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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Actu Solidaires 78 Luttes féministes Revue de presse Vidéo

8 mars, FFFRAC sur le pont dans le Mantois… et à Paris

8 Mars FFFRAC, à l’aube à Mantes la Jolie, puis à la gare en opération “la rue elle est à qui ?” puis manif parisienne…

contact: fffrac@protonmail.com

Revue de presse

Article sur le site 78actu.fr

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Actu Solidaires 78 Éducation

Lycée Rostand : Rendez-nous notre poste de CPE et notre 1/2 poste d’infirmière

Vendredi 5 mars 2021, le lycée Jean Rostand de Mantes-la-Jolie a appris que dans un contexte déjà difficile, il allait perdre 1 poste de CPE et 1/2 poste d’infirmière à la rentrée prochaine. Les personnels sont outrés par la négation des réalités de terrain de la part de leurs autorités. La CPE dont le poste est menacé s’est immédiatement mise en grève de la faim pour protester contre cette mesure scandaleuse.

La seule réponse pour l’instant des autorités de l’Éducation Nationale, c’est d’affirmer que lycée (dont le statut ZEP a été démantelé en silence ces dernières années) est désormais “surdoté” par rapport à d’autres établissements, et que les Yvelines devaient “rendre 3 postes” de CPE aux autres départements dans le cadre d’un “redéploiement” de moyens sur l’Académie de Versailles (un poste de CPE perdu à Mantes, un à Sartrouville et un à Chanteloup-les-Vignes). Les missions éducatives et sociales des personnels sont fragilisées par leur propre institution et l’encadrement indispensable des élèves est condamné à se dégrader encore, en pleine pandémie – c’est inacceptable !

Après la fermeture d’une section Gestion Administration au lycée en janvier (4 enseignants expérimentés et investis sacrifiés à terme), une dotation globale en baisse (avec des postes d’enseignants supprimés), et la destruction tacite de son statut ZEP, le lycée Jean Rostand de Mantes est mis à mal par ses propres autorités académiques :

DÉFENDONS LES MOYENS D’ENCADREMENT DES ÉLÈVES AU LYCÉE JEAN ROSTAND DE MANTES-LA-JOLIE ! EXIGEONS LE MAINTIEN DES POSTES DE CPE ET D’INFIRMIÈRES ! SOUTENONS LA CPE EN GRÈVE DE LA FAIM QUI DEMANDE À POUVOIR CONTINUER SON TRAVAIL AU LYCÉE !

Voir en ligne : Pour signer la pétition

Pétition lancée par les représentants parents (MVE et LIPEV) et enseignants au CA du lycée Jean Rostand, Mantes-la-Jolie (78)

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Actu Solidaires 78 Éducation

Communiqué Sud éducation 78 : Numérique pédagogique : c’est de pire en Pix…

Par deux arrêtés publiés en 2019 (1), le ministère a remplacé le B2i (Brevet informatique et internet) par la certification Pix, dans le but d’aligner la France sur un cadre européen de certification. Avec ce changement, pas question de réfléchir à une pédagogie critique du numérique, qui donnent les moyens aux élèves de comprendre les tenants et les aboutissants des technologies et de leurs usages, adossée à des moyens suffisants. Non, ici, il s’agit de la création d’un cadre de référence des compétences numériques, à la manière du TOEIC pour l’anglais, valable dans le cursus scolaire et surtout reconnue par le monde professionnel.

Pix, en plus d’être une certification, est un groupement d’intérêt public, une structure de droit public créée ad hoc par les décideurs pour centraliser la certification et une partie de la formation des « stagiaires » (qui peuvent s’entraîner sur la plateforme). Plutôt qu’un approfondissement de la prise en charge en interne à l’Éducation Nationale de la pédagogie du numérique (dans le cadre de l’EMI par exemple, que le ministre n’évoque pas), on l’externalise à Pix. On connaît la manœuvre : après l’externalisation, on pourra ensuite très facilement privatiser, comme on l’a fait avec la restauration et l’entretien (C’Midy, qui dépend de la Sodexo).

Pix évalue des compétences, et de ce qu’on peut en voir sur la plateforme, ce sont des compétences ponctuelles et saucissonnées d’informatique de base, d’exécution de tâches courantes, d’identification d’éléments du paysage numérique… Les élèves cliquent, sous forme de quiz, et passent à la suite. Et dans ce bachotage taylorien, le tout-venant du web y passe : il faut identifier des logos des réseaux sociaux et des multinationales du numérique, savoir où cliquer pour utiliser Instagram… Et dans le cas d’une remédiation, on peut être renvoyé vers des chaînes YouTube monétisées ! Belle éducation au numérique !

Les compétences numériques évaluées sont celles « dans les enseignements prévus par les programmes », mais aussi, celles « acquises tout au long de la vie, grâce à la formation continue, voire individuellement et de façon informelle ». Pix, pédagogiquement, c’est donc du lourd : un organisme indépendant du ministère qui forme et certifie les élèves sur des compétences pouvant être acquises complètement en dehors du cadre scolaire.

Comme toujours, le pilotage est complètement descendant. Officiellement, « le chef d’établissement organise la passation de cette certification sur la plateforme en ligne », mais dans les faits, ce seront encore les personnels qui vont exécuter. La gestion verticale, la déconnexion avec les contenus vus en classe au profit du bachotage, l’inadéquation par rapport au matériel disponible ou aux demandes des personnels, le caractère contraignant (passation obligatoire), tout cela rappelle furieusement les évaluations nationales…

Cette vision managériale du numérique pédagogique s’inscrit complètement dans la logique entrepreneuriale du gouvernement : contrats passés entre le ministère de l’Éducation et les GAFAM, déshumanisation de la relation d’enseignement, court-circuitage du rôle des personnels au profit d’intervenants extérieurs…

Nous ne pouvons donc que dénoncer cette vision, appeler à refuser de faire passer Pix, et nous revendiquons :

→ une augmentation de traitement à hauteur réelle des besoins d’équipement informatique, à tous les personnels ;
→ des investissements pour que les établissements puissent travailler avec du matériel de qualité en quantité suffisante ;
→ le renforcement de la formation au numérique pédagogique pour les personnels et les élèves, notamment dans les disciplines dédiées, et fondée sur des logiciels libres : logiciels dont l’utilisateur a le contrôle et qui peuvent ainsi être indépendants des GAFAM ;
→ la prise en charge en interne par l’Éducation Nationale des compétences numériques, sur la base de solutions développées dans un objectif pédagogique, et l’arrêt de toute politique d’externalisation de ces compétences.

(1) Arrêté du 30 août 2019 relatif à la certification Pix des compétences numériques définies par le cadre de référence des compétences numériques mentionné à l’article D. 121-1 du code de l’éducation et Arrêté du 30 août 2019 relatif à l’évaluation des compétences numériques acquises par les élèves des écoles, des collèges et des lycées publics et privés sous contrat

Pour télécharger le communiqué :

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Actu Solidaires 78 Automobile Luttes féministes

Sud Renault 8 mars : une égalité réelle plutôt que des fleurs…

Le 8 mars, il est d’usage de distribuer des fleurs aux femmes : une démarche symptomatique des préjugés sexistes de notre société.

Le 8 mars est en fait la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes. Une lutte de tous les jours pour obtenir une égalité réelle et effective entre les femmes et les hommes au travail, dans la vie privée et dans la société. La lutte pour les droits des femmes est inscrite dans les valeurs fondamentales du syndicat SUD Renault.

La proposition d’une « Journée internationale des femmes » en 1910, apparaît lors de la conférence internationale des femmes socialistes, elle s’inscrit dans une perspective révolutionnaire. Avec la grève des ouvrières de Saint-Pétersbourg en 1917, la tradition du 8 mars se met en place. Puis cette date devient progressivement internationale jusqu’à son inscription par l’ONU comme Journée internationale des femmes en 1977. C’est une journée de manifestations à travers le monde, l’occasion aussi de faire un bilan. Ne laissons pas galvauder le sens de cette journée et continuons la lutte pour préserver des acquis sans cesse remis en question, et gagner de nouveaux droits. Jusqu’à ce que l’égalité entre les femmes et les hommes soit réellement effective.

Plus d’infos sur grevefeministe.fr

Contact Sud Renault :

SUD RENAULT GUYANCOURT – AUBEVOYE – VELIZY

1, av du Golf – TCR LOG 0 23 – 78084 Guyancourt cedex

TCR : 01.76.83.22.93 / 06.84.15.73.06

CTA : 01.76.87.63.09 /06.04.18.63.89

www.sudrenault.org

sud.guyancourt@renault.com

sud.aubevoye@renault.com

sud.tcr@orange.fr

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Actu Solidaires 78 antifascisme Défense de nos libertés

Marche des Familles de victimes de violences policières

La marche (nationale) annuelle des familles et blessé-es contre les violences policières, organisée par les collectifs des familles aura lieu le 20 mars 2021 dans de nombreuses villes de France et à 13h12 à Paris.

Appel Stop à l’impunité ! du réseau d’entraide vérité et justice avec les familles de victimes, des blessé·e·s et des mutilé·e·s.

Tract de la Marche de Solidarité dont Solidaires est membre : “On étouffe, de l’air”.

Documents à télécharger

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Actu Solidaires 78 Défense de nos libertés

Pour le rétablissement et la sauvegarde des libertés individuelles et collectives…

Pour la démocratie, seule garantie du droit d’expression et d’action des citoyens

Le 2 décembre 2020, le gouvernement a publié en catimini, trois décrets autorisant l’organisation d’un fichage généralisé de la population, depuis l’état de santé jusqu’à la situation financière ou familiale, en passant par les opinions politiques, religieuses ou syndicales. Il n’y a aucune restriction.

Tout le monde est potentiellement concerné

!A cela s’ajoutent deux projets de loi, actuellement en cours d’examen: la loi dite de «Sécurité globale» et la loi dite «contre le séparatisme». Cette dernière, annoncée le 2 octobre aux Mureaux par le Président de la République, en stigmatisant une population, aujourd’hui les musulmans ou supposés tels, cherche à diviser la société, faire diversion et imposer les atteintes aux droits de tous.

Ces projets bouleversent l’équilibre des grandes lois de liberté mises en place à la fin du 19ème et au début du 20ème: sur la liberté de la presse, les libertés communales, l’instruction gratuite et obligatoire, la liberté syndicale, la liberté d’association … et la liberté de conscience, dont la liberté religieuse, par la loi de 1905 de séparation des églises et de l’État.

La situation sanitaire que nous vivons est complexe, anxiogène et facteur d’injustice. Elle mérite des mesures exceptionnelles en faveur du système de soin et non l’état d’urgence restrictif des libertés individuelles et collectives. Non seulement, le gouvernement s’est montré dépassé dès le début par la crise sanitaire mais il refuse de tirer le bilan et les leçons de ses actions. Il en porte pourtant la responsabilité et il a contribué à la gravité de la situation actuelle.Il a multiplié les actes de répression: contre le mouvement des gilets jaunes, les syndicalistes, le smanifestants, les jeunes scolarisés mobilisés pour leur avenir contre Parcours Sup, les soignants demandant des moyens, dès avant l’épidémie et après les confinements.Sans oublier les acteurs et salariés du monde culturel, de la restauration, les étudiants, les enseignants, … qui sont laissés pour compte…

De nombreuses catégories sociales sont considérées par le gouvernement comme des empêcheurs d’accumuler les richesses et des forces hostiles alors que chacune exprime ses besoins et contribue à la vie de la société. C’est pour cela qu’il y a urgence.

Nous assistons à une dérive grave, dangereuse, liberticide et autoritaire que nous ne pouvons ni ignorer, ni tolérer. Les associations soussignées décident d’alerter et de mobiliser la population, d’agir ensemble pour l’arrêt de ces dérives et d’interpeller les autorités et les élus.

Nous rappelons les manifestations prévues à Paris (sous réserve: se renseigner avant):

•mardi 16 mars à 16 h, jour de l’arrivée de la proposition de loi « Sécurité globale » en séance, devant le Sénat, square Francis Poulenc

•samedi 20 mars à 14 h, lors des marches des collectifs de familles et victimes de violences policières, de la place Edmond-Rostand vers Bastille.

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Actu Solidaires 78 Éducation

10 mars : mobilisation des personnels de l’éducation contre les fermetures de classes et de postes…

A l’appel d’une intersyndicale départementale (CGT-éduc’action 78, SNES-FSU 78 et Sud éducation 78) une soixantaine de personnels se sont réunis – malgré le vent glacial… – devant les locaux de la Direction départementale des services de l’Education nationale à Guyancourt.
Des délégations de plusieurs établissements de Sartrouvile, du Mantois, de Saint-Quentin en Yvelines – dont certains en grève reconductible – ont tenu à dénoncer les conditions inacceptables dans lesquelles se prépare la rentrée 2021 dans le département.

Le coûte que coûte n’est plus qu’un lointain souvenir, comme dans les hôpitaux c’est le retour à l’anormal, à la logique marchande et comptable, aux petits arrangements pour rogner toujours plus sur le service public d’éducation.

Conséquence : ce n’est pas le virus qui ferme les classes et les écoles, c’est bien le ministre Blanquer !

Extrait du communiqué intersyndical :

Après la « revalorisation-fantôme », le gouvernement fait le choix de dégrader encore plus nos conditions de travail, sans aucune prise en compte du contexte sanitaire qui nécessiterait pourtant que les moyens soient renforcés pour améliorer les conditions d’apprentissage des élèves, après deux années scolaires fortement impactées par la pandémie.
Aucune création de postes de CPE, d’assistants sociaux, de psychologues, de personnels de santé scolaire, et d’administratifs n’est prévue au budget, alors que la crise sanitaire a mis en lumière le besoin criant de ces personnels sur le terrain, et la nécessité de renforcer leur présence.
Rien n’est prévu non plus pour soulager la lourde tâche pesant sur les Vies Scolaires, et pour mieux protéger les AED et les AESH, particulièrement exposés dans l’exercice quotidien de leurs missions.

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Actu Solidaires 78 Énergie Revue de presse

Une victoire contre l’amiante à EDF Porcheville

Nous avons rencontré Philippe, agent EDF à la centrale de Porcherville et récemment retraité


Solidaires 78 – Tu  fais partie des 21 agents ayant obtenu réparation à EDF. Peux -tu expliquer pourquoi ?

Philippe – Des salariés de la centrale EDF de Porcheville,  dont le démantèlement a commencé en 2018,  viennent de remporter une victoire importante devant la justice au bout de 7 années de procédure. Exposés  à l’amiante durant leur activité professionnelle, la justice leur a accordé le préjudice d’anxiété.

Solidaires 78 – Peux-tu rappeler ce qu’est l’amiante et ses dangers …?

Philippe – Dorénavant surnommée la fibre tueuse, l’amiante est un produit naturel connu depuis l’antiquité. La principale exploitation « française » située  à Canari sur  l’Ile de beauté a extrait ce poison jusqu’en 1965. Réputée pour ses propriétés isolantes et incombustibles  et son faible coût,  elle est massivement utilisée sous forme de flocage, faux plafond, fibro-ciment  pour les  toitures ou  les conduites d’aération et même pour les revêtements de sol. Il y en a partout : industrie,  bâtiments, écoles. On peut aussi en trouver  dans nos propres logements. Ce matériau a été abondamment utilisé dans les centrales  électriques pour isoler les circuits aux températures élevées pouvant  dépasser les 500 degrés.Alors que sa dangerosité  est connue depuis la fin du 19ème siècle il a fallu attendre 1997 pour que son utilisation soit interdite en France. Le lobby patronal de l’amiante a tout fait pour ralentir son interdiction.

Solidaires 78 – Qu’en est-il pour la santé ? 

Philippe – Ses micro fibres 500 fois plus fines qu’un cheveu se logent au plus profond de l’appareil respiratoire provoquant des affections pouvant aller jusqu’au cancer. Il n’y a pas d’effet dose,  une exposition à  quelques fibres peut suffire à provoquer une maladie irrémédiable apparaissant de  20 à 40  ans après l’exposition. A partir des années 90, éclatent au grand jour les premiers scandales liés à l’amiante, le nombre de morts augmente. Au total 100 000 morts sont attendus en France à l’horizon 2025, la  plus grande catastrophe sanitaire de l’histoire récente.

Solidaires 78 – Et à Porcheville ?

Philippe – A la centrale de Porcheville, les salarié.es Edf de la maintenance ou de la conduite des installations (en 3X8) et des  sous-traitants ont été exposés à ce poison sans aucune connaissance du risque et sans aucune protection respiratoire pendant des décennies.Dans le courant des années 90, les représentant.es en CHSCT commencent une bataille acharnée pour exiger la mise en œuvre de moyens de protection : traçage des expositions, suivi médical renforcé, le repérage et le désamiantage progressif.  De nombreux salariés sur la centrale sont victimes d’affections liées à l’exposition à l’amiante : cela génère un profond traumatisme pour les personnes malades et leur famille mais aussi pour les collègues non encore affecté.es, ce qui engendre chez eux un syndrome d’anxiété … A partir de 50 ans l’angoisse augmente et c’est la peur au ventre que certain.es collègues se rendent à leur examen scanner  amiante, préalable à la visite du pneumologue.
En 2005 la disparition de  notre collègue Serge  à peine âgé de 53 ans,  empoisonné par l’amiante, a créé un traumatisme encore palpable aujourd’hui.  Au total des dizaines de collègues ont développé des pathologies liées à l’amiante, plusieurs sont décédés.

Solidaires 78 – Quelle a été l’action des salarié.es, leurs familles et  votre syndicat CGT ? 

Philippe – Certaines victimes ou familles, veuves, enfants, ont engagé des procédures en justice pour faire condamner l’entreprise pour faute inexcusable d’avoir exposé leur salarié.es. La famille de Serge avait obtenu la condamnation d’EDF et 200 000 euros de dommages.La procédure pour préjudice vise à faire reconnaître l’exposition à l’amiante et obtenir une indemnité pour le salarié anxieux à l’idée qu’on lui diagnostique un cancer après avoir travaillé au contact de l’amiante.Suite au travail de recensement  de la CGT  sur différentes centrales  thermiques du territoire, 108 dossiers sont déposés par le cabinet d’avocat, dont  24 sur Porcheville (3 dossiers ont été recalés faute d’éléments suffisants).Compte tenu du nombre important de dossiers, les procédures ont été disjointes selon les sites concernées. Porcheville, Vitry sur Seine, Champagne sur Oise pour les centrales franciliennes.
L’arrêt rendu par la cour d’appel de Paris le 3  février 2021  est une victoire d’étape importante pour les salarié.es  de Porcheville,  même si elle n’est pas encore définitive, car Edf peut se pourvoir en cassation. Mais c’est aussi une bataille collective engagée nationalement par plusieurs organisations syndicales en lien avec l’Andeva (Association Nationale de Défense des Victimes de l’Amiante) qui vise à obtenir réparation mais aussi pour maintenir l’attention de l’opinion publique, des pouvoirs publics et  faire pression sur les employeurs afin que ce matériau soit éradiqué.L’objectif suivant est l’obtention de l’ouverture d’un procès au pénal afin que les responsables soient jugés,  pour que justice et vérité  éclatent. C’est le sens de la pétition lancée par l’Andeva : http://andeva.over-blog.com/2021/03/justice-pour-les-victimes-de-l-amiante.html
 

Voir aussi l’article sur le site 78Actu.fr

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Actu Solidaires 78 Luttes féministes

Solidaires 78 – 8 mars : journée internationale de lutte pour les droits des femmes

La lutte continue – Quelques situations, de secteurs d’activités bien différents, démontrent que l’égalité professionnelle est encore un combat à mener au quotidien !!!

8-mars-2021-n3

Attestations de déplacements pour rentrer de la manif parisienne :

Livret de chants et de slogans pour la manif :

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