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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Campagne partageons le travail

Campagne partageons le travail

L’Union syndicale Solidaires lance de juin 2022 à juin 2023 une campagne de fond pour aller en direction du maximum de travailleuses et travailleurs. Échanger sur le travail, ses finalités, ce qu’il faut faire pour l’améliorer, en prendre le contrôle collectivement : c’est la campagne partageons le travail. Dans un premier temps de cette campagne, durant l’été 2022, nous allons dans les secteurs professionnels et dans nos unions départementales aller discuter retraites et protection sociale, en faisant le lien avec la question de l’inflation, des salaires et revenus et en intégrant les luttes contre les discriminations et dominations.

Partageons le travail : toutes les infos

La présentation de la campagne

Visuels de la campagne

Vidéos de la campagne

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International Luttes féministes

Avortement aux USA : Nous ne voulons pas perdre de droits, nous voulons en gagner !

Presque 50 ans après avoir promulgué une loi en vue de légaliser l’avortement (c’était en 1973), la cour suprême des États-Unis vient de déclarer que cette loi était – selon elle – inconstitutionnelle. Dans la foulée, l’État de Virginie à décrété l’interdiction d’avorter. D’autres États, notamment du SUD, devraient dans la foulée suivre le même exemple.

L’Union syndicale Solidaires Allier condamne fermement cette décision et apporte tout son soutien aux mouvements de protestations spontanés qui voient le jour à travers les États-Unis.

Solidarité avec les femmes et les hommes qui luttent pour le droit à l’avortement aux USA et partout dans le monde.

Avortement aux USA : Nous ne voulons pas perdre de droits, nous voulons en gagner !

24 juin 2022 de 18:00 à 19:30

La Cour suprême des États Unis devrait publier très rapidement maintenant sa décision annulant l’arrêt Roe vs Wade (1973) qui garantit le droit à l’avortement dans tout le pays.

Si cette décision était prise, il reviendrait alors à chacun des cinquante états de juger si l’avortement est légal sur son territoire, ou pas.
Le risque est grand alors que de nombreux états interdisent le droit à l’avortement et certains le font déjà.

A l’heure où les femmes d’Irlande, de Colombie, d’Argentine, conquièrent le droit fondamental à l’avortement, il est totalement inconcevable que ce droit régresse dans quelque partie du monde que ce soit comme par exemple pour les Ukrainiennes réfugiées en Pologne qui se voient interdire d’avorter alors que ce droit existe dans leur pays.

MOBILISATION POUR LE DROIT A L’AVORTEMENT PARTOUT DANS LE MONDE RASSEMBLEMENT VENDREDI 24 JUIN, 18 H PLACE RÉPUBLIQUE, PARIS !
Dès que nous connaîtrons la décision de la Cour Suprême, nous appelons à descendre dans la rue sur l’ensemble du territoire !!!!

Premières signatures : Ancic, Ansfo, Cadac, CGT, Cndf, Ensemble! mouvement pour une alternative de gauche ecologiste et solidaire, Femmes Égalité, Femmes Solidaires, FIDH, FSU, Las Rojas, LDH, LFI, LFID, Maison des femmes de Paris, Marche Mondiale IDF, Mémoire traumatique et victimomogie, NPA, OLF, PCF, Planning Familial , SKB, SNPES-PJJ-FSU, Solidaires, Stop Vog, TJK-F

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Actu Solidaires 78 Éducation

Pédagogie L’apprentissage de la lecture, un enjeu politique

Article extrait du nouveau numéro du journal de Sud éducation 78 : Méfiez-vous des syndicalistes !

L’apprentissage de la lecture, un enjeu politique

Depuis déjà trois années, notre académie connaît une forte remise en question de l’apprentissage de la lecture et de l’écriture en cycle 2. En effet, à l’image de l’académie de Paris, le plan lecture a fait son entrée au sein de la formation de chaque ensei­gnant·e de CP et de CE1.
De nombreux·ses enseignants·es s’inter­rogent fortement sur la pertinence de ce dispositif ainsi que les conditions de sa mise en place. En effet, les enseignants·es sont régulièrement conviés·es sur des journées de formation durant lesquelles est présentée la seule et unique manière d’enseigner la lecture en CP. Il s’agit de la méthode syllabique pure, amenée comme résultant d’un « consensus » dont la légitimité, non discutable, repose sur des travaux et expérimentations issus uniquement de la « neuroscience ». En convoquant les neurosciences comme un rempart, Monsieur le ministre met en oppo­si­tion le pragmatisme de ses réformes­ à la pédagogie en marginalisant d’autres approches scientifiques ainsi qu’en muselant la liberté pédagogique des enseignants·es.
Ces directives, autant dans la forme que dans le fond, tendent à déstabiliser en profondeur ce qui fait le métier même de l’enseignant·e soit sa fonction de pédagogue. La liberté pédagogique, en est l’essence même.
De plus, cette manière d’entrevoir l’apprentissage de la lecture semble bien désuète au regard des recherches­ menées depuis 130 ans. Jules Ferry lui-même réfutait déjà le « lire, écrire, compter » aujourd’hui prôné par Monsieur le ministre « Les anciennes méthodes avec le programme restreint au lire, écrire, compter, produisaient des élèves sachant bien lire, écrivant cor­rec­tement, comptant à merveille, peut-être mieux que ceux d’aujour­d’hui et il se peut que l’éducation que nous voulons donner nuise un peu à la discipline mécanique de l’esprit. Seulement, entre eux et les autres, il y a cette différence : c’est que ceux qui sont les plus forts sur le mécanisme ne comprennent rien à ce qu’ils lisent, tandis que les nôtres comprennent. Voilà l’esprit de notre réforme. » Jules Ferry.
Ainsi, regrettant d’une part, ce rétropédalage pédagogique, nous pouvons nous interroger d’autre part sur cette obligation d’application de ce « plan lecture ». Ce nouveau dispositif oblige à revoir la manière d’enseigner la lecture, celle-ci devant être complè­tement « déconnectée » de la compréhension et les textes 100 % déchiffrables uniquement construits avec les sons déjà étudiés, nous laissant facilement entrevoir la pauvreté de ces écrits. Il ne s’agit plus de lecture mais de déchiffrage. Tout comme le constat que l’on ne peut pas apprendre « à nager sur un tabouret » l’apprentissage de la lecture doit se faire sur un texte, avec plus ou moins de résistance, mais un contenu riche et enthousiasmant, dans une réelle situation de lecteur·rice.
Lire c’est aussi et surtout comprendre, il apparaît alors clairement la volon­té réelle derrière ce nouveau dispositif… un choix avant tout politique.

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Les travailleur·euses n'ont pas de pays ! Luttes migrant·es

Non à l’expulsion de Mme Radulescu !

Mail envoyé via Resf78 sur le cas d’une mère de famille sans papiers refusant l’expulsion et donc incarcérée. Manif prévue à Nanterre début de semaine prochaine. Vendredi matin, hier, madame Radulescu , enfermée au CRA du Mesnil  Amelot depuis le 13 juin, a été conduite à l’embarquement, elle l’a  refusé, ce qui d’après ce que dit sa famille, s’est produit avec les  violences habituelles : menaces, pressions physiques et morales. Il est urgent d’obtenir la libération de cette mère de 7 enfants tous très jeunes, et scolarisés à l’école Elsa triolet de Nanterre, et faire  monter la mobilisation en étant nombreux au rassemblement annoncé devant la préfecture de Nanterre mercredi prochain 29 juin  à 10 heures.

Signons tous, relayons et faisons signer la pétition exigeant sa libération: https://reseau-resf.fr/Le-Prefet-des-Hauts-de-Seine-signe-l-expulsion-d-une-mere-de-famille-de-7

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Automobile

Sud Renault : une « ristourne CRAMIF » qui creuse le trou de la Sécu

Comme chaque année, la direction de l’établissement a demandé aux élus du personnel de Renault Guyancourt/Aubevoye de se prononcer sur sa demande de ristourne adressée à la Caisse Régionale d’Assurance Maladie d’IDF et qui lui permet de payer moins de cotisations sociales.

Comité Social et Économique du Jeudi 23 juin 2022 de l’Établissement Renault Guyancourt/Aubevoye

Déclaration SUD sur la demande de ristourne CRAMIF

Le dossier de demande de ristourne CRAMIF [1] qui nous est présenté cette année ne déroge pas à la règle. C’est un fourre-tout où la direction fait passer ses mesures d’économie comme des mesures visant à réduire les accidents de trajet.
En fait, l’augmentation du nombre de salariés en télétravail et du nombre de jours télétravaillés qui permettent de réduire les surfaces de travail avec le passage en bureaux partagés, ainsi que la limitation des déplacements professionnels pour faire des économies, sont les principales causes de la baisse des accidents de trajet.
Mais l’augmentation du télétravail engendre d’autres risques. Ainsi, nous déplorons la suppression du contrôle de l’ergonomie et de l’installation électrique du poste de travail qui était faite au domicile du salarié. Une mauvaise installation est pourtant source d’accident, de troubles musculosquelettiques (TMS) et de pathologie du dos qui, en plus des conséquences sur la santé du salarié, ont un coût pour la sécurité sociale.

Ces remarques sont aussi valables sur site, car l’immense majorité des bureaux au TCR et au CTA ne sont pas ou peu adaptés au travail prolongé sur écran. L’ergonomie de la table est défaillante (pas de réglage de la hauteur), ainsi que celle du fauteuil (manque de réglages pour le dos et les jambes). A ce jour, c’est au salarié de demander une étude de son poste de travail, ce que la plupart des salariés ignorent.

Le télétravail fait aussi entrer davantage la vie professionnelle dans la vie privée. Or le respect de cet équilibre est délégué au salarié. L’employeur se limite à lui donner de « bons conseils ». L’employeur pourrait pourtant prendre des mesures comme le contrôle, voire l’interdiction de se connecter aux outils informatiques de l’entreprise le soir, le week-end et durant ses congés (sauf dérogation exceptionnelle).
Ce déséquilibre vie professionnelle/vie privée fait partie des risques psychosociaux (RPS), et a aussi un impact sur la santé des salariés et sur les dépenses de la sécurité sociale.

Renault comme de nombreuses entreprises bénéficie déjà d’une profusion d’exonérations de cotisations sociales. Ce n’est pas la peine d’en rajouter avec une minoration de la cotisation des accidents de trajet [2].

Les baisses de cotisations sociales engendrent un manque à gagner pour la sécurité sociale, que les assurés paient au final par une baisse des prestations.
Pour toutes ces raisons, les élus SUD voteront contre la demande de ristourne CRAMIF.
 

Résultats des votes :

  • 26 Pour (CFE-CGC, CFDT, FO)
  • 9 Contre (SUD, SM-TE, CGT)

Notes

[1] La CRAMIF – Caisse Régionale d’Assurance Maladie d’Ile-de-France – peut accorder des ristournes aux établissements qui ont pris des mesures susceptibles de diminuer la fréquence et la gravité des accidents du travail et des maladies professionnelles et/ou des accidents du trajet. Plus d’infos sur le site de la CRAMIF.

[2] L’an dernier, la ristourne CRAMIF a représenté pour les établissements Renault d’Ile-de-France plus de 1,4 millions d’euros d’exonération de cotisations sociales, soit autant de recettes en moins pour la Sécurité Sociale.

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Ressources juridiques

Faire des accidents du travail dans l’entreprise un enjeu collectif

RENDRE VISIBLES LES ACCIDENTS DU TRAVAIL DANS LES ENTREPRISES

La plupart du temps les accidents du travail sont considérés de façon isolée, sous l’angle individuel, sous l’angle des risques du métier et des risques professionnels voire comme des faits divers. Alors qu’ils vont parfois laisser des traces durables voire irréversibles sur l’état de santé des salarié·es, ils ne sont guère rendus visibles dans l’espace professionnel.
Or l’invisibilité des accidents du travail a des conséquences pour les victimes ainsi que sur la prévention des risques professionnels. Ainsi tout accident survenu sur le lieu de travail devrait être un signal d’alerte sur les conditions de travail, l’occasion d’interroger les conditions dans lesquelles il s’est produit, les raisons qui ont conduit à sa survenue afin d’éviter qu’il ne se reproduise. Cela nécessite d’enquêter, de questionner l’organisation du travail, les conditions dans lesquelles exerce le ou la salarié·e (son statut, sa formation…) et donc d’en faire une question collective.

Pour cela il est nécessaire que le syndicat et le Comité social économique (CSE) s’investissent dans le suivi et la mise en visibilité des at- teintes à la santé d’origine professionnelle ainsi que des risques d’éviction du poste ou de l’emploi qui peuvent s’ensuivre. Cela nécessite un travail de proximité avec les salarié·es pour qu’ils et elles déclarent chaque acci- dent survenu par le fait du travail et obtiennent réparation, pour qu’ils et elles résistent aux pressions de l’employeur ou de l’encadrement qui pour éviter une augmentation de leur taux de cotisation1, vont tout mettre en œuvre pour les dissuader de faire une déclaration. L’accompagnement lors de la reprise du travail est aussi essentiel pour favoriser le reclasse- ment le cas échéant et pour éviter les rechutes ou l’aggravation de l’état de santé.

Il est aussi important de redonner dans l’entreprise une visibilité aux victimes, à leur parcours parfois très compliqué pour recouvrer leur état de santé, aux incapacités temporaires ou permanentes qui peuvent s’en suivre et entraver leur parcours professionnel d’une manière durable.

Ensuite, il reviendra au CSE d’agir pour que l’accident du travail devienne dans l’entreprise un fait social qu’il faut questionner collectivement en analysant ses causes organisationnelles et structurelles. Pour supprimer et réduire les risques du travail, il est essentiel de développer localement des capacités d’action individuelles et collectives sur le travail et son organisation et d’obtenir de l’employeur le respect de ses obligations légales en matière de santé et de sécurité au travail.

La question des accidents doit être abordée sous l’angle de la réparation (individuelle) et de la prévention (collective). Les équipes syndicales doivent appréhender ces questions en tenant compte de différents éléments. Il faudra s’interroger sur qui sont ces salarié·es accidenté·es (des hommes, des femmes qui le plus souvent occupent les emplois les moins qualifiés ou les emplois précaires) en sachant que le risque de se blesser au travail n’est pas le même pour toutes et tous. Il faudra également interroger les causes des accidents en dépassant les à priori des employeurs, qui le plus souvent les abordent sous l’angle technique, sur les règles de sécurité qui n’auraient pas été respectées. Dans ce prolongement, la prévention pour l’employeur passe uniquement par d’autres mesures de sécurité et le changement de comportement des salarié·es. Or nous devons mettre un terme à ces approches essentiellement techniques et/ou individuelles et placer l’organisation du travail au centre de nos réflexions.

Rendre visibles les accidents du travail et les accidenté·es du travail dans les entreprises, c’est rendre visibles les risques professionnels et les mauvaises conditions de travail.

Cette brochure est un outil destiné aux équipes syndicales pour leur donnerlesmoyensd’agirsyndicalementsurlesconditionsdetravail,inciter lessalarié·esàsignalertouteslesatteintesàleursantéenlienavecleurtravail, réduire les risques professionnels.
Nous pensons que là où c’est possible, il pourrait être intéressant de lancer
dans l’entreprise,dans un service ou unatelier une campagnepour luttercontrelesaccidentsdutravailenyassociantlessalarié·es.
Nous
avonsfaitlechoixden’aborderquelesaccidentsdutravail,les maladiesprofessionnellesétantplusdifficilesàappréhenderetfaisantappel à d’autres notions beaucoup plus complexes. Nous utiliserons toutefois le termeAT/MPpourmontrerquecertainesrèglesoudispositionssontcommunes à l’accident et à la maladie professionnelle.

Sommaire

INTRODUCTION
Rendre visibles les accidents du travail dans l’entreprise

CHAPITRE 1
Les obstacles à la déclaration des accidents du travail

CHAPITRE 2
Qu’est-ce qu’un accident du travail ?

CHAPITRE 3
Comment et pourquoi déclarer les accidents du travail ?

CHAPITRE 4
La reprise après un accident du travail

CHAPITRE 5
Les pratiques syndicales à développer autour des accidents du travail

ANNEXES

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antifascisme En grève !

Après les législatives, nos luttes feront toutes les différences !

L’Union syndicale Solidaires, indépendante de tout parti politique, retient plusieurs éléments de ce scrutin :

  • Les élections législatives ont été marquées par une abstention extrêmement massive qui montre l’affaiblissement croissant de la démocratie représentative.

  • La forte progression de l’extrême-droite en nombre de député-es est très inquiétante. Alors qu’il avait été élu en 2017 avec la promesse de combattre l’extrême droite, le président de la république, ses ministres et député·es en portent une lourde responsabilité. En multipliant les mesures antisociales, ils ont favorisé le désespoir. En adoptant des lois liberticides, ils ont couru après le discours et le projet de société de l’extrême-droite. Par ailleurs, on ne peut renvoyer dos à dos un parti raciste et une autre force politique, créer des amalgames, sans salir le débat public et s’esquiver ensuite de la responsabilité d’avoir facilité l’élection de députés d’extrême droite.

  • Les urnes ont confirmé l’élection de deux ministres accusés de violences sexuelles. Pour Solidaires, l’écoute réelle de la parole des femmes et la lutte contre les violences sexistes et sexuelles a encore un long chemin à faire. Le choix de maintenir de telles personnes au gouvernement marque là aussi le déni de cette lutte essentielle par le pouvoir macronien.

  • Un pas en arrière pour la parité en politique avec 37% de femmes élues députées à l’issue des législatives (soit un recul de 2% par rapport à 2017).

Pour l’Union syndicale Solidaires, les priorités sont sociales, écologiques, elles sont de construire l’égalité contre les discriminations et les dominations multiples.

Face à l’inflation, il faut une hausse immédiate du SMIC pour le mener à 1700 euros net, avec un alignement des pensions de retraites et des minimas sociaux sur ce minimum. Nous revendiquons une hausse de 400 euros par mois pour toutes et tous, avec une limitation de l’échelle des salaires de 1 à 5. Nous exigeons l’égalité salariale réelle pour les femmes et les hommes.

Nous sommes pour la retraite à 60 ans, avec 37,5 annuités de cotisations. Nous lançons la campagne “Partageons le travail” qui va permettre d’aller à partir de cet été vers nombre de travailleuses et travailleurs pour échanger sur ce sujet et porter des solutions.

Nous n’attendons pas grand-chose d’une assemblée dont le centre de gravité risque de se porter encore plus vers des projets ultra-libéraux, contre les intérêts de la grande majorité des salarié·es, ceux des chômeurs·euses, retraité·es, étudiant·es et satisfaire les intérêts des puissants et des riches.

Nous devons avant tout compter sur nous-mêmes. Pour nous défendre au quotidien et ne pas rester isolé·e, se syndiquer est une première étape. Ensuite, c’est par nos actions, nos luttes, indépendantes, unitaires et auto organisées que nous ferons toutes les différences. Ils ont le pouvoir et les milliards ? Nous sommes des millions !

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