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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Actu Solidaires 78 antimilitarisme

Rassemblement contre le SNU à Versailles Police partout, justice nulle part

Présente au rassemblement contre la caravane du SNU à Versailles ce mercredi 26 avril, notre Union syndicale tient à dénoncer les stratégies de « maintien de l’ordre » qui ont été appliquées pour « protéger » une caravane… déserte.

Dès le début du rassemblement, les policièr·es ont nassé les manifestant·es en deux endroits, les empêchant de se rejoindre et prétextant que des commerçants étaient en train de ranger leur stand pour partir et leur faire de la place. Mensonge !

Une policière prétend même que le rassemblement n’est pas déclaré : nouveau mensonge !

Un petit groupe de manifestants a été fouillé en arrivant sur la place et l’un d’eux, qui filmait, s’est vu faire une clé de bras par la police pour l’en dissuader.

Plus tard, un cordon de policiers va au contact physique des manifestant·es pour les pousser, avec violence (voir sur la vidéo ci-dessous, notamment ce policier qui prend de l’élan pour entrer dans ce qu’il doit croire être une mêlée de rugby : ridicule !).

C’est à ce moment-là qu’une des deux policières à cheval s’est avancée avec son animal au milieu des manifestant·es, créant un mouvement de panique et de colère. Le cheval transformé par la policière en instrument de violence a en effet bousculé des personnes avec sa tête et écrasé des pieds avec ses sabots.

Utiliser la violence contre des manifestant·es pacifiques, dresser des animaux pour le « maintien de l’ordre » : voilà des méthodes bien indignes ! Solidaires s’oppose à l’utilisation d’animaux contre les manifestant·es et plus généralement par les forces de l’ordre.

Par contre, lorsque le rond-point du marché dont les manifestant·es ont été délogé·es sera plus tard occupé par des officiel·les venu·es faire des ronds-de-jambes devant la Secrétaire d’État El Haïry, nul·le n’ira les en déloger…

De plus, à deux reprises au moins, des manifestant·es qui distribuaient des tracts ont été malmené·es, tiré·es et poussé·es dans la nasse par des policièr·es apparemment bien décidé·es à faire monter la tension et ayant reçu l’ordre de ne laisser aucun espace entre eux et les manifestant·es présent·es,.

À la fin du rassemblement, les forces de l’ordre sans doute moins endurantes que les manifestant·es présent·es depuis 3 heures et toujours déterminé·es, ont placé deux camionnettes pour, apparemment, cacher les manifestant·es. Leurs petit·es chef·fes ont bien veillé à ce que deux policiers, tristes pions d’une hiérarchie zélée, soient placés dans les trous entre les deux camionnettes, afin de nous rendre invisibles…

Ridicule mesure pour les manifestant·es parti·es ensuite dans les rues de la ville en chantant et en continuant leur casserolade.

Assurément, Versailles et sa police ne s’attendaient pas à ça ce jour-là.

Comme à Caen et à Nantes, le campement du SNU a été déserté tout au long de la journée. Seul·es quelques jeunes déjà engagé·es et une poignée d’officiel·les se sont présenté·es pour échanger avec une Sarah El Haïry arrivée et repartie 10 minutes plus tard en toute discrétion, par des accès secondaires.

Le bruit et les slogans des manifestant·es en revanche étaient bien distincts en fond sonore : « la jeunesse emmerde le service national ! », « de l’argent pour l’école, pas pour le SNU ! », « de l’argent pour l’hôpital, pas pour le SNU ! ».

Rendez-vous donc à Paris ce dimanche, au parc André Citroën, pour continuer à dire non au SNU !

Vidéo de Clément Lanot Manifestation contre le SNU et casseroles pour Sarah El Haïry (26 avril 2023, Versailles) [4K] – YouTube

Rappels des rendez-vous locaux

Vendredi 28 avril : rassemblement à Poissy, à 19h, contre l’hécatombe invisible.

Samedi 29 avril : rassemblement et manifestation aux Mureaux, rdv 11h au marché de Bécheville

Lundi 1er mai : Rassemblement aux Mureaux, rdv 10h au rond-point de la Vigne Blanche / rassemblement à Mantes, rdv 10h place de l’étape.

Départs collectifs pour la manif parisienne de 14h, départ République.

Union syndicale Solidaires 78

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Retraites

Blocage des locaux d’Orange de St Quentin en Yvelines

Communiqué du Collectif contre la retraite à 64 ans ! Saint-Quentin en Yvelines et ses environs 28 avril 2023

Aujourd’hui vendredi 28 avril, à Montigny le Bretonneux, nous avons participé à une action symbolique de blocage des locaux d’ORANGE, partenaire premium des JO.

Le Collectif Contre la retraite à 64 ans de Saint Quentin en Yvelines y a déployé une banderole « Pas de retrait, pas de JO » & « Non à la réforme des retraites à 64 ans ». Ce matin, l’accès aux locaux a été perturbé par des banderoles et des chants tel que celui des Gillets Jaunes. Les manifestants y ont exprimé leur détermination à perturber les JO tant que le gouvernement s’opposera à la souveraineté du peuple.

Pas de retrait, pas de JO !

Après un parcours législatif usant de tous les pouvoirs que la 5ème République fournit à l’éxécutif et à la promulgation de la loi sur la retraite à 64 ans , tous les moyens institutionnels pour s’y opposer ont été épuisé. Pourtant un bouillonnement populaire s’exprime partout en France contre le coup de force du gouvernement envers la démocratie. Localement la mobilisation se poursuit et s’amplifie avec les casserolades des 17 et 24 avril devant plusieurs mairies de SQY et des environs, avec la manifestation contre le SNU et le “non-accueil” de la secrétaire d’État Sarah El Haïry à Versailles le 26 avril.

À l’image de la montée en puissance du hashtag #PasDeRetraitPasDeJO, les manifestants disent au monde qui regarde la France préparer les Jeux Olympiques de 2024 que la mobilisation contre la réforme ne faiblit pas. “Macron et son gouvernement espéraient une trève de 100 jours, une trève pour les JO, ils auront le zbeul Olympique !” affirme Tom, membre du collectif.

Pourquoi ORANGE ?

Événement sportif international majeurs, les Jeux Olympiques sont un outil de soft-power pour le pays qui les accueillent. L’attention médiatique mondiale lui offre l’occasion de s’ériger en modèle. En partenaire officiel Premium, ORANGE cherche à partager cette exposition pour bénéficier de retombées économiques. Mais dans un état qui fait régresser les droits sociaux, exploser les inégalités, monter la répression et se fait condamner pour inaction climatiques, c’est tout ce bilan auquel les entreprises partenaires doivent être exposés. “L’image des jeux va être tellement détériorée à cause de l’entetêment du gouvernement sur la réforme des retraites, ça va être un bordel pas possible. Tout l’investissement des entreprises pour s’associer au jeu va être gaspillé avec des JO ponctués de coupures de courant, des épreuves annulées … ” explique Karine membre du collectif. Nous sommes un collectif d’habitant·es de St Quentin et alentours engagés·es contre la réforme des retraites à 64 ans de Macron et en résistance face aux atteintes répétées à la démocratie ainsi qu’à la limitation de nos libertés publiques (droit de grève, droit au rassemblement, etc.). Notre collectif vient en complémentarité et en soutien des actions portées par les organisations syndicales. Depuis 8 semaines, nous nous retrouvons les mercredi soirs, à 17h30 sur la place de la retraite à 60 ans (en face de Carrefour SQY, au croisement de l’avenue du centre et du passage de la diagonale), nous décidons collectivement des actions à mener : rassemblement, caisse de grève, etc.

Prochaines actions :

Lundi 1er mai – Manifestation nationale

Les 13 & 14 mai – Rassemblement festif et déterminé à Zaclay !

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Actu Solidaires 78 Retraites

1er mai aux Mureaux Tract d’appel de l’assemblée de mobilisation

Le 1er Mai, exigeons le retrait !
64 ans, c’est toujours non !
avec les 43 annuités pour un taux plein, c’est même 67 ans
pour celles et ceux qui commenceront à travailler à 24 ans
Levons-nous toutes et tous contre cette loi !
Ensemble, travailleurs et travailleuses, en emploi ou non, titulaires ou précaires,
étudiantes et étudiants, retraités et retraitées, avec ou sans papier
Contre la destruction des acquis sociaux et de nos droits
Pour la retraite à 60 ans à taux plein au minimum au SMIC,
Pour des salaires et des pensions permettant de vivre pas de survivre,
Pour des logements décents, des droits au chômage et des papiers pour toutes et tous.

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Retraites

Mercredi 10 mai St Quentin en Yv. Assemblée populaire

“Place de la retraite à 60 ans”

TOUS LES MERCREDIS DE 17H30 À 19H30
Assemblée populaire

Mercredi 10 mai – 17h30 à 19h30 – Place de la retraite à 60 ans ! 
Comme chaque semaine sur la nouvellement renommée Place de la retraite à 60 ans ! pour continuer à mobiliser !
Lieu : en face de Carrefour SQY, au croisement de l’avenue du centre et du passage de la diagonale.
Au programme :

  • 17H30-18H00 : Tractage, activités artistiques, atelier banderole et pochoir en continue !
  • 18h-18h45 : Assemblée Populaire in-situ, échanges avec les nouveaux venus, préparations des actions à venir
  • 18h45 : Action manifestive

TOUTES LES INFOS SUR CCSQY.COM
Retrouvez toutes nos actions sur le site
et les réseaux sociaux @ccsqy78

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Actu Solidaires 78 antimilitarisme Conditions de travail Dans les Yvelines, une classe en lutte... Retraites Revue de presse

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 52

Une classe en lutte dans les Yvelines !


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org


Source : 78actu.fr

Source : 78actu.fr

Source : 78actu.fr

Source : Le Parisien

Source : Le Parisien
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Actu Solidaires 78 Éducation

Motion d’actualité SUD éducation 78 avril 2023 – Des violences sociales, y compris à l’Éducation nationale

La violence de la réforme des retraites
Depuis le 19 janvier 2022, SUD éducation 78 et son Union syndicale Solidaires 78 sont engagées dans le mouvement de lutte contre la réforme des retraites du gouvernement Macron.
La violence est contenue dans la réforme même, obligeant les travailleuses et les travailleurs à œuvrer 2 années supplémentaires, jusqu’à 64 mais surtout 67 ans, sans prendre en compte les pénibilités et les carrières hachées en particulier celles des femmes.
La violence, elle est également dans la manière dont la réforme est passée : 47.1 pour empêcher les débats, 49.3 pour éviter un vote que tou·tes savaient périlleux pour le gouvernement, mais aussi refus de recevoir les organisations syndicales unanimement unies contre ce projet.
La violence, c’est enfin celle de la police d’État, qui réprime, intimide, frappe, éborgne les manifestant·es, toujours défendue et protégée par le ministre de l’intérieur.

SUD éducation 78 dénonce la violence du gouvernement ainsi que de la police et appelle les travailleuses et les travailleurs du territoire à se réunir en assemblées générales et à poursuivre les actions de mobilisation contre la réforme des retraites et les violences gouvernementales.

Des élèves qui se font violenter dans les Yvelines !
Violences policières dans les lycées
Ces violences s’insinuent régulièrement dans les établissements scolaires. Nous n’avons pu qu’être heurté·es par l’intervention des forces de l’ordre au lycée Jules Ferry à Conflans Sainte-Honorine, alors que les lycéen·nes avaient organisé un blocus contre la réforme des retraites : gaz lacrymogène, LBD pointés à hauteur de tête, plaquage violent lors d’une interpellation. Cette fois, c’est à l’encontre de la jeunesse que la police a usé de techniques déjà jugées excessives pour des adultes par de nombreuses organisations comme la LDH, qui dénonce également ces violences.

Violences dans un contexte dégradé
Au lycée Rostand à Mantes-la-Jolie, la violence est d’un autre registre : en mars, nous dénoncions la perte de dizaines d’heures pour la rentrée 2023, suite logique de toute une série de mesures visant à baisser drastiquement les moyens des lycées anciennement classés en Éducation prioritaire. Au début du mois d’avril, plusieurs tirs de feu d’artifice et de mortiers ont eu lieu dans le lycée, donnant lieu à son évacuation, au cours de laquelle des jets de bouteilles en verre et de pétards se sont produits en direction des adultes. Les cours ont été suspendus ponctuellement.
Bien conscient·es que la réponse doit être avant tout éducative, les personnels ont demandé à la Direction académique un soutien concret, incluant des personnels qualifiés supplémentaires, le rétablissement des heures et des postes supprimés, notamment celui de CPE et d’infirmière scolaire, et une véritable politique de lutte contre les inégalités avec des moyens durables. Jusque-là, la Région a envoyé 6 membres de la BRS (brigade régionale de sécurité), sans compétences éducatives, ce qui n’a pas empêché de nouveaux tirs. Suite à une journée de travail collectif, le Directeur Académique adjoint s’est rendu au lycée et n’a rien proposé, surtout préoccupé à normaliser la situation et à dissuader les personnels d’exercer tout droit de retrait. Le 11 avril matin, le CAAEE était également présent sur place.

Violences organisationnelles et institutionnelles
Les mois de mars et d’avril sont ceux des résultats des mutations inter-académiques et de vœux pour l’intra. L’occasion de rappeler le nombre collègues contraint·es de rester éloigné·es de leurs proches en raison d’un système de mutations de plus en plus verrouillé, notamment dans le 1er degré où trop de nos collègues se voient obligé·es de se mettre en disponibilité pour retrouver leurs proches ou de démissionner pour repasser le concours dans le département souhaité.

La violence organisationnelle est également visible dans le non-remplacement des enseignant·es, en particulier dans les écoles. Les conséquences sont lourdes pour les collègues qui se répartissent les élèves non pris·es en charge, mais aussi pour les jeunes qui perdent de nombreuses heures d’enseignement, du fait de la seule défaillance institutionnelle dans le système de remplacement. À l’école maternelle La Fontaine à Gargenville, par exemple, du fait du non remplacement d’une collègue, les effectifs montent jusqu’à 36 élèves par classe, générant des situations de stress permanent, de souffrance et de détresse psychologique, pour les enfants comme pour les personnels. Des alertes ont été déposées dans le registre de Santé et sécurité au travail, une pétition a été initiée par les familles pour dénoncer cette situation dangereuse pour tou-tes.
Cette politique de non remplacement peut également conduire certaines hiérarchies à refuser le départ des personnels en stages, y compris syndicaux, ce que SUD éducation 78 condamne fermement.

Violences hiérarchiques
La violence dans l’éducation se traduit enfin par les agissements autoritaires des chef·fes d’établissement.
Ainsi, en plein mouvement contre la réforme des retraites, des personnels ont eu la désagréable surprise de constater que leur hiérarchie directe avait décidé de faire appliquer l’arrêt Omont contre les grévistes, faisant ainsi preuve d’un zèle accablant financièrement les grévistes de l’établissement (aux collèges la Vaucouleurs et Sully, par exemple). Nous rappelons que chaque journée de grève équivaut au prélèvement d’un trentième du salaire, primes comprises. En février 2023, cette pratique du trentième avait été dénoncée par le Comité européen des droits sociaux comme disproportionnée et non conforme à la Charte sociale européenne. Visiblement, ces chef·fes d’établissement ne semblent pas avoir saisi le sens du mot « disproportionné » et montrent là une solidarité bien étrange envers celles et ceux qui luttent pour la défense des retraites de tou·tes, y compris la leur…

Le mois d’avril est aussi celui des entretiens professionnels, souvent source d’abus hiérarchiques. Nous rappelons aux personnels qu’il existe un cadre légal que les hiérarchies doivent respecter et qu’aucune pression, chantage ou violence ne saurait être toléré dans le cadre de la reconduction des contrats des AED, des contractuel·les ou des AESH. N’hésitez pas à contacter le syndicat pour vous informer et pour vous défendre !

Car contre les hiérarchies qui n’hésitent jamais à se soutenir, c’est collectivement et solidairement que nous serons plus fort·es !

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antifascisme Les travailleur·euses n'ont pas de pays !

Un 1er mai 1995, au nom d’une idéologie fasciste, Brahim BOUARRAM a été exécuté, jeté dans la Seine 28 ans après, où en est-on ?

Le 1er mai 1995, Brahim Bouarram, 29 ans, profitait d’une journée ensoleillée sous le pont du Carrousel. Il ne savait pas qu’on allait le précipiter dans la Seine et mettre fin à ses jours. Les assassins venaient de quitter le défilé du Front National. La haine raciste fomentée par le FN a armé les mains de ses assassins.

Depuis, d’autres noms se sont ajoutés à la liste sinistre des victimes de crimes racistes.

C’est à sa mémoire et à celles de toutes les victimes du racisme dans ce pays, en souvenir à la souffrance de leurs proches que nous nous rassemblons ici, sur le lieu du crime innommable, le 1er mai de chaque année.

Vingt-huit ans plus tard, le racisme a aussi gangréné la société sous d’autres formes : la xénophobie, l’antisémitisme, l’islamophobie, la ségrégation, la relégation, les discriminations aux droits fondamentaux, la systématisation des contrôles au faciès, des violences policières. C’est toujours sous d’autres formes que le racisme s’enracine, avec la montée des extrêmes droites et des droites extrêmes. Avec l’instauration de la nouvelle doctrine du maintien de l’ordre public qui menace tous ceux qui s’opposent aux politiques gouvernementales, en intégrant des mesures d’exception dans le droit commun, les politiques publiques ont mis en cause les libertés fondamentales et les droits économiques et sociaux des plus défavorisés.

C’est pourquoi nous militons tous les jours et nous commémorons chaque année la mémoire de Brahim Bouarram et celles de toutes les victimes du racisme, pour ne pas oublier, pour ne pas effacer, pour se souvenir, pour prévenir et pour agir.

Nous, citoyens et organisations fidèles aux combats pour la défense des droits fondamentaux des personnes et aux valeurs de nos convictions et à nos principes universalistes, nous continuons plus que jamais de nous opposer avec la plus grande fermeté à toutes les formes de pouvoirs qui défigurent une République pour tous.

Il est de plus en plus urgent de réaffirmer notre refus face à cette dérive dangereuse pour toutes nos sociétés, nous serons toujours là pour combattre, faire front, faire barrage à la banalisation du racisme, aux politiques et aux idées de haine qui ont tué Brahim Bouarram.

Rassemblement le 1er mai 2023

de 11h à 12h

au Pont du Carrousel – Paris

Signataires : ATMF, MRAP, LDH, ACDA, ACDR, ADTF, AFAPREDESA, AMF, ASDHOM, AMDH-Paris, ATF, Attac France, COPAF, CRLDHT, La Coordination nationale Pas sans nous, Femmes Plurielles, FTCR, CEDETIM/IPAM, DAL, L’ACORT, Fondation Frantz Fanon, L’Institut Mehdi Ben Barka – mémoire vivante, RAAR, REMCC, UJFP, UTAC, UTIT, Union Syndicale Solidaires, PEPS-Pour une Ecologie Populaire et Sociale

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Actu Solidaires 78 Dans les Yvelines, une classe en lutte... Retraites

SOLIDAIRES Informatique lance le concours des 100 jours de zbeul !

Nous, à SOLIDAIRES Informatique, on a voulu contribuer à apaiser la France comme nous l’a demandé le président. Avec http://100joursdezbeul.fr/, on va apaiser la France en obligeant le président et le gouvernement à ne plus pouvoir sortir sans zbeul (« désordre, boxon ») jusqu’à ce qu’il retire la loi.

La seule façon d’apaiser le France c’est de retirer la loi sur la retraite à 64 ans. Personne n’en veut.

Cliquez ici : https://100joursdezbeul.fr/regles-du-jeu

SOLIDAIRES Informatique lance les 100 jours de zbeul !

En partant des données compilées par Attac, on assigne manuellement à chaque événement un type de personne ciblée et un type d’action. Les données finales sont accessibles dans le code source. Vérifications sont les bienvenues !

Chacune de ces actions attribue un certain nombre de points au département où elles se passent ; le type de personne ciblée permet de multiplier ces points. Là où plusieurs personnalités sont ciblées, les points sont comptés pour chacune.

Barème

(Les règles suivantes vont sans doute évoluer rapidement dans les prochains jours en fonction de vos retours. Détails dans le code source )

Types d’actions

  • Chahut (casserolade, huée…) — 1 point
  • Manifestation — 1 point
  • Action créative (poursuite en forêt, etc…) — 2 points
  • Mise en sobriété énergétique — 3 points
  • Action conduisant au départ précipité d’une personnalité – 4 points
  • Annulation d’une visite — 5 points

Personnalités

  • Secrétaire d’État — pas de changement
  • Ministre délégué·e — x2
  • Ministre — x3
  • Présidente de l’Assemblée Nationale — x4
  • Première ministre — x5
  • Président de la République — x6
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