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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 67

Une classe en lutte dans les Yvelines !


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org


Grève dans les magasins Auchan des Yvelines : « On a le blues, on veut du flouze »Ce 22 mars 2024, des débrayages ont été organisés dans plusieurs magasins Auchan des Yvelines à l’appel de l’intersyndicale. Les employés réclament des hausses des salaires.

Source : actu.fr

Source : actu.fr

Source : actu.fr

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Éducation

Halte au BYOD

Nous sommes trop souvent amené·es à combler les manquements de l’Education Nationale par nos propres moyens. C’est ce qu’on nomme BYOD : “Bring your own device”. Des réseaux en panne, des serveurs défaillants, des téléphones
pour communiquer avec les parents trop peu nombreux ou hors-service…Tout cela génère du stress et de la souffrance pour l’ensemble des personnels car nous sommes obligé·e·s de travailler sans les conditions nécessaires.

Voir en ligne : Ce qu’est un BYOD

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Conditions de travail Éducation Ressources juridiques

Agent·es territorial·es dans les lycées – Connaître ses droits pour mieux les défendre

Ce stage syndical est ouvert à toutes et tous, adhérent·es ou non, fraîchement syndiqué·es ou non, en instance de le devenir ou encore en réflexion, vous êtes les bienvenu·es !

Tou·tes les personnels ont droit à 12 jours de congés pour formation syndicale par an, sur temps de travail et rémunérés.

La date limite d’inscription est le 27 mai (il suffit d’écrire à sudeducation78@ouvaton.org et de déposer votre demande d’autorisation d’absence pour stage syndical auprès de ta hiérarchie – voir le document ci-dessous)

En pièce jointe, vous trouverez le modèle de demande d’autorisation d’absence pour stage.

En espérant vous retrouver nombreuses et nombreux !

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Le conseil lecture de la semaine Lecture

Lancement du livre “Solidaires !!!” le mardi 26 mars dans les locaux de Solidaires à Paris

Lancement du livre sur le graphisme de Solidaires le mardi 26 mars dans les locaux de Solidaires (31 rue de la Grange aux belles 75019) à partir de 19h!

En présence de Magali Brueder la conceptrice graphique du livre et de Anaïs Enjalbert graphiste géniale de l’Union syndicale Solidaires.

Solidaires est un syndicat de lutte et de transformation sociale qui défend les travailleuses et travailleurs de France.

Cet ouvrage réunit une sélection de plus de 70 visuels créés par la graphiste Anaïs Enjalbert et des militant·e·s pour l’Union syndicale Solidaires. Le travail avec Anaïs c’est surtout une rencontre entre son inventivité, son imaginaire, son talent, et le syndicalisme de Solidaires. Ceci amené à la création d’un univers graphique centré autour des revendications syndicales.
Ce livre est donc une archive sélective de visuels dont les slogans accompagnent des valeurs et des pratiques émancipatrices allant du féminisme à l’antiracisme, de l’internationalisme à l’anti fascisme, de la lutte contre les lgbtphobies à celle contre le validisme. Ils soutiennent la lutte contre le capitalisme et pour les services publics.crédit photo : Joséphine Brueder

Format 14 x 19,5 cm
100 pages/500 exemplaires
Conception graphique: Magali Brueder
Impression: SiZ Industria grafica
Photographie livre: Joséphine Brueder

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Finances publiques

Le gouvernement cherche des pistes d’économies, Solidaires Finances Publiques lui propose des recettes !

Le couperet va donc tomber dans quelques jours avec la publication du chiffre du déficit public par l’INSEE qui risque de dépasser largement les 5 % pour 2023. Loin donc des prévisions toujours optimistes du Ministre de l’économie Bruno Le Maire. Situation financière tellement préoccupante que le président a été obligé de réunir en urgence le sommet de l’État autour… de plateaux de fruits de mer pour rechercher des pistes d’économies, avec en ligne de mire l’État social.

Cette situation n’est pas due au hasard mais bel et bien aux choix politiques et économiques exclusivement dévolus aux plus riches depuis le 1er quinquennat d’Emmanuel Macron. Cette politique rime avec du « toujours moins » pour les recettes publiques et toujours plus de subventions publiques et d’exonérations de cotisations pour les entreprises sans aucune contrepartie.
Face à cette situation, Bruno Le Maire cherche des économies… Solidaires Finances Publiques lui propose des recettes ! (Liste non exhaustive)

  • La taxation à 1 % des dividendes. Si les dividendes de 2023 étaient taxés à 1 %, cela rapporterait près d’1 milliard d’euros de recettes.
  • La fin du prélèvement forfaitaire unique (PFU) et de l’impôt sur la fortune Immobilière (IFI). Rétablir un véritable impôt sur la fortune, progressif dont la base taxable serait constituée des patrimoines immobiliers et financiers.
  • Une revue des niches fiscales, qui s’élèvent en 2022 à 94,2 milliards d’euros, permettant de déterminer celles qui doivent être supprimées ou réformées : l’objectif étant d’en réduire le coût et le nombre afin d’élargir les assiettes de l’IR et de l’IS notamment.
  • La fin de la baisse des impôts de production qui a engendré une chute de rentrées fiscales de 14 milliards d’euros depuis 2021 et une perte d’autonomie financière toujours plus grande pour les collectivités locales. 
  • La mise en place d’un Impôt sur les sociétés (IS) progressif.
  • Rétablir une progressivité régulière de l’impôt sur le revenu en revoyant le barème et en intégrant l’ensemble des revenus et en revalorisant le taux supérieur.

Sans surprise, ce ne seront pas ces choix-là que le gouvernement Macron fera pour renflouer les caisses de l’État mais aussi pour instaurer plus de justice sociale.
Au contraire, les pistes annoncées sont toujours, du moins pour la majorité de la population : moins pour les services publics, moins de fonctionnaires, moins de protection sociale, moins d’égalité…

En un mot toujours plus d’austérité pour les uns et toujours plus de richesses pour les autres !

Solidaires Finances Publiques mettra toute son énergie dans l’unité la plus large pour continuer à combattre ces politiques d’austérité

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Actu Solidaires 78 Retraites

Tract UNIRS : sous-revalorisation des pensions en 2024 = tout·es dans la rue le 26 mars !

Le gouvernement réfléchit à des économies, il envisage de ne pas compenser l’inflation de 2024 ! C’est la fuite reprise par France 2 dans un reportage. Et un ancien magistrat à la Cour des comptes précise « 1 point de sous-indexation sur le régime de base aurait permis de réduire le coût de la mesure de 2,7 milliards d’euros ». Pourtant 83 % de la population s’y oppose !

Nous n’entendons plus parler de cette menace … dans cette période électorale. En réunion de conseil des ministres, le président Macron s’est fâché très fort et a ordonné à ses ministres d’« arrêter de sortir des mesures qui n’ont pas même été évoquées, sauf si vous voulez perdre les élections (européennes) ».

Un proche d’Emmanuel Macron a donné l’explication « chat échaudé craint l’eau froide » : le président Macron se souvient de l’immense colère provoquée par la hausse de la CSG pour les retraité·es, hausse qui a fait descendre dans la rue des centaines de milliers de retraité·es le 15 mars 2018, à l’appel des 9 organisations de retraité·es. Ce raz-de-marée humain l’avait conduit à supprimer cette mesure pour les faibles pensions !

On n’en parle plus … pour le moment, le ministre de l’Économie et des Finances, au sujet de la sous-revalorisation des pensions, a précisé : « on aura, je crois, ce débat pour le projet de budget 2025 ».

Menaces sur les pensions de réversion et sur les droits familiaux et conjugaux

Les pensions, (surtout des femmes) sont diminuées par la présence d’enfants, ce qui est aujourd’hui compensé (en partie seulement) par des droits familiaux et conjugaux : ajout de trimestres, majoration de pension, … Quand une des personnes du couple décède, la survivante peut toucher une pension de réversion. Le gouvernement veut remettre tout cela à plat et probablement réaliser des économies… Il a demandé d’y réfléchir au Conseil d’Orientation des Retraites (COR) qui vient de publier un début de rapport contenant quelques propositions d’évolutions inquiétantes…

De l’argent, il y en a … ailleurs que chez les retraité·es

Le gouvernement annonce plus de 10 milliards d’économies pour ramener le déficit public à 4,4 % en 2024, puis au moins 20 milliards en 2025. Et il veut augmenter les inégalités, prendre cet argent dans la poche des plus démunis pour arroser encore davantage les plus riches !

Depuis 2020, les 42 milliardaires français ont gagné 230 milliards d’euros, autant que pour faire un chèque de 3 400 euros à chaque membre de la population. À l’inverse de l’évolution mondiale, en France, le nombre de personnes détenant plus d’un million de dollars est en hausse de 25 % … tandis que la richesse globale détenue par les ménages français, elle, a reculé de 3,8 %. En 6 ans, le nombre de personnes touchant le minimum vieillesse (1 012 € par mois) est passé de 560 000 à 700 000.

Le gouvernement ferait mieux de rétablir l’ISF, de rendre plus progressif l’impôt sur le revenu, de prendre l’argent là où il est pour réduire les inégalités et développer la santé et les services publics.

Chaque mobilisation compte !

Plus récemment les manifestations des retraité·es du 24 octobre 2023, encore à l’appel des 9 organisations, avaient obligé le gouvernement à respecter la loi, à laisser les pensions augmenter de 5,3 % le 1er janvier 2024 pour compenser l’inflation, conformément au Code de la Sécurité sociale.

Le 26 mars, tout·es les retraité·es, sont invités à manifester massivement à l’appel des 9 organisations de retraité·es CGT, FO, CFTC, CGC, FSU, Solidaires, FGR-FP, LSR, Ensemble & Solidaires.

Toutes et tous dans la rue le 26 mars !

À Paris, il s’agira d’un rassemblement devant Bercy à partir de 14 h.

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Retraites

La fin de vie, avoir au moins ce choix ultime

par UNIRS – Union nationale interprofessionnelle des retraité-es solidaires

Un sujet de nouveau d’actualité.

Dans ses promesses de campagne, le candidat Macron avait notamment parlé de changer la loi sur la fin de vie de 2016. Le 10 mars 2024, dans une interview croisée à « Libération » et à « La croix », il annonce les contours et le calendrier d’un prochain projet de loi. Cette annonce arrive dix-huit mois après l’avis du Comité Consultatif National d’Éthique (CCNE) ouvrant la voie à une aide active à mourir strictement encadrée et un an après la conclusion des travaux de la Convention citoyenne sur la fin de vie. Le projet de loi sera articulé autour de trois grands axes : les soins palliatifs et l’accompagnement, les droits des patient·e·s et de leurs aidant·e·s, et l’aide à mourir. Il devrait être présenté en avril en Conseil des ministres pour un examen en première lecture à l’Assemblée nationale à partir du 27 mai 2024. Ceci ne devrait aboutir à un texte adopté qu’en 2025.

Un sujet syndical pour l’UNIRS-Solidaires depuis 2014.

La question de la fin de vie a commencé à être mise en débat au sein de l’UNIRS en 2012 et 2013. C’est une question que, le plus souvent, chaque personne a beaucoup de difficultés à aborder, seule comme avec ses proches. Il est moins difficile d’y penser quand nous savons que l’essentiel de notre vie est passé. Nous avons pensé que notre organisation syndicale pouvait essayer d’aborder ces questions afin de nous aider à y réfléchir ensemble et à y inscrire des souhaits, voire des demandes, avec l’idée dominante que la société doit se mettre en mesure de répondre à la demande possible de personnes qui souhaitent pouvoir exercer leur libre choix quant à leur fin de vie.

Dans notre dossier revendicatif de 2014, nous énumérions quelques demandes, qui sont toujours d’actualité aujourd’hui et que nous reprenons en partie ci-dessous :

– Que cessent les situations d’indignité qui entourent trop souvent la fin de vie, qui conduisent à des maltraitances, qui laissent dans le désarroi les personnes directement concernées, leurs proches et les familles.

– Que le droit aux soins palliatifs soit réellement ouvert à toutes et tous sur l’ensemble du territoire.

– Que les directives anticipées émises par la personne soient respectées tout comme les préconisations de la (ou des) personne (s) de confiance préalablement désignée (s).

– Que la société donne effectivement la liberté et la possibilité à chaque personne de décider ou non de la fin de vie qu’elle souhaite et que son choix lui soit garanti.

– Que les personnels médicaux puissent exercer leur clause de conscience, sans que ceci ne conduise à empêcher les personnes d’exercer leur libre choix.

Des rapports et quelques textes depuis deux décennies.

Une première loi de juillet 1991 introduit les soins palliatifs dans la liste des missions de tout établissement de santé. Avec la loi Kouchner de juin 1999, le législateur se soucie de la souffrance des malades, leur ouvre des droits à des soins palliatifs et leur permet de refuser tout acharnement thérapeutique. Ceci a été renforcé par une loi Léonetti en avril 2005. Le Comité Consultatif National d’Éthique pour les Sciences de la vie et de la santé (CCNE) créé en 1983 s’est exprimé à plusieurs occasions sur les questions liées à la fin de vie. La loi Clayes-Léonetti de 2016 autorise sous certaines conditions le recours à la sédation profonde. Dans un rapport de janvier 2018, la députée Caroline Fiat fait un constat du « mal mourir » en France. Depuis 2017, de nombreuses propositions de lois ont été déposées à l’Assemblée nationale et repoussées ou non discutées. Le 13 septembre 2022, le CCNE rendait son avis sur la fin de vie, ouvrant la voie à « une aide active à mourir, à certaines conditions strictes avec lesquelles il apparaît inacceptable de transiger ». Une Convention citoyenne sur la fin de vie, pilotée par le Conseil Économique social et Environnemental (CESE), a travaillé sur ces questions entre décembre 2022 et mars 2023. Elle s’est prononcée à 70,6 % en faveur d’une ouverture conditionnée de l’aide active à mourir. Il est manifeste que les textes actuels en France ne répondent pas à l’attente de certaines personnes puisqu’on peut constater que, malgré les difficultés et malgré le coût, chaque année des personnes vont mourir en Suisse ou en Belgique.

Pour le moment, surtout des aides à mal vieillir et à mal mourir.

Face aux rapports, aux promesses, voire aux engagements réitérés depuis des années pour aider les gens à bien vieillir et à bien mourir, nous avons surtout eu, très concrètement, de nombreuses aides à mal vieillir et à mal mourir. Et ça commence très jeune dans le parcours de vie de chacune et de chacun : reculs dans le domaine de la médecine scolaire, reculs dans la médecine du travail, réduction des missions, des effectifs et des contrôles de l’inspection du travail, détérioration des conditions de travail dans de nombreux secteurs professionnels compte tenu notamment de la réduction des effectifs, des surcharges de travail et de l’augmentation des cadences que ça entraîne pour celles et ceux qui restent. Au cours des dernières décennies les accidents professionnels et les morts au travail ont continué. Le recours favorisé des productions de l’agro-chimie et de l’agro-industrie a continué de multiplier les maladies professionnelles dans les exploitations agricoles et les maladies et cancers chez les consommateurs et consommatrices. Les réformes apportées à l’hôpital public par une succession de gouvernements et de ministres qui continuent de parader sur les plateaux de télévision ont conduit très concrètement à dégrader la qualité des soins et leur accessibilité (éloignement, coût, listes d’attente, etc.) et donc à dégrader la fin de vie de nombre de personnes, voire à accélérer, contre leur volonté, leur mort. Très concrètement aussi, les manques dans les services de gériatrie, les économies budgétaires qui limitent les moyens des services de soins palliatifs sont autant d’éléments qui participent à cette dégradation. Dans plusieurs pays, est déjà constaté un abaissement de la durée d’espérance de vie alimenté en partie par le recul de l’âge de départ en retraite et la multiplication des salarié·e·s et des retraité·e·s pauvres. Les défenseurs et défenseuses de la vie et les religieux et religieuses de tous bords qui se font entendre contre l’IVG et contre le droit à mourir sont parfois ceux et celles qui réclament le retour à la peine de mort et sont bien silencieux et silencieuses en ce qui concerne toutes ces opportunités de mourir plus mal et plus vite.

Une liberté qui n’oblige en rien celles et ceux qui ne veulent pas y recourir.

Dans les prochains mois un nouveau débat devrait donc s’ouvrir dans notre pays sur ce droit à mourir dans la dignité. L’UNIRS-Solidaires s’y inscrira en s’opposant notamment très fortement à celles et ceux qui voudraient décider de la fin de vie des autres à la place des autres. La loi que nous demandons, c’est une loi qui ouvre des possibilités aux personnes qui veulent y accéder et qui ne les mette plus « hors la loi ». Elle ne peut obliger quiconque à s’y inscrire et chaque personne qui souhaite laisser faire « la nature » ou « son dieu » doit bien entendu rester libre de son choix.

Lors de la prochaine journée nationale d’action des personnes retraitées du 26 mars,

les militantes et militants de l’UNIRS-Solidaires porteront aussi ces revendications.

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antifascisme

Solidarité avec la librairie Publico à Paris, victime d’attaques de l’extrême-droite

Au début du mois de mars, la librairie militante libertaire Publico, située dans le XIe arrondissement de Paris, a subi deux actes violents à quelques jours d’intervalle, qui émanent clairement de l’extrême-droite.

A chaque fois, ces attaques n’ont fait que peu de dégâts et heureusement personne n’a été blessé, mais cela aurait pu être plus grave et nous prenons ces attaques tout à fait au sérieux.

L‘union syndicale Solidaires condamne très fermement ces attaques contre la librairie Publico et assure de sa solidarité syndicale les animateurs/trices de cette librairie, les membres de son organisation et le public qui la fréquente.

En s’attaquant une nouvelle fois à une librairie militante, engagée, qui diffuse des textes et des idées progressistes, anti-capitalistes, autogestionnaires, anti-racistes et anti-fascistes, l’extrême-droite montre qu’elle ne supporte pas la liberté de penser, les lieux de Culture et les actions menées par des organisations ou des collectifs luttant pour une autre société.

C’est déjà cette haine des débats, cette opposition violente aux idées anti-autoritaires, de diffusion des luttes du mouvement ouvrier et syndical, qui était à l’œuvre dans l’attaque contre la librairie de la Libre Pensée dans le Ve arrondissement de Paris en avril 2023, contre la librairie La brèche dans le XIIe arrondissement de Paris à l’été 2023 et dans les attaques très violentes contre la librairie La Plume Noire de Lyon en 2020 et 2021.

L’union syndicale Solidaires appelle à s’organiser et à agir de manière unitaire pour mettre fin à ses agressions et pour s’opposer à l’extrême-droite, sous toutes ses formes et à ses idées, d’où qu’elles viennent.

L’extrême-droite a toujours été et sera toujours l’ennemi du mouvement syndical, des luttes sociales et de la Culture. Maintenant, faisons-la reculer !

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Actu Solidaires 78 Internationalisme Palestine

Mars 2024 – Le Mois de la Palestine dans les Yvelines

Les Yvelines solidaires du peuple palestinien 
  
Après 10 rassemblements et marches dans le département appelant à : 

  • Un cessez-le-feu définitif et la levée du blocus 
  • La protection de toutes les populations civiles 
  • La libération des otages et prisonniers 
  • L’autodétermination du peuple palestinien 
  • Une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens dans le respect du droit international
     
    les organisations du collectif pour la Palestine proposent un mois d’événements répartis sur 6 villes : 
      
    Lundi 26 février à Trappes à 20h30 : Meeting pour un cessez-le-feu immédiat 
    Pierre Stambul (UJFP), Taoufik Tahani (AFPS) et un·e représentant·e de l’ambassade de Palestine en France 
    Organisation : UD CGT 78 
    24 rue Jean Jaurès – Contact : ud78@cgt.fr 
      
    Samedi 2 mars à Limay de 14h à 19h : Demi-journée Palestine 
    Conférence « A quand la paix en Palestine » avec Pierre Stambul (l’UJFP) et Sarah Daoud, chercheuse à Sciences Po 
    Témoignage de la députée Ersilia Soudais de retour de Rafah 
    Chansons palestiniennes engagées avec le groupe Wala Marra 
    Organisation : ASIP et mairie de Limay 
    Espace Christiane Faure, rue des 4 chemins – Contact : lzbayar@gmail.com 
      
    Mercredi 13 mars à Saint-Cyr-l’Ecole à 20h : Quelles perspectives de paix au Proche-Orient ? 
    Pascal Lederer du collectif « Une autre voix juive » 
    Organisation : PCF Saint-Cyr-l’Ecole 
    Maison des Associations Simone Veil, 13 avenue Tom Morel – Contact : pcf.stcyr@laposte.net 
      
    Jeudi 14 mars à Fontenay-le-Fleury à 20h : Une terre doublement promise 
    Rencontre avec le journaliste et auteur Pierre Haski 
    Organisation : Librairie JMS 
    1, avenue H. Poincarré – Contact : librairie.jms@wanadoo.fr 
      
    Samedi 16 mars aux Mureaux de 14h à 18h : 4 heures pour la Palestine 
    Rappel historique / Quels enjeux, quelles perspectives ? Avec Thomas Vescovi, historien et chercheur indépendant 
    Que faire localement ? Stands, expositions, librairie 
    Organisation : Collectif Palestine des Mureaux et Alentours 
    Salle Parasol-Pôle Molière, rue Molière – Contact : palestine-lesmureaux@proton.me 
      
    Vendredi 22 mars à Versailles à 18h30 : Marche unitaire départementale aux flambeaux 
    Parcours du Château à la gare des Chantiers 
      
    Vendredi 22 mars à Versailles à 20h30 : Rencontre avec Salah Hammouri (avocat franco-palestinien) 
    Organisation : AFPS 78 
    Cantine de la gare de Chantiers, 4 rue de l’abbé Rousseau – Contact : afps.versailles@free.fr 
      
    Les signataires du collectif départemental : 
    Associations : Action Anti Fasciste des Yvelines, Association France Palestine Solidarité, Amnesty International, Association Républicaine des Anciens Combattants, Association de Solidarité Inter Peuples, ATTAC78, Collectif Palestine des Mureaux et Alentours, Dédale, Forum Palestine Citoyenneté, Libre Pensée, Ligue des Droits de l’Homme, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples, Mouvement de la Paix, Union Juive Française pour la Paix 
    Syndicats : CGT, FSU, SUD/Solidaires 78, UEY 
    Partis : EELV, Génération.S, LFI, MJCF PCF, PG, PS 
      
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