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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Conditions de travail Culture Ressources juridiques Secteur associatif

Sauvegardons nos salaires avec Asso-Solidaires dans la branche animation

Les métiers de l’animation sont souvent précaires et mal payés. Pourtant, Hexopée (ex Cnea), le syndicat des employeurs de la branche animation (récemment rebaptisée Éclat), trouve que nous sommes encore trop payé.es. Il a donc récemment engagé une réforme à la baisse de l’évolution des salaires dans la branche au cours de la carrière. C’est l’avenant 182 à la convention collective.

Pour nous défendre, Asso-Solidaires vous propose une série d’articles décryptant cet avenant 182 et vous expliquant comment maintenir et augmenter nos salaires. Nous les publierons au fur et à mesure sur cette page : revenez la visiter souvent ! Si vous souhaitez mieux comprendre et réagir n’hésitez pas à contacter la commission branche animation d’Asso-Solidaires : brancheanimation@syndicat-asso.fr .

Le triste paradoxe d’une initiative censée favoriser les bas salaires qui conduit à casser les garanties collectives dans la branche et à individualiser les salaires

L’avenant 182 constitue une régression dans l’évolution des salaires des salarié·e·s de la branche animation au cours de leur carrière. Il remplace le dispositif de déroulement de carrière existant par une individualisation des salaires en instaurant des entretiens pouvant donner lieu à des primes au mérite déguisées en « valorisation du fait du renforcement de la maîtrise professionnelle de son poste au sein de la structure par le·la salarié·e ». Un triste paradoxe dans cet avenant est qu’à l’origine, l’idée était d’ouvrir un chantier autour des bas salaires dans la branche, qui semblait être un engagement du CNEA (Hexopée aujourd’hui, syndicat employeur dans la branche).

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Les tours de passe-passe du CNEA (HEXOPEE)

Pour qui est salarié·e sous le régime de la convention collective ECLAT (ex. Animation) depuis longtemps, constater les dégradations de son système de rémunération (ancienneté et déroulement de carrière) par le syndicat employeur (CNEA, tout récemment renommé Hexopée) avec l’accompagnement de certaines organisations syndicales n’est pas une illusion.

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Résister à l’avenant 182 en concluant des accords
d’entreprises plus favorables

La modification des salaires avec l’avenant 182, contient de multiples régressions, et de maigres contreparties. Avec la vigilance des salarié·e·s et de leurs représentant·e·s, dans les négociations, nous pourrons nous appuyer sur ces quelques avancées. Et n’oublions pas que la convention collective constitue un plancher et pas un plafond, il est donc possible de négocier plus dans son association !

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Avenant 182 : une double sanction pour les salaires des femmes

La suppression du dispositif d’évolution de carrière aura un impact massif à long terme sur les salaires dans la branche. Cela impactera donc les salaires moyens des femmes ainsi que la retraite moyenne de celles-ci, alors que les retraites des femmes sont déjà en moyenne inférieure de 415€ à celle des hommes (INSEE, 2017). A l’inverse, une augmentation des salaires dans la branche, majoritairement féminine, aurait conduit à une réduction de l’inégalité de salaire moyen entre les femmes et les hommes dans la société. Les choix et accords conclus aujourd’hui auront, demain, un impact sur la vision que la société a des emplois féminins et des femmes en général !

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Pendant que l’avenant 182 détricote les salaires dans la branche Eclat-Animation, un rapport parlementaire tire la sonnette d’alarme

François Ruffin, député de la 1ère circonscription de la Somme (La France Insoumise), et Bruno Bonnell, député de la 6e circonscription du Rhône (La République En Marche), ont conduit depuis fin2019 une mission parlementaire d’information sur « les métiers du lien » dont le Rapport final a été présenté au Parlement en juin 2020. Parmi ces « métiers du lien » figure celui des « animatrices périscolaires ». Ce métier, bien que jugé essentiel pour le développement éducatif des enfants demeure la·mission « parent pauvre » du maillage éducatif. Les salaires stagnent à un très bas niveau (580€ mensuels nets en moyenne).

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Décrypter le discours d’Hexopée et des syndicats complaisant

Les signataires de cet avenant 182 font évidemment valoir leurs arguments. Mais notre opposition n’est pas une posture. Nous vous proposons dans le document ci-dessous de décrypter la justification de la mise en place de ce nouveau système de calcul des évolutions de carrière.

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La régression sociale et salariale est masquée par la complexité technique

Dans le système actuel, différents mécanismes de rémunération
coexistent afin de faire progresser les salaires des salarié·e·s lors de leurs
carrières. Ces différents systèmes sont notamment l’ancienneté et le
déroulement de carrière. Leurs objectifs sont de valoriser l’expérience
acquise par les salarié·e·s lors de leurs carrières sans introduire de biais
subjectifs liés aux relations avec l’employeur·se.

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Conditions de travail Culture

Sans emploi mais pas sans salaire !

SUD Culture Solidaires

Les allocataires du RSA, désormais rattachés à cette nouvelle institution, verront le versement du RSA (608 €) conditionné à 15 heures de travail gratuit par semaine, de « stage en entreprise » et d’accompagnement vers un hypothétique retour à l’emploi.

Cette mesure pourrait s’étendre à tous·tes les demandeur·euse·s d’emploi ainsi qu’aux jeunes inscrits dans les Missions locales et aux personnes en situation de handicap. Tou.tes auront l’obligation de signer un « contrat d’engagement « qui fera la part belle aux devoirs au détriment des droits. France travail va permettre la généralisation du contrôle de tou.tes les privé·es d’emploi pour les forcer à travailler dans les secteurs dits « en tension » – dont la liste s’allonge sans fn – sous peine de se voir supprimer leurs revenus de remplacement ou allocations de survie que sont les minima sociaux.

D’autre part, les dispositifs de surveillance et de contrôle déjà à l’œuvre tendent à s’implanter massivement, tout en permettant l’ouverture d’un marché aux entreprises de conseil, elles- aussi largement sollicitées par Pôle Emploi aujourd’hui.

Par ailleurs, la nouvelle convention d’assurance chômage doit être fnalisée avant la fn 2023. Des « négociations » sont en cours à la fois concernant le régime général ainsi que les annexes 8 et 10 spécifques aux intermittent·e·s du spectacle. Le gouvernement impose 12 milliards d’€ d’économies sur 3 ans sur le fonds de l’UNEDIC pour entre autres fnancer France Travail.

Un grand nombre de secteurs dépendant de subventions publiques sont déjà fortement impactés (santé, culture, éducation, social…). L’ensemble des conditions de travail en sont dégradées, entraînant le départ d’un très grand nombre de travailleurs et travailleuses.

Poussé·e·s ainsi vers un chômage diminué, dans l’incapacité de retrouver un poste qui réponde à des conditions décentes d’emploi, ou vers le RSA, car dans l’impossibilité d’ouvrir des droits suite aux dernières contre-réformes. Ces dernières, additionnées à la création de France Travail, aggraveront profondément la situation économique d’un grand nombre de travailleurs et de précaires. En clair le projet de loi « Plein emploi » sera bel et bien celui du plein emploi précaire, tel que l’a rêvé le MEDEF.

Nous refusons toutes mesures d’économie impactant les travailleurs et travailleuses, déjà en souffrance et en grande précarité, qui visent à casser nos droits sociaux.

Nous revendiquons :

  • L’abrogation de toutes les dernières contre-réformes chômage ayant détérioré les droits des travailleurs et travailleuses (avec ou sans-emploi)
  • Des indemnités chômage pour tou·te·s les sans-emploi avec ou sans papiers et dès 18 ans (au minimum du SMIC) mais aussi pour les travailleur/euses qui perdent leur emploi, la continuité de leurs salaires pour une durée minimale de 36 mois, quelle que soit la durée d’emploi et la durée de cotisations préalables.
  • La suppression du conditionnement du RSA et son augmentation pour l’ensemble des territoires et son extension pour les 18-25 ans en guise de 1er pas…
  • L’arrêt des suppressions de cotisations sociales, qui mettent à mal les caisses de l’Unédic et de la Sécurité sociale (20 milliards / an et 80 milliards d’€ en 2021 année du Covid) et l’augmentation de la part patronale.
  • L’arrêt des contrôles, pressions et persécutions sur les chômeur·se·s et les allocataires du RSA
    Le contrôle et la gestion totale de l’assurance chômage par les 1ers concerné·e·s, les travailleur·euse·s avec ou sans emplois
  • Une solidarité vis-à-vis des travailleur-euses de Pôle Emploi face à son démantèlement.
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Culture

Incroyable: le maire de Saint-Denis veut expulser la troupe de théâtre Jolie Môme !

Communiqué n°4 : Lettre ouverte au Maire de Saint-Denis

Pourquoi dissoudre un lieu de vie, de réflexion, d’humanité, de culture, de lien social ?
Monsieur le Maire de Saint-Denis, vous nous l’avez dit : « le cœur du problème entre nous est politique ».
Votre décision est prise, ah quelle surprise ! Nous ne vous convenons pas…Au cours du dernier « jury » auquel nous avons été convoqués dans le cadre de l’appel à projets concernant La Belle Étoile, vous nous avez dit que vous pensiez qu’un théâtre ne devait pas accueillir de conférence, de débat, de politique, qu’un théâtre devait être uniquement un espace de spectacle et de fête.

Nous ne vous ferons pas l’affront de vous rappeler la fonction éminemment cathartique du théâtre… oh, mince, désolés, nous sommes en train de le faire.. ! 

Bref, nous ne vous cachons pas que nous avons été stupéfiés par cette déclaration en ces temps où l’opinion publique et les politiques s’accordent à exiger et à défendre bec et ongles la liberté d’expression, à l’heure où tout un chacun a besoin de communiquer, d’échanger, de comprendre, de se rassurer…

Notre stupéfaction a été à son comble lorsque vous nous avez reproché d’avoir accueilli la soirée de soutien à Gaza organisée par Paroles d’Honneur. « Avec cette soirée, avez-vous dit- vous étiez carrément hors des clous ! »
Avons-nous mal compris ? Si ce n’est pas le cas, on peut apprécier votre franchise mais permettez-nous en retour de l’être tout autant et à propos de la  pertinence de l’organisation de cette soirée c’est plutôt vous qui seriez « hors des clous »… Inutile de vous faire l’offense de vous expliquer pourquoi. Le cahier des charges établi à notre arrivée, dans la confiance et la bienveillance avec l’ancienne municipalité, était avant tout de transformer cette salle des fêtes désaffectée en un théâtre accueillant et de le faire vivre comme un lieu de rencontre et d’échange.
Notre conception artistique et philosophique de ce que doit être un théâtre inséré dans un quartier ne vient pas de nulle part, de nombreux spécialistes de la fonction sociale des arts vivants, de nombreuses troupes -pour certaines reconnues mondialement- considèrent qu’un théâtre se doit d’être un lieu de vie, d’échanges, de réflexion aussi bien qu’un espace de production de spectacles, offrant par sa seule présence un espace de circulation des idées, une ouverture sur le monde. 
C’est ce que nous avons réalisé pendant 19 années. Pensez-vous pouvoir réduire à néant la mémoire de ce travail sur le quartier, la ville ?

Enfin, tout cela pour dire qu’il nous semble urgent que nous nous rencontrions pour débattre sereinement et de manière moins formelle que dans le cadre d’un « jury » et en regrettant que vous ne réalisiez pas que laisser notre compagnie continuer son travail aurait été une preuve de clairvoyance et de discernement inspirant le respect.

Avec cette lettre ouverte nous vous invitons à nous recevoir au plus vite. En effet, par votre décision, non seulement vous privez tous les participants de nos ateliers des activités qu’ils pratiquent avec passion, mais surtout vous mettez en péril une douzaine de salariés -privés de leur outil de travail, ainsi que ceux des compagnies auprès desquelles nous nous sommes engagés jusqu’au mois de juin 2024.
En particulier, qu’adviendra-t-il de la Compagnie Tamèrantong! avec laquelle nous avons une convention tripartite ? Nous espérons donc au minimum vous convaincre de nous laisser finir cette saison 2023/2024, et par là-même nous laisser le temps de trouver une autre terre d’accueil, de déménager notre matériel et d’assurer nos contrats et la programmation prévue.

 Cordialement 
Compagnie Jolie Môme

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Accidents du travail Actu Solidaires 78 antifascisme Conditions de travail Culture Dans les Yvelines, une classe en lutte... Éducation En grève ! Idées, débats, cultures Lecture Luttes féministes Retraites

Programme des accueils Solidaires 78 novembre & décembre 2023

Programme prévisionnel des accueils Solidaires 78, tous les mardis de novembre à la librairie La Nouvelle Réserve de Limay, sur d’autres sites en décembre

(sous réserve de modifications liés à l’actualité)


Mardi 7 novembre : Enquête ouvrière  suivi d’une rencontre pour la sortie du livre Quand l’extrême droite rêve de faire école, une bataille culturelle et sociale (avec pot/buffet) – Entrée libre et gratuite, ouvert à tou·tes. (couv. ci-dessous)


Mardi 14 novembre : travail sur les Que faire ? de Solidaires 78 (souffrance au travail, accident de travail / de service)


Mardi 21 novembre : lecture en arpentage du livre 10 questions sur l’antifascisme, La Horde, Libertalia.


Vendredi 24 novembre : rencontre à la librairie Féministes, luttes de femmes, luttes de classes.


Mardi 28 novembre : Débats – échanges “Quel syndicalisme dans le Mantois après la mobilisation contre la réforme des retraites ?”


Mardi 5 décembre (attention changement de lieu, la librairie ne pouvant nous accueillir en décembre) :

Au 64, rue Maurice-Braunstein, salle Guy Mainière
https://www.openstreetmap.org/#map=19/48.99785/1.70525&layers=N

Rencontre puboique Souffrances au travail


Mardi 12 décembre : 

Rencontre intersyndicale Quel bilan d ela lutte contre la réforme des retraites dans le Mantois

Au 64, rue Maurice-Braunstein, salle Guy Mainière


Mardi 19 décembre (lieu à définir) : Repas partagé de fin d’année

Au 64, rue Maurice-Braunstein, salle Guy Mainière

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Culture Les travailleur·euses n'ont pas de pays !

Déclaration SUD Culture au CSA-M du 3 octobre 2023

Madame la Ministre qui n’est pas là,

Instrumentaliser la Culture à des fins de coercition politique était jusqu’à récemment l’apanage des municipalités Front National. Progressivement, cette pratique s’est étendue à certaines collectivités territoriales.

Aujourd’hui c’est l’appareil d’État qui sombre.

En interdisant aux ressortissantes et ressortissants du Sahel l’expression artistique sur le territoire français, le pouvoir politique de ce ministère, ainsi que sa haute administration, ont commis une faute morale.

Ils ont également démontré leur totale incompréhension des personnels placés sous votre autorité.

Quels que soient les piètres rétropédalages que nous avons pu lire dans les médias, la faute demeure : non seulement vous avez validé le fait de faire payer à des individus les errements de leurs dirigeant-es – ce qui est une aberration, a fortiori lorsqu’il s’agit de régimes non démocratiques – , mais en plus vous avez contraint les personnels (en l’occurrence des DRAC) à mettre en œuvre des sanctions allant à l’encontre de leurs missions premières.

Nous sommes sidéré-es de constater qu’à aucun moment, une quelconque personne en responsabilité ait tiré le signal d’alarme.

C’est l’aveu d’une terrible méconnaissance de ce que nous sommes. Et cet aveu sera séquellaire.

Le ministère de la Culture est un ministère militant . Il est animé à tous les échelons par des femmes et des hommes convaincu-es que la culture est et doit être émancipatrice.

Alors que nous vous alertons, vous comme vos prédécesseur-es de la grave perte de sens ressentie par les personnels – perte de sens nourrie par l’intrusion des cabinets conseil, la prégnance du ministère de l’intérieur, la soumission aux intérêts de l’industrie touristique, la confiscation des espaces publics à des fins financières ou médiatico-politiques… – , vous avez franchi un cap.

Celui de l’atteinte à nos valeurs fondamentales. Nous saurons nous en souvenir. Et nous demeurerons, malgré vous, des artisans de la Culture.

SUD Culture Solidaires

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Culture

Collectif ” LE BRUIT DES PAS D’APRÈS ” de Mantes la Jolie

Vous trouverez ci-dessous toutes les informations sur les actions proposées par le Collectif ” LE BRUIT DES PAS D’APRÈS ” de Mantes la Jolie (Yvelines).
Vous pouvez rejoindre le Collectif ” LE BRUIT DES PAS D’APRÈS “ pour participer à ses actions,vous pouvez également adhérer pour soutenir l’association.
Parlez du collectif autour de vous (et bien au-delà) surtout si vous connaissez des personnes susceptibles d’être intéressées.
Si vous avez des questions,n’hésitez surtout pas à toquer chez votre voisin.e,je suis sûr qu’il ou elle a une idée sur le sujet sinon contactez-nous.

Le Collectif ” LE BRUIT DES PAS D’APRÈS “,c’est quoi ?

Le collectif mène des actions poétiques dans tous les lieux,tout en privilégiant l’espace public,qui permettent de RÊVER et d’AGIR à un monde meilleur et non au meilleur des mondes.Très inspiré par le mouvement * Situationniste,il privilégie 2 formes d’actions :
 – le SPECTACLE et l’ATELIER ,en utilisant la MUSIQUE,les SONS,les MOTS,la PAROLE,le GESTE et la DÉAMBULATION comme outils principaux.

* Situationnisme : mouvement contestataire,philosophique,esthétique et poétique,ayant l’exigence de changer le monde en employant tous les moyens de bouleversement de la vie quotidienne.

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Conditions de travail Culture

16 septembre Des nénuphars dans les poumons

Un spectacle de la Compagnie Sans la nommer
Locaux du Courrier de Mantes
à Mantes-la-Jolie
avec le Collectif 12

ciesanslanommer@gmail.com

D’après un article de la journaliste Elsa Sabado

Avec Rose Guégan, Suzanne Llabador, Elsa Sabado et Magali Chovet (en alternance)

Mise en scène Fanny Gayard

Scénographie Carine Ravaud

Comment, sans avoir travaillé dans un environnement amianté, le frère de Nicole a-t-il pu mourir d’un cancer de l’amiante ? Nicole et Gérard, le couple Voide, suivent la piste d’une ancienne usine d’amiante située à proximité de leur école primaire et du domicile familial. Après des années d’enquête, ils constituent un dossier solide, déposent plainte et mobilisent les habitant·e·s du quartier pour dénoncer un empoisonnement environnemental d’envergure.

Basé sur un article de presse jamais publié, Des nénuphars dans les poumons chronique cette affaire à l’aide d’un petit théâtre d’objets. Autour d’une grande table sur laquelle est disposée la carte du quartier du Vieux Pays à Aulnay-Sous-Bois en Seine-Saint-Denis où se déroule les faits, une journaliste et deux comédiennes retracent chaque étape de cette enquête en forme de bataille.

Production Compagnie Sans la nommer

Avec le soutien de la Fondation d’Entreprise SYNDEX et de la Région Ile-de-France au titre de l’aide à la diffusion.
Avec l’accueil en résidence du Théâtre Paris Villette, du Collectif 12 à Mantes-la-Jolie, du Landy Sauvage à Saint-Denis, du Centre Paris Anim Louis Lumières et de la Ville de Gennevilliers.

Avec le concours du Conseil départemental de Seine-Saint-Denis dans le cadre de «Culture et art au Collège», de la Région Ile-de-France dans le cadre de l’aide ponctuelle aux projets d’éducation artistique et culturelle, et de la DRAC Ile-de-France dans le cadre de la résidence territoriale en milieu scolaire.

Dossier du spectacle
Bande-annonce

Petite forme en salle

et hors-les-murs

Dès 12/13 ans

Durée 50 minutes

suivi d’un échange avec l’équipe

Saison 2023/2024 :

16 . 09 . 2023
Locaux du Courrier de Mantes
à Mantes-la-Jolie
avec le Collectif 12

01 . 12 . 2023
Campus de Bobigny

02 . 12 . 2023
CMCAS La Rochelle

03 . 12 . 2023
CCAS Dompierre-sur-mer


>> Pour assister à une représentation, contactez-nous : ciesanslanommer@gmail.com
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Podcast : Carmen Castillo à Limay

Le 2 juin dernier, Carmen Castillo – militante révolutionnaire du MIR, au Chili – était invitée par la librairie la Nouvelle Réserve de Limay pour présenter la réédition de son ouvrage Un jour d’octobre à Santiago.

L’émission ça booste sous les pavés (Radio libertaire) nous permet aujourd’hui de réécouter cette intervention militante particulièrement forte, émouvante et pleine d’espoir

Lien pour télécharger l’émission du 7 juin 2022

https://www.anarchiste.info/radio/libertaire/podcast/semaine/2022-23.html

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