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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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En grève ! Ressources juridiques Retraites

Dossier Retraites (2022-2023) : s’informer, se défendre, agir

Les analyses, positions et le matériel de Solidaires, de ses syndicats et unitaires sur la réforme des retraites à venir.

Tracts et communiqués Solidaires

Les analyses Solidaires

Le simulateur pour voir les conséquence sur votre retraite du collectif Nos Retraites (cliquer ici)

D’autres analyses

Déclarations unitaires intersyndicales

Les visuels Solidaires

Tout est dans la médiathèque (des dizaines de visuels en jpg et PDF, avec plusieurs formats)

les vidéos Solidaires

De nombreux films dans la vidéothèque

Matériel Solidaires des secteurs et territoires

SUD Rail : Retraites : la farce du grand-père ! (2 janvier 2023)

Dossier retraites de la fédération SUD Education

SUD Solidaires Urbains / interurbains : Retraites : soyons prêts à riposter (décembre 2022)

SUD Solidaires Urbains / interurbains : Retraites : ce que nous voulons (décembre 2022)

SUD PTT : Macron et les retraites (interview) Ni vu, ni connu, j’t’embrouille !(novembre 2022)

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En grève ! Ressources juridiques

Fiche N° 7 – Le droit de grève

Inscrit à l’article 7 du préambule de la Constitution de 1946, lui-même référencé dans la Constitution de 1958, le droit de grève est un droit constitutionnel. Dans la tradition du monde du travail, la grève est un rappel de la place centrale qu’occupe le/la travailleur·euse. Sans travailleur·euse, pas d’entreprise, pas de production… La grève est là pour rappeler à ceux qui l’oublient trop souvent : les salarié·e·s sont au cœur de l’entreprise, sans eux et sans elles rien ne fonctionne !


Qui peut faire grève ?

Tout·e salarié·e peut faire grève, mais en respectant certaines conditions. On ne peut donc pas décider tout·e seul·e d’une cessation individuelle de travail, ce qui ne constituerait pas une grève. En revanche, lorsqu’une personne, même seule dans son entreprise, entend s’associer à une grève nationale et décide en conséquence d’un arrêt du travail, il n’y a pas de problème.

Tout·e salarié·e peut s’associer à un mouvement de grève, même si aucune revendication particulière à l’entreprise n’a été formulée et même si le/la salarié·e est seul·e à suivre ce mot d’ordre dans l’entreprise. Il est donc possible de faire grève quand des appels nationaux sont déposés, par exemple par une organisation membre de l’Union syndicale Solidaires.

Le droit de grève est une liberté individuelle, garantie par la loi. En dehors des policiers, des militaires, des magistrats et de « services minimums » imposés dans les transports publics et les radios/télévisions, tout·e salarié·e, syndiqué·e ou non, a le droit de faire grève. Aucun employeur ne peut empêcher un·e salarié·e de faire grève, aucun employeur ne peut sanctionner un·e salarié·e pour avoir utilisé le droit de défendre ses intérêts !

Même dans les petites entreprises, le droit de grève existe : il faut le faire respecter !

Je ne suis pas syndiqué·e, je peux quand même faire grève ?

Oui, sans problème. Que vous soyez syndiqué·e ou non n’a aucune importance : en vous référant à un mot d’ordre de grève nationale déposé par les syndicats. Que vous soyez salarié·e du secteur public ou du secteur privé, vous êtes couvert·e !

Est-ce que je peux être sanctionné·e pour avoir fait grève ?

Non ! Aucune sanction ne peut vous être appliquée pour ce motif. Une sanction ou un licenciement pour fait de grève seraient automatiquement déclarés nuls par les tribunaux !

Pour mon salaire, cela se passe comment ?

Dans le cas normal, l’employeur peut retenir sur le salaire de la personne en grève la fraction de salaire correspondant à la durée pendant laquelle le/la salarié·e est en grève. Aucune autre retenue ne peut être appliquée.

Vous pouvez faire grève pour la durée que vous décidez, une heure, une demi-journée, une journée ou plus ! Il ne peut pas y avoir de mention sur le bulletin de paie de l’exercice du droit de grève.

Mon employeur peut-il m’interdire de faire grève ?

Non, il ne le peut pas. Mais attention toutefois à respecter les procédures prévues, en particulier le délai de prévenance qui s’applique notamment au secteur public ou de transport. Dans certains secteurs comme la santé, les grévistes peuvent être réquisitionné·e·s.

Quelles formalités ?

Si la grève suppose l’existence de revendications professionnelles, aucune condition n’est fixée quant à la manière dont elles ont à être communiquées à l’employeur.

Ainsi, à l’exception des secteurs soumis à préavis, l’absence de toute formalité préalable obligatoire conduit donc à la validité des grèves surprise.

Une grève ne saurait perdre son caractère licite du fait qu’elle n’a pas été précédée d’un avertissement ou d’une tentative de conciliation.

Mon employeur peut-il m’interdire de poser un jour de RTT, ou un jour de congé les jours de grève ?

Oui, mais uniquement pour motif impératif de service, tout comme un jour de congé normal ou une RTT normale.

Mais il n’est fait nulle obligation aux salarié·e·s d’être spécifiquement présent·e·s les jours de grève dans leur entreprise : tout·e salarié·e peut poser un jour de congé, un jour de RTT, un jour de repos compensateur ou de récupération, ou aussi… être malade !

Vous devez poser votre demande dans les délais habituels à votre entreprise, et votre employeur ne peut vous refuser votre congé que pour les motifs qui s’appliquent habituellement, c’est-à-dire principalement le sous-effectif du service, ou la désorganisation du service qui s’ensuivrait.

L’entreprise peut-elle remplacer les salarié·e·s grévistes ?

L’employeur ne peut pas faire appel à des travailleur·euse·s temporaires ou à des salarié·e·s engagé·e·s par un contrat à durée déterminée pour remplacer des salarié·e·s grévistes.

L’employeur peut avoir recours aux non-grévistes pour remplacer des salarié·e·s grévistes, qui ne peuvent s’y opposer. L’employeur peut demander aux non-grévistes d’effectuer des heures supplémentaires.

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En grève !

Réforme des retraites : face au casse du siècle, préparer la mobilisation

Emmanuel Macron a annoncé la présentation d’une nouvelle réforme des retraites pour le 10 janvier. Si les détails ne sont pas encore connus, les grandes lignes ont été présentées.
Pour l’Union syndicale Solidaires, comme pour l’ensemble des syndicats, ces dispositions sont inadmissibles et il faut préparer dès maintenant la mobilisation.

Que prévoit la réforme ?

  • Le recul de l’âge de départ à la retraite à 64 voire 65 ans selon les scénarios
  • Une retraite à environ 1200 euros minimum (89 % du SMIC net) uniquement si vous avez vos 43 annuités (départ sans décote à 67 ans, décote qui reste inchangée)
  • La fin des régimes spéciaux pour les nouveaux et nouvelles entrant·es.

Pourquoi cette réforme est injuste et doit être combattue :

  • À 60 ans, 65 % des salarié·es ne travaillent déjà plus. Allonger l’âge de départ c’est donc prolonger des situations de précarité (RSA, chômage, maladie…) et accentuer le déficit de l’assurance maladie (la majorité des arrêts longue durée sont en fin de carrière). Cela génère aussi des coûts (versement d’allocation chômage, RSA), tout en réduisant les recettes de cotisations sociales.

C’est aussi retarder l’accès des jeunes à des emplois.

  • Les salarié·es qui ont eu un parcours heurté du fait de périodes de chômage et les femmes qui sont majoritaires à avoir des carrières incomplètes sont pénalisé·es par l’allongement de la durée de cotisation. Ils et elles subissent une double peine.
  • Retarder l’âge de départ, c’est aussi rogner l’âge auquel on peut bénéficier de sa retraite en “bonne santé”.

Quelques idées reçues :

On vit plus longtemps. Il est normal de travailler plus longtemps FAUX

L’espérance de vie en bonne santé stagne à 64,5 ans pour les hommes et 66 ans pour les femmes. Avec de fortes disparités selon les emplois, selon la pénibilité et l’usure professionnelle.

L’équilibre du système de retraite est menacé FAUX

Le système est aujourd’hui excédentaire (3,2 Mds € en 2022). Si un léger déficit temporaire est prévu, même le COR (conseil d’orientation des retraites) reconnaît que sa trajectoire est “maîtrisée”. Surtout, pour générer de nouvelles entrées d’argent il existe des solutions simples : augmenter les cotisations perçues. Pour cela on peut créer des emplois en réduisant le temps de travail, augmenter les salaires ou simplement augmenter le taux de cotisation patronale d’un point. Selon une étude de la CNAV, mettre fin aux inégalités salariales entre femmes et hommes abonderait les caisses de retraite de 5,5 milliards d’euros par an.

J’ai prévu de travailler après 62 ans, ça ne me concerne pas. FAUX

Avec la réforme vous ne toucherez plus la surcote de 1,25 % par trimestre supplémentaire à la durée exigée de cotisation au-delà de 62 ans. Cela fera donc baisser le niveau de votre pension.

J’ai commencé à travailler tard, je n’aurai pas mes annuités à 62 ans donc je ne suis pas concerné. FAUX

voir ci-dessus.

D’une part vous perdez la possibilité de partir en retraite avant 65 ans avec une décote. De plus, après 60 ans les probabilités de se trouver au chômage ou en arrêt maladie longue durée sont fortes avec les conséquences financières qui vont avec. Les “compensations” sur “l’emploi des seniors” présentées par le gouvernement ne prévoient aucune sanction pour les entreprises, seulement un “baromètre” à remplir pour se doter “d’indicateurs”.

J’ai commencé à travailler tôt. Je ne suis donc pas concerné FAUX

La réforme prévoit de retarder l’âge de départ y compris en cas de carrière longue.

Quelques notions clefs pour tout comprendre

  • Âge légal de départ : 62 ans aujourd’hui. c’est l’âge minimum pour avoir le droit de partir à la retraite (hors exception, comme certains régimes spéciaux ou les fonctionnaires en catégorie active).
  • Durée de cotisation : C’est le nombre de trimestres cotisés nécessaires pour percevoir une retraite complète. Aujourd’hui 42 annuités (ou 168 trimestres à valider), bientôt 43 annuités (ou 172 trimestres) pour les générations nées après 1973.
  • Âge d’annulation de la décote : 67 ans. Ce n’est pas l’âge maximum de départ, c’est l’âge du « taux plein » même si on a une durée de cotisation incomplète.
  • Taux plein : Versement d’une pension sans “malus” ou décote. En cas de durée de cotisation incomplète la décote est de -1,25% par trimestre manquant.

En cas de cotisation supérieure à la durée requise et au-delà de l’âge légal de départ on applique une surcote (bonus de +1,25% par trimestre en plus)

  • Dispositif « Carrière longue » : départ anticipé avec un âge légal de départ à 60 ans pour les personnes ayant commencé à travailler avant 20 ans (la réforme reporterait l’âge à 62 ans).

Les propositions de Solidaires

-retraite à 60 ans maximum à taux plein avec 37,5 années de cotisation et suppression de la décote

-départ à 55 ans pour les travaux pénibles

-hausse des pensions, indexation sur les salaires et aucune retraite inférieure au SMIC

-intégration des régimes complémentaires dans le régime de base (l’intégration des régimes complémentaires AGIRC ARRCO IRCANTEC consolide le financement et garantit le niveau des retraites)

Tout cela est possible. Solidaires propose notamment :

de supprimer les exonérations de cotisations sociales : c’est 75 milliards de cadeaux au patronat (dont 17 Mds€ en 2022 concernant les caisses de retraite)

-d’augmenter les cotisations patronales. 0,8% de cotisation en plus c’est 12 milliards de plus en 2027

de mettre en place une cotisation sociale sur les dividendes, affectée aux caisses de sécurité sociale .

– de baisser le temps de travail à 32 h par semaine. Le partage du travail. c’est la création de nouveaux emplois et donc de nouvelles cotisations

– de revaloriser les salaires des métiers féminisés et établir une véritable égalité salariale femmes/hommes

– la création massive d’emplois dans les services publics et dans les secteurs écologiques

l’augmentation des salaires : +400 euros par mois, SMIC à 1700 euros net, indexation sur l’inflation. De meilleurs salaires, c’est plus de cotisations dans les caisses de retraites.

Tout cela passe par un autre partage des richesses. Il est encore moins acceptable de faire travailler des millions de personnes plus longtemps alors que les profits des actionnaires et les grandes fortunes explosent.

Se mobiliser

Pour empêcher le gouvernement d’imposer sa réforme injuste, il va falloir se mobiliser.

Solidaires invite à se réunir dès maintenant en assemblées générales, heures d’information syndicales, réunions… pour discuter entre collègues de cette réforme et se préparer à riposter.

En 2019, la grève reconductible de nombreux secteurs (RATP, SNCF, Culture, Éducation…) avait permis de bloquer la réforme. Gagner c’est possible !

Si le gouvernement persiste dans sa volonté d’imposer ce retour en arrière, Solidaires appellera dans l’unité à se mobiliser très rapidement.

Tenons-nous prêt·es !

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En grève ! Rail

Les trains vont-ils rester à quai ces prochains jours ??

« Grève chez les aiguilleurs »

Alors que cette semaine sous haute tension à la SNCF s’achève, la direction SNCF Réseau a reçu les fédérations cheminotes en table ronde le vendredi 9 décembre. Les mesures affichées par la direction SNCF Réseau ne répondent pas aux revendications portées depuis plusieurs mois par SUD-Rail et ne respectent pas des engagements pris en mai dernier. Le préavis de grève national, couvrant les agents de circulation du jeudi 15 décembre à 20 heures au 19 décembre à 8 heures, est plus que jamais maintenu.

« Une colère sociale qui dure depuis plusieurs mois ! »

En mai dernier, les cheminotes et cheminots, exerçant des métiers de la Circulation, avaient déjà menacé de cesser le travail. Dans le cadre des négociations de l’époque, SNCF Réseau avait pris des engagements qui … finalement n’ont pas été respectés dans leur totalité. Depuis le mois de septembre, « la fédération SUD-Rail n’a cessé d’alerter la direction nationale par rapport au manque de considération qu’elle affichait à l’encontre de celles et ceux qui sont essentiel·le·s pour faire circuler les trains sur le réseau ferré. Ces derniers mois, un nouveau PDG est arrivé à la tête de SNCF Réseau ; il semblerait qu’il ait décidé d’appliquer la même politique que son prédécesseur. »

La direction SNCF Réseau ne doit pas choisir la stratégie du pourrissement qui fera monter la pression de jour en jour.

« SUD-Rail exige une nouvelle négociation dès lundi. »

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En grève ! Retraites

Solidaires : la retraite à 60 ans maximum (vidéo) 

La retraite à 60 ans max ! from Union Syndicale SOLIDAIRES on Vimeo.

Macron et son gouvernement veulent nous faire travailler toujours plus.Alors que dans de nombreux secteurs, la pénibilité n’est pas reconnue, que les charges de travail augmentent, que les salaires stagnent, qu’une grande partie des salarié.es sont mis.es dehors ou déjà cassé.es à partir de 55 ans, comment comptent-ils faire ?

Notre Union syndicale se dresse contre ce projet indigne et néfaste pour l’ensemble des travailleurs et des travailleuses.C’est de l’enfumage.

Ce n’est pas une question d’équilibre financier !

À Solidaires, nous connaissons les solutions :- augmentons les salaires en net ET en brut et obtenons l’égalité salariale femmes hommes- partageons le temps de travail embauchons massivement- récupérons les milliards de la fraude fiscale et des supers profits

Et nous améliorerons notre système de retraites au lieu de le démolir.

Pour une retraites en bonne santé après une vie de travail.

Pour vivre et ne pas survivre !#PartageonsLeTravail

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En grève ! Rail

SUD Rail : ON EST TRÈS LOIN DU COMPTE !!

La fédération SUD-Rail l’avait annoncé depuis plusieurs semaines ; la direction SNCF n’échappera pas à payer l’addition dans le cadre de la perte du pouvoir d’achat pour les cheminot·e·s. Alors qu’elle s’imaginait attendre début 2023 pour mettre concrètement sur la table des mesures salariales,
le rapport de forces sur le terrain auquel les équipes militantes SUD-Rail ont contribué très fortement depuis juillet, a obligé la tenue de négociations nationales ce mercredi 7 décembre. Nous prenons acte des engagements pris par le Groupe SNCF mais ils ne règlent pas suffisamment l’injustice sociale dans notre entreprise.

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Actu Solidaires 78 En grève ! Poste / Télécom

Démantèlement des boutiques Orange, SUD mobilise le personnel

C’est la suite logique de la liquidation de l’opérateur public, anciennement France Télécom. La Direction générale d’Orange vient d’annoncer le début du démantèlement du réseau de boutiques dans le but de les faire basculer dans une de ses filiales, ce qui permettra à terme de reconsidérer l’ensemble des contrats de travail des salariés impactés, en réduisant leur rémunérations, leur évolution de carrière, tout en aggravant leurs conditions de travail. Précariser, exploiter, virer, tel est le triptyque infernal du libéralisme débridé que nous combattons à SUD/Solidaires inlassablement depuis notre création.

Avec cette énième restructuration, SUD PTT propose au personnel de se mobiliser et vient de déposer une série de préavis de grève sur plusieurs dates, concernant le réseau de boutiques, les 3, 10, 17, 24 et 31 décembre. Dans cette période de fin d’année, ce mouvement pourrait avoir un effet conséquent sur le chiffre d’affaire de cette multinationale. Comme c’est le seul langage que comprennent les patrons du CAC 40, le personnel dispose d’une fenêtre inespérée pour faire plier la direction, notamment en imposant des revendications et en dictant son agenda. Tout dépendra bien sûr de la hauteur de la mobilisation.

Ci-dessous le tract de SUD :

TRACT AD FF1décembre2022

Le premier préavis de grève pour le 3 décembre :

Préavis_ORANGE_031222

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Éducation En grève !

Le 17 novembre : dans tous les Lycées Pro toutes et tous en grève

La bataille des lycées professionnels a commencé ! Quoi qu’en dise le ministère et ses chiffres tronqués, il y a bien eu une grève massive des personnels le 18 octobre et il y aura à nouveau une grande mobilisation des LP le 17 novembre prochain appelée par une très large intersyndicale. SUD éducation appelle à tenir des AG partout dès la reprise du 7 novembre afin de construire la grève.

Tract ici https://www.sudeducation.org/tracts/dans-tous-les-lp-le-17-novembre-toutes-et-tous-en-greve/

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Automobile Dans les Yvelines, une classe en lutte... En grève ! Énergie Revue de presse

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 41

Au sommaire : en grève dans l’énergie, l’automobile…


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org


Source : 78actu.fr

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Actu Solidaires 78 Dans les Yvelines, une classe en lutte... Écologie Éducation En grève ! Industrie Luttes logement Santé-Social Transport

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 40

Au sommaire : mobilisations et grèves – Santé, lycées pro, éducation aux Mureaux, industrie, logement, écologie, etc.


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org


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Saint-Germain-en-Laye. Rénovation du lycée Jeanne-d’Albret : les parents et enseignants ne décolèrent pas

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