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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Conditions de travail En grève ! Revue de presse Santé-Social

“Personne ne peut venir nous aider” : à l’hôpital de Meulan-Les Mureaux, les urgences en grève pour réclamer un poste supplémentaire

Le personnel des urgences de cet hôpital des Yvelines a entamé une grève illimitée pour dénoncer le manque d’effectifs. La direction rétorque qu’il n’y a pas assez de passages aux urgences pour créer un poste d’infirmière de nuit.

Source : France Info

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Collectivités territoriales Conditions de travail Dans les Yvelines, une classe en lutte... Éducation En grève ! Luttes féministes Revue de presse Santé-Social

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 65

Une classe en lutte dans les Yvelines !


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org


Source : actu.fr

Source : actu.fr

Source : actu.fr

Source : Le Parisien

Source : La gazette en Yvelines

Source : La Gazette en Yvelines

Source : La Gazette en Yvelines
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Dans les Yvelines, une classe en lutte... Éducation En grève ! Santé-Social Seule la lutte paie ! Transport

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 64

Une classe en lutte dans les Yvelines !


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org


Source : actu.fr

Source : actu.fr

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Santé-Social

Virus – nouveau n° du journal de la section SUD Santé Sociaux de Versailles

Le nouveau numéro du journal de la section de Versailles.

Édito :

Vous avez toustes pu constater que les commandes et livraisons de matériels pour le bon fonctionnement de nos services ont tendance à devenir compliquées ces derniers temps. La faute à une trésorerie à l’image de nos nappes phréatiques cet été, c’est-à-dire à sec.

Enfin, ça dépend pour quoi ! Si vous êtes observateurs/rices, vous aurez remarqué que les paliers d’ascenseurs sur Mignot ont tous (sauf au 2e étage) été refaits. Nouveau plafond, nouvel éclairage LED. Sûrement indispensable. Création, en lieu et place de la réserve du secrétariat de Direction, d’un open space agrémenté de tableau avec le logo de l’hôpital façon Andy Warhol, mais en moins bien.

Cerise sur le gâteau, une belle affiche A3 sur le mur où est écrit “c’est ici”. Quoi, on ne sait pas, mais sachez que c’est là. Cela illustre, une fois de plus, que la Direction se moque ouvertement de vos conditions de travail quotidiennes au profit de l’apparat. Chacun ses priorités… Du changement, et vite.


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Éducation Santé-Social

Motion de SUD Santé Sociaux 78 en soutien à Dominique BERNARD, aux collègues de l’éducation nationale et aux camarades de SUD Éduc 78

Motion rédigée lors du Conseil départemental de jeudi en soutien à Dominique BERNARD, aux collègues de l’éducation nationale et aux camarades de SUD Éduc 78.

Plaisir, le 19 octobre 2023
Motion de SUD Santé Sociaux 78
Le syndicat SUD Santé Sociaux des Yvelines, réuni en conseil départemental ce jour, présente ses condoléances à la famille et aux proches de Dominique BERNARD. Nous apportons notre
soutien à l’ensemble de nos collègues de l’éducation nationale et à nos camarades de SUD Éduc 78, ravivant la douleur du drame vécu il y a trois ans concernant Samuel PATY.

Nous rappelons notre attachement au principe de laïcité et condamnons toutes agressions au nom d’une religion, quelle qu’elle soit contre les fonctionnaires.

Nous dénonçons toutes agressions, quelle qu’en soit l’origine, contre les travailleuses et travailleurs.

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Santé-Social

Lettre info n°1 : Tour de France pour la Santé

En pièce jointe la lettre d’info de notre Tour de France pour la Santé. A l’occasion du prochain vote du PLFSS, plus de 70 organisations (dont Solidaires et SUD Santé Sociaux) ont lancé un appel à organiser partout où cela est possible des initiatives pour dénoncer la situation de nos secteurs de la Santé, du Social, du Médico-Social.

Déjà près de 60 d’entre elles sont répertoriées.

Dés maintenant, nous appelons à un rassemblement le 24 octobre, jour de l’ouverture du débat parlementaire, à 18H00 devant l’Assemblée Nationale. Ainsi qu’à organiser des “casserolades” partout en France devant les mairies ou autres lieux, le lendemain du vote ou du passage en force du 49-3, pour dénoncer un budget d’austérité de la Santé en pleine crise sanitaire.  

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Écologie Santé-Social

Incendie de deux immeubles à Rouen, il y a urgence à prendre des mesures de protection vis-à-vis du risque amiante

Communiqué de presse (collectif unitaire Lubrizol Bolloré)

Dans la soirée d’hier, un terrible incendie a abouti à la destruction de deux immeubles dits « verre et acier » dont la conception les rendait particulièrement dangereux vis-à-vis du risque incendie. Ces deux bâtiments, comme de nombreux autres, construits avant 1997 contenaient de nombreux matériaux amiantés notamment dans les cloisons et le faux plafond qui sont partis en fumée.

Comme pour l’incendie de Lubrizol, des morceaux de débris amiantés sont retombés dans plusieurs quartiers de Rouen et de Petit-Quevilly. Comme le souligne à juste titre la mairie de Rouen, ces morceaux amiantés sont dangereux car ils ont perdu, du fait du sinistre, leur cohérence et leur cohésion structurelle et doivent uniquement être ramassés par des travailleur.e.s formé.e.s et équipé.e.s appartenant à des entreprises certifiées.

Mais ces morceaux ne constituent que la partie visible de la pollution, car un nombre très important de fibres d’amiante s’est libéré dans l’air du fait de l’incendie. A titre d’exemple, l’expert mandaté par le CHSCT du SDIS 76 à la suite de l’incendie de LUBRIZOL a estimé à 2,5 milliards de milliard le nombre de fibres d’amiante dispersées ensupposant que seulement 10% du toit ait brûlé.

Dans le cadre de la transparence nécessaire, il est nécessaire que le propriétaire des autres bâtiments « verre et acier », préalablement désamiantés avant leur démolition, indique le tonnage d’amiante retiré, ce qui permettra d’apprécier la quantité d’amiante parti dans l’atmosphère.

Ces milliards de fibres, a minima, vont finir par retomber sur les sols de l’agglomération, ce qui peut prendre plusieurs jours, dans les maisons, appartements où un simple mini courant d’air va les remettre en suspension avec un risque d’inhalation par la population.

Si le ramassage des débris par une société spécialisée est indispensable, elle n’est pas suffisante face à cette pollution invisible. En effet, une fibre d’amiante est environ 500 fois plus fine qu’un cheveux, invisible à l’œil nu, inodore…. Si le site de la mairie de Rouen donne des consignes sur « comment nettoyer son logement », il ne traite que de la questions des suies sans indiquer qu’elles sont par nature cancérigènes ! 

Comme pour Lubrizol, les pouvoirs publics minimisent le risque spécifique lié à l’amiante !

 Rappelons qu’une seule fibre d’amiante peut induire l’apparition d’un mésothéliome 15 à 40 ans plus tard chez la personne l’ayant inhalée, puisqu’il n’existe pas de seuil inférieur au-dessous duquel le risque serait inexistant, contrairement au toxiques classiques pour lesquels un tel seuil existe.

Il est nécessaire que les autorités fassent réaliser régulièrement, au frais de l’assureur de Rouen Habitat, des prélèvements surfaciques (tests lingettes) dans tous les locaux de travail et d’habitation qui ont pu être pollués pour permettre de déterminer la présence d’amiante sur les sols, les meubles et un nettoyage par une entreprise certifiée en cas de présence de fibres.

Concernant le site des deux immeubles, il conviendra dès que possible de construire une bulle étanche avant d’entreprendre les travaux de nettoyage et de dépollution, seule solution permettant d’éviter le risque de remise en suspension des fibres tueuses, l’arrosage pendant les travaux s’avérant insuffisant au regard des résultats recensés sur la base scolamiante.

Par ailleurs, il est nécessaire que la justice se saisisse du dossier, notamment par la désignation sans délai d’un.e juge d’instruction, afin de déterminer pourquoi ces immeubles, qui devaient obligatoirement être désamiantés avant leur démolition ne l’avaient pas encore été alors que le risque incendie était connu.

Le collectif unitaire Lubrizol Bolloré and Co revendique :

– La publication sur le site de la préfecture et de la mairie de l’ensemble des mesures effectuées (SDIS, sociétés mandatés pour les mesures amiante…) ;

– La publication du tonnage d’amiante retiré des immeubles verre et acier similaires ;

– La mise en œuvre d’une campagne de détection des fibres d’amiante dans l’ensemble des locaux exposés aux retombés des fibres ;

– La construction, le plus tôt possible, d’une bulle étanche entourant les débris pour que les travaux de nettoyage et de dépollution puissent se faire sans risque pour les riverains

– La désignation immédiate d’un.e juge d’instruction

– L’obligation pour les propriétaires de désamianter les habitations et locaux de travail dans lesquelles le risque incendie est présent

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Santé-Social

Feuille de route Conseil Fédéral de SUD Santé Sociaux de septembre 2023

Pour commencer et dans la lignée de la précédente feuille de route, la Fédération SUD Santé Sociaux apporte son soutien inconditionnel aux habitant·es, travailleur·ses et camarades militant·es de Mayotte dans la crise actuelle qu’ils/elles traversent au travers du manque dramatique d’eau. De multiples coupures avec des périodes de plusieurs jours sans accès à l’eau dans les domiciles, espaces collectifs et de travail. Associée à des interdictions de pratiquer des forages privés pour construire des puits, la situation sanitaire ne peut per- durer d’autant que l’approvisionnement est largement insuffisant et le coût de l’eau exorbitant.

En parallèle, les agent·es du CHM de Mayotte exercent un droit de retrait illimité. La situation d’insécurité permanente au sein de l’établissement comme sur les temps de trajet domicile- travail/travail-domicile, ne permet plus à nos collègues d’exercer dans des conditions dignes et une prise en charge des patient·es correcte. Il dénonce également l’inaction de la direction de l’hôpital pour la mise en place d’un plan blanc qui remonte au février 2023.

La Fédération SUD Santé Sociaux s’oppose à toutes stigmatisations appelle à soutenir la grève en intersyndicale du 9 octobre 2023 pour la suppression du droit local Mahorais au profit du droit commun, une augmentation significative du taux d’indexation des salaires, une meilleure protection des agent·es sur leur lieu de travail et la sécurisation des trajets et pour un accès libre à l’eau potable pour l’ensemble de la population de l’île.

La grève contre la réforme du système de retraite a englouti une énergie énorme chez l’en- semble des travailleur·ses et dans les équipes militantes, jusqu’au mois de juin avec une issue que tout le monde espérait plus favorable.

La question de savoir comment regagner un mouvement social interprofessionnel d’ampleur se pose avec une grande acuité à l’ensemble du mouvement social mais bien sûr aussi pour notre union syndicale. Cette réflexion doit donc se poursuivre dans nos instances, à la fédé- ration, au sein de l’union syndicale Solidaires.

Certains SD de notre fédération souhaitent que L’union syndicale Solidaires s’attache dès à présent à construire, de manière anticipée, un cadre revendicatif unitaire qui puisse permettre l’émergence d’un mouvement social interprofessionnel enfin victorieux qui suivrait notre propre calendrier.

La perspective d’un mouvement de grève reconductible, en se saisissant par exemple de la période des JO, pourrait remplir cet objectif et permettre d’avoir le temps de construire le rapport de force.

A cet égard, la mobilisation du 13 octobre ne nous paraît pas susceptible de constituer un cadre victorieux. Cependant notre fédération appellera à y participer afin de préserver un cadre unitaire nécessaire.

La rentrée a, quoi qu’il en soit, été marquée par cette séquence avec des mobilisations de nos secteurs qui ont perdu en visibilité durant ces derniers mois.

C’est le cas dans le Social et Médico-social, où, après la très belle dynamique depuis le 2 février, s’organisent des mobilisation autour de la restitution du livre Blanc, dans le cadre du tour de France de la santé, à l’appel de l’intersyndical (CGT/FO/SUD) de branche, envisagé le 20 novembre pour la journée des droits de l’enfant…

Avec près de 50 dates à travers tout le pays, le tour de France de la santé a permis de mettre en avant les difficultés locales concernant l’accès au soin et aux médicaments et de faire émerger les questions de santé et du social dans les médias. La fédération se donne pour objectif la construction d’une grande date nationale de mobilisation unitaire autour du vote du PLFSS.

Pour la période à venir, il nous semble primordial d’impulser et de renforcer les luttes autour de nos revendications du social et du Médico-Social : Convention collective commune de haut niveau, augmentation générale des salaires (400 euros pour toutes et tous), généralisation de l’indemnité Laforcade, indexation des salaires sur l’inflation, suppression de SERAFIN PH et de toute forme de tarification à l’activité, résistances contre stratégies managériales patho- gènes autoritaires et malveillantes (harcèlement moral…), conditions de travail délétères, hémorragie des travailleurs du secteur.

Dans cette perspective, le caractère scandaleux et révoltant des propositions patronales de classification/rémunération dans le cadre des négociations (Perte de valeur des diplômes, fin de l’ancienneté automatique, généralisation du salaire au mérite…) devrait permettre une large mobilisation.

Les prochaines Rencontres du travail social en lutte, qui auront lieu en fin d’année, nous paraissent en mesure d’unifier les différents cadres de lutte et d’impulser une lutte du secteur de dimension nationale.

La Fédération SUD Santé Sociaux appelle les syndicats départementaux à les investir massivement.

Par ailleurs, il conviendra d’amplifier les mobilisations les jours de CMP BASSMS afin de placer les négociations sous contrôle permanent des salariés.

Enfin, dans ce contexte, certains collègues ont décidé de passer à l’action sans attendre : Par exemple, les éducs de prev’ appellent à se mobiliser les 9 et 10 novembre à Grenoble à l’occasion des rencontres nationale du CNLAPS pour préserver leur méthodes de travail qui défendent un travail social émancipateur.

La Fédération SUD Santé Sociaux alerte sur la situation de la protection de l’enfance. Nous constatons une augmentation sans précédent de jeunes et enfants confié·es à l’aides sociale à l’enfance alors que les moyens n’ont jamais été aussi réduit.

Chez les mineurs accompagnés, les situations de rupture sont de plus en plus nombreuse et les professionnel·les du secteur doivent faire face à une perte totale de sens tant le sentiment de devenir maltraitant est omniprésent. La déliquescence de la protestation de l’enfance va faire l’objet d’une interpellation aux ministères concernés pour dénoncer la situation et exiger des moyens à la hauteur des enjeux.

Tout le monde se bat pour le social, le social se bat pour tout le monde!

Dans le domaine de la santé, même si des recrutements de collègues paramédicaux permettent d’améliorer des situations, cela est très ponctuel et cache la grande misère de la plupart des établissements.

L’accès aux soins est de plus en plus difficile, en témoignent les délais pour obtenir un premier rendez-vous en psychiatrie, en pédopsychiatrie comme dans la plupart des spécialités, qui se chiffrent en mois, voire même sur plus d’un an. La situation dramatique de la psychiatrie entraîne par ailleurs un afflux aux urgences de patient·es qu’il est impossible de recevoir digne- ment.

La souffrance au travail reste une triste réalité, que ce soit par des charges de travail trop importantes, un management agressif et dénigrant, le tout sur des agent·es et salarié·es fatigué·es et désabusé·es qui ne se retrouvent plus au travers des organisations et fonctionnements qui ne correspondent pas à leurs valeurs.

La prolifération des applis de gestion des remplacements (comme Hublo par exemple) montre bien la perversité d’un système créé pour masquer les organisations défaillantes, contournant la réglementation sur le rappel à domicile, avec les risques associés à l’épuisement profession- nel.

La question du tutorat se pose de plus en plus en raison des manques d’effectif et de l’impossibilité de conjuguer prise en charge des patients et encadrement efficace. Les étudiant·e·s et élèves sont les premier·e·s à pâtir de cette situation, quand ielles ne

sont pas sollicité·e·s pour remplacer des professionnel·le·s absent·e·s.

Il est grand temps de mettre fin à la T2A qui s’étend désormais au secteur psychiatrique, et à l’ONDAM qui donne une valeur marchande au soin.

La Fédération dénonce la déqualification des métiers, les glissements de tâches, la non recon- naissance des nouveaux métiers de la Fonction Publique. Le reclassement, lors de la parution des nouvelles grilles indiciaires, porte préjudice aux agent·es de plusieurs catégories comme les Préparateur en Pharmacie Hospitalière (PPH) avec ancienneté écrasée et une non recon- naissance des ancien·nes professionnel·les.

Il nous paraît important de créer un groupe de travail autour de ces métiers. La non recon- naissance de la pénibilité, le manque de passerelles et de perspectives pour de nombreuses catégories (à l’exemple des ouvriers professionnels, ASH…) montrent le peu de reconnaissance du rôle primordial des acteurs publics du soin, du social et du médico-social.

La Fédération SUD Santé-Sociaux réaffirme sa revendication de la semaine de quatre jours et 32h, tout en s’opposant à des organisations de travail nocives à la santé, telles que le travail en 12h.

Un travail autour d’une remobilisation de la base sur des revendications claires doit être impulsé à tous les niveaux de notre Fédération.

La Fédération SUD Santé Sociaux condamne les pouvoirs public et les syndicats patronaux associatif et privé lucratif organisant la prise en charge des soins à domicile des personnes dépendantes. Elle alerte sur les conditions de travail, les difficultés de recrutements et manque de personnel et l’utilisation abusive d’employé·es précaires, sous qualifié·es et non formé·es. La Fédération réaffirme l’importance du droit à la déconnexion pour les salarié·es du secteur et demande le remplacement systématique en cas d’absence pour éviter une aug- mentation de la fatigue des personnels et une prise en charge efficiente des usager·es.

La Fédération SUD Santé Sociaux appelle les salarié·es du secteur privé lucratif de la FHP/Sy- nerpa/Thermalisme à continuer et amplifier la lutte pour contester la mise en place de l’ave- nant 33. Malgré une mobilisation modeste en septembre, la délégation SUD Santé Sociaux a

été reçue par le syndicat patronal et a affirmé son opposition à ce projet. Pour les mois qui arrivent, c’est vers le ministère que la Fédération va tourner son attention en demandant une rencontre afin de stopper ce projet patronal. La Fédération s’en-

gage à continuer d’informer, sensibiliser et proposer les moyens de luttes nécessaires aux 230 000 salarié·es du secteur afin qu’ils/elles puissent défendre leurs droits et leurs salaires.

La perspective de l’arrivée des Jeux Olympiques à l’été prochain va mettre les décideurs de- vant une problématique difficile : prendre en charge à titre exceptionnel des millions de per- sonnes dans des hôpitaux déjà surchargés. D’ores et déjà l’on sait qu’un appel international aux soignants bénévoles a été lancé, sans succès pour l’instant. Pour faire bonne figure aux yeux du monde, l’Etat va sacrifier le droit aux congés annuels d’été des professionnels de santé, publics comme privés.

A nous d’imposer le rapport de force basé sur le slogan : sans hosto, pas de JO !

Agenda :

– 2 octobre : Mobilisation des ARM

– 5 octobre : Mobilisation des Orthophonistes à Paris

– 5 octobre : Mobilisation des agent·es de psychiatrie dans le 31.

– 9 octobre : Début de la grève à Mayotte

– 13 Octobre : Manifestation nationale interprofessionnelle pour les Salaires, l’environ- nement, l’égalité femme/Homme.

– Mobilisation éducs de prev’ les 9 et 10 novembre à Grenoble

– 20 novembre : Date intersyndicale du Social et Médico-Social pour la journée des droits

de l’enfant.(En construction)

– 25 novembre : Mobilisation contre les violences faites aux femmes

– 30 novembre et 1 décembre: Assises de la protection de l’enfance

– Fin novembre/début Décembre : Rencontres du travail social en lutte

– Juillet 2024 : JO

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