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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Actu Solidaires 78 Automobile

Vive la lutte des travailleurs et travailleuses de la Fonderie de Bretagne ! (Communiqué Sud Renault Guyancourt)

SUD Renault apporte son soutien total aux 350 salarié·e·s de la Fonderie de Bretagne (FDB) dans leur combat contre la cession de ce site décidée par la direction du groupe.

Mardi 27 avril 2021 à 10 h, à l’initiative de la CGT, les salarié·e·s de la FDB ont voté la grève avec occupation de leur usine. Depuis, aucune pièce ne sort de la fonderie.

Cette grève fait suite à la conférence sur la filière automobile au cours de laquelle l’avenir de la FDB n’a pas été abordé mais, d’après Maël Le Goff le délégué CGT, « ce qui ressort de cette conférence, c’est que le seul argent qui sera mis sur la table, ce sera pour licencier et reclasser les salarié·e·s ».

Nos collègues luttent pour que la direction tienne ses engagements sur les volumes, tourner en 3 x 8 et rester dans Renault Group. Comme pour nos collègues des usines de Choisy dont la fermeture est annoncée, de Flins qui va être « recyclée », de Batilly, Maubeuge, Douai, Dieppe, Sandouville, Cléon dont les volumes diminuent, de la maintenance des moyens d’essais et de certaines succursales qui vont littéralement être jetées du groupe, ce qui se joue à Caudan, c’est la pérennité des emplois et l’avenir des salarié·e·s et de leur famille.

La FDB emploie 357 personnes mais aussi de nombreux prestataires. La cession de ce site voulue par la direction pourrait amener à sa fermeture qui signifierait une catastrophe sociale sur le Morbihan.

Nos camarades de la FBD savent très bien que c’est avant tout le rapport de force qui fera plier la direction. Il y a un an déjà, ils et elles s’étaient mis·e·s en grève pour protester contre la fermeture du site annoncée dans le cadre du plan d’économies de 2 milliards d’euros. La grève avait alors pris fin après 5 jours, à la suite de l’annonce en CSE que « la fonderie ne fermera pas ». Cela n’a pas empêché M. Senard d’assener 2 jours plus tard que « cette entreprise n’a pas vocation à rester dans le groupe Renault». Ce soi-disant « patron social » est comme tous les autres : il n’a aucun tabou et s’il faut supprimer activités, postes, emplois, services et usines pour améliorer le free cash flow et contenter les actionnaires, il dégaine la tronçonneuse et coupe des branches sans se soucier de l’impact social.

Nous affirmons que Mme Delbos, MM. De Meo, Senard, Leborgne et consorts n’ont aucune légitimité pour nous sacrifier sur l’hôtel du profit car c’est nous, les salarié·e·s de base qui créons la richesse !

Ainsi, la FDB comme tous les sites de Renault Group n’est pas leur jouet !

Elle est à nous !

Elle appartient aux fondeurs qui la font tourner depuis bien longtemps et elle doit rester dans le groupe. SUD sera toujours aux côtés de celles et ceux qui se battent contre la suppression de leur emploi et contre toutes les décisions arbitraires qui engendrent désespoir et précarité. Actuellement, de nombreuses luttes pour le maintien des emplois sont menées : chez Renault dans l’ingénierie contre les externalisations et les suppressions de poste et à l’usine de Valladolid, dans de nombreuses fonderies (FDB, MBF, SAM, Liberty Poitou…), chez des sous-traitants comme Bosch Rodez, etc. Il faut s’unir pour inverser le rapport de force.

Il n’y a aucune raison pour qu’une minorité de technocrates décident de notre avenir. Nos combats sont justes, c’est tou·te·s ensemble qu’il faut lutter !

Contact Sud Renault Guyancourt et Sud Renault Flins

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Actu Solidaires 78 Santé-Social

Nouveau n° du Sudoscope, bulletin Sud Santé Sociaux

Sommaire

– info en vrac

– information crise sanitaire

– Informations sur les mesures du Ségur

NOUVELLES MESURES DU SÉGUR : DE NOUVEAUX OUBLIÉS, DE NOUVELLES INJUSTICES !

Attention aux annonces faites lundi par le Ministère des solidarités et de la santé, elles ne correspondent pas aux chiffres présentés le même jour au comité de suivi du Ségur : Les refontes des grilles salariales entraineraient une revalorisation moyenne de 40 euros seulement (de 23€ pour les aides-soignants à 54€ pour les catégories A)!

Nous attendrons la présentation des grilles salariales complètes et des modalités de reclassement dans les nouvelles grilles pour mesurer la réalité des avancées.

SUD Santé Sociaux dénonce l’exclusion des contractuelles, des ASH, des techniques et des administratifs de ces nouvelles mesures!

Comment laisser de côté tous les contractuels et prétendre que ces mesures vont permettre de recruter du personnel dans toutes les filières et des élèves dans les écoles paramédicales?

Comment laisser de côté toutes les catégories C, en dehors des aides-soignantes qui passeront en B, alors que ce sont les plus bas salaires des hôpitaux, au SMIC pour débuter, voire moins en raison de 80% imposés?

Comment laisser de côté tous les agents techniques et administratifs, maillons essentiels de nos établissements ?

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Actu Solidaires 78 Éducation

Rassemblement à Chartres en soutien à Gwenn militante Sud éducation

Ce mercredi 28 avril, un rassemblement en soutien à Gwenn avait lieu devant la DSDEN de Chartres. Une délégation de militants Sud éducation 78 / Solidaires 78 était présente pour apporter tout noyre soutien à notre camarade…

Pour connaître ce nouvel exemple de répression dans l’éducation, voir Être militante syndicale et Défendre les services publics ne sont pas des délits…

Prochain rendez-vous : mercredi 05 mai à 10h (heure de la convocation de la camarade) devant l’Inspection Académique / DSDEN 28 à Chartres.

Petit mot des camarades du 28 :

” Bonjour à vous

Un très grand merci aux camarades du 78 d’être venus au rassemblement de soutien à la collègue de Chateaudun ! La prochaine fois espérons qu’il y est plus ces satanés règles sanitaires pour que l’accueil soit plus chaleureux et convivial !

On vous tient au courant pour la suite.

Merci et à très vite on lâche rien !

Solidairement L’équipe de SUD éducation 28″

Contact Sud éducation 78

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Actu Solidaires 78

Un 1er mai de résistance et de luttes dans la rue ! (Appels Solidaires et Sud Télécom IdF)


Le 1er mai prochain, journée internationale de lutte des travailleuses et des travailleurs, sera une nouvelle fois l’occasion pour des millions de personnes à travers le monde de se mobiliser et de manifester. Cette année 2021 s’inscrit dans un contexte de crise sanitaire sans précédent. Et les conséquences de cette crise sont catastrophiques pour une grande partie de la population… pendant que les capitalistes continuent de s’enrichir !

UN GOUVERNEMENT CONTRE LE MONDE DU TRAVAIL
La crise sanitaire liée à la pandémie mondiale de la Covid-19 a mis en lumière les choix désastreux opérés par les gouvernements successifs ces 20 dernières années dans la gestion de l’hôpital public.
Des dizaines et des dizaines de milliers de fermetures de lits font qu’aujourd’hui l’hôpital n’est plus en capacité de prendre en charge correctement les patient-es atteint-es gravement par le virus avec des conséquences sur tous les autres soins qui sont retardés. Le personnel est en épuisement physique et psychologique permanent. Et le gouvernement de continuer sa fuite en avant en programmant de nouvelles fermetures de lits voire des fermetures d’hôpitaux.
Le gouvernement a également choisi un nouvelle fois son camp pour répondre à la crise économique consécutive de la crise sanitaire : celui du grand patronat et ce « quoi qu’il en coûte » !!! L’Etat verse sans aucune contrepartie aux grandes entreprises pendant que des centaines d’autres ferment avec des milliers de salarié-es qui se retrouvent au chômage.
Dans le même temps, ce gouvernement fait le choix de construire une contre-réforme de l’assurance chômage qui va faire basculer des milliers de personnes dans la précarité dès le 1er juillet 2021. La mobilisation du 23 avril, journée de convergence pour l’abrogation de la réforme de l’assurance chômage a été portée notamment par l’Union syndicale Solidaires mais aussi par les occupant-
es des dizaines de lieux culturels dans tout le pays. Cette mobilisation pour défendre tout-es les « intermitemps du travail » (spectacle, saisonnier-es, contrats courts…) continue jusqu’à l’abrogation de cette loi scélérate.

LE DANGER DE L’EXTRÊME DROITE

Depuis 30 ans l’extrême droite et la dynastie de millionnaires Le Pen continuent de prospérer sur la misère sociale et les peurs. Et le gouvernement actuel fait la course sur sa droite, enchaînant les mesures liberticides, enfonçant toujours plus le pays vers un régime autoritaire, d’attaque incessante contre la population musulmane ou supposée l’être.

DES ALTERNATIVES EXISTENT
Solidaires portent des mesures d’urgence dans la période. Au-delà, l’indispensable reconversion écologique doit s’accompagner de nouveaux droits sociaux et d’un pouvoir supérieur des travailleuses et des travailleurs dans le contrôle et la finalité du travail. C’est en se mobilisant, en se regroupant, en se syndiquant que nous allons gagner.

Le 1er mai, soyons des milliers dans la rue pour affirmer notre résistance
à ce gouvernement, pour affirmer notre combat contre l’extrême droite, pour affirmer notre engagement à lutter pour un progrès social et écologique.

FAISONS DE CE 1ER MAI UNE FÊTE DES LUTTES !

NOS MESURES D’URGENCE :
• Brevets publics sur les vaccins et socialisation de l’industrie pharmaceutique
• Renforcement massif des services publics, dont la santé et l’éducation
• Interdictions des licenciements dans les entreprises qui font des profits
• Conditions sociales et écologiques des aides publiques aux entreprises
• SMIC à 1700 € Net, +400 € par mois pour toutes et tous dont les retraites et les minimas sociaux
• 18-25 ans : accès à tous les minimas sociaux
• Abrogation de la réforme chômage
• Contre le chômage : partage du travail avec 32 h hebdomadaires de référence sans perte de salaire ni flexibilité

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Le tract en PDF Un 1er mai de résistance et de luttes dans la rue !

Tract 1er mai Sud Télécom IDF

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Actu Solidaires 78 Éducation

Être militante syndicale et Défendre les services publics ne sont pas des délits…

L’une de nos camarades de SUD éducation 28 / SOLIDAIRES 28 est aujourd’hui victime de répression du fait de son engagement syndical et citoyen pour la défense de l’école Jean Macé. Mobilisée en faveur d’un service public d’éducation décent, en zone prioritaire, notre collègue se voit faire l’objet d’une procédure disciplinaire.

Notre camarade n’a commis aucune faute justifiant une sanction, aucun des faits mis cause n’est imputable au service puisqu’elle agissait dans la cadre de l’action syndicale.

Mais aujourd’hui ce sont ses droits et libertés fondamentales que l’on attaque car ce sont ses actions syndicales et citoyennes telles que le droit de manifester et d’informer qui lui valent ces mesures disciplinaires.

Pour l’Union Syndicale SOLIDAIRES 28 ces tentatives d’intimidation et de répression sont parfaitement inacceptables !

La liberté d’expression, le droit de manifester et la liberté d’action syndicale sont des droits fondamentaux et constitutionnels.

L’Union Syndicale SOLIDAIRES 28 condamne fermement cette répression syndicale et citoyenne et demande l’arrêt immédiat de toutes les procédures disciplinaires prises à l’encontre de notre militante !

L’Union Syndicale SOLIDAIRES 28 appelle à se joindre aux rassemblements de soutien de notre camarade les :

– Mercredi 28 avril à 14h devant l’Inspection Académique / DSDEN 28 à Chartres

– Mercredi 05 mai à 10h (heure de la convocation de la camarade) devant l’Inspection Académique / DSDEN 28 à Chartres.

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Actu Solidaires 78 Défense de nos libertés

Danser encore – 24 avril à Mantes-la-Jolie

Auto-métro-boulot-conso
Auto attestation qu’on signe
Absurdité sur ordonnance
Et malheur à celui qui pense
Et malheur à celui qui danse

Chaque mesure autoritaire
Chaque relent sécuritaire
Voit s’envoler notre confiance
Ils font preuve de tant d’insistance
Pour confiner notre conscience

Nous on veut continuer à danser encore
Voir nos pensées enlacer nos corps
Passer nos vies sur une grille d’accords
Oh, non non non non non
Nous on veut continuer à danser encore
Voir nos pensées enlacer nos corps
Passer nos vies sur une grille d’accords

Danser encore, HK

Danser encore samedi 24 avril, à l’appel des FFRAC qui a rejoint l’appel national de HK et les Saltimbamks à le faire partout avec la chouette fanfare mantaise des Bâtons dans les rues (qui accompagne souvent nos manifs et rassemblements) On peut dire que c’était très réussi, pendant 30 mn au marché de Mantes la Jolie, près de 80 personnes de tous âges (notamment du secteur culturel ), dans super ambiance très chaleureuse, avec comme une énorme envie de lien social, de dire la résistance collective qui libère, les yeux brillants sur les visages masqués. On en redemande  !

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Actu Solidaires 78 Automobile

AG des actionnaires de Renault : Ce ne sont pas aux marchés financiers de dicter leur loi

En cette veille d’Assemblée générale annuelle des actionnaires de Renault, la direction promet de générer des milliards de chiffre d’affaire en France grâce à de nouvelles technologies et énergie. En attendant, Renault ferme des usines et supprime des milliers d’emplois…

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Actu Solidaires 78 Licenciements Transport

Solidarité avec Ahmed, militant CGT RATP

Fidèle à son obsession répressive, la direction de la RATP poursuit son acharnement disciplinaire contre les élu.es en général, et contre Ahmed Berrahal en particulier…

Fabienne Lauret, militante Solidaires 78 : «La parole des femmes se libère, et des hommes enfin les défendent! Chapeau Ahmed!»

Pétition pour Ahmed Berrahal et témoignages vidéos qui montrent la situation catastrophique des femmes a la RATP et le travail quotidien effectué par Ahmed a ce sujet 
https://www.facebook.com/CGT.RATP.Bus.Flandre/

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Actu Solidaires 78 Éducation

Rentrée du 26 avril… des annonces toujours largement insuffisantes

Le gouvernement a eu trois semaines pour préparer la réouverture des écoles. Jeudi soir, il a présenté son plan de réouverture des écoles et établissements alors même qu’il est obligé d’admettre que la situation sanitaire a peu évolué.

Les annonces concernant le déploiement des tests salivaires et auto-tests pour les personnels et les élèves n’inspirent aucune confiance. Voilà en effet un an désormais que le ministre Blanquer répète qu’une campagne de dépistage massive est sur le point de débuter. Chacun-e a pu constater que cela n’a jamais été le cas. Jean Castex annonce une montée à 400 000 tests réalisés par semaine au maximum et Blanquer 600 000 , quand les élèves sont plus de dix millions dans le primaire et le secondaire, et les livraisons d’auto-tests ne sont pas prévues en collège. Qui plus est, le ministère s’est montré particulièrement flou sur les modalités de formation des élèves et des personnels.

Dans ces conditions, la règle de la fermeture des classes dès le premier cas risque de manquer son objectif. De même, les modifications continuelles des protocoles sanitaires laissent envisager de nouveaux changements qui correspondront plus à l’aveuglement du ministre qu’à la réalité de la situation sanitaire dans les établissements.

De même, l’annonce de la reprise en demi-jauge dans les collèges de certains départements en classe de 4e et 3e, qui plus est réduite à une liste limitative dans les départements, relève à nouveau du trucage, destiné uniquement à l’affichage. SUD éducation exige de véritables demi-groupes en collège, pour lesquels les personnels s’étaient déjà mobilisés massivement en octobre dernier.

Dans le premier degré, au lieu de recruter des personnels enseignants pour remplacer les enseignant-e-s absent-e-s, le ministre invite les élèves à rester chez eux et chez elles.

En ce qui concerne la vaccination, le Premier ministre n’avait rien à annoncer : les personnels ne seront toujours pas prioritaires. Seuls les personnels âgés de plus de 55 ans, c’est-à-dire seulement 13,26 % des personnels, sont concernés. Certaines catégories de personnels sont exclues de la mesure, comme les AED, les PsyEN ou les CPE. Le gouvernement met en danger la santé des personnels en rouvrant les écoles le 26 avril dans ces conditions.

Les enseignant-e-s du second degré s’apprêtent le 26 avril à retrouver le chemin de l’enseignement à distance, toujours sans matériel mis à disposition par l’employeur et dans le cadre d’environnements numériques de travail dont on peut penser qu’ils ne tiendront pas plus la charge que lors de la semaine du 5 avril. Le ministère anticipe déjà l’incapacité des systèmes à tenir la charge, en demandant aux personnels de limiter l’envoi de messages aux élèves, et aux élèves comme aux personnels de se déconnecter fréquemment. Il recommande l’usage de la classe à la maison (CNED) alors qu’il disposait d’un an pour préparer au mieux l’enseignement à distance.

Face à cette incurie du ministère, les personnels et au premier chef ceux du premier degré qui reprendront en présentiel dès le 26 avril, auront toute légitimité à se considérer en danger.

• Partout où cela sera nécessaire, SUD éducation appuiera les équipes qui choisiront de se mettre en droit de retrait ou de faire grève pour obtenir satisfaction sur leurs revendications. SUD éducation met ainsi à disposition des équipes son préavis de grève.

• Dès à présent, SUD éducation appelle les personnels à anticiper la reprise en organisant des Assemblées générales pour faire le point sur la situation et établir leurs revendications.

• SUD éducation appelle enfin à signer et à faire signer massivement la pétition intersyndicale “Pour la reprise du 26 avril : il faut agir rapidement”.

Pour faire face à la crise de manière durable, il s’agit au-delà de ces revendications immédiates de recruter massivement pour permettre une baisse des effectifs sans diminution des heures de cours en présentiel. C’est le sens du plan d’urgence pour l’éducation que revendique SUD éducation depuis le printemps 2020 et pour lequel une mobilisation d’ampleur est plus que jamais nécessaire.

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