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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Actu Solidaires 78 Éducation En grève !

Éducation – Les mobilisations dans le département des Yvelines et dans l’académie de Versailles

Retour sur la journée du 6 mars 📢

A l’initiative de plusieurs collèges du bassin de Trappes, une mobilisation avait été décidée cet après-midi, soutenue ensuite par l’intersyndicale.
A 14h, nous avions rendez-vous devant la DSDEN à Guyancourt.
Les personnels (environ 80 personnes) se sont regroupés devant le bâtiment principal. Il y a eu plusieurs prises de parole des syndicats (CGT Educ’action, SUD éducation, FSU, Sgen-CFDT, Unsa) puis des personnels ont pu partager leur avis sur la réforme. Certains ont expliqué qu’ils étaient des primo-militants et que cette réforme les avait tellement indignés qu’elle leur donnait maintenant l’envie de se mobiliser, notamment depuis l’annonce des groupes de niveau. Des parents d’élèves étaient aussi avec nous.
Le député de la 11e circonscription des Yvelines était présent. Il a eu la parole.

Déclaration de SUD éducation 78

Ce rassemblement a été l’occasion de prendre contact entre établissements, de retrouver de nombreuses et nombreux camarades, afin de faire collectif dans les mobilisations.

Des journalistes ont couvert l’événement.
https://www.leparisien.fr/yvelines-78/yvelines-parents-deleves-et-enseignants-font-front-commun-face-a-la-reforme-du-choc-des-savoirs-06-03-2024-QFF55CLUM5DTBNJARSITUDWGO4.php

https://actu.fr/ile-de-france/guyancourt_78297/profs-en-colere-dans-les-yvelines-la-destruction-du-service-public-de-leducation-nationale_60786434.html

Le groupe s’est dissipé vers 15h45.
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🔥 Et ensuite, au rectorat pour un rassemblement académique !
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A 17h00, nous avons retrouvé des camarades des autres départements devant le rectorat de Versailles. Certains camarades du bassin de Gonesse dans le 95 occupent encore le Hall (depuis Lundi matin) et ont décidé d’y passer une nuit supplémentaire. Une centaine de personnes regroupées devant le rectorat sont venues apporter leur soutien.
Une délégation de tous les syndicats a été reçue à 17h30 par le recteur.

Le jeudi 7 mars, de grosses mobilisations sont annoncées dans plusieurs établissements. A Bois d’Arcy, à Trappes, à Élancourt et ailleurs, on s’attend à ce que les collèges soient presque à l’arrêt. 
Une AG a lieu au collège Gagarine (Trappes) à 11h.

Les collègues de Garges qui occupent encore le rectorat sont au nombre de 5. Ils sont mieux traités qu’au départ, mais ils s’apprêtent à passer leur 3ème nuit. À suivre donc…

Compte-rendu de l’audience intersyndicale auprès du Recteur de l’académie de Versailles

Ce mercredi 6 mars, le rassemblement devant le Rectorat a réuni une centaine de personnes. Ce rassemblement s’est déroulé dans des circonstances particulières car des collègues du Val d’Oise (95) occupent le Rectorat depuis le lundi 4 mars. Ces derniers réclament des moyens pour fonctionner.
Les organisations syndicales FSU, CGT Educ’action, SGEN-CFDT, UNSA (excusée) et SUD éducation de l’académie de Versailles ont dénoncé l’austérité budgétaire, les réformes réactionnaires en cours (choc des savoirs, tri social, manuels labélisés, groupes de niveaux sans textes, etc.) et le manque de moyens pour notre académie. Elles ont dénoncé le manque de moyens dans le premier degré et le second degré, le manque de moyens pour les remplacements, pour l’école inclusive et l’éducation prioritaire. Elle a également insisté sur le mal-être des collègues face à la dégradation des conditions de travail et d’enseignement et la non revalorisation salariale. Elle a aussi apporté son soutien aux mobilisations.
Elles ont affirmé leur soutien à l’occupation en cours et demandé à ce que les revendications soient satisfaites, d’autant plus qu’elle rejoignent les revendications de l’intersyndicale académique. La délégation a insisté pour qu’un des personnels de l’occupation rejoigne la discussion et soit entendu, ce qui a été accepté pour que leur parole soit entendue.
Le Recteur a répondu :
• sur l’occupation, un rappel sur le caractère illégal de ce mode d’action, qu’un groupe de travail du CSA départemental sera organisé pour étudier une réaffectation des moyens dans le Val d’Oise est et les lycées à faible IPS. Il s’agit de discuter de l’affectation des réserves. Aucun moyen supplémentaire n’est prévu. Pour le lycée Simone de Beauvoir de Garges-lès-Gonesse, un poste de CPE stagiaire sera affecté, la compensation de 20% du poste d’infirmière est sans solution et la DHG sera abondée dans les conditions fixées par le groupe de travail. La demande des collègues mobilisés d’être reçu au ministère a été transmise mais la réponse du ministère est insatisfaisante car il répond que « les organisations syndicales qui représentent ces collègues au niveau national seront reçues », l’intersyndicale a protesté. Plus d’informations au sujet de l’occupation et de se mouvement sur le site de SUD éducation 95 concernant l’occupation.
• aucun moyen supplémentaire n’est prévu. Seules les réserves prévues pour les ajustements de juin seront déployés.
• sur l’inclusion, le recteur admet que malgré les efforts sur le recrutement des AESH et les moyens supplémentaires de l’ARS (agence régionale de santé), le compte n’y est pas.
• sur les réformes réactionnaires, le recteur dément que le programme du gouvernement soit celui du Rassemblement National.
• sur la revalorisation salariale, le recteur maintient qu’elle est historique.
• sur les groupes de niveau, le recteur attend la sortie imminente des textes de cadrages qui seront l’occasion de discuter concrètement de la mise en œuvre.
• sur l’austérité budgétaire, le recteur maintient la position de hausse des moyens pour le ministère et affirme que même avec les moyens rendus, les DHG ne seront pas impactées.
En résumé, aucun moyen supplémentaire n’est prévu. Seuls des réajustements de l’enveloppe et de l’affectation de la réserve est envisageable pour le recteur. Les mobilisations doivent se poursuivre et s’étendre afin d’obtenir des moyens supplémentaires pour tous et toutes.
L’intersyndicale appelle donc à poursuivre les mobilisations et les visibiliser, elle appelle à poursuivre les mouvement de grève et à réclamer un plan d’urgence pour l’éducation.

La déclaration liminaire de SUD éducation Académie de Versailles

SUD éducation Académie de Versailles soutient et salue la mobilisation des collègues du 95 au sein du Rectorat de Versailles, nous regrettons que l’accès à la nourriture et aux fournitures d’hygiène n’est pas été facilité. Les maigres avancées qui leur ont été promise sont un premier pas mais demeurent insuffisantes.

Insuffisantes pour eux et elles, mais aussi pour les collègues de l’académie et au delà.
En effet, les réformes en cours, le choc des savoirs et autre mesures populistes qui encouragent le tri et la division indignent les collègues.
La colère et l’opposition à ces réformes sont réelles, partout dans l’académie, des actions et des grèves sont menées. 
Nous demandons à ce que l’ensemble des réserves soient attribuées aux écoles, collèges et lycées des 4 département de l’académie. Nous demandons que l’enveloppe globale de l’académie soit revue à la hausse afin de garantir un service public d’éducation de qualité et des conditions de travail dignes pour les élèves et les personnels.
Nous soutiendrons toutes les initiatives et les mouvements de grève allant vers cet objectif.

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Accidents du travail

13 et 14 mars 2024 Assises de la santé et la sécurité des travailleurs-ses

La santé au travail concerne tou·te·s les travailleur.es. Quel que soit notre statut (salarié·es, fonctionnaires, précaires, auto-entrepreneur….) nous sommes exposé·es à des risques professionnels et des conditions de travail se traduisant par des accidents du travail, des maladies professionnelles, de la souffrance, de l’usure souvent non reconnue. Le mal-être au travail, les atteintes à la dignité et autre comportements managériaux ont un impact sur le travail mais aussi sur la vie entière. Chaque année des dizaines de milliers de travailleuses et travailleurs sont licencié·es pour inaptitude par refus des employeurs d’aménager les postes de travail, dans l’indifférence générale. C’est la double peine !

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Actu Solidaires 78 Internationalisme Palestine

16 mars – 4 heures pour la Palestine organisées par le Collectif Palestine Les Mureaux et Alentours

4 heures pour la Palestine” aux Mureaux

Stop au Génocide – Solidarité avec le peuple palestinien

de 14h à 18h – Salle Parasol, Pôle  Molière, 101 Rue Molière

Organisé par le Collectif Palestine Les Mureaux et Alentours

Au programme : 

  • Rappel historique par  Raya Stephan (Collectif Palestine Les Mureaux et Alentours), suivi d’un échange avec la salle
  • Quels Enjeux ? quelles perspectives ? avec Thomas Vescovi (historien, chercheur indépendant), suivi d’un échange avec la salle
  • Agir localement ? échanges entre tou.tes les participant.es en présence de représentant.es de AFPS 78 et BDS IdF et du Collectif Palestine Les Mureaux et Alentours
  • Expositions, stands, librairie  

Réservez votre samedi 16 mars après-midi !

En nous espérant nombreuses et nombreux

Liberté pour la Palestine

Pour le Collectif

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Actu Solidaires 78 Éducation En grève !

Déclaration de SUD éducation 78 devant la Direction académique des Yvelines

SUD éducation tenait à remercier les collègues du bassin de Saint-Quentin en Yvelines qui se sont réuni·es en AG pendant les vacances et ont permis, par leur travail et leur détermination, de lancer ce mouvement départemental dont cette journée de grève ne doit être qu’une étape.


En effet, à SUD éducation, nous sommes convaincu·es que c’est par la base que doivent se construire les luttes : sur nos lieux de travail, dans nos quartiers, dans des Assemblées générales démocratiques, où chacun et chacune s’exprime avec légitimité et égalité de parole.
Dans cette lutte pour un service public d’éducation à la hauteur de la jeunesse et des personnels, nous donnons priorité et soutiendrons toutes les actions décidées en AG par les collègues, pour amplifier et ancrer le mouvement, localement comme nationalement.
L’intersyndicale a aussi un rôle à jouer, comme aujourd’hui, et elle aussi doit s’ancrer dans le temps, par des actions décidées ensemble (HMI, AG, rassemblements, manifestations, occupations), à l’image de ce qui se passe dans le 93 et en y associant les familles.

En effet, contrairement à ce que tentent de faire croire certaines voix politiques ou médiatiques, ce qui se passe aujourd’hui n’a rien d’anecdotique ou de rituel : une énième grève dans l’éduc.? 
Non, ce qui se déploie aujourd’hui dans les rues, dans les établissements, c’est une véritable alerte urgence sociale, pédagogique et éducative.
Une alerte sociale pour les familles les plus pauvres et les plus exclues de l’école, pour les collègues qui ont toujours un salaire sous le seuil de pauvreté, face à une inflation grandissante.
Une alerte pédagogique lorsque les effectifs explosent et ne permettent pas un accompagnement de qualité et à la hauteur des besoins des élèves.
Une alerte éducative, contre les projets gouvernementaux qui veulent sélectionner, trier, stigmatiser les élèves. Hier pour une tenue prétendument religieuse, aujourd’hui pour un prétendu niveau scolaire.
Une alerte sur les conditions de travail, enfin, avec tous ces collègues épuisé·es par une institution qui leur en demande toujours plus, avec toujours moins de moyens ; une institution qui les déchire éthiquement, en les empêchant de bien faire leur travail avec les élèves et les familles. 
En effet, une véritable souffrance à l’école, et au travail, se dit dans de trop nombreux établissements.

Du côté du gouvernement, face à nos alertes et à nos revendications, toujours la même rengaine : il n’y a pas d’argent !
Or, de l’argent, il y en a : pour les uniformes, pour le service national universel, pour le Pacte qui ne concerne que 30 % des personnels. 
L’argent, le gouvernement l’utilise pour fracturer les équipes, pour mettre en concurrence les personnels et les établissements, pour caporaliser la jeunesse.

Pour nous, cet argent doit être utilisé tout autrement : 
- pour la titularisation de tou-tes les précaires de l’éducation : AESH, AED, contractuel-les
- pour l’augmentation de tous les salaires
- pour la baisse des effectifs dans chaque classe
- pour le recrutement de personnels d’accompagnement, du médico social et de l’enseignement permettant la scolarisation de tou-tes les élèves

Nous demandons au gouvernement d’investir les moyens nécessaires pour faire vivre un service public d’éducation qui soit accessible, égalitaire et émancipateur. 
Et pour cela, nous le savons : nous n’aurons que ce que nous prendrons, par nos résistances, par nos luttes, par nos mobilisations qui sont à poursuivre jusqu’à obtenir satisfaction ! 

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Actu Solidaires 78 Éducation

Samedi 16 mars, réunion publique : en lutte pour l’éducation !

Réunion publique pour la défense de l’école publique

À l’appel de l’Assemblée Générale de l’Éducation réunie le mardi 27 février 2024, soutenue par SUD éducation 78, la CGT éduc’action 78 et la FSU.

Quel avenir pour vos enfants avec la réforme du « Choc des Savoirs » ?
Quel impact des politiques de MM. Macron et Attal ?

Quelle réalité de l’école aujourd’hui ?
Comment changer cela, quelle école voulons-nous ?

Rencontrons-nous pour échanger et nous mobiliser, ensemble, pour la jeunesse !

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Santé-Social

Le nouveau Virus, journal de la section SUD Santé-Social de Versailles

ÉDITO :
Il y a 2 ans, la certification attribuait une note de 98% au CH Versailles concernant la prise en charge du patient. Que reste-t-il aujourd’hui ?

Des patient·es qui stagnent pendant des jours sur des brancards aux urgences, des lits fermés faute de personnels et/ou de médecins. Jamais notre hôpital n’avait été aussi malade.
Et pendant ce temps là, la Direction parle encore d’excellence dans son journal. S’il faut souligner ce qui fonctionne, il ne faut pas occulter ce qui dysfonctionne. Comme le manque de matériel dans tous les services et secteurs à cause de problèmes liés à la trésorerie.

Car l’image de l’hôpital, n’en déplaise à la Direction, ce sont d’abord les professionnels qui la font, et pour cela, il nous faut des conditions de travail dignes de ce nom. Ce qui n’est plus le cas aujourd’hui, et celleux qui partent ne se gêneront pas pour déconseiller de venir travailler au CH Versailles. Une salle de sport et des travaux cosmétiques ne suffisent pas à masquer la réalité, il est temps de changer de logiciel et de penser enfin aux professionnels plutôt que de multiplier les Directeurs/rices.

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Santé-Social

Doublement des franchises médicales : les assuré-es sociaux en seront de leur poche !

Le gouvernement l’a décidé, le décret est sorti le 17 février, à compter du 31 mars 2024 les franchises médicales sont doublées : l’assuré social devra payer de sa poche 1 euro par boite de médicament remboursée et par acte d’un auxiliaire médical (contre 50 centimes aujourd’hui) et 2 euros pour une consultation chez le médecin ou examen/analyse (contre 1 euro aujourd’hui), 4 euros par transport sanitaire ou taxi, le tout dans un plafond de 50 euros annuels.

Début juin, la participation forfaitaire à une consultation ou acte médical passera de 1 à 2 ou 3 euros.

Soit 800 millions d’euros pris dans la poche des assuré-es.

On est bien loin du principe de solidarité selon lequel chacun cotise selon ses moyens et reçoit selon ses besoins. Les inégalités face à la santé vont encore grandir et les renoncements aux soins s’accroître (36% des patient-es renoncent aux soins pour raison économique selon la DREES).

Corrélativement le coût des complémentaires santé (pour ceux qui en ont) ne cesse de croître à force de déremboursements de la sécurité sociale générant un transfert sur la protection sociale complémentaire. Les chômeurs/euses sans complémentaire se trouveront encore plus démuni-es. L’accès de tous et toutes à la santé, bien commun, se trouve attaqué de tous les côtés (outre les déremboursements et rehaussements de franchises médicales, remise en cause de l’aide médicale d’Etat en cours au détriment des personnes étrangères, poursuite des suppressions d’établissements de proximité, générant ainsi une inégalité géographique d’accès). Le 100% sécu s’éloigne un peu plus chaque jour.

Pour Solidaires, c’est le financement de la sécurité sociale qu’il faut revoir sans attendre. Les entreprises ont reçu 200 milliards d’euros d’aide sans contrepartie environnementale ni pour l’emploi, tout en versant 97 milliards d’euros de dividendes à leurs actionnaires en 2023 (+21%) ! Il faut supprimer les exonérations de cotisations sociales patronales (75 milliards d’euros) et mettre en place une cotisation sociale sur les dividendes affectée aux caisses de sécurité sociale.

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Luttes féministes Poste / Télécom

SUD PTT : signez la votation en ligne pour le congé et le confort menstruels à La Poste

La fédération Sud PTT considère qu’il est grand temps pour une grande entreprise comme La Poste de résoudre le sujet de la santé et de l’hygiène menstruelles au travail.

En effet, à la mesure de la diversité des métiers de l’entreprise, les postes et horaires de travail des femmes doivent être adaptés.
C‘est la mise en œuvre d’un congé menstruel, l‘utilisation plus fréquente du télé-travail lorsque cela est possible ou nécessaire, l‘aménagement et l‘équipement des sanitaires des femmes…

Une revendication de base dans l‘entreprise

Ajoutons une injonction de cacher son état, la peur d‘être stigmatisée avec la charge émotionnelle que cela induit, sachant que suivant une étude IFOP de 2021 pas moins de 48% des femmes souffrent de règles douloureuses. Nous avons donc été le seul syndicat à proposer dans le cadre de l’accord égalité professionnelle 2022 de La Poste, l’inclusion de mesures prenant en compte la santé et l’hygiène menstruelles des femmes au travail. Avec 52,8% des effectifs de la maison mère fin 2022, les postières sont en particulier majoritaires chez les employé-es et cadres. Il s‘agissait d‘aménager un congé hormonal et d‘équiper tous les sanitaires de distributeurs de protections hygiéniques, une pratique courante dans non nombre de pays, voire même dans des entreprises françaises.

Réagir face à l‘indifférence de la direction… et de l‘Etat

Nous avons essuyé un refus net de la direction de La Poste d‘aborder le sujet, avec un argument sur la „stigmatisation“ des femmes qui envisageraient de faire une pause dans leur travail. On a écrit au ministère de l‘économie, la réponse a été rapide : „ Sur les sujets que vous mettez en avant, les partenaires sociaux ont fait le choix de maintenir le dispositif actuel de prise en charge des situations de harcèlement et de ne pas retenir l‘idée d‘un congé menstruel.“
Nous avons donc décidé de nous en remettre à votre avis et lançons une votation à l‘attention des postier·es et de leur entourage pour peser dans les Négociations Annuelles Obligatoires de 2023. Un vrai sujet d‘égalité
dans la plus grande entreprise publique de France.
Marre de jouer la comédie quand on souffre, marre de prioriser le travail sur la santé, il est grand temps que le sentiment de honte change de camp.

Votation :

«Je soutiens la mise en place d’un congé menstruel à La Poste SA sous forme d’Autorisation Spéciale d’Absence, la pose de distributeurs de protections hygiéniques et de lavabos dans les sanitaires femmes. Tous les lieux de travail devront par ailleurs prévoir une salle de détente et des pauses adaptées aux besoins des personnes qui ont leurs règles.»

Pour voter, clique : ICI

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