À lire, le nouveau dossier de l’Agence Média Palestine ici :
Criminaliser la solidarité : un an de répression en France du mouvement pro-palestinien
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Criminaliser la solidarité : un an de répression en France du mouvement pro-palestinien
Voilà le n°124 du bulletin Solidaires et internationalistes ! Un bulletin pour que les militantes et militants aient connaissance de l’activité internationale de notre Union syndicale.
Au sommaire :
*
Après la première séance de ciné-débat avec le film No Other Land au cinéma Pandora d’Achères le 12/11 dernier, auquel ont participé plus de 60 personnes, le Collectif Palestine des Mureaux organise et co-organise :
– le 3/12 (14h) Projection du film Gaza mon amour lors d’une séance ciné-Senior au cinéma des Mureaux suivie de quelques échanges.
Vente de gâteaux palestiniens au profit des rescapés de Gaza
Le 30 Nov à Mantes La Jolie (cf PJ)
Merci pour votre soutien
Organisé par l’Association de Solidarité Inter-Peuples et des militantes palestiniennes du réseau “La Palestine nous unit” et du collectif CNASaR ( Comité National d’Accueil et de Soutien aux Rescapés du Génocide en Palestine)
Le Collectif Palestine Les Mureaux et Alentours organise et anime un ciné-débat autour du film No Other Land vendredi 22 novembre 20h30 au Cinéma Frédéric Dard des Mureaux.
Un film documentaire exceptionnel qui a déjà reçu de nombreux éloges de la presse et du public.
On suit avec empathie les deux jeunes protagonistes bientôt amis : un militant palestinien contre l’expulsion massive et violente de sa communauté en Cisjordanie par l’occupant israélien et un journaliste israélien qui se joint à son combat de 5 ans.
Un débat aura lieu après la projection avec Lana Sadeq, présidente du Forum Palestine Citoyenneté et Nitzan Perelman, spécialiste de la société israélienne, co-fondatrice du site Yaani.
De nombreux documents – dont les activités du Collectif des Mureaux depuis plus d’un an – seront à votre disposition avant et après le film dans le hall du cinéma.
Le 6 novembre Trump a été réélu à la présidence des Etats-Unis.
Ce choix électoral va avoir des conséquences pour l’ensemble de la population sur le sol américain d’abord.
La politique populiste et fascisante de Trump qui va être mise en œuvre n’a en fait rien à envier à l’extrême droite. A l’origine du coup de force contre le congrès américain le 6 janvier 2021, Trump qui se vantait d’être un dictateur en cas de réélection est juste un danger mortel pour la démocratie.
Son programme liberticide menace de s’exporter, avec des répercussions probables sur la scène internationale, où l’influence américaine risque d’encourager des politiques de répression similaires dans d’autres pays. Le plan de réélection de Trump, appelé « Projet 2025 », dessine un modèle de société axé sur des valeurs ultra-conservatrices, remettant en cause les droits des femmes, des personnes LGBTQI+, des personnes racisées, et s’appuyant sur une politique migratoire ultra-restrictive:
– reconduction massive d’immigré-es hors des frontières, assumant une politique raciste
– banalisation du sexisme voire des violences faites aux femmes, et la remise en cause du droit à l’avortement partout en perspective… à la grande joie de nombreux masculinistes trumpistes. Rappelons qu’il a été condamné en 2023 pour agression sexuelle.
– recul des droits, répression, maltraitance sera aussi le quotidien pour toutes les femmes, les personnes racisées mais aussi pour les personnes LGBTQI+.
De plus, la politique capitaliste ultra-libérale prônée par Trump accentuera les inégalités : diminution des impôts aux plus riches et aux multinationales, taxes protectionnistes, baisse des subventions aux associations qui luttent contre les discriminations ou pour la santé sexuelles et reproductive, etc, ce qui affaiblira encore les minces filets de protection sociale.
Le poids et la domination des Etats-Unis dans le monde, font avoir les pires craintes sur des sujets majeurs, comme la guerre en Ukraine, ou le renforcement de la politique d’impunité du génocide en cours par l’Etat d’Israël.
Même si la politique américaine était bien en deçà de la bifurcation écologique, l’arrivée de Trump, climato-sceptique affiché, fait là aussi porter peu d’espoir pour un changement majeur en ce sens, notamment car il souhaite encourager le développement d’énergies fossiles.
La nomination d’Elon Musk, propriétaire de X, notamment pour “démanteler la bureaucratie gouvernementale” (en clair toute l’administration et privatiser le peu de service public restant) démontre bien s’il le fallait qu’il s’agit d’une politique ultra-libérale, portée désormais par celui qui veut fonder un empire autoritaire de la communication et des affaires…Cette nomination a été saluée par Kasbarian actuel ministre de “la fonction publique, de la simplification et de la transformation de l’action publique”, qui se voit visiblement comme son homologue direct.
Plus que jamais, nos luttes, nos résistances y compris internationales sont nécessaires pour faire rempart à ces politiques mortifères. Celles-ci que l’extrême droite en France compte bien imposer.
Le 13 novembre prochain devrait avoir lieu, à Paris, un gala organisé par l’association Israël Is Forever, avec, comme invité-vedette, le ministre israélien d’extrême droite, Bezalel Smotrich. Les organisateurs ont comme objectif la « mobilisation des forces francophones sionistes au service de la puissance et de l’histoire d’Israël ».
À l’heure où l’État d’Israël poursuit depuis plus d’un an une guerre totale contre le peuple palestinien à Gaza et aussi en Cisjordanie, en commettant quotidiennement des massacres qui apparaissent comme une stratégie de terreur à l’égard de la population palestinienne… À l’heure où la Cour internationale de justice (CIJ) déclare, à travers plusieurs ordonnances, que la perpétration d’un génocide à Gaza était plausible et où elle rappelle aux États qu’il est de leur devoir de tout faire pour empêcher ce génocide… À l’heure où la même CIJ a rappelé que la colonisation du territoire palestinien occupé est illégale et a statué que cette occupation est illégale… À l’heure où l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies (ONU) exige qu’Israël se retire de ce territoire et que les États s’abstiennent de toute activité de nature à soutenir la colonisation…
La tenue de ce gala dans la capitale française, constituerait une injure au droit international et une marque de mépris pour l’ONU et pour les ordonnances prononcées par la plus haute juridiction internationale ainsi que pour la résolution votée par la France le 18 septembre.
Rappelons qui sont les deux principaux acteur et actrice de ce gala révoltant :
Nili Kupfer-Naouri, présidente de l’association Israël Is Forever, organisatrice du gala, est une avocate ayant les nationalités française et israélienne qui tient publiquement des propos qui s’apparentent à de l’apologie de crimes de guerre. Parmi ses nombreuses déclarations, citons : « Il n’y a pas de population civile innocente à Gaza » ou : « Qu’il ne reste plus rien de Gaza et qu’on [peut] y installer une grande hityashvut, une grande réimplantation juive » ou encore « Nous ne voulons plus de voisins barbares. Nous comprenons que nous devons obtenir notre sécurité et c’est par l’émigration en masse des arabes de Gaza et par une installation juive ». De plus, Nili Kupfer-Naouri a publié sur son réseau social une photo où on la voit participant à une manifestation au poste frontière de Rafah, empêchant les camions d’aide humanitaire d’entrer à Gaza pour porter secours à la population civile, acte qui vient en contradiction avec l’ordonnance de la CIJ du 26 janvier 2024.
Bezalel Smotrich est le ministre israélien des Finances et le ministre exerçant la tutelle sur la Cisjordanie occupée. Habitant dans une colonie et se revendiquant lui-même « fasciste », Smotrich incarne la figure du sionisme religieux le plus fanatique. Depuis son entrée au gouvernement le 29 décembre 2022, le nombre de colonies et les hectares de terres confisqués par Israël ont augmenté dans des proportions jamais vues depuis les accords d’Oslo. Toutes ses déclarations traduisent son mépris du droit international, à l’image de « Nous encourageons la colonisation avec force travail et d’une manière stratégique dans tout le pays ». Elles révèlent aussi tout le racisme et la haine qui animent ce personnage, comme celle où il avait indiqué qu’il « était justifié et moral de bloquer l’aide humanitaire pour la bande de Gaza, même si cela pouvait entraîner la mort de deux millions de Palestiniens. ». Déjà présent à Paris en mars 2023, Smotrich avait déclaré : « Il n’y a pas de Palestinien, car il n’y a pas de peuple palestinien… C’est la vérité historique, c’est la vérité biblique et cette vérité, les Arabes en Israël doivent l’entendre de même que certains Juifs ».
En mars 2023, la France, par la voix du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères avait dénoncé les « propos irresponsables » de Smotrich. Aujourd’hui, comment comprendre qu’il soit autorisé à appeler à la haine, à faire l’apologie d’actes criminels sur le territoire français, ce qu’il ne manquera pas de faire, chacun le sait, à partir du moment où il sera autorisé à venir en France.
Pour la justice, pour le respect de la mémoire des dizaines de milliers de Palestiniennes et Palestiniens massacrés à Gaza et en Cisjordanie, pour l’arrêt de la monstrueuse guerre d’anéantissement et de conquête menée par le gouvernement israélien d’extrême droite en Palestine et au Liban, ce gala de la haine et de la honte ne doit pas avoir lieu.
Depuis plus d’un an, le déferlement de violence de l’armée israélienne sur Gaza est insensé : plus de 43 000 Palestiniens et Palestiniennes tuées dont plus de 14 000 enfants, d’après l’Unicef, sans compter les plus de 100 000 blessé·es et plus de 10 000 personnes portées disparues. Toutes les infrastructures ont été bombardées, il ne reste plus rien de Gaza.
Depuis un mois, un nouveau but semble être poursuivi, toujours en contravention avec le droit international, que l’État israélien bafoue continuellement, et dont les États occidentaux ne semblent pas beaucoup s’émouvoir non plus : l’armée génocidaire vide la partie de la bande de Gaza qui se situe au nord de la ville de Gaza, pour créer une “zone tampon”. Une telle zone de 600 m de large existe déjà depuis près de 20 ans, en toute illégalité, tout comme le strict blocus imposé depuis 2007, mais le plan actuel semble vouloir étendre cette zone de 600 m à 6 km de large.
Problème : cette terre n’est pas “sans peuple”. Elle contient des villes et des camps de réfugié·es : Jabalya, Beit Hanoun, Beit Lahia, Al Shati, Nazla, etc. Bien que cette zone ait été lourdement bombardée dès octobre 2023, avec de nombreuses victimes civiles et bâtiments détruits, bien qu’une grande partie de la population ait évacué vers le sud où on leur avait menti en leur promettant la sécurité, une partie de la population est restée, et on trouvait 100 000 réfugié·es encore présents et présentes à Jabalya par exemple, et peut-être 400 000 dans toute cette zone.
La vie des 400 000 Palestiniennes et Palestiniens ne semble pas compter. Pour les “convaincre” de partir, l’armée a employé les moyens inhumains habituels : villes encerclées, interdiction aux convois humanitaires de rentrer, famine grandissante, manque d’eau et de médicaments, bombardements par avions, par drones, par chars, par robots tueurs, bombardements des trois derniers hôpitaux de la zone dans lesquels se réfugient personnel médical, patients et familles déplacées, bombardements d’écoles et de refuges, bombardement de la dernière boulangerie de toute la zone… là encore contrevenant à de nombreuses dispositions du droit international.
Des dizaines de milliers de personnes sont déplacées de force (20 000 au cours de la seule journée du 18 octobre, d’après l’ONU), dont l’armée coloniale sépare les hommes qu’elle déshabille, menotte, dont elle bande les yeux, et qu’elle emmène dans des lieux inconnus.
Les scènes apocalyptiques se succèdent (1). On estime que plus de 1 000 personnes ont été tuées par l’armée israélienne dans cette zone en moins d’un mois, avec le bombardement d’immeubles remplis de civils, 150 le 24 octobre et une centaine de plus le 29, mais il est très difficile d’avoir des chiffres précis, car les rues sont trop dangereuses pour aller chercher les cadavres sous les décombres. Cela démontre encore une fois le travail incroyable et nécessaire des derniers journalistes courageux qui réussissent à envoyer des informations, qui sont eux aussi ciblés par l’armée israélienne, au quotidien dans leur travail. Comme le rappelle le dernier communiqué intersyndical des fédérations de journalistes (2) : au moins 143 journalistes ont été tués dans l’exercice de leurs fonctions depuis octobre 2023, dont Hassan Hamad, journaliste de 19 ans, assassiné le 6 octobre à Jabalya, et trois autres journalistes à Al Shati le 27 octobre. Nous devons relayer leur parole le plus possible.
Pendant ce temps, le 28 octobre 2024, le parlement israélien ne trouve rien de mieux à faire que d’interdire les activités de l’UNRWA. Créée en 1949, l’UNRWA est une agence de l’ONU chargée des réfugié·es palestinien·nes. Si la loi est mise en application, cela aurait des conséquences dramatiques dans la bande de Gaza et en Cisjordanie. L’UNRWA fournit des soins de santé, de l’éducation et une aide à des millions de Palestinien·nes. Elle joue un rôle humanitaire essentiel en plein génocide dans la bande de Gaza. Son interdiction vise également à enlever toute référence internationale au statut de « Réfugié » accordé par l’ONU à chaque descendant.es des Palestinien·nes expulsé·es en 1947-1948 et en 1967 par l’armée sioniste.
Les accusations mensongères portées par Israël mettent encore une fois en lumière le but ultime de ce régime : anéantir le peuple palestinien par tous les moyens possibles. Les armes, la famine, la privation de soins, la privation d’instruction : voilà ce qui attend les Palestinien.nes.
Les Nations Unies, l’OMS et même les USA alertent sur les conséquences dévastatrices que cela va engendrer.
L’union syndicale Solidaires rappelle son attachement au droit international. Nous exigeons un cessez-le-feu immédiat et pérenne en Palestine et au Liban, l’entrée de l’aide humanitaire, la fin du blocus et la reconstruction de Gaza. Nous demandons aux autorités françaises de prendre les mesures nécessaires pour aider l’UNWRA à poursuivre et étendre ses activités en Palestine occupée, en particulier par des sanctions contre l’État israélien qui bafoue l’ONU.
Les Palestinien.nes doivent pouvoir vivre dignement, comme le prévoit le droit international. Aux côtés de nos camarades Palestiniens et Palestiniennes, nous revendiquons, le droit au retour de toutes et tous les réfugié-es, la fin de la colonisation, de l’occupation et des politiques d’apartheid menées envers la population palestinienne. Déterminé-es, nous appelons à continuer et amplifier notre participation à la campagne BDS (Boycott, Désinvestissement et Sanctions) dont nous pouvons toutes et tous nous saisir(3), ainsi qu’à toutes les manifestations de soutien au peuple palestinien !
Free Palestine ! Viva Palestina ! Tahia Falestine !
– Arrêter la guerre et l’économie de guerre
– Augmenter les salaires et les pensions
– Rejeter les coupes dans la santé, l’éducation et les transports
– Garantir la santé et la sécurité sur le lieu de travail
– Empêcher le vol des indemnités de licenciement
– S’opposer à la privatisation
– Défendre le droit de manifester et de faire grève
– Interdire la discrimination fondée sur le sexe
– Relancer le logement social
– Promouvoir les libertés syndicales sur le lieu de travail
– Défendre l’environnement et l’intégrité des territoires
https://laboursolidarity.org/fr/n/3320/soutenons-la-greve-unitaire-en-italie-le-29-novembre-
Cet article a été publié le 10/10/2023
Pour un cessez-le-feu immédiat et permanent ! – Communiqué unitaire intersyndicale ESR
Pour un cessez le feu permanent, pour une paix juste et durable ! Halte au massacre en Palestine !https://www.sudeducation.org/communiques/pour-un-cessez-le-feu-permanent-pour-une-paix-juste-et-durable-halte-au-massacre-en-palestine-communique-de-sud-education/
Pour que cessent les massacres, pour une paix juste et durable, les universités doivent s’engager !
Urgence Gaza : pour une paix juste et durable, cessez-le-feu immédiat !
Israël – Palestine : pour une paix juste et durablehttps://www.sudeducation.org/communiques/israel-palestine-pour-une-paix-juste-et-durable/
Solidaires et internationalistes ! : N°120 – Spécial Palestine
Au sommaire de ce numéro :
Pour mettre fin aux massacres, l’urgence d’une paix juste et durable entre Israélien·nes et Palestinien·nes
Pour une paix juste et durable, Solidaires défend le respect du droit international pour la Palestine
Après 76 ans de Nakba, de drame, de souffrances et de guerre, il est temps de dire non à la colonisation, à l’occupation, à l’apartheid et au génocide.
Il est temps d’exiger un cessez-le-feu immédiat, la levée du blocus de Gaza, l’entrée de l’aide humanitaire.
Pour cela il faut :
Nous souhaitons envoyer un fort message de solidarité au peuple palestinien.
Nous vous invitons à rejoindre les mobilisations pour la paix et la justice partout en France et en Europe à l’occasion de ce 15 mai, jour de commémoration de la Nakba.
La Nakba doit s’arrêter maintenant !
Cet article a été publié le 10/10/2023
Pour un cessez-le-feu immédiat et permanent ! – Communiqué unitaire intersyndicale ESR
Pour un cessez le feu permanent, pour une paix juste et durable ! Halte au massacre en Palestine !https://www.sudeducation.org/communiques/pour-un-cessez-le-feu-permanent-pour-une-paix-juste-et-durable-halte-au-massacre-en-palestine-communique-de-sud-education/
Pour que cessent les massacres, pour une paix juste et durable, les universités doivent s’engager !
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Israël – Palestine : pour une paix juste et durablehttps://www.sudeducation.org/communiques/israel-palestine-pour-une-paix-juste-et-durable/
Solidaires et internationalistes ! : N°120 – Spécial Palestine
Au sommaire de ce numéro :
Pour mettre fin aux massacres, l’urgence d’une paix juste et durable entre Israélien·nes et Palestinien·nes
Pour une paix juste et durable, Solidaires défend le respect du droit international pour la Palestine
Après 76 ans de Nakba, de drame, de souffrances et de guerre, il est temps de dire non à la colonisation, à l’occupation, à l’apartheid et au génocide.
Il est temps d’exiger un cessez-le-feu immédiat, la levée du blocus de Gaza, l’entrée de l’aide humanitaire.
Pour cela il faut :
Nous souhaitons envoyer un fort message de solidarité au peuple palestinien.
Nous vous invitons à rejoindre les mobilisations pour la paix et la justice partout en France et en Europe à l’occasion de ce 15 mai, jour de commémoration de la Nakba.
La Nakba doit s’arrêter maintenant !
Cet article a été publié le 10/10/2023
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Après 76 ans de Nakba, de drame, de souffrances et de guerre, il est temps de dire non à la colonisation, à l’occupation, à l’apartheid et au génocide.
Il est temps d’exiger un cessez-le-feu immédiat, la levée du blocus de Gaza, l’entrée de l’aide humanitaire.
Pour cela il faut :
Nous souhaitons envoyer un fort message de solidarité au peuple palestinien.
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La Nakba doit s’arrêter maintenant !