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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Actu Solidaires 78 Agriculture antifascisme antimilitarisme Défense de nos libertés Écologie Répression

Solidaires des camarades victimes de la violence de l’État policier

Voici les interventions lues lors du rassemblement contre les violences policières du 30 mars devant la sous-préfecture de Mantes-la-Jolie

Solidarité pour les proches de Serge et de blessés de Ste Soline

https://www.helloasso.com/associations/association-la-sellette/collectes/solidarite-pour-les-proches-de-serge-et-de-blesses-de-ste-soline


Déclaration de l’Union syndicale Solidaires 78

Notre Union Syndicale appelle à rejoindre les rassemblements contre les violences policières et la répression d’État partout en France.
Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, engage une procédure de dissolution envers « l’association » Les Soulèvements de la Terre, pilier de la résistance face aux projets écocidaires comme les méga bassines.
« Les Soulèvements de la Terre » ne sont pas une association.
C’est une coalition qui regroupe des dizaines de collectifs locaux, de fermes, de syndicats et de sections syndicales, d’ONGSs, à travers le pays.
Mais peut-être que dans sa montée d’autoritarisme actuelle, le gouvernement rêve de « dissoudre » une bonne partie de l’opposition écologique, sociale et syndicale du pays.
Celle-ci a le tort de lui faire front dans les manifs dans les quartiers, dans les campagnes, au travail et sur les piquets de grève Son régime politique semble aujourd’hui réduit à l’exercice de la matraque.

Le ministère de l’intérieur préfère ainsi s’attaquer à la résistance au glyphosate plutôt qu’aux lobbies agro-chimiques, aux paysannes et paysans solidaires plutôt qu’à l’agro-industrie destructrice de la nature, à la jeunesse écologiste plutôt qu’à l’accaparement de l’eau pour une minorité.

Deux jeunes-militants sont toujours-entre la-vie et la mort depuis la manifestation sanglante contre les méga bassines à Sainte-Soline du 25 mars. Toutes nos pensées et amitiés militantes vont à ces personnes et à leurs proches.
Ainsi qu’à toutes les autres victimes de cette violence d’État.
Nous dénonçons la répression faite à celles et ceux qui s’opposent à la privatisation de l’eau et se battent pour le bien commun.
Nous condamnons à nouveau fermement la violence déchaînée des forces de l’ordre à l’encontre des manifestantes et manifestants et exigeons que l’ensemble des violences commises par la police y compris les gardes à vue arbitraires et les entraves aux secours, fassent l’objet des enquêtes nécessaires et que leurs auteurs, autrices et responsables au plus haut niveau soient poursuivis et sanctionnés

Leurs violences policières n’entameront pas la détermination de toutes celles et ceux qui se battent pour une autre société : c’est aujourd’hui une question vitale !

Mantes, le 30 mars 2023


Communiqué des parents de Serge :

Notre fils Serge est actuellement hospitalisé avec un “pronostic vital engagé”, suite à la blessure occasionnée par une grenade GM2L, lors de la manifestation du 25 mars 2023 organisée à Sainte-Soline (79) contre les projets de bassines irrigantes.

Nous avons porté plainte pour tentative de meurtre, entrave volontaire à l’arrivée des secours ; et pour violation du secret professionnel dans le cadre d’une enquête de police, et détournement d’informations contenues dans un fichier de leur finalité.

Suite aux différents articles parus dans la presse, dont beaucoup sont inexacts ou mensongers, nous tenons à faire savoir que :

  • Oui, Serge est fiché “S” – comme des milliers de militants dans la France d’aujourd’hui.
  • Oui, Serge a eu des problèmes judiciaires – comme la plupart des gens qui se battent contre l’ordre établi.
  • Oui, Serge a participé à de nombreux rassemblements anticapitalistes – comme des millions de jeunes dans le monde qui pensent qu’une bonne révolution ne serait pas de trop, et comme les millions de travailleurs en lutte actuellement contre la réforme des retraites en France.

Nous considérons qu’il ne s’agit là nullement d’actes délictueux qui saliraient notre fils, mais que ces actes sont au contraire tout à son honneur.

Les parents de Serge
Le Mercredi 29 mars 2023


Nous ne pouvons vaincre militairement la police, soyons plus malin·gnes qu’elle

vendredi 31 mars 2023, par admin x

Malgré un bombardement médiatique intense qui suit la manifestation de Sainte Soline, visant à faire passer les 30 000 manifestant·es présents pour démonter les bassines pour des criminel·les, et les blessé·es grave pour des bêtes assoiffées de sang, l’élan d’indignation contre les violences policières et de solidarité avec les blessé·es ne retombe pas. Il faut croire que la propagande qui vise à séparer les bon·nes et les mauvais·es manifestant·es ne marche pas aussi bien que le pouvoir le voudrait.

Il faut dire que la situation ne prête pas à la sympathie avec la police ou avec l’État. Récemment, pendant le mouvement contre la réforme des retraites, nous avons connu les arrestations de masse arbitraires à Paris avec tabassage, une travailleuse de l’éducation avec des doigts arrachés à Rouen, un cheminot éborgné à Paris, des flics qui gazent des personnes sur une terrasse de bar à Lille, des blessés sur des blocages de zone industrielle à Boulogne-sur-Mer, des lycéens brutalisés… Les images tournent en boucle, et montrent le visage des chiens de garde d’un État qui n’a plus rien d’autre à proposer que des coups.

Elles font suite à une liste interminable de violences, de mutilations et de meurtres par l’État démocratique et républicain. Les militant·es écologistes, assigné·es à résidence, tabassé·es sur la ZAD, voire tués comme Rémi Fraisse, ou alors réveillé·es par le bruit des bottes à 6h par des nervis anti-terroristes comme en Limousin le 15 juin 2021. Les manifestant·es, depuis la loi travail en 2016, mutilé·es par le bras gauche de l’État, puis par la Macronie triomphante qui en est issue. Dans les cités ouvrières, par les baqueux, aux frontières par les flics de la PAF qui chassent les sans papiers, heureux de faire le plus sale travail du monde.

Alors, dans la période de crise qui est la nôtre, il est important de rappeler que l’État républicain et démocratique, et sa police, n’ont jamais été autre chose. Depuis qu’elle existe, elle mutile, tue, réduit au silence, conspire, terrorise. Ce n’est pas une affaire de bon ou de mauvais ministre ou président. Qu’il soit de gauche, de droite, nationaliste ou populaire, de l’extrême-centre, français, malgache, latino-américain ou algérien, le gouvernement déteste tou·tes les exploité·es qui refusent leur sort dans ce gigantesque camp de travail qu’est le monde capitaliste. Il défend les intérêts d’une classe au pouvoir, bien contente de vivre du labeur des prolétaires. Il n’y a pas de bonne police, ou de bon policier, car il n’y a pas de bon État. « L’État, disait un vieux révolutionnaire, ce n’est, en dernière analyse, qu’une bande d’homme armés », chargés de réprimer tous ceux qui s’opposent aux glacées du calcul égoïste du système capitaliste.

Mais aujourd’hui, il y a dans le fond de l’air un parfum de révolte. C’est celui d’un mouvement social qui déborde et devient incontrôlable. C’est celui d’une jeunesse qui refuse d’aller à l’abattoir qu’on lui promet : trimer jusqu’à crever au milieu d’un monde en ruines. C’est celui d’un soulèvement par mois sur la planète. Aucun gouvernement n’est épargné : gouvernements religieux patriarcaux, gouvernements de militaires rentiers, gouvernements progressistes arc-en-ciel et respectueux de la diversité, gouvernements d’anciens leaders de mouvements populaires, gouvernements d’autoritaires populistes décérébrés.

Revenons-en aux violences policières de l’État français. Nous sommes en train de passer de la douleur, de la sidération et de l’abattement à la colère, à l’action. Alors réfléchissons ensemble.

Nous ne pouvons pas vaincre la police sur le terrain militaire, surtout qu’elle a permis de tuer. En revanche, nous pouvons être plus malin·gnes qu’elle, ce qui, vu les argousins en face de nous, n’est pas forcément hors de portée. Dans le mouvement social, soyons mobiles plutôt que dans le face à face. Soyons à de multiples endroits plutôt qu’à un seul. Masquons-nous pour éviter les caméras ou dissimulons ceux qui passent à l’action. Ne laissons pas nos camarades se faire arrêter. Soyons solidaires avec les condamné·es et les blessé·es, moralement, financièrement, juridiquement, dans la rue. Parlons entre nous de nos expériences de répression pour ne pas faire les mêmes erreurs. Ne parlons pas aux renseignements territoriaux, qui essaient de faire copain-copine pour mieux alimenter les fiches qui serviront plus tard à nous faire tomber. Refusons de faire le tri entre les gentil·les et les méchant·es dans nos rangs, car c’est tout le mouvement social qui en sort perdant. Créons les conditions d’une incapacité de l’État à pouvoir nous réprimer, et un soutien sans faille à ceu·lles que le pouvoir condamne.

Macron et Darmanin, costard sur le dos mais sang sur les mains.

Contre la répression, solidarité !

Un des textes lu au rassemblement contre les violences policière le 30 mars 2023 à Mantes La Jolie


À propos de la construction policière autour de Serge et des autres blessés de Sainte-Soline

Alors que notre camarade Serge se bat comme un lion pour garder la vie que l’État essaie de lui enlever, nous assistons à un nouveau déferlement de violences, cette fois-ci médiatiques, qui vise à faire de lui un homme qu’on peut légitimement abattre. Aujourd’hui, il est toujours dans le coma et son pronostic vital est toujours engagé. Notre solidarité va aussi à Mickaël et à toutes celles et ceux qui ont rencontré la violence de la police sur leur chemin.

Les mots du pouvoir d’état sont inlassablement répétés sur les plateaux des médias bourgeois pour construire l’ennemi qu’ils veulent combattre. Leur écran de fumée ne supportera pas les dizaines de récits qui sont venus recomposer le déroulement des faits. La gendarmerie a utilisé des grenades dans le but d’abîmer les manifestants et a orchestré la faillite de la prise en charge des secours, quitte à laisser mourir les camarades.

Les services de renseignements distribuent à tour de bras le dossier de Serge dans les rédactions dans le but d’imposer le prisme policier pour désigner ce que nous sommes. Nous ne nous amuserons pas ici à démonter chacune des versions policières volontairement tronquées. Ça serait croire qu’une quelconque vérité à ce sujet puisse exister dans les arcanes des propagandes étatique et médiatique. Serge, en tant que militant révolutionnaire, participe depuis de nombreuses années de toute sa volonté aux différentes luttes de classe qui surgissent contre notre exploitation, toujours dans un souci d’élargissement, de renforcement et de victoires pour les prolétaires.

Parce que oui, nous ne pouvons pas nous résigner à l’écrasement.

Nous appelons toutes celles et ceux qui le connaissent à dire autour d’eux qui il est. Mais en se souvenant d’une chose : Serge, dans la lutte, refuse la stratégie du pouvoir de désigner les bons et les mauvais. Nous tenons, avec lui, cette ligne.

Mardi 28 mars, des gens d’un peu partout ont pris l’initiative de témoigner de leur solidarité au cœur du mouvement contre la réforme des retraites en France. Nous avons également reçu de nombreux messages de camarades d’autres pays. Nous les en remercions chaleureusement et les invitons à poursuivre et renforcer la lutte. D’autres initiatives sont d’ores et déjà programmées et nous appelons les gens à les rejoindre et à les multiplier, sans modération, en France et dans le monde.

Nous appelons à diffuser massivement ce communiqué.

PS : de nombreuses rumeurs circulent sur l’état de santé de Serge. Ne les relayez pas. Nous vous tiendrons informés de l’évolution de la situation.

Pour nous contacter : S.information

Des camarades du S.

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Actu Solidaires 78 En grève ! Retraites

En avril on enterre cette réforme des retraites

Tract de l’Union syndicale Solidaires pour le 6 avril

Les manifestations et grèves du 23 mars ont exprimé la révolte face à un pouvoir sourd et qui passe par la force via le 49-3 et les violences policières pour imposer sa réforme des retraites.

La journée de manifestation et de grève du 28 mars a été encore très forte, avec la mobilisation de la jeunesse, des grèves, y compris reconductibles, et ceci après deux mois et demi de lutte !

Tous les jours, les filtrages et blocages de péages, de zones commerciales, de voies, d’accès aux villes montrent la détermination sans faille de tous et toutes contre cette réforme des retraites.

Le choix politique de la répression et des violences est inacceptable. Des manifestant·es, dont un camarade de SUD Rail ont été mutilé·es par des armes de guerre, les gardes à vues continuent de se multiplier, l’extrême droite tabasse des militant·es… et les luttes écologiques sont réprimées de manière criminelle. Cette volonté de faire peur reprend les vieilles ficelles de « l’ordre contre le chaos ». Mais elle se fracasse sur notre détermination et le nombre incroyable de travailleuses et travailleurs qui agissent, qui manifestent.

Face à la crise sociale et politique en cours, le gouvernement et Macron s’enferrent dans leur impasse et pensent pouvoir passer à d’autres sujets ! Le pouvoir est fébrile et commence à bouger pour sauver les meubles : pour la première fois, l’intersyndicale serait reçue par E. Borne, l’aspect obligatoire du SNU est reporté, un budget pour les bourses a été trouvé, et les visites officielles sont annulées…

C’est le rapport de force, les grèves et les blocages qui font reculer Macron.

L’intersyndicale nationale a appelé à continuer les actions locales et à faire du jeudi 6 avril une nouvelle grande journée de grève et de manifestations pour maintenir la pression et forcer au retrait.

Nous sommes dans la capacité de gagner. Notre victoire renforcera notre rapport de force pour aller plus loin, sur les salaires, sur la crise écologique, sur le chômage, l’accès aux logements ou les droits des étranger·es.

La mobilisation et grève du 6 avril à l’appel de l’intersyndicale est l’occasion d’enfoncer le clou !

Plus que jamais, nous allons gagner !

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Actu Solidaires 78 antifascisme Bâtiment - travaux publics Dans les Yvelines, une classe en lutte... Licenciements Luttes logement Répression Retraites Solidarité ! Violences policières

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 50

Au sommaire : Mureaux, Mantes, Versailles, Guyancourt, Beynes…

Une classe en lutte dans les Yvelines !


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org


Source : 78actu.fr

Source : 78actu.fr


Source : Le Parisien

Source : Le Parisien

Source : Le Parisien

Source : Le Parisien

Source : Le Parisien

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Actu Solidaires 78 antimilitarisme Défense de nos libertés Écologie Répression

No Bassaran ! Ce n’est pas Les Soulèvements de la terre qu’il faut dissoudre : c’est la politique répressive du gouvernement !

A Mantes, rassemblement jeudi 30 mars devant la sous-préfecture à 19 h en soutien aux 2 manifestants dans le coma, aux blessé.es de Sainte-Soline et du mouvement des retraites, pour la fin des violences policières.

Ce jeudi 28 mars, le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé engager une procédure de dissolution envers « l’association » Les Soulèvements de la Terre, pilier de la résistance face aux projets écocidaires comme les méga bassines.

« Les Soulèvements de la Terre » ne sont pas une association. C’est une coalition qui regroupe des dizaines de collectifs locaux, fermes, syndicats et sections syndicales, ONGs à travers le pays. Contrairement aux fables qui seront délivrées par le renseignement intérieur pour désigner de quelconques figures dirigeantes à clouer au pilori, les Soulèvements de la Terre n’ont rien d’un groupe circonscrit et représentent après 2 ans d’existence un large réseau implanté à travers diverses régions. Mais peut-être que, dans sa montée d’autoritarisme actuelle, le gouvernement s’apprête effectivement à « dissoudre » une bonne partie de l’opposition écologique, sociale et syndicale du pays. Puisque celle-ci a le tort de lui faire front dans la rue, dans les campagnes et que son régime politique semble aujourd’hui réduit à l’exercice de la matraque.

Le ministère de l’Intérieur préfère ainsi s’attaquer aux résistant-es au glyphosate plutôt qu’au pollueurs, aux paysans solidaires plutôt qu’aux exploitants productivistes destructeurs de la nature, à la jeunesse écologiste plutôt qu’aux voleurs d’eau.

Deux jeunes militants sont toujours entre la vie et la mort depuis la manifestation sanglante contre les méga bassines à Sainte-Soline de ce 25 mars. Toutes nos pensées et amitiés militantes vont à ces personnes et à leurs proches.

Solidaires dénoncent la répression faîte à celles et ceux qui s’opposent à la privatisation de l’eau et se battent pour le bien commun.

Solidaires condamne à nouveau fermement la violence déchaînée des forces de l’ordre à l’encontre des manifestant-es et exige que l’ensemble des violences commises par la police y compris les gardes à vue arbitraires et les entraves aux secours, fassent l’objet des enquêtes nécessaires et que leurs auteurs et responsables soient poursuivis et sanctionnés.

Leurs violences policières n’entameront pas la détermination de toutes celles et ceux qui se battent pour une autre société : c’est aujourd’hui une question vitale !

Solidaires appelle à rejoindre les rassemblements de soutien qui auront lieu partout sur le territoire jeudi 30 mars à 19h.

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Actu Solidaires 78 Dans les Yvelines, une classe en lutte... En grève ! Retraites

Agenda de mobilisation- Dans les Yvelines, une classe en lutte contre la réforme des retraites

Nous mettrons régulièrement à jour sur cette page les informations sur la mobilisation contre la réforme des retraites dans les Yvelines.

Pour suivre l’actualité, n’hésitez pas à vous abonner en écrivant à

solidaires78@wanadoo.fr

Une caisse de grève interpro dans le mantois !

https://sudeducation78.ouvaton.org/Une-caisse-de-greve-interpro-dans-le-Mantois
https://sudeducation78.ouvaton.org/Une-caisse-de-greve-interpro-dans-le-Mantois

L’agenda de la lutte dans le mantois : https://mantes-manif.info

Rien ne nous arrêtera ! L’agenda de la semaine du 17 avril 2023

Lundi 17 avril
- Action surprise !
- AG des Mureaux 18h30-20h30 à l’UL CGT, 86 avenue Aristide Briand → des actions y seront décidées pour la semaine.

Mardi 18 avril

- 17 h – 19 h accueil syndical Librairie La Nouvelle Réserve Limay
- 20h Limay, la nouvelle réserve : concert de soutien aux grévistes du Mantois avec les Pigs in cornfield.

Mercredi 19 avril
17h-19h de nouveau à Montigny-le-Bretonneux, à l’entrée de la Diagonale – 17h : expression libre et artistique, distribution de flyers (collectif contre la retraite à 64 ans SQY)
17h30 : Assemblée populaire in-situ, préparation des actions à venir
18h15 : manifestation

Samedi 22 avril

10 h manif Mantes départ de la Collégiale

-

 11h rassemblement aux Mureaux, marché de Becheville. Manif selon le nombre.

-

 15h-17h Rassemblement à Plaisir, centre commercial Monplaisir, 1170 avenue de ST Germain (collectif contre la retraite à 64 ans SQY)

Semaine du 3 avril

Jeudi 6 avril : manif à Mantes départ de la mairie direction gare 9 h 30 – à confirmer
Car Solidaires 78 départ de l’hôpital de Plaisir (écrire à contact@solidaires78.org)

Samedi 8 avril : manif à Mantes 10 h Collégiale

Semaine du 27 mars

  • Lundi 27/03, Assemblée de mobilisation des Mureaux et Alentours 18 h 30 local UL CGT
  • Mardi 28 / 03 – grève et manifestations – rassemblement à Mantes – 9 h 30 Palais de justice puis départ collectif aux cars et à la gare / rassemblement aux Muraux 10 h devant la mairie : 17 h – 19 h accueil syndical Librairie La Nouvelle Réserve Limay
  • Mercredi 29/03 – Inauguration de la place de la retraite à 60 ans – Place diagonale 17 h Montigny-le-Bretonneux avec AG
  • Jeudi 30/03 – Projection du film La Sociale Mantes-la-Ville 20 h Salle J. Brel
  • Samedi 1er avril : manif à Mantes 10 h Collégiale et fête des luttes sur la place Saint Maclou


2è manif dans les rues de Mantes-la-Jolie, un peu moins de monde mais de nouvelles personnes, une animation très motivée, des nouvelles banderoles locales combattives malgré le froid glacial
Rendez vous pour la 3e manif samedi prochain 4 février 10h devant la collégiale ! et avant, pour la retraite aux flambeaux du vendredi 3 février… On lâche rien !

Images de la 7e manifestation dans les rues de Mantes – Samedi 11 mars


Semaine du 20 mars

La grève du bac commence à l’appel de l’intersyndicale éducation !

Lundi 20 mars

Tournée des piquets de grève

Rendez-vous 8 heures devant la
gare de Mantes pour soutenir les grévistes du Mantois

Mardi 21 mars

Tournée des piquets de grève
Rendez-vous 9 heures devant la gare de Mantes pour soutenir les grévistes du Mantois

Assemblée de lutte et BBQ
À partir de 18 heures, sur les bords de Seine, pour décider des prochains Rdv et pour un repas partagé.

Jeudi 23 mars

Tou.tes en grève et en manif
Départ collectif aux différentes manifestations (Paris, Rouen, Evreux), RDV à venir

Samedi 25

10ème manifestation du samedi matin contre la réforme des retraites à Mantes

10h à la Collégiale

C’est déjà passé….

Pour ne rien rater des mobilisations sur le 78, C’est la grève, le bulletin de mobilisation de SUD éducation 78

Lundi 16 janvier

  • Intersyndicale départementale (Trappes) + conférence de presse
  • \Intersyndicale des UL de Mantes (Maison des syndicats)
  • Réunion d’information syndicale éducation Les Mureaux sur l’heure de midi (lieu à confirmer)

Mardi 17 janvier

  • Réunion publique d’information et de mobilisation Limay, accueil Solidaires 78 (17 h – 19 h ) entrée libre et gratuite

Jeudi 19 janvier

  • Journée de grève et de manifestions – Manifestation parisienne : République à partir de 14 heures.
  • Les Mureaux : 10 h AG éduc salle SRV
    10 h rassemblement communaux devant la mairie des Mureaux
  • Pour les départs en bus et les AG de grévistes, informations à venir

Poissy – Rassemblement intersyndical contre la réforme des retraites est prévu jeudi matin à 10 heures devant la mairie de Poissy. On convergera sûrement par la suite vers le lycée Le Corbusier, duquel partent des bus pour aller en manif à Paris).

Samedi 21 janvier

Mantes – Manif à Mantes La Jolie, RV 10h à la Collégiale de Mantes pour cheminer vers le marché et finir à la gare, puis AG au local SNCF

Lundi 23 janvier

Rassemblement devant la sous-préfecture de Mantes, 18 heures.

Intersyndicale secteur de Poissy

Mardi 24 janvier

Les Mureaux – rassemblement devant la mairie, à 12h30 (environ 1 heure)

Limay, 17 h – 19 h réunion d’information et de coordination, librairie La Nouvelle Réserve, entrée libre et gratuite. Atelier banderoles, pancartes etc…

Mantes : manifestation, départ 10 h de la Collégiale

Jeudi 26 ou vendredi 27 janvier

Tractage intersyndical à la gare de Mantes la Jolie, 18h

Samedi 28 janvier

Mantes : manifestation, départ 10 h de la Collégiale

Semaine du 30 janvier au 5 février

Lundi 30 janvier

Conférence de presse des UD 78 devant les grilles de la préfecture de Versailles à 10 heures. Demande d’audience.

Mardi 31 janvier

Grève interprofessionnelle, début d’une grève reconductible ? Plus d’infos sur ce qui se passera dans le 78 prochainement !

Assemblée Générale de grève et de mobilisation à 9h30, salle Pauline Kergomard, rue des Claies, Limay

Manifestation parisienne départ 14h Place d’Italie

Bus Solidaires 78 : départ hôpital de Plairsir

Mercredi 1er février

Le collectif “Bouge ta Pref” appelle à organiser des rassemblements devant toutes les préfecture d’Ile de France pour en dénoncer les dysfonctionnements.

En coordination avec ce collectif, le Reseau-AMY invite à un rassemblement devant la pref des Yvelines à Versailles le mercredi 1er février 2023 à 15h00.

Plus d’infos ici : https://solidaires78.org/2023/01/15/10600/

Jeudi 2 février

Assemblée de mobilisation à 18h30 à l’UL CGT des Mureaux, 34 avenue Paul Raoult

Reconduction de la grève au lycée Charles de Gaulle de Poissy et au collège Sully à Rosny-sur-Seine depuis le mardi 31 février. Contact : sullyenlutte@asselma.eu

Vendredi 3 février

Une Réunion d’Information Syndicale se tiendra vendredi 3 février 2023, à l’école Louise de Vilmorin (03 rue Paul Gauguin – 78200 Mantes-la-Jolie), de 12H à 13H. Elle est organisée par l’intersyndicale SUD Education78, SNUIPP 78, CGT éduc’action 78.  Cette RIS sera consacrée à la réforme des retraites et à la mobilisation.

Retraite aux flambeaux intersyndicale et interpro à l’appel des Unions Départementales du 78 à 18h dans quatre villes du département :

  • Poissy (trajet : hôpital, 10 rue champ Gaillard -> avenue Blanche de Castille -> lycée le Corbusier -> gare -> rond point du pôle tertiaire PSA)
  • Rambouillet : école maternelle de la Louvière jusqu’à la gare
  • Versailles : gare des chantiers vers la préfecture et retour à la gare
  • Mantes la Jolie : gare principale jusqu’à la Collégiale

Samedi 4 février

Diffusion de tracts au marché de Bécheville aux Mureaux à 10h30

Manifestation à Mantes à 10h devant la collégiale

Mardi 7 février

Jeudi 9 et vendredi 10 février

Point de rendez-vous 9 h devant la gare de Mantes-la-Jolie pour les personnels en reconductible ou disponibles ces jours-là pour des tournées d’établissements et d’école, soutien aux secteurs mobilisés (gaziers de Storengy à Beynes)

Vendredi 10 février

Marche aux flambeaux

  • Mureaux (gare/pont) rdv à la gare à 18h
  • Trappes 18h : gare – mairie – les Merisiers
  • Rambouillet 18h Ancien théâtre – mairie – gare

Samedi 11 février

10 h devant la Collégiale de Mantes, manifestation jusqu’à la gare, pour départ pour la manifestation parisienne

Manifestations nationales (cortège parisien 13 h 30 place de la République)

Mercredi 15 février

RDV à 10h30 devant la permanence de Aurore Bergé à Rambouillet. Adresse : Smartcity Campus 1 rue de Clairefontaine78120 Rambouillet

Jeudi 16 février

Journée nationale interprofessionnelle de grève et de manifestations.

Car Solidaires 78 pour la manif parisienne au départ du CH Plaisir. RDV 12h45. 5€ par personne pour l’aller-retour.
C’est hyper chouette d’y aller ensemble et de débarquer à plusieurs secteurs du 78 à la manif 😉
Inscrivez-vous dès maintenant par mail : sudsantesociaux78@gmail.com ou au 0620193973.

Vendredi 17 février

ATTENTION MODIFICATION DE LA SALLE DE LA FÊTE

Fête de soutien au mouvement en cours, salle Edouard Fosse à Limay

Samedi 18 février

Petit déjeuner partagé puis manifestation, départ 10h de la Collégiale

Lundi 20 février

Intersyndicale Mantes et environs

Jeudi 23 février

AG de mobilisation aux Mureaux

Nous vous proposons de nous retrouver jeudi 23 février pour décider de la suite de la mobilisation aux Mureaux et alentours

Au local de l’UL CGT (sous l’espace Gérard Philipe) à 18h30

Nous avons, ensemble, réalisé plusieurs tractages en gares (Les Mureaux, Meulan Hardricourt) et au marché de Bécheville, plusieurs rassemblements devant la mairie des Mureaux, des départs conséquents pour les manifestations à Paris, participé aux manifestations à Mantes, ainsi que réussit la Marche aux flambeaux de vendredi dernier de la gare des Mureaux l’hôpital intercommunal à Meulan.

La mobilisation continue jusqu’au retrait.

Localement, comme partout dans le pays, mobilisons-nous pour gagner.

Notamment pour appeler et réussir une forte mobilisation les 7 et 8 mars (et après), décidons ensemble de ce que nous nous pouvons organiser localement (tractages, débats de rue film… toutes les propositions que vous ferez).

Plus nous pommes nombreuses et nombreux, plus nous sommes fort.es.

Ensemble, en nombre, retrouvons-nous jeudi 23 pour décider ensemble de nos actions locales.

N’hésitez pas à relayer ce message.

Invitez vos parents, sœurs, frères, ami.es, voisin.nes, collègues pour construire ensemble la mobilisation jusqu’au retrait !

Pendant les congés scolaires (du 20 février au 5 mars)

Samedis 25 février et 4 mars

Manifestation à Mantes, départ 10h de la collégiale

Lundi 6 mars

AG interpro et intersyndicale du mantois à Limay, salle Pauline Kergomard (rue des Claies), 18h

Mardi 7 mars

Journée d’action interprofessionnelle.

Rassemblement à la mairie des Mureaux à 10h à l’appel de l’Assemblée de mobilisation des Mureaux et alentours (contact : ag-desmureaux@proton.me)

Mercredi 8 mars

AG des cheminots de Mantes la Jolie, 10h quai D à la gare principale.

20h : cinéma-débat autour du film “La syndicaliste”, gratuit, au cinéma des Mureaux (centre ville)- réservation si possible mais pas obligatoire

Manifestation féministe à l’appel du collectif FFFRAC (Fortes, Fières, Féministes Radicales et en Colère), 11h devant la mairie de Mantes-la-Jolie, 2 interventions, Chansons féministes avec la chorale les Fracassantes, manifestation vers la gare de Mantes dès 12hRetour ligne automatique
Car au départ de la gare de Mantes-la-Jolie pour rejoindre la manifestation à Paris (départ prévu à 13 h place du 8 mai 1945 à Mantes la Jolie). Vous pouvez vous inscrire en écrivant à contact@solidaires78.org

Jeudi 9 mars

Assemblée de mobilisation des Mureaux et alentours
18h30 UL CGT, 83 rue A Briand, Les Mureaux

Semaine du 6 au 12 mars

Vendredi 10 mars

8h : Tournée interprofessionnelle pour faire le lien entre entreprises et services en lutte

10h : assemblée générale des cheminots de Mantes-la-Jolie, quai D à la gare

18h : AG interpro du mantois (bilan des journées précédentes et actions à venir). Salle Christiane Faure à Limay, rue des 4 chemins

Samedi 11 mars

Manifestation, départ de la Collégiale à 10h, comme d’hab.

Semaine du 13 mars

Mardi 14 mars

8h RDV devant la gare de Mantes la Jolie pour faire une tournée de soutien aux différents piquets de grève et aux AG de grévistes

17h apéro de lutte à la librairie la nouvelle réserve à Limay

Mercredi 15 mars

7h RDV sur le parking de Carrefour Limay pour une action

9h30 rassemblement devant la sous-préfecture de Mantes

14h manifestation à Paris

Jeudi 16 mars

12h RDV au piquet de grève à Beynes avec les gaziers en grève

18h assemblée de mobilisation des Mureaux et alentours à l’UL CGT 83 rue Aristide Briand, Les Mureaux

Vendredi 17 mars

19h Retraite aux flambeaux au départ de la gare de Mantes la Jolie, suivie d’une AG festive

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Actu Solidaires 78

Une caisse de grève interprofessionnelle dans le Mantois

Faire un don

Pour faire un don à la caisse de grève du Mantois, faire un chèque à l’ordre de SUD éducation 78 en précisant, au dos du chèque, « don pour la caisse de grève du Mantois ».
A adresser à
« SUD éducation 78
BP 53
78 520 Limay »
ou en mains propres (liquide, chèque) à des membres de la caisse de grève, lors des événements militants (https://mantes-manif.info/) ou des accueils syndicaux Solidaires 78, tous les mardis de 17h à 19h à la librairie La Nouvelle Réserve à Limay.

L’argent ne devrait pas être un frein pour faire grève.

Pour cela, notre classe s’est dotée d’un outil pour tenir la grève dans la durée : la caisse de grève.
Pour rejoindre la caisse locale et / ou en bénéficier, envoie un mail à
caissedegrevedumantois@asselma.eu

Pourquoi une caisse de grève ?

L’arme des patrons et de l’État, ce sont les richesses que nous produisons. Nos armes sont la solidarité, le nombre et la force du collectif.

Ce que la caisse de grève n’est pas…

Ce n’est pas la charité… c’est parce que tu participes à la lutte et que tu donnes à la caisse qu’en retour tu peux en bénéficier.
Ce n’est pas une société d’assurance… c’est par tes engagements que tu manifestes ta solidarité et ton investissement dans la caisse que tu peux prétendre en recevoir les fruits.

Ce qu’est la caisse de grève

C’est un collectif que tu peux rejoindre pour t’y impliquer, en y cotisant au moins cinq euro par an, en recevant et diffusant les infos sur les luttes sociales locales, en venant à ses réunions…

Qui peut recevoir de l’argent de la caisse de grève ?

Toute personne qui a fait grève un certain nombre de jours, qui s’implique dans la lutte et qui participe à la caisse.

Quelle somme ?

Les versements dépendent du statut (CDI, CDD, fonctionnaire…) et des fonds disponibles dans la caisse. Il y a un règlement de la caisse de grève qui permet de gérer tout ça en toute transparence.

Quel lien avec SUD éducation 78 ?

SUD éducation 78 héberge la caisse de grève pour des raisons de praticité.
Par contre, le syndicat n’intervient aucunement dans les décisions concernant la caisse de grève. C’est un collectif autonome, constitué des personnes extérieurs au syndicat mais aussi de quelques adhérent-es, qui gère l’argent et traite les demandes. Pas besoin d’être adhérent, ni de travailler dans l’éducation, pour adhérer à la caisse !

Règlement de la caisse

Objectifs de la caisse

La caisse de grève interprofessionnelle du Mantois sert à aider, soutenir financièrement et moralement les grévistes du Mantois, quel que soit leur métier (saufs les flics of course). Elle sert à faire durer leur détermination pour poursuivre les actions de grève. Elle sert à faire jouer la solidarité entre les grévistes et la population ainsi qu’entre les grévistes eux-mêmes, en appuyant prioritairement les plus précaires.

De ce fait, elle peut être sollicitée par des grévistes qui ne prétendent à aucune autre caisse syndicale ou politique, ou par des collectifs de lutte, ou bien pour faire face à la répression, que la sollicitation soit liée à un mouvement national ou pas.

Elle peut également décider de versement à sa propre initiative, pour faire des dons ou bien pour aider à monter une caisse de grève.

C’est aussi un collectif vivant du mouvement social, qui ne demande qu’à être rejoint pour faire vivre en acte la solidarité de classe.

Historique de la caisse

Cette caisse de grève a été créée en 2019 lors du mouvement contre la réforme de la retraite à points, à destination des travailleurs de l’éducation. Elle est le résultat des mobilisations, des actions et de la solidarité de chacune et chacun d’entre nous.

En 2023, elle a été ouverte à l’interprofessionnel.

Elle est actuellement gérée par un groupe interprofessionnel de travailleurs du Mantois, et les fonds sont hébergés par SUD éducation 78.

Le groupe caisse de grève a acté l’hébergement des fonds par un syndicat et a demandé à Solidaires 78 et SUD éducation 78 d’en être les garants. SUD éducation 78 a accepté d’héberger les fonds lors de son AG du 15 février 2023.
Fonctionnement de la caisse

Elle est alimentée par des dons de particuliers ou d’organisations syndicales, mais aussi par des ventes lors d’événements de soutien ou de manifestations.

Les dons perçus par la caisse de grève iront à tous les travailleurs grévistes du bassin du Mantois, du public et du privé. Cette caisse de grève est ouverte aux syndiqués comme aux non-syndiqués, sous réserve de ne bénéficier que de la caisse de grève du Mantois.

Les bénéficiaires de ces dons sont définis en fonction du nombre de jours de grève :

  • À partir du 4ème jour de grève pour le personnel fonctionnaire titulaire, et pour les salariés en CDI. Le remboursement commence pour le 4ème jour de grève, et se poursuit pour tous les jours suivants ;
  • À partir de 2ème jour de grève pour les travailleurs en contrat à durée déterminé ou statut précaire. Le remboursement commence pour le 2ème jour de grève, et se poursuit pour tous les jours suivants.

La caisse est débloquée pour des grèves prélevées sur le même bulletin de salaire mensuel dans le cadre du même mouvement, que la grève soit reconduite du jour au lendemain ou pas.

Bénéficier de la solidarité financière implique l’adhésion à la caisse de grève, ce qui signifie :

  • l’engagement dans les activités de la lutte ;
  • une cotisation annuelle à partir de 5 euros minimum ou la participation de la gestion de la caisse ;
  • donner ses coordonnées pour recevoir les informations locales de la lutte.

L’argent sera remis lors de moments collectifs (manifestation, fête de soutien, action, assemblée de lutte, accueil syndical…).

L’indemnisation s’élève à 66% d’un trentième de SMIC net mensuel, soit 30 euros par jour de grève, multiplié par la quotité (temps partiel) quel que soit le statut.

Celles et ceux qui souhaitent en bénéficier, doivent contacter la caisse de grève (caissedegrevedumantois@asselma.eu) en précisant :

  • un petit mot gentil et personnalisé,
  • nom,
  • prénom,
  • poste,
  • entreprise ou administration,
  • nombre de jours de grève effectués,
  • copie des bulletins de paie prouvant la retenue de salaire.

Décision est prise le 6 mars 2023 d’avoir un fond de réserve minimum en dessous duquel on indemnise plus : 400 euros.

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