En 4 jours de collecte, organisée par Sud Stellantis Poissy, les salariés de PSA Poissy ont donné 4 700 €, un record, pour la caisse de grève des salariés en lutte de MA France, usine d’emboutissage d’Aulnay-sous-Bois.
Merci à tous !
Depuis près de 5 semaines, ces salariés se battent contre la fermeture de leur usine. Cette mobilisation est aussi la nôtre ! …
Un article à lire sur le site Ballast pour (re)penser la grève et notre syndicalisme…
« La grève ne se décrète pas, elle se construit. » Souvent entendue dans les AG, parfois critiquée, la formule reste pourtant plus que jamais d’actualité — n’en déplaise à certaines organisations dont le fonds de commerce consiste à taper sur les organisations syndicales en lançant des appels à la grève générale malgré leur peu d’assise chez les travailleurs. Les mobilisations sociales de ces dernières années ont fait apparaître la difficulté à organiser des grèves massives de nature à faire plier le pouvoir. Pour retrouver« les outils nécessaires à la construction d’une grève générale », Loez, membre de notre rédaction, soutient dans cet article qu’une des pistes pourrait être de changer le regard sur cette forme de lutte, qui reste l’arme de prédilection des travailleurs dans la guerre sociale.
Cet épisode d’Écoutes Émancipées est consacré à l’entretien de Gabriel Rosenman, doctorant à l’EHESS, par Antoine Chauvel, militant de l’école émancipée. Il revient sur l’histoire des caisses de grève et sa centralité actuelle.
C’est l’occasion de s’interroger sur les priorités financières des syndicats : faut-il réduire les dépenses courantes du syndicats (locaux, salaires des permanents) pour garder des moyens pour soutenir les grévistes ?
Les organisations CGT- FO – FSU – Solidaires – FIDL – MNL – UNEF – UNL affirment l’urgence d’augmenter le SMIC et les grilles de classifications, le point d’indice de la Fonction Publique, les pensions, les minima sociaux et les bourses d’études. Elles appellent les femmes et les hommes de toutes les professions, les jeunes, les retraité.es à se mobiliser, le 5 octobre, par la grève et les manifestations, pour obtenir de meilleurs salaires, pour leurs emplois et leurs droits et une meilleure protection sociale. D’ores et déjà, elles décident de se revoir à l’issue de cette mobilisation.
Notre tract concernant la construction de la mobilisation du 5 octobre
Le tract de Solidaires Fonction publique
Le Communiqué intersyndical du 30 août 2021 appelant au 5 octobre
Les organisations syndicales CGT- FO – FSU – Solidaires – FIDL – MNL – UNEF – UNL réunies le 30 août appellent à la mobilisation de l’ensemble des travailleur-ses du secteur privé et public, et la jeunesse, le mardi 5 octobre 2021.
Elles rappellent qu’elles ont mis en garde le gouvernement, au début de l’été, face à ses projets de régression sociale. Elles ont, à cette occasion, formulé des solutions économiques et sociales pour sortir de la crise sanitaire.
Elles s’opposent à ce que la situation sanitaire soit utilisée par le gouvernement et le patronat pour accélérer la remise en cause des droits et des acquis des salarié-es et des jeunes. L’élargissement et l’accélération indispensables de la vaccination demandent de renforcer l’accès à la santé, les moyens de l’hôpital public et de la médecine du travail. Cela nécessite de convaincre et de rassurer, et non de sanctionner les salarié-es.
En cette rentrée, l’emploi est une des préoccupations essentielles des jeunes et du monde du travail. La précarité est en forte hausse, et malgré une opposition unanime, la mise en œuvre de la réforme de l’assurance chômage reste d’actualité. Le retour de la réforme des retraites que nous avons combattue et empêchée revient à l’ordre du jour. Gouvernement et patronat veulent imposer de nouveaux reculs sur les retraites. Le chômage partiel a provoqué la plupart du temps des baisses de rémunération importantes. Trop de salarié.es, notamment les travailleurs-ses particulièrement exposé-es et dits de « 2ème ligne », maintenu.e.s à de bas salaires ne voient aujourd’hui aucune perspective d’amélioration. Les agent.e.s de la fonction publique attendent toujours et depuis des années des mesures salariales à la hauteur de la perte de leur pouvoir d’achat. Les jeunes ont vu l’investissement dans les aides directes baisser ces dernières années. Le dernier recul en date étant la suppression du repas à 1 euro pour toutes et tous, dont nos organisations réclament le rétablissement.
C’est pourquoi elles exigent :
• L’augmentation des salaires, • l’abandon définitif des contre-réformes des retraites et de l’assurance chômage, • un vrai travail avec un vrai salaire pour toutes et tous et l’égalité professionnelle femmes/hommes ; • la conditionnalité des aides publiques selon des normes sociales et environnementales permettant de préserver et de créer des emplois ; • l’arrêt des licenciements et la fin des dérogations au Code du travail et garanties collectives. • un coup d’arrêt à la précarisation de l’emploi et à la précarité des jeunes en formation et une réforme ambitieuse des bourses ; • la fin des fermetures de services, des suppressions d’emplois, du démantèlement et des privatisations dans les services publics et la fonction publique et le renforcement de leurs moyens ; • Le rétablissement de tous les droits et libertés pour la jeunesse comme pour le monde du travail.
Les organisations CGT- FO – FSU – Solidaires – FIDL – MNL – UNEF – UNL affirment l’urgence d’augmenter le SMIC et les grilles de classifications, le point d’indice de la Fonction Publique, les pensions, les minima sociaux et les bourses d’études. Elles appellent les femmes et les hommes de toutes les professions, les jeunes, les retraité.es à se mobiliser, le 5 octobre, par la grève et les manifestations, pour obtenir de meilleurs salaires, pour leurs emplois et leurs droits et une meilleure protection sociale. D’ores et déjà, elles décident de se revoir à l’issue de cette mobilisation.
->Au vu de la non reconnaissance de la direction envers les manipulateurs radio du CHIMM,
->Au vu de l’absence de réponse constructive de la direction depuis 2 ans de réclamations,
->Au vu de la non application de la réglementation par la direction concernant la prime buzyn,
->Au vu de la volonté délibérée de la direction de ne rien attribuer aux manipulateurs en reconnaissance de leur implication dans l’hôpital malgré un sous effectif marqué,
->LES MANIPS DISENT STOP !!! LANCENT UNE GREVE ILLIMITEE, ET ATTENDENT UNE REMISE EN QUESTION DE LA DIRECTION
L’application du décret n°2019-1343 du 11 décembre 2019 dite, « Prime Buzyn » élargi aux manipulateurs radios.
Attribution de la prime “activité privée” en vigueur dans le service d’imagerie du Centre Hospitalier Intercommunal de Poissy-Saint-Germain-en-Laye (CHIPS).
Attribution d’une prime tutorat pour l’ensemble des manipulateurs encadrant des élèves manipulat-trices-eurs.
Embauches de manipulat-rices-eurs afin de renforcer l’équipe en sous-effectif depuis 2019.