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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Actu Solidaires 78 Éducation Répression

Jeudi 28 novembre, Versailles – Rassemblement en soutien à notre collègue Laetitia : non à la répression syndicale

Nous appelons toustes les collègues à témoigner leur soutien et leur solidarité à notre collègue Laetitia Salini en proie à la répression de sa/notre hiérarchie.

 En participant au rassemblement devant le TA de Versailles le jeudi 28 novembre à partir de 13 heures 30 (un préavis de grève couvre les collègues qui souhaiteraient venir)

 En signant la pétition en ligne contre la mutation forcée de Laetitia

 En diffusant au maximum la situation au collège de Chatou… par exemple cet article de Libération

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Actu Solidaires 78 Éducation En grève ! Services publics

Mercredi 4 décembre – rassemblement Guyancourt à la Suite des États Généraux de l’Éducation dans les Yvelines


Dans les Yvelines, comme dans toute la France, on manque de tout : postes non pourvus, classes surchargées, mise en place de réformes préjudiciables sans même de bilan sur les réformes précédentes …

À l’appel de l’intersyndicale éducation des Yvelines (FSU, CGT Educ’Action, SUD Éducation, UNSA Éducation, SGEN CFDT) près de 100 personnes se sont réunies le 12 novembre dernier à Versailles autour des États Généraux de l’Éducation.

Suite à l’enquête menée depuis octobre dans les établissements scolaire des Yvelines et dont les résultats ont été communiqués à l’occasion des États Généraux de l’Éducation par l’intersyndicale, la journée du 12 novembre a permis de faire l’état des lieux des besoins de l’École Publique, d’établir et de voter à l’unanimité nos revendications et de travailler sur un plan d’action commun.

Les revendication des États Généraux de l’Éducation des Yvelines :

Les personnels présents ont établis les revendications que nous porterons par nos mobilisations, face aux décisionnaires politiques :

• Une diminution des effectifs par classe
• Des créations de postes à la hauteur des besoins dans toutes les catégories de personnels
• Des conditions dignes d’accueil et d’apprentissage respectueuses des droits de l’ensemble des élèves
• L’abandon du « Choc des savoirs »
• Une mixité effective de la carte scolaire
• Une meilleure prise en compte de la santé des personnels et des conditions de travail
• Des instances de dialogue social où la parole des personnels est entendue et respectée
Vous retrouverez l’intégralité des revendications votées à l’unanimité dans ce tract de 4 pages.
L’intersyndicale appelle à une mobilisation qui doit s’ancrer dans la durée :

Pour porter les revendications des États Généraux des Yvelines :
Soyons nombreux lors d’un rassemblement devant la DSDEN des Yvelines (19 avenue du Centre, Guyancourt ), le mercredi 4 décembre à 14h.

C’est le seul moyen pour être entendus par le nouveau Directeur Académique !

Des prises de paroles seront organisées lors de ce rassemblement pour décider collectivement des suites du mouvement.

Ce même jour, l’intersyndicale demandera aussi à être reçue en audience par le Directeur Académique des Yvelines pour porter nos revendications.

Pour défendre la Fonction Publique et les services publics :

Dès maintenant, réunissons nous dans nos établissements et au-delà, pour nous informer, préparer la grève et toutes autres modalités d’actions pour dire stop, et d’ores et déjà discuter des suites.

Participons massivement à la journée de grève et de manifestation du 5 décembre à Paris

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Actu Solidaires 78 En grève ! Fonction publique

Jeudi 5 décembre – Fonction publique : Mobilisation sur l’ensemble du territoire

Les organisations syndicales CGT, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires, CFE-CGC et FA-FP appellent les agent·es de la Fonction publique à une journée d’action, de rassemblements, de manifestations et de grève sur l’ensemble du territoire le 5 décembre 2024.

Répondant à la demande de l’ensemble des organisations syndicales représentatives de la Fonction publique, Guillaume Kasbarian ̶ ministre de la Fonction publique, de la Simplification et de la Transformation de l’action publique ̶ a été contraint de nous accorder une audience le jeudi 7 novembre dernier.

Les organisations syndicales ont obtenu l’abandon de la suppression des catégories C, B et A de la fonction publique envisagée au titre du projet de loi dit « Guerini ». Le ministre s’est aussi engagé à rediscuter de son projet « d’agenda social ».

Force est de constater que Guillaume Kasbarian n’a pas répondu à la plupart des autres propositions et revendications portées par les organisations syndicales.

C’est pourquoi nous en appelons à une première journée de mobilisation sur l’ensemble du territoire, le 5 décembre 2024, y compris par la grève et la manifestation.

Une journée pour que le ministre renonce :

– aux 3 jours de carence dans la fonction publique,

– à la diminution de l’indemnisation des jours d’arrêt maladie,

– au non-versement de la Gipa.

Dans le même temps, nos organisations syndicales appellent les agent.es de la fonction publique, fonctionnaires et contractuel.les, à se mobiliser pour notamment :

– des moyens budgétaires à la hauteur des missions des services et des politiques publiques,

– des créations d’emplois partout où c’est nécessaire et l’accès à l’emploi titulaire des agents contractuels,

– l’augmentation de la valeur du point d’indice au titre de l’année 2024 et des années suivantes et des mesures salariales générales,

– la refonte des grilles indiciaires,

– l’égalité salariale et professionnelle entre les femmes et les hommes,

– l’abandon des orientations du projet de loi dit « Guerini ».

Nos organisations syndicales conviennent de se revoir après cette journée de mobilisation et de grève.

Paris, le jeudi 14 novembre 2024

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Actu Solidaires 78 Luttes féministes

Mobilisons-nous contre les féminicides et les violences patriarcales partout, tout le temps !

Les 23, 24 ou 25 novembre, dans les rues, partout en France et dans le monde, nous manifesterons pour dire Stop aux violences faites aux femmes ! Parce que tant qu’une seule d’entre nous subira des violences, qu’elles soient physiques, psychologiques, ou sexuelles, nous lutterons. De l’Iran au Mexique aux Etats-Unis, de l’Afghanistan à la Russie à la France, des femmes du monde entier luttent pour leur droit, pour une vie sans peur et sans violence.

Les violences sexistes et sexuelles sont partout : au travail, dans la rue, à la maison. Elles ne connaissent pas de frontières. Elles frappent toutes les femmes, mais plus encore celles qui subissent des oppressions croisées : femmes racisées, exilées, sans-papiers, en situation de handicap, trans, lesbiennes, en situation de prostitution, etc. Et plus l’extrême droite avance, plus ces violences prennent de l’ampleur.

À la violence systémique que subissent des millions de femmes, de personnes LGBTQIA+ et d’enfants, il est plus que temps de répondre avec des actes. Les gouvernements successifs ont échoué à éradiquer les violences machistes. Macron, avec sa « grande cause » pour les droits des femmes, continue de réduire les budgets des associations qui défendent les droits des femmes, des minorités de genre, des enfants, qui luttent contre les discriminations et les oppressions, et il continue d’ignorer les revendications féministes. Résultat : chaque année, des milliers de femmes sont victimes de violences, d’agressions sexuelles au sein du couple, au travail, sur leur lieu d’études, dans la rue, et on comptabilise encore plus de 100 féminicides par an, et ces chiffres ne baissent pas.

Le violence de genre n’est pas un problème isolé ! Elle s’inscrit dans un système de domination et d’oppression : le patriarcat.

Nous devons mener un combat quotidien pour une société juste et égalitaire et ne pas céder au fatalisme. Parce que le privé est politique, nous devons imposer des lois qui protègent les victimes dans la société mais aussi sur nos lieux de travail. En Espagne et en Irlande des lois permettent aux victimes de violences domestiques de bénéficier d’un congé payé pour faire face aux conséquences de la violence. La France doit faire de même, en révisant ses lois pour qu’elles garantissent à chaque victime un accès aux soins, à la justice, et à la sécurité. Tout comme nous devons garantir aux victimes de violences sexistes et sexuelles des mesures visant à protéger leur emploi : possibilité de réaménagement des horaires de travails, possibilité de mobilité géographique, ne pas sanctionner les femmes absentes en cas de violences intra familiale lorsque les faits subis impactent négativement la réalisation du travail, etc. Les entreprises doivent aussi octroyer des moyens suffisants aux référent∙es harcèlement pour qu’iels puissent exercer leur rôle. Et plus largement il est impératif de rétablir les CHSCT où ces questions doivent être traitées.

Luttons pour que toutes les femmes, toutes les personnes LGBTQIA+, puissent vivre sans crainte. Parce que quand une femme se lève, c’est le monde entier qui bouge. Ensemble, transformons la société ! Rendez-vous dans les rues, le 23, 24 ou 25 novembre.
Parce qu’on ne veut plus de promesses vides. On veut des actes !
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Actu Solidaires 78 TPE / TPA

Campagne des élections TPE/TPA : c’est parti !

Retrouvez toutes les informations et la matériel sur le site spécial élections TPE/TPA de Solidaires :

https://onadesdroits.solidaires.org/

Qu’est-ce que les élections TPE/TPA ?

Vous êtes salarié·e d’une très petite entreprise ou d’une très petite association de moins de 11 salarié·e·s, ou bien salarié·e au domicile d’un particulier employeur, vous serez appelé·e·s à voter du 25 novembre au 9 décembre 2024.

Dans chaque région, vous élirez 10 représentant·e·s syndicaux issu.e·s eux aussi de TPE qui vous représenteront face aux employeurs dans des Commissions Paritaires Régionales Interprofessionnelles (CPRI).

Ces élections comptent pour la représentation syndicale dans les branches professionnelles et les conseils de prud’hommes. Avec un score important de Solidaires, vous pourrez mieux défendre vos droits.

Solidaires, c’est qui ? c’est quoi ?

L’Union syndicale Solidaires est une union interprofessionnelle qui couvre tous les départements et des secteurs professionnels très divers. Nos syndicats Solidaires, SUD, SNJ, Asso…, appartiennent à des secteurs professionnels du secteur public comme du secteur privé qu’il soit marchand ou non : commerces et services, santé/social, associations, restauration, journalisme, nettoyage, banques et finances, chimie, collectivités territoriales, culture, éducation, énergie, formation, industrie, bâtiment, métallurgie, services postaux, télécommunications, prévention et sécurité, protection sociale, recherche, transports… ainsi que chez les étudiant.e·s et le retraité.e·s.

L’Union syndicale Solidaires veut être un contre-pouvoir et propose un syndicalisme de lutte qui lie défense quotidienne des salarié·e·s et transformation de la société.

Suis-je concerné·e par les élections ?

Pourra voter tout·e salarié·e en poste en décembre 2023, dans une entreprise ou association de moins de 11 salarié·e·s ou au domicile d’un particulier employeur :
– Âgé·e d’au moins 16 ans ;
– Inscrit·e sur les listes électorales du scrutin ;
– Quel que soit son contrat de travail (CDI, CDD, contrat de travail temporaire, intermittent, contrat de professionnalisation, contrat d’apprentissage…) ;
– Quelle que soit sa nationalité.

Comment voter ?

Le scrutin se déroulera du 25 novembre au 9 décembre 2024.
Les électrices et électeurs pourront voter, selon leur choix, par courrier ou bien par voie électronique sur le site Internet Grand Public dédié aux élections (election-tpe.travail.gouv.fr).
Environ une semaine avant le début du scrutin, les électeurs et électrices recevront de la Direction Générale du Travail un courrier contenant leur matériel de vote :
– Une enveloppe T et un bulletin de vote mentionnant la liste des organisations syndicales candidates au scrutin, afin de voter par correspondance ;
– Des codes de connexion personnels et confidentiels, afin de voter directement en ligne sur le site Internet Grand Public.

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Actu Solidaires 78

Bureau de Poste de Gassicourt (Mantes) : ni fermeture, ni Point contact, un bureau de plein exercice !

Après l’annonce de la fermeture du bureau de Poste de Gassicourt, puis son maintien temporaire mais avec transfert des recommandés et colis à une épicerie, et les fermetures ponctuelles (du 5 au 9 novembre par exemple, car ce bureau sert de variable d’ajustement à d’autres agences), nous n’avons plus de doute sur le fait que la direction de la Poste a décidé la mort de notre bureau de quartier.

M. le Maire a annoncé en conseil municipal le 7 octobre 2024 travailler à une solution, et a demandé à notre collectif de ne pas s’inquiéter. La « solution » s’avère toujours être la fermeture du bureau de Gassicourt, et la création, en remplacement, d’un point de contact « La Poste Agence Communale » dans l’espace Paul Bert, dans le cadre d’une Maison France Services.

Cela signifie concrètement :

• la suppression du distributeur automatique de billets et la fin des services bancaires à Gassicourt, alors que c’est la principale demande des habitants du quartier lorsqu’ils signent la pétition… Où les personnes âgées iront-elles réaliser leurs opérations bancaires, quand elles ne peuvent se déplacer facilement, ni prendre le bus ?

• une fermeture le samedi matin, alors que c’est le créneau le plus sollicité par les habitants du quartier, comme nous avons pu le constater nous-mêmes. C’est donc un frein au côté social de la Poste, alors que la rénovation de la place Paul Bert affiche cet objectif…

• le transfert d’une compétence supplémentaire à la commune, alors qu’elle ne relève pas de ses prérogatives. En effet, l’agent du point de contact sera non plus un agent de la Poste mais un employé municipal recruté et payé par la mairie. C’est une nouvelle dépense pour la Ville, financée par les impôts des mantais alors que le Maire annonce parallèlement que la commune doit se serrer la ceinture.

Nous rappelons notre demande, qui est celle que partagent les habitants du quartier, qui ont massivement signé notre pétition (plus de 740 signatures à ce jour) : le maintien du bureau de Poste de Gassicourt, avec l’ensemble des services bancaires et postaux sur place, et l’extension des horaires d’ouverture.

Nous demandons au Maire de Mantes-la-Jolie, à l’ensemble du conseil municipal, au sous-préfet (rappelons que l’État verse une subvention à La Poste pour le maintien des bureaux de poste de proximité), de soutenir les habitants et d’agir pour le maintien du bureau de Gassicourt, plutôt que d’accompagner sa fermeture.

Le collectif « Sauvons la Poste de Gassicourt », 18 novembre 2024 sauvonslapostedegassicourt@riseup.net

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Actu Solidaires 78 Dans les Yvelines, une classe en lutte... La Poste Services publics

Contre la fermeture de la Poste de Gassicourt (Mantes-la-Jolie) Communiqué de presse : L’entourloupe France Service



Les étapes qui mènent à la fermeture du bureau de poste sont franchies une à une.
Après le transfert des recommandés à 2BM depuis le 1er juillet, ce sont les colis qui ont été transférés à l’épicerie depuis fin septembre.
Désormais La Poste a enlevé toutes les instances du bureau, il ne traite plus que les opérations bancaires et quelques envois. La fréquentation est fortement impactée par ce report d’activités, ce qui facilite l’argumentation de l’entreprise sur la nécessité de fermer l’agence.
En conseil municipal, lundi 7 octobre, le Maire a annoncé travailler sur un projet de création d’une agence « France Service ».
Le concept propose de regrouper dans une même structure un bouquet de services publics.
Il existe 2 formats d’agences « France Service », un format incluant un bureau de poste de plein exercice (1 agence dans les Yvelines à Ablis) et un format n’incluant qu’un échantillon de services postaux (22 agences dans les Yvelines)
Le format « France Service » retenu par la Maire n’intègre pas un bureau de poste de plein exercice, il ne répond pas aux revendications des habitants du quartier portées par le collectif.


Le collectif constate que cette solution a pour conséquences :
–    Les usagers devront se rendre dans les bureaux de poste du Val Fourré ou de Gambetta pour traiter leurs opérations bancaires
–    La remise en cause de l’implantation actuelle des services publics du secteur (impôts, Sécu…)
Le Collectif exprime son opposition à la solution envisagée par la
Maire, qui ne répond pas du tout aux demandes des habitants.
Le collectif demande à conserver à Gassicourt un bureau de Poste de plein exercice en augmentant les amplitudes d’ouverture.
Alors que La Poste évoque le coût trop important de l’ouverture du bureau, elle a fait le choix l’année dernière d’augmenter les amplitudes d’ouverture des  bureaux de Gambetta et du Val fourré, à des horaires où il n’y a pas de clients.
Revenez aux horaires de l’année dernière et laissez nous notre bureau de Poste.
Le collectif demande à rencontrer La Poste, le Maire, le député et le Préfet.

contact : sauvonslapostedegassicourt@riseup.net

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