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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Actu Solidaires 78 Commerce Dans les Yvelines, une classe en lutte... Éducation En grève ! Grande distribution Revue de presse

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 30


Au sommaire : Grande distribution, logement, éducation, hôpital… Trappes, Poissy, Rambouillet, Chambourcy…


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org


Source : 78actu.fr

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Actu Solidaires 78 Commerce Dans les Yvelines, une classe en lutte... En grève ! Grande distribution Santé-Social

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 21


Au sommaire : Mantes-la-Jolie, Les Mureaux, Buchelay, Orgeval… Graned distribution, vidéosurveillance, hôpital, grève, secteur associatif, logement…


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à solidaires78@wanadoo.fr


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Commerce Défense de nos libertés La Poste Seule la lutte paie !

Seule la lutte paie !


Une nouvelle rubrique – que nous espérons riche et fournie ! – pour présenter les victoires du camp des travailleurs et des travailleuses, ici et ailleurs…


Libertés syndicales à la poste : une victoire pour notre syndicalisme !

La Cour administrative d’appel de Paris a rendu hier, mercredi 27 octobre, un arrêt définitif à propos des libertés syndicales à la Poste.

Depuis des années, le Siège de la Poste et ses directions locales ne cessaient de commettre des délits d’entrave à propos de la liberté de circulation de nos militantes et militants syndicaux, en interprétant sans aucune limite le décret du 28 mai 1982 qui régit le droit syndical dans l’entreprise.

Sans aucune limite car, au gré des humeurs des directeurs locaux et de leur détestation de nos représentant·e·s, il fallait prévenir avant la venue dans le service — plusieurs jours avant parfois ! — , puis obtenir l’autorisation et, parfois encore, donner le motif de cette venue !

L’histoire de Sud PTT est ainsi faite d’interdictions répétées pendant des années de pénétrer dans les établissements, elles-mêmes ponctuées de poursuites disciplinaires.sur fond « d’intrusions » voire « d’atteinte au domicile privé » et de sanctions pour ce seul motif.

Ce procédé est actuellement utilisé abusivement dans le 78 et le 92 contre de nombreux militant·e·s, dans le cadre d’un véritable acharnement antisyndical.
L’arrêt de la Cour a effectivement un caractère définitif dans la mesure où le Conseil dD’État (voir req. n°419619) avait cassé l’arrêt de la même Cour (n°16PA02870) mais sans jamais remettre en cause la doctrine développée à propos de l’illégalité de ce délai de prévenance qui nous était opposée en permanence.

L’arrêt est sans ambiguïté sur le sujet :

« 15. Contrairement à ce que fait valoir la Poste, il ne ressort pas de ce qui a été dit au point 11 ci-dessus que monsieur X (…) ait été tenu d’informer préalablement la directrice de la PPDC de Paris Bonvin de sa venue en application des dispositions de l’article 6 du décret du 28 mai 1982.
Par ailleurs, la circonstance que monsieur X se soit introduit avec trois autres collègues, au sein des locaux de la PPDC de Paris Bonvin pour faire circuler une pétition en faveur d’un collègue faisant l’objet d’une procédure disciplinaire n’était soumise, en application des dispositions invoquées par monsieur X, ni à l’obligation de prévenir la directrice de l’établissement de sa présence, ni à l’obtention d’une autorisation préalable, la seule limite posée par l’article 9 à cette distribution étant qu’elle ne porte pas atteinte au bon fonctionnement du service ».

Face à la multiplication des affaires disciplinaires en cours pour des motifs similaires, la fédération Sud PTT va saisir les différentes tutelles de la Poste (Etat, CDC) pour que cessent toutes ces entraves.

Qu’il s’agisse de la liberté syndicale ou du droit de grève, la fédération Sud PTT continuera à agir pour défendre les droits du personnel et de ses représentant·e·s.


En Loire-Atlantique, Amazon recule face à une lutte pugnace

En Loire-Atlantique, les opposants à l’installation d’un entrepôt Amazon ne décolèrent pas. Une nouvelle mobilisation s’est tenue samedi 29 mai, avec la présence de nombreux politiciens en campagne. La perspective d’une Zad est également évoquée par certains militants.

  • Actualisation — Mercredi 27 octobre 2021 — Amazon ne pourra pas s’installer à Montbert. Lundi 25 octobre, l’intercommunalité de Grand Lieu, où devait s’implanter le géant de l’e-commerce, a décidé de mettre fin aux négociations. «Malgré l’intérêt du projet et, notamment, une création d’emplois importante, les élus communautaires ont, au fur et à mesure, constaté les difficultés du projet et particulièrement l’accumulation de contraintes techniques et juridiques décalant largement le calendrier initial».

C’est la seconde fois qu’Amazon doit faire demi tour en Loire Atlantique, après l’échec de Grandchamps-des-Fontaines. «Montbert était le projet le plus visible. Nous savons qu’Amazon cherche un peu partout à s’installer. Nous restons vigilants et continuerons notre veille sur d’autres projets similaires que nous dénoncerons tout autant», a déclaré Guillaume Erceau du collectif Stop Amazon 44 dans Ouest France.

Collectif-STOP-Amazon-44-CP-victoire-Télécharger

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PROCÈS IKEA à Versailles : La parole aux victimes, 5ème jour d’audience

Le premier jour de la deuxième semaine d’audience Ikea était consacré aux plaidoiries des parties civiles : c’est plus d’une dizaine d’avocat-es qui se sont succédé à la barre, représentant aussi bien la totalité des syndicats implantés dans l’entreprise (CFDT, CFTC, CGC, CGT, FO, SCID, SUD- Solidaires et UNSA), par l’intermédiaire de plusieurs de leurs structures locales, de branches voire nationales, que des dizaines de salarié-es et ex-salarié-es de l’entreprise, pour la plupart syndiqués mais pas exclusivement.

Pour les organisations syndicales, il s’agit de faire reconnaître l’atteinte à la profession
qu’elle représente, de rappeler que toute collecte de données doit être consentie par le salarié, proportionnelle au but recherché qui ne peut être illégal et encore moins viser à entraver la liberté syndicale et de grève. C’est aussi des histoires de vies brisées par les méthodes inquisitrices d’Ikea, qui ont engendré chez le personnel dont la vie privée a été violée dépression, cancer voire tentative de suicide, qui ont été exposées.

On sera donc guère étonné que des demandes d’indemnisation à la hauteur du préjudice subi, s’élevant parfois jusqu’à un million d’euros pour les syndicats et des centaines de milliers pour les salarié-es les plus exposés à ces pratiques détestables, ont été faites.

Face à ce naufrage juridique et moral, seul l’ancien responsable de la sécurité, cheville ouvrière du système de surveillance mis en place dans l’entreprise de 2001 à 2012 dans chacun de sa trentaine de magasins comptant plus de 10.000 salarié-es et ce dès le recrutement, reconnaît pour le moment ses torts. La société, en tant que personne morale, tout comme ses ex-dirigeant-es et les responsables des officines en charge du sale boulot continuent eux à être dans la dénégation.

Un grand absent au procès, c’est l’institution policière dont il ressort du dossier que plusieurs de ses membres ont étroitement contribué à alimenter ce système, à commencer en informations sensibles, d’où la demande des parties civiles d’un supplément d’enquête et d’élargissement des poursuites au chef de recel (il est question de pratiques qui se sont étalées sur plus de dix ans).

En demandant une condamnation exemplaire, il s’agit d’envoyer un message clair aux employeurs indélicats ou tentés par de tels procédés, qui ont encore gagné en intensité avec l’essor des réseaux sociaux contrebalancé certes par la mise en place du RGPD, là où « Big Brokea » pensait surveiller son effectif en toute impunité.

SUD COMMERCES ET SERVICES Rhône-Alpes-Auvergne /Adresse : 125 rue Garibaldi 69006 Lyon / Téléphone 06 51 25 40 77

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Ouverture du procès IKEA

Communique de presse——-communique de presse——— vendredi 19 mars 2021

TRIBUNAL CORRECTIONNEL DE VERSAILLES

Du 22 mars au 2 avril 2021

Ouverture du procès IKEA

Enfin le procès pour fichage par IKEA des syndicalistes, de l’ensemble des salarié.es et même des clients avec la complicité active de plusieurs fonctionnaires de police couverts par une partie de leur hiérarchie va débuter après 10 ans d’instruction.

Au rang des accusé.es :
• IKEA France
• Deux anciens présidents d’IKEA France
• L’ex DRH d’IKEA
• Le responsable national de la sécurité IKEA
• Des directeurs de magasin
• Des anciens policiers recyclés dans des sociétés de sécurité au service de dictateur
africain et d’IKEA
• Des policiers de base ou des renseignements généraux

De 2000 à 2012, IKEA était prêt à dépenser des centaines de milliers d’euros pour obtenir de policiers les fichiers STIC (système de traitement des infractions constatées) de syndicalistes et plus largement de l’ensemble des salarié.es.

Ainsi à chaque ouverture de magasins une liste de l’ensemble des salarié.es était envoyée à la société EIRPACE dirigé par un ancien policier qui renvoyait la fiche police STIC pour la modique somme de 80 euros par salarié.e.

Apres la grève de 2010 très suivie à Franconville, IKEA dépensait jusqu’1 million d’euros pour enquêter et essayer de ’faire tomber ’ les syndicalistes qui avaient animé la grève allant jusqu’à recruter des ’fausses caissières’ pour espionner les syndicalistes.

A IKEA St Priest (Rhône) le directeur de la sécurité envoyait à la police le numéro d’immatriculation du véhicule du délégué SUD en leur demandant d’enquêter sur la façon dont il avait acquis cette voiture et comment il l’avait payé.

Tels des délinquants chevronnés, certains hauts cadres d’IKEA et quelques policiers barbouzes ont su garder le silence lors des premiers interrogatoires et faire disparaitre en quelques jours après le premier article du canard enchainé une grande partie des dossiers. Ainsi le coffre d’IKEA a été vidé et 100 kilos de document ont été brulés par la société EIRPACE de l’ancien policier.

Les syndicats SOLIDAIRES et SUD Commerce et Services sont parties civiles à ce procès révélateur de partenariat étrange entre délinquant patronaux et policiers peu scrupuleux.
Nous demandons un jugement exemplaire et l’exclusion de la police de tout policier ayant transmis les fichiers STIC.

Leschiera Frédéric
SUD COMMERCE ET SERVICES 125 rue Garibaldi 69006 Lyon 06 51 25 40 77

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