Acrimed et Visa (Vigilance et Initiatives Syndicales Antifascistes) s’associent pour une Journée publique d’information et de débats le 12 février autour des liaisons dangereuses entre médias et extrême droite. (Salle Olympe de Gouges, 15 Rue Merlin, 75011 Paris ) Après une entrée avec la fanfare invisible à 13h, la journée s’articulera autour de trois tables rondes (programme ci-dessous), suivies d’échanges avec le public. Un espace sera dédié aux tables de presse de collectifs, syndicats, médias indépendants et maisons d’édition
SAMEDI 12 FEVRIER
13h – Fanfare invisible
14h – Médias d’extrême droite, extrême droite dans les médias
Les usages des médias par les dirigeants du FN
Cartographie de la fachosphère, La Horde
La gauche, les médias & l’extrême droite dans les années 1930, Dominique Pinsolle
15h30 – 30 ans de banalisation médiatique de l’extrême droite
Les médias face à la menace fasciste, Ugo Palheta
Comment les préoccupations centrales de l’extrême droite sont-elles devenues légitimes dans le débat public ? Annie Collovald
Chaînes d’info : la prime à l’extrême droite, Samuel Gontier
17h – Quelle réaction des rédactions ?
Débat avec Acrimed, des journalistes et les syndicats de journalistes SNJ & SNJ-CGT
L’amour a trois de Nicolas Bonanni a été publié en 2016 aux éditions Le monde à l’envers.
Alain Soral, Eric Zemmour, Alain de Benoist : comment la pensée des intellectuels de l’autre droite irrigue les champs médiatique et politique de ses thèses réactionnaires.
Maintenant disponible en ligne avec un entretien de l’auteur
Dimanche 19 décembre, avec l’Observatoire nationale de l’extrême droite, Laurence De Cock et Grégory Chambat (Solidaires 78) ont échangé sur le thème de « l’extrême-droite contre l’école publique ».
L’École est le champ d’intervention privilégié d’une galaxie intellectuelle et médiatique caressant le rêve de rétablir un état scolaire – et social – ancien. Pour ces « réac-publicains » (Natacha Polony, Jean-Paul Brighelli, Alain Finkielkraut, Éric Zemmour…) évoquant inlassablement l’effondrement du niveau et la décadence de l’institution, le redressement de l’École préfigurerait la restauration de l’ordre et de la nation. Leurs incessantes et virulentes polémiques s’inscrivent dans une tradition méconnue, celle de l’intérêt jamais démenti de l’extrême droite pour l’éducation. Cet ouvrage relate l’histoire de cette « pédagogie noire » et décrypte ses déclinaisons contemporaines afin d’en révéler les enjeux sociaux et idéologiques. Entre les sirènes du « nostalgisme » réactionnaire et le renoncement à toute perspective de transformation, il s’agit de retrouver le chemin d’une pédagogie de l’émancipation.
L’edito: l’extrême droite a compris depuis longtemps qu’elle ne pourrait reconquérir largement les esprits sans investir la question éducative. Avec son collectif Racine et ses “enseignants patriotes”, son programme réactionnaire obtient une audience qui dépasse les seuls cercles radicaux traditionnels.
Sans doute reste-t-elle la même en son fond, mais elle sait prendre des visages différents. Comme le souligne l’historien et sociologue Enzo Travserso, les droites radicales actuelles conservent des traits fascistes tout en les dépassant et en les intégrant autrement pour sembler modernes et présentables.
Des convergences nouvelles se dessinent entre les intégrismes religieux d’une part (les Journées de retrait de l’école, la Manif pour tous) et l’idéologie néolibérale de l’autre. Derrière les parades petites et grandes du capitalisme se cache une réaction sociale qui passe maintenant pour du bon sens. Il en va ainsi des écoles. Espérances banlieues alliant le libéralisme économique aux conceptions éducatives les plus rétrogrades.
Dans le prolongement du stage intersyndical qui s’est tenu en mai 2016 à la Bourse du travail de Saint-Denis, ce dossier entend ne pas laisser le monopole de la contestation de l’école telle qu’elle est, c’est-à-dire déjà trop inégalitaire et autoritaire, aux seuls “réac-publicains”.
La vidéo de la manifestation parisienne du 18 décembre est à retrouver la page youtube de la campagne, partagez-la : https://youtu.be/ya5APizAcsE
18 décembre, ce n’était qu’un début, à toi, à vous, à nous de jouer !
« Nos quartiers s’appellent Solidarité, notre pays s’appelle Solidarité, notre monde s’appelle Solidarité ». Le slogan* a été repris ce samedi par des milliers de manifestant·e·s, dont beaucoup de Sans-Papiers et beaucoup de jeunes ce samedi 18 décembre.
Des rassemblements et manifestations ont eu lieu dans plus de 50 lieux sur tout le territoire, de quelques dizaines de personnes à presqu’un millier à Rennes et Toulouse et plusieurs milliers à Paris. Mention spéciale pour Montpellier où la manifestation très déterminée a bravé l’interdiction du centre-ville.
La dynamique est désormais lancée pour la campagne Antiracisme et Solidarité soutenue aujourd’hui par plus de 340 organisations, locales et nationales. Car ces milliers de manifestant·e·s, de Briançon, Annecy, Grenoble à Foix, Albi, Perpignan, de Dunkerque, Lille, Beauvais à Strasbourg et Amiens se sont mobilisé·e·s malgré le froid, le début des vacances, le black-out médiatique total et les interdictions préfectorales.
Mais ce 18 décembre n’est qu’un début, pour que la dynamique et la mobilisation s’amplifient dans les semaines et les mois qui viennent. Pour qu’une journée de manifestations devienne des centaines d’initiatives de toutes sortes, dans chaque quartier, chaque village, chaque ville, contre toutes les formes de racisme et pour construire la solidarité.
A toi, à vous, à nous de jouer : faites signer l’appel par toutes nos formes d’organisation pour vivre ensemble, associations locales, sections syndicales, clubs de sport, lieux culturels, groupes de musique, fédérations de parents d’élèves, journaux lycéens… Fais signer tes ami·e·s, tes collègues, ta famille. C’est ici :
Organisez des évènements, rassemblements, débats, projection de film, fêtes, concerts, tournois de sport, actions de solidarité, manifestations… Et inscrivez-le sur l’agenda du site de la campagne, pour le faire connaître mais aussi pour rendre visible notre carte de la solidarité. C’est ici : https://antiracisme-solidarite.org/
Et il y aura d’autres rendez-vous nationaux de la campagne. Pour faire la misère au racisme, barrer la route aux fascistes et surtout faire vivre un autre pays, notre pays. Qui s’appelle Solidarité. *Le slogan en entier :
D’où que l’on vienne, Solidarité ! Où que l’on soit né·e, Solidarité ! Nos quartiers s’appellent, Solidarité ! Notre pays s’appelle, Solidarité ! Notre monde s’appelle, Solidarité ! Avec les Musulman·e·s, Solidarité ! De toutes les religions, Solidarité ! Avec les Sans-Papiers, Solidarité ! Jeunes isolé·e·s, Solidarité ! Avec les réfugié·e·s, Solidarité ! Avec les Exilé·e·s, Solidarité ! Contre les frontières, Solidarité ! Violences policières, Solidarité ! Lamine et Camara, Solidarité ! Aboubacar et Adama, Solidarité ! Zyed et Bouna, Solidarité ! Pour la vérité, Solidarité ! Pour la dignité, Solidarité ! Pour la liberté, Solidarité ! Pour l’égalité, Solidarité ! Contre le racisme, Solidarité ! Contre les fascistes, Solidarité !
Il ne se passe plus un jour sans que se produisent de nouvelles menaces ou de nouvelles agressions perpétrées par l’extrême droite contre des locaux syndicaux et associatifs, des librairies, des lieux culturels, des mosquées, des militant.es, des universitaires, des journalistes, des migrant-es… Il y a 5 jours, lors du meeting de Villepinte de l’un des trop nombreux candidats d’extrême droite aux élections présidentielles, plusieurs militant-es de SOS Racisme ont été violemment agressé-es par des nervis fascistes, dont certains étaient issus d’organisations d’extrême droite récemment dissoutes. De leur côté, des journalistes de Quotidien et de Médiapart ont été pris-es à partie et molesté-es, sous les huées du public. A l’extérieur, pendant ce temps là, les forces de police nassaient, brutalisaient et interpellaient les manifestant-es venu-es dénoncer cette provocation raciste en pleine Seine-saint-Denis et des journalistes ont été entravé-es dans l’exercice de leur mission d’informer. Ces agressions vont venir rejoindre celles que le site Rapports de force a déjà recensées et cartographiées.
Le procès en appel en mai-juin 2021 des assassins de notre camarade Clément Méric est venu nous rappeler que l’extrême droite tue. L’Union syndicale Solidaires exprime sa solidarité avec toutes les victimes de menaces et de violences fascistes. Le climat politique est lourd de menaces, car l’extrême droite et une bonne partie de la droite se déchaînent dans les meetings, les médias et les réseaux sociaux. Les vannes de leurs discours haineux, racistes et complotistes sont largement ouvertes.
Face aux offensives idéologiques mortifères de l’extrême droite, les digues cèdent une à une. Sa rhétorique haineuse pollue les médias et les réseaux sociaux. Le fait que ses fantasmes racistes, masculinistes, homophobes…, se propagent librement avec la complaisance des magnats des médias n’est pas sans conséquence dans la vie réelle. Cette libération de la haine vient s’incarner dans les violences commises par des sbires d’extrême droite qui se sentent maintenant légitimés par des candidat-es à la présidence de la République qui partagent et diffusent leurs détestations de toutes celles et ceux qui leur sont différent-es.
Car c’est bien au nom du pseudo « grand remplacement » et du suprémacisme blanc qu’ont été commis plusieurs attentats meurtriers : attentats d’Oslo et d’Utøya en 2011 en Norvège, attentats islamophobes de Christchurch en Nouvelle Zélande en 2019, attentats racistes de Hesse en 2020 en Allemagne..
Ces dernières semaines, plusieurs projets d’attentats d’extrême droite en France ont été déjoués avant que leurs initiateurs ne passent à l’acte. Ce ne fut malheureusement pas le cas à la mosquée de Bayonne en octobre 2019. De fait le risque existe et prend de l’ampleur. Médiapart, après avoir enquêté sur les filières néonazies dans l’armée, enquête actualisée ces derniers jours, rien n’ayant été réglé, évoquait fin novembre cette menace terroriste d’extrême droite en France avec neuf enquêtes judiciaires en cours “sous une qualification « terrorisme » et 53 militants mis en examen”. Le mercredi 8 décembre a été annoncée la découverte à Niort d’un “musée privé à la gloire du IIIe Reich”, avec de nombreuses armes et engins explosifs, appartenant à un ancien militaire retraité.
Le silence du gouvernement est assourdissant et sa responsabilité est indéniable.
Pire, plusieurs ministres préfèrent stigmatiser les soit-disant « islamo-gauchistes » (tout en continuant de vendre des armes à l’Arabie Saoudite), le soit-disant « wokisme », reprenant ainsi le lexique forgé par des idéologues d’extrême droite. Les équipes militantes de Solidaires combattent concrètement au quotidien le fascisme et le racisme dans les luttes, que ce soit dans les entreprises, dans les administrations et dans la rue. Face à l’extrême droite, ses discours de haine, ses violences, face aux politiques sécuritaires et autoritaires, face au racisme systémique, l’Union syndicale Solidaires travaille, avec d’autres forces syndicales, associatives, politiques, à construire et renforcer les mobilisations unitaires antifascistes et antiracistes.
Ainsi le 18 décembre, l’union syndicale Solidaires appellera aux manifestations unitaires qui auront lieu partout en France, dans un cadre unitaire de la campagne “Antiracisme et solidarité”.
Dimanche 5 décembre 2021, Éric Zemmour tiendra un meeting au Zénith, porte de La Villette, à Paris. Une grand‐messe fasciste présentée comme une étape déterminante dans la campagne politique de ce nouveau candidat d’extrême droite (certes encore non déclaré) à l’élection présidentielle de 2022. Depuis des mois, Éric Zemmour déballe ses discours de haine en boucle, partout. Sa parole raciste, islamophobe, misogyne, ultralibérale, sa réhabilitation des pires figures de notre histoire récente se répandent, avec la complicité aveugle ou assumée de celles et ceux qui ne cessent de lui tendre le micro ou de lui offrir des tribunes. A côté […] afficher en ligne.
Lundi 22 novembre,, deux militants de SUD-Rail étaient tranquillement attablés en terrasse à Paris, quand ils ont été pris violemment à partie, parce que l’un d’eux portait simplement un sweet-shirt antifasciste, par un groupe de 7 fascistes : insultes, coups, lunettes cassées, menaces de mort. Les deux adhérents de notre organisation syndicale ont pu se réfugier à l’intérieur du bar mais, en plus du choc psychologique, les conséquences auraient pu être bien plus graves car le groupe de fascistes souhaitait encore en découdre, à 7 contre 2. La fédération des syndicats SUD-Rail exprime sa solidarité avec les deux militants SUD-Rail […] afficher en ligne.
En 2017, lors de la dernière élection présidentielle, moins de 5% des enseignant·es et des personnels de l’éducation ont voté pour Marine Le Pen. Le monde de l’éducation a jusqu’alors résisté à la percée de l’extrême-droite de ces dernières décennies. Depuis 2017, les médias montent en épingle des enseignant·es engagé·es auprès de Marine Le Pen ou aujourd’hui d’Éric Zemmour. Or on constate qu’il s’agit, et heureusement, d’un phénomène très marginal. Comment l’expliquer ? En tant que syndicalistes nous avons une connaissance privilégiée de l’institution et de ses personnels. Nous sommes convaincu·es que cette résistance aux idées d’extrême-droite est bel et […] afficher en ligne.
La CGT dénonce le traitement raciste, inhumain et dégradant des migrant.e.s à la frontière entre l’Union Européenne et le Bélarus Une crise humanitaire d’envergure est en train de se déployer à la frontière entre le Bélarus et l’Union européenne. Des milliers de migrants irakiens et syriens, parmi lesquels des familles avec enfants, cherchent à rejoindre l’Europe et se retrouvent piégés par le froid et la faim face à des barbelés à lame de rasoirs fournis par le Danemark. Acheminés par avion via Minsk, avec la complicité des autorités biélorusses qui ont gelé cet été des accords de réadmissions avec l’Union […] afficher en ligne.
À l’approche des élections présidentielles, l’extrême droite est quasi omniprésente dans les médias : Zemmour et Le Pen imposent les termes du débat public. D’une part, l’extrême droite impose sa vision du monde qui repose sur la peur et la haine de l’autre : les personnes immigrées, musulmanes, juives ou LGBTI… et l’exaltation d’une “nation française” entendue comme excluante. D’autre part, la progression de l’extrême droite et la diffusion de ses idées réactionnaires dans la société encouragent l’action des groupes d’ultra-droite violents : depuis 2017, neuf attentats terroristes, dont trois depuis août 2021, ont été déjoués et leur menace est grandissante. Ces […] afficher en ligne.
Gros succès pour la manif contre les violences faites aux femmes : un cortège dense, animée, jeune de plusieurs dizaines de milliers de personnes, a fait passer le message qui allait bien au-delà de la simple dénonciation, pour pointer du doigt le système patriarcal que l’extrême droite défend par tous les moyens. Pas étonnant donc que le collectif Nemesis, un groupe raciste au féminin, ait tenté, avec ses alliés masculins de l’Action française et de la Cocarde étudiante, de gâcher la fête : mais l’opération a viré au fiasco, grâce à la réactivité de manifestantes déters. Lire la suite afficher en ligne.
Alors que la précarité étudiante n’en finit pas d’augmenter, avec 1 étudiant-e sur 2 qui travaille sur son temps d’études, et l’extrême croissance des distributions alimentaires, on peut apercevoir une montée des groupes et actions de l’extrême droite dans l’enseignement supérieur. Les mots d’ordre médiatiques inspirés par des théories d’extrême droite sont repris dans le discours de certain-e-s candidat-e-s sur (presque) l’ensemble du spectre politique y compris par le gouvernement. Sur ce terreau fertile de banalisation du racisme, de la misogynie et du mépris de classe, des groupes d’extrême-droite connaissent un regain d’activité en surfant sur les thèmes identitaires et […] afficher en ligne.
1er octobre. Article de la Pieuvre du Midi « Un jour, il va bien falloir que la vérité éclate et qu’une fois pour toute, on dise au service archéologique municipal que les 2600 ans d’âge de Béziers ne sont qu’une légende urbaine. » L’idée n’avait pas été reprise par la municipalité Couderc avant que celle de Ménard n’y adhère. « Et cela n’est repris sérieusement par aucun universitaire, pas un article n’est consacré au sujet dans les revues spécialisées. Mais bon, la mairie, s’appuyant sur les découvertes “très modestes” de son service, le revendique, et le Journal du Biterrois (JDB) le relaie, les […] afficher en ligne.
En pleine vague de propagande antisémite et d’extrême-droite, Memorial 98, organise pour la huitième année consécutive, avec ses partenaires, un rassemblement en mémoire des victimes de la « Nuit de Cristal », pogrom d’État commis par les nazis le 9 novembre 1938, contre les Juifs d’Allemagne, d’Autriche et des Sudètes et vous invite à y participer. Retrouvons nous le 9 Novembre à 18 H 30 devant le gymnase Japy (2 rue Japy 75011, métro Voltaire ou Charonne) Afin de rendre hommage aux victimes de la Nuit de Cristal nazie et de tous les génocides et d’affirmer notre détermination à combattre l’extrême-droite et toutes les idéologies de haine Le gymnase Japy est […] afficher en ligne.
Mardi 23 novembre, Léo, professeur des écoles et militant à la CGT Educ’Action31, passera en procès à Toulouse, à la suite d’une plainte émise par le Rassemblement National. Il est poursuivi pour des « violences » qui auraient été commises lors d’une distribution de tracts du RN en février 2020, sur un marché populaire de Toulouse, dans le cadre de la campagne municipale. Ce jour-là, plusieurs citoyen.ne.s ont exprimé leur refus des idées racistes,sexistes et homophobes en scandant des slogans anti-fascistes. Léo était de ceux et celles là. Alors que ce sont les militant.e.s du RN qui se sont montré.e.s agressif.ve.s, menaçant […] afficher en ligne.
de ruissellement accru des idées fascistes dans le débat politique,
de focalisation médiatique sur les thèmes chers à l’extrême-droite,
d’une nouvelle progression de Le Pen aux élections,
d’une banalisation des discours de Zemmour, les militant.es de Vigilance et Initiatives Syndicales Antifascistes ont réalisé un argumentaire syndical antifasciste sous la forme d’une brochure de 140 pages au prix de 3 €.
Disponible fin janvier 2022, vous pouvez d’ores et déjà en réserver des exemplaires par mel à : assovisabis@gmail.com
Armer les militant.es contre les impostures de l’extrême-droite est une absolue nécessité à l’approche des élections présidentielles de 2022, même si le combat contre le fascisme est quotidien et permanent. Armer les militant.es, c’est leur livrer des analyses et des outils pour qu’ils et elles puissent ensuite parler avec leurs mots aux salarié.es qui s’apprêtent à se tromper de colère en votant pour l’extrême-droite. Armer les militant.es, c’est ce que propose l’association VISA (Vigilance et Initiatives Syndicales Antifascistes) avec ce petit livre qui met en lumière l’ADN fasciste des Le Pen et Zemmour, de leurs entourages et de leurs soutiens (antivax et complotistes notamment).
Mieux les connaître pour mieux les combattre sera plus facile après avoir lu ces 140 pages qui décortiquent les fourberies et les mystifications de l’extrême-droite sur le terrain économique et social, sur les droits des femmes ou encore sur l’écologie. Le focus sur les votes de leurs élu.es et l’analyse de leurs visuels de campagne sont également très utiles pour les démasquer. Et parce que l’extrême-droite n’a pas de frontières, ses faits et méfaits dans plusieurs pays proches ou lointains illustrent aussi concrètement les dangers qu’elle représente.