation de l’expression libre en pédagogie Freinet.
Un repas partagé aura lieu le midi.
Quatre ateliers seront proposés l’après-midi :
1. La démocratie dans l’École : le conseil de classe 2. Sortir de l’enseignement frontal (1) : la méthode naturelle et les textes libres 3. Sortir de l’enseignement frontal (2) : repenser l’organisation de la classe autour du travail individuel et des plans de travail 4. Les pédagogies critiques
Inscriptions obligatoires (pour obtenir les modèles de demande d’autorisation d’absence) auprès de Sud éducation 78 : sudeducation78@ouvaton.org ou CGT éducation 78 : cgteducaction78@gmail.com
Rappel : Tous les personnels ont le droit à 12 jours de formation syndicale par an, les droits ne s’usent que si on ne les utilise pas ! Faisons en usage !”
Ce samedi 1er octobre, Fabienne Lauret et Philippe Guillaume sont venu·es, à la librairie La Nouvelle Réserve de Limay, présenter le roman graphique Une féministe révolutionnaire à l’atelier, l’envers de Renault Flins(La Boite à bulles).
Une rencontre passionnante qui a débuté par un rappel des liens entre la librairie La Réserve (l’ancêtre de la Nouvelle réserve) et l’établissement en usine de militant·es révolutionnaires dans les années 70. Puis ce fut une présentation de la genèse de l’ouvrage, un projet qui a vu le jour ici, dans le Mantois.
Dans la continuité du livre de Fabienne, L’Envers de Flins, cette BD en est à la fois et une synthèse et un prolongement avec l’évocation de nouveaux aspects des engagements de notre camarade.
Un livre à se procurer d’urgence !
Revue de presse…
Une belle BD sociale avec Une féministe révolutionnaire à l’atelier : L’envers de Renault Flins aux éditions La Boîte à Bulles, sortie le 14 septembre 2022
L’auteur Philippe Guillaume raconte avec Fabienne Lauret une histoire d’hommes et de femmes au coeur de la France industrielle. La jeune Fabienne a débuté en 1972 son travail à l’usine Renault de Flins, haut lieu du syndicalisme et des luttes pour protéger les droits des ouvriers. La lutte a aussi concerné les droits des travailleurs immigrés et des femmes alors que les élections ne donnaient jamais les forces de gauche en tête des élections, jusqu’en 1981 et l’arrivée de François Mitterrand au pouvoir. Le trait et les bulles sont hyper dynamiques pour raconter l’histoire de la lutte des ouvriers au XXe siècle, une passionnante histoire.
La lutte des classes par le menu
L’envie de défendre ses camarades a très tôt animé Fabienne Lauret. Les 144 pages de la BD livrent un récit vibrant d’une vie passée à défendre les camarades et à se confronter à toutes les luttes du quotidien. Face aux tentatives de déstabilisations du partenariat, aux réflexes souvent machistes des ouvriers et aux difficultés de la vie, la syndicaliste CFDT fait face, apportant son soutien à ceux qui en ont besoin. L’histoire est vibrante d’implication, jamais démentie malgré les coups du sort personnels et la dureté des journées de travail dans les usines. Les dessins d‘Elena Vieillard sont à mi-chemin entre la BD belge et le manga, donnant une énergie considérable aux récits et aux dialogues.
Les 144 pages se lisent sans effort, pour une plongée sans fard dans le quotidien de la classe ouvrière tout le long du XXe siècle. Un très beau moment de lecture.
Synopsis:
Comme d’autres « établis » – démarche amorcée à la suite de mai 1968 et visant à faire entrer des militants révolutionnaires dans les usines – Fabienne Lauret se fait embaucher à l’usine Renault-Flins, dans les Yvelines, le 3 mai 1972.
Son engagement pour la cause ouvrière, à l’instar de nombreux établis, deviendra très vite la trajectoire de toute une vie. Elle passera ainsi plus de trente-six ans à l’atelier de couture et au comité d’entreprise de l’usine.
Dans cette BD coscénarisée par Philippe Guillaume, Fabienne Lauret retrace une vie de luttes syndicales et féministes, de l’obtention du samedi comme jour de congé au droit à des conditions de travail et salaires décents. Véritable journal d’usine des années 1970 à 1990, ce témoignage raconte la condition ouvrière et les discriminations sexistes qui révoltaient Fabienne, sans oublier le racisme omniprésent envers les nombreux immigrés qui occupaient les postes les plus pénibles.
Un témoignage tout à la fois personnel, intime, sociologique et historique, à l’heure où la menace d’une fermeture plane sur Renault Flins…
Préface de l’historienne Ludivine Bantigny. »
Auteur: Philippe Guillaume & Fabienne Lauret (scénario), Elena Vieillard (dessin), Ludivine Bantigny (préface)
Une féministe révolutionnaire à l’atelier : l’envers de Renault Flins
Alors autant vous le dire tout de suite, vous n’êtes pas prêts. Non vous n’êtes pas prêts à lire ce titre à moins d’avoir vécu comme l’auteure. Cette plongée dans le monde ouvrier, dans le milieu syndical révolutionnaire et dans l’atmosphère de la lutte féministe des années 70… c’est d’une violence morale voir physique…. assez dingue.
Ce titre bibliographie de Fabienne Lauret qui va volontairement se faire embaucher dans l’usine Renault Flins pour défendre la cause des ouvriers est dépoussiérant. Car oui on a tous vu aux actus les grèves de ces entreprises, on a tous entendu la revendication des acquis sociaux obtenus au bout des jours, mois, années de grêves mais non, on ne se rend pas bien compte de ce que ça veut dire derrière. Grêve générale.
Derrière cela il y a donc Fabienne et tant d’autres personnes qui ont patiemment expliqué, pris parti, pris en pleine tête (aussi) qu’un autre monde était possible. On découvre les magouilles des patrons mais aussi et surtout des syndicats entre eux et entre partis. Effarant. On découvre les cadances infernales, les taux de rendements, les accidents de travail, tout un univers ouvrier qui est peu connu et encore moins reconnu.
On salut le dessin en noir en blanc très simple, et il le fallait vu le nombre d’infos qu’on doit digérer. Le rouge vient reveiller tout cela, le rouge symbole de la lutte. On se perd parfois un petit peu dans les prénoms des collègues syndicalistes et dans les dates des grèves, mais l’important n’est pas là. Tu es toute seule Fabienne.
Enfin Fabienne a défendu les causes feministes, autant dire que dans un milieu d’hommes ça n’a pas été chose simple. Sans oublier l’accès à la culture, qui est percu comme un luxe. Bref, je n’étais pas prête pour cette plongée en eaux sombres et on ressort forcement un peu changé.
Vendredi 23 septembre 20h 30 à Triel, ne manquez pas le spectacle des Ombres, que le Comité des Tilleuls organise avec L’Amicale Laïque de Vernouillet, la Ligue des Droits de l’Homme sections Verneuil et Poissy, et Triel Environnement.
Ce spectacle traite sous forme de conte/fable de l’exil des enfants isolés. Le texte est écrit à partir de récits recueillis auprès de jeunes réfugié.es, mineurs non accompagnés. Il s’adresse aux adolescents et aux adultes.
Le 14 septembre sortira Une féministe révolutionnaire à l’atelier, l’adaptation en BD du livre de notre camarade Fabienne Lauret L’envers de Flins (déjà disponible en pré-commande sur le site de l’éditeur, La boîte à bulles).
Fabienne Lauret et Philippe Guillaume nous présenteront cet ouvrage le samedi 1er octobre à la librairie La Nouvelle Réserve (Limay) à 15 heures.
La vie d’engagement social et féministe d’une “établie” – ces militants révolutionnaires ayant choisi de travailler en usine après mai 68 – ouvrière à Renault Flins.
Comme d’autres “établis” – démarche amorcée à la suite de mai 1968 et visant à faire entrer des militants révolutionnaires dans les usines – Fabienne Lauret se fait embaucher à l’usine Renault-Flins, dans les Yvelines, le 3 mai 1972.
Son engagement pour la cause ouvrière, à l’instar de nombreux établis, deviendra très vite la trajectoire de toute une vie. Elle passera ainsi plus de trente-six ans à l’atelier de couture et au comité d’entreprise de l’usine.
Dans cette BD coscénarisée par Philippe Guillaume, Fabienne Lauret retrace une vie de luttes syndicales et féministes, de l’obtention du samedi comme jour de congé au droit à des conditions de travail et salaires décents. Véritable journal d’usine des années 1970 à 1990, ce témoignage raconte la condition ouvrière et les discriminations sexistes qui révoltaient Fabienne, sans oublier le racisme omniprésent envers les nombreux immigrés qui occupaient les postes les plus pénibles.
Un témoignage tout à la fois personnel, intime, sociologique et historique, à l’heure où la menace d’une fermeture plane sur Renault Flins…
À la manière des “livres dont vous êtes le héros”, le/la participant·e incarne le personnage de Lisa, femme migrante au Tchad. En fonction de sa progression dans l’histoire et de ses choix, le/la visiteur·euse aura un impact sur le futur de Lisa. Si certaines des situations paraissent peu vraisemblables, chacune d’entre elles sont inspirées de faits réels, d’événements ayant eu lieu au Tchad ou dans les régions environnantes. Chaque année, des milliers de femmes sont confrontées à ces réalités. Tout au long de l’exposition, le public découvre, déconstruit et apprend.
La clôture de l’exposition “Lisa, l’histoire dont vous êtes la migrante” en collaboration avec Le Comité des Tilleuls aura lieu le jeudi 1 septembre 2022 de 20h à 21h30 sur la péniche Safari au 69 Quai Auguste Roy à Triel-Sur-Seine, 78510
L’occasion de découvrir l’exposition LISA, qui retrace le parcours d’une enfant émigrant du Tchad – parler des actions du comité des tilleuls – découvrir le nouveau projet associatif d’e-graine et ses actions au local. Si cette soirée vous intéresse, n’hésitez pas à vous inscrire via ce formulaire ou à relayer l’information auprès des personnes de vos réseaux qui pourraient être intéressées.
La lettre Solidaires 78 prend ses quartiers d’été et vous donne rendez-vous à la rentrée… Pour patienter, des militant·es de Solidaires 78 (et au-delà !) vous proposent quelques conseils de lectures, de podcasts, de vidéos…
– Un livre :Comme nous existons, de Kaoutar Harchi. Kaoutar Harchi est une sociologue, enfant de l’immigration postcoloniale née dans l’Est de la France en 1987.
Dans ce récit autobiographique, Kaoutar Harchi fait un retour sur son parcours, marqué par l’amour de ses parents qui ne cherchent qu’à la protéger. Marqué aussi par les humiliations, les agressions, les rapports de domination dans lesquels on l’enferme incessamment : des rapports de race, de genre, de classe qui constituent invariablement les jeunes issu·es de l’immigration postcoloniale comme un problème. Des assignations identitaires pour une jeune fille née en France et pourtant toujours considérée comme cette Autre, cette Étrangère à qui il faut apprendre à être française, à rentrer dans le rang, à ne pas se faire remarquer, à rester à sa place de femme.
Ce récit permet à l’adulte et à la sociologue de poser un regard distancié et critique sur sa vie et sur le quotidien de ses parents, de mettre en lumière les différentes étapes et rencontres qui la conduiront de la honte vers la colère et la révolte et, finalement, vers la nécessité impérieuse de comprendre, de savoir, de penser le monde et la société.
Car le cœur du récit est bien l’entrée en pensée critique, politique et engagée, qui se confirmera à travers son métier de chercheuse en sociologie et ses prises de positions publiques
Un récit qui remue, assurément, écrit dans une langue à la fois fluide et émouvante.
J.
– Un podcast assez intéressant à écouter et diffuser, qui apporte un argumentaire bien construit sur les problématiques liées à la numérisation et dont très peu de structures militantes abordent la question de façon plus approfondie https://floraisons.blog/compter-gerer-exploiter/ Mathieu Amiech, fait partie du collectif Écran Total qui regroupe des professionnels se dressant contre la numérisation de leur profession (agriculture éducation et santé …).
– Le livre de Carmen Castillo (Un jour d’octobre à Santiago, Verdier) ou un super polar politique : Marseille 73 de Dominique Manotti ; 2020. Points poche. L’autrice, une des voix majeures du roman noir français, nous entraîne dans une enquête difficile sur une vague de crimes racistes ciblant les arabes dans les années 70, dans cette grande ville où règne l’Omerta, mais aussi les nervis de l’OAS et le passé non encore résolu de la guerre d’Algérie. Un récit policier passionnant et historique qu’on ne lâche pas !
Un livre. « Au commencement était… » de David Graeber et David Wengrow. En s’appuyant sur les dernières découvertes en anthropologie et en archéologie, les auteurs, spécialistes eux-mêmes reviennent sur le mythe d’une évolution naturelle et inéluctable des chasseurs cueilleurs, au capitalisme en passant par l’agriculture, les villes la bureaucratie et l’État. Où l’on apprend que pendant des milliers d’années d’autres formes politiques et sociales ont existé.
L. – M.
– Un livre : Kanaky, de Joseph Andras. Un récit enquête sur les “Sur les traces d’Alphonse Dianou” qui vient de sortir en poche (Babel – Actes Sud). Joseph Andras (Pour vous combattre, De nos frères blessés, etc.) retrace ici le parcours militant d’une des figures de la prise d’otage d’Ouvéa (1988 – action qui s’est soldée par une intervention militaire et un bilan de 21 morts, dont 19 Kanaks), un livre puissant porté par une écriture envoutante.
– Deux podcasts : – Charles Piaget, À voix nues (France Culture) ; “Ces cinq entretiens avec Charles Piaget constituent une sorte de leçon de choses du syndicalisme. Loin des a priori idéologiques, Charles Piaget nous convie au récit de ses propres découvertes et expérimentations, qu’il continue aujourd’hui.” Un grand moment, une écoute indispensable (pour tou·tes les syndicalistes !) de l’un des protagonistes du mouvement des LIP. – Carmen Castillo à la librairie La Nouvelle Réserve – Limay (enregistrement diffusé sur Radio Libertaire le 7 juin, dans l’émission “ça booste sous les pavés “).
Un petit livre, clair, pas simpliste et pas cher qui date de 2020… Dix questions sur l’anarchisme de Guillaume Davranche aux Éditions Libertalia.
Guillaume Davranche présente de façon extrêmement synthétique l’anarchisme, comme courant politique très structuré, porteur d’une alternative au capitalisme et d’une vision globale de transformation de la société, à partir de ses fondamentaux idéologiques, tout en se référant aux pratiques existantes.
Et un autre… Le bateau usine, un roman de Takiji Kobayashi, traduction Évelyne Lesigne-Audoly, Éditions Allia (petite collection). En mer d’Okhotsk, dans le Pacifique, zone de tensions entre l’Union soviétique et le Japon, marins et ouvriers travaillent dans des conditions inhumaines et subissent la maltraitance du représentant de l’entreprise à la tête de l’usine. Un sentiment de révolte gronde. Un premier élan de contestation échoue, les meneurs sont arrêtés par l’armée. Mais un nouveau soulèvement se prépare.
Pour lutter efficacement contre l’extrême droite et ses idées, il est nécessaire de la (re)connaître. Dans cette optique, Les Utopiques dressent un portrait de la situation actuelle en France.
Loin de se limiter à sa dimension électorale, au Front national/Rassemblement national du clan Le Pen, ou encore à Zemmour, l’extrême droite est plurielle et active dans de nombreux champs.
Elle est ainsi aujourd’hui omniprésente dans plusieurs médias grand public. Un article de l’Observatoire des médias (Acrimed) analyse les relations ambivalentes de l’extrême droite avec les médias. Un autre présente un phénomène en pleine expansion : les youtubeurs d’extrême droite. Grégory Chambat (L’école des réac-publicains : la pédagogie noire du FN et des néoconservateurs, Libertalia, 2016) analyse l’action des « réac-publicains » dans le domaine de l’éducation.
Le traitement par l’extrême droite des questions environnementales, ce qu’on peut qualifier d’écofascisme, est au sommaire. On y lira également comment les extrêmes droites tentent de s’infiltrer dans les mouvements sociaux, comme les Gilets jaunes, et les formes que prend son implantation dans la police.
Le racisme, où l’antisémitisme occupe une place particulière, est évidemment une donnée centrale de la pensée des extrêmes droite et donne lieu à plusieurs textes.
Il en est de même de l’approche néofasciste du rôle des femmes, ramenées au traditionnel rôle maternel et soumises au chef naturel.
Au sommaire aussi, un tour d’horizon mondial des fascismes de notre temps et des résistances antifascistes : Espagne, Italie, Brésil, États-Unis…
Le 2 juin dernier, Carmen Castillo – militante révolutionnaire du MIR, au Chili – était invitée par la librairie la Nouvelle Réserve de Limay pour présenter la réédition de son ouvrage Un jour d’octobre à Santiago.
L’émission ça booste sous les pavés (Radio libertaire) nous permet aujourd’hui de réécouter cette intervention militante particulièrement forte, émouvante et pleine d’espoir
Samedi 18 juin à 16 h, au collectif 12 (Mantes-la-Jolie) à l’invitation de la librairie La Nouvelle Réserve, le Collectif 12 et l’Union syndicale solidaires 78
Projection du film documentaire sur Dominique Grange N’effacez pas nos traces !Dominique Grange, une chanteuse engagée suivi d’un débat avec Dominique Grange et le réalisateur
Dédidace de la BD de Jacques Tardi Élise et les nouveaux partisans, roman graphique dessiné par Tardi sur un scénario de Dominique Grange”