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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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EDF : le ras-le-bol des salariés face au « pillage de l’entreprise »

Un article du site Reporterre sur la situation à EDF

«On en a ras le bol de bosser comme des esclaves pour que des entreprises privées se fassent du pognon.» C’est ainsi que Philippe Page Le Mérour, président (CGT) du comité social et économique (CSE) central d’EDF, a résumé à Reporterre l’état d’esprit des salariés. Mercredi 26 janvier, à l’appel des quatre principaux syndicats du secteur — CGT, CFDT, FO et CFE–CGC, plus d’un tiers des salariés d’EDF (37,2%) étaient en grève, selon la direction. Des rassemblements sont prévus, notamment devant certaines centrales nucléaires du groupe, comme à Golfech (Tarn-et-Garonne) et Gravelines (Nord). Des baisses de production d’électricité sont possibles, de l’avis de l’ensemble des sources syndicales interrogées par l’AFP, mais elles ne devraient pas pénaliser les ménages et les entreprises. C’est dire si la décision du gouvernement de relever de 100 à 120 térawattheures (TWh) le volume d’électricité qu’EDF est obligé de vendre à bas coût à ses concurrents ne passe pas.

Ce relèvement provisoire du plafond de l’Arenh — pour «accès régulé à l’électricité nucléaire historique» — avait été annoncé par Barbara Pompili et Bruno Le Maire le 13 janvier dernier en complément de la baisse de la taxe sur l’électricité. Objectif, contenir à 4% l’envolée du prix du tarif réglementé de l’électricité, qui aurait pu atteindre 44,5% le 1er février selon la Commission de régulation de l’énergie (CRE). En compensation, la Commission européenne avait accordé à EDF qu’elle relève son prix fixe de vente pour l’Arenh de 42 à 46 euros par mégawattheure (€/MWh). Un montant à comparer aux quelque 222 euros que valait un mégawattheure sur le marché de gros de l’électricité en décembre 2021. EDF avait estimé que cette obligation gouvernementale allait lui faire perdre entre 7,7 et 8,4 milliards d’euros. «Nous sommes scandalisés que l’État organise le pillage de l’entreprise», avaient réagi les administrateurs salariés du groupe. La mesure tombait au plus mal, alors qu’EDF traverse déjà une zone de turbulences : problème de combustible sur l’EPR de Taishan en Chine, nouveau report de la mise en service de l’EPR de Flamanville (Manche), mise à l’arrêt prolongé de cinq réacteurs après la découverte de corrosions.

Lire aussi : EDF dans la tourmente

Les représentants du personnel d’EDF ont déclenché un droit d’alerte économique, ont-ils annoncé le 19 janvier. Une réunion entre le CSE et la direction est prévue le 4 février. «Une perte de 8 milliards d’euros signifie qu’il va y avoir des renoncements. Nous avons besoin de savoir lesquels : toucheront-ils les recrutements? L’entretien du parc nucléaire? Les investissements dans les énergies renouvelables? Nous allons poser toutes ces questions à la direction», explique M. Page Le Mérour. S’ils ne sont pas convaincus par les réponses apportées par la tête du groupe, les représentants du personnel pourront exiger une expertise comptable détaillée de la situation de l’entreprise.

Mais pour les salariés, le relèvement du plafond de l’Arenh n’est que l’arbre qui cache la jungle de l’ouverture à la concurrence du secteur de l’électricité en Europe. «Il faut renationaliser EDF, sortir du marché de l’électricité et abolir ce système concurrentiel qui a fait preuve de son inconsistance et de son inefficacité pour les usagers comme pour les salariés», clame le président du CSE central du groupe. «Nous dénonçons le marché de l’électricité», renchérit Anne Debregeas, ingénieure de recherche en économie et fonctionnement du système électrique et élue Sud Énergie à EDF.

Le marché européen en cause?

De quoi parlent-ils? En France, après 1946, toute la chaîne de production et de distribution de l’électricité était un service public assuré par EDF, entreprise d’État en situation de quasi-monopole. En 1996, l’Union européenne engagea l’ouverture à la concurrence du secteur de l’électricité avec la première directive du «paquet énergie». Trois piliers à ce texte : le libre choix du fournisseur pour les consommateurs, la liberté d’établissement pour les producteurs et le droit d’accès au réseau pour tous les utilisateurs. En France, la transposition de ce processus se fit par étapes : en 1999 pour les plus gros industriels, en 2004 pour tous les professionnels et les collectivités locales, en 2007 pour les particuliers. Plusieurs fournisseurs «alternatifs» d’électricité émergèrent : de grands électriciens comme Total ou Engie, mais aussi des start-up ou des groupes comme E.Leclerc. Ils sont une quarantaine aujourd’hui et fournissaient de l’électricité à 28,1% des particuliers fin septembre 2021 sur le marché résidentiel, selon la CRE [1]. Même si depuis le début de la crise des prix, plusieurs d’entre eux ont mis la clé sous la porte.

Selon Mme Debregeas, le système électrique, qui nécessite des investissements planifiés de très long terme et exige la coordination la plus fine des moyens de production pour équilibrer l’offre et la demande à chaque instant, ne se prête pas à la compétition entre acteurs. Ce processus de création d’un marché de manière artificielle aurait donc accouché d’un monstre : «Pour faire vivre une concurrence qui n’existait pas — de nombreux fournisseurs ne produisent pas d’électricité et disposent seulement d’un service commercial et d’un bureau de trading —, des dispositifs complètement ésotériques ont été inventés», déplore la chercheuse. Parmi ces mesures, l’Arenh, mis en place en 2010 par la loi Nome pour forcer EDF à partager sa rente nucléaire — EDF bénéficiant en effet d’un vaste parc nucléaire construit grâce à de l’argent public et amorti, qui la rend insurpassable par ses concurrents.

Autre aberration pour Mme Debregeas, les prix de gros sur le marché européen obéissent à une tarification dite au «coût marginal» [2], c’est-à-dire qu’ils «correspondent au prix du mégawattheure produit par la centrale la plus chère à un instant donné, généralement une centrale à gaz». En clair, le prix de l’électricité est indexé au prix du gaz, très volatile, et au prix de la tonne de CO2. Dans la situation d’un effondrement des prix de marché, cela peut conduire certains électriciens à vendre en dessous de leurs coûts de production, fragilisant ainsi leur situation financière et, par ricochet, leur capacité d’entretien du parc et leur capacité d’investissement. À l’inverse, dans la situation actuelle où le prix du gaz fossile et de la tonne de CO2 se mettent à flamber, c’est le prix de l’électricité en Europe qui s’embrase — «y compris dans un pays comme la France où le mix électrique est à 93% décarboné», regrette Mme Debregeas. Ainsi, la création du marché européen a rendu le prix de l’électricité extrêmement fluctuant… au grand dam des consommateurs et d’EDF.

Mécanique infernale

La réforme de 2015 du tarif réglementé de l’électricité [3] — le fameux «tarif bleu» de la majorité des particuliers inscrits à EDF —, en intégrant le prix du marché à son mode de calcul, a encore aggravé cette volatilité.

Le marché de l’électricité est un échec, insistent donc les syndicalistes. Il n’a pas tenu sa promesse de baisse des factures. «Au contraire, on a pris 50% d’augmentation du prix de l’électricité hors inflation depuis 2007, sans compter l’explosion de cette année. Des entreprises commencent à fermer parce qu’elles ne peuvent plus se payer le courant», dénonce Mme Debregeas. D’après Le Monde, 150 entreprises métallurgiques auraient coulé sans les mesures de contention des prix du gouvernement.

Il ne permet pas non plus de faire face ni aux besoins monumentaux de maintenance et de remise à niveau du parc nucléaire ni aux exigences de la transition énergétique. «RTE, dans ses scénarios, évalue le besoin en investissements pour la décarbonation de 20 à 25 milliards d’euros par an. Aujourd’hui, EDF en est à 12-13 milliards, illustre l’élue Sud Énergie. Il y a quelques années, les effectifs du centre de recherche ont été baissés au motif que les cours de l’électricité étaient bas et que les résultats du groupe étaient donc mauvais. Curieuse manière d’anticiper les besoins de recherche pour la transition!»

Par leur grève, salariés et syndicats d’EDF espèrent enrayer cette mécanique infernale. Mais M. Page Le Mérour se dit inquiet : «Maintenant que la boîte est dans le rouge, le gouvernement va sûrement nous ressortir du congélateur le projet Hercule de démantèlement d’EDF, en nous expliquant que c’est la solution pour faire face à ses difficultés financières.» Ce projet, qui consistait à scinder EDF en trois entités — une entreprise publique pour les centrales nucléaires, une autre cotée en Bourse pour la distribution d’électricité et les énergies renouvelables et une troisième pour les barrages hydroélectriques — avait été repoussé aux calendes grecques par le gouvernement en juillet 2021.

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Actu Solidaires 78 Automobile Dans les Yvelines, une classe en lutte... Éducation En grève !

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 25


Au sommaire : Mantois, Poissy…
Automobile, éducation, grève…


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à solidaires78@wanadoo.fr


Source : 78actu.fr

Victoire express des grévistes d’un sous-traitant de PSA-Poissy !

Source : Anti-K

Ils ont voté la grève à l’unanimité des présents ce vendredi 14 janvier, revendiquant la régularisation de leurs droits aux congés payés, le remboursement des cotisations de mutuelle injustement prélevés, le versement du treizième mois et une augmentation de 150€ pour tous. Après seulement 3 jours de grève, les salariés d’ISS, un sous-traitant sur le site de PSA-Poissy, ont obtenu leurs revendications face à une direction qui jusqu’ici niaient une bonne partie de leurs droits.

Comme le rapporte le journal de Lutte Ouvrière, les 16 ouvriers de l’entreprise, tous nettoyeurs de cabine, avaient pris l’habitude de se réunir pour échanger sur leurs difficultés et les manquements de leur direction. Ils avaient notamment remarqué que leur employeur leur prélevait une cotisation pour une mutuelle qui disait ne rien savoir d’ISS et refusait donc de rembourser les médicaments des salariés, cotisation dont les salariés demandaient donc le remboursement. Et alors que, depuis plusieurs mois déjà, ils exigeaient une revalorisation de leurs salaires, bloqués depuis des années, ils se sont aperçus début janvier que certains d’entre eux n’avaient pas reçu leur treizième mois, alors que d’autres s’étaient vu verser une simple « prime de gratification » à la place.

C’est pour mettre un terme à ce mépris de leur direction que les salariés, réunis en assemblée générale vendredi dernier, ont voté la grève à l’unanimité. Ils ont fait valoir leurs revendications, notamment lors de marches organisées dans l’usine, et ont suscité le soutien des salariés des autres boîtes de PSA-Poissy qui partagent la revendication d’une augmentation de salaire. En réaction, l’employeur ISS a d’abord essayé de faire venir des salariés du site de PSA-Sochaux pour remplacer les grévistes à Poissy et espérait ainsi casser la grève, mais les salariés de Sochaux ont refusé et menacé d’étendre la grève à leur propre site. La direction a ensuite cherché à diviser les grévistes en proposant de négocier avec chacun des salariés en grève un part un, piège dans lequel ne sont pas tombés les grévistes, qui ont imposé à la direction de discuter avec l’ensemble des grévistes réunis dans la même pièce. La grève n’a duré que trois jours mais ils ont obtenu une victoire complète, toutes leurs revendications ont été satisfaites, y compris une augmentation de salaire de 100€ sur les 150€ qu’ils demandaient, ainsi que le 13e mois et des primes paniers.




Cette victoire express est une illustration de la force de la grève comme méthode pour imposer nos revendications. Un exemple important qu’il s’agit d’élargir aux nombreux autres secteurs où les travailleurs voient leurs conditions de travail attaquées, voir sont menacés de licenciements. C’est dans ce sens-là que nous appelons tous ses secteurs à s’organiser pour imposer une réponse d’ensemble aux offensives patronales, à commencer par rejoindre l’appel à la grève du 27 janvier comme point de départ pour faire reculer les attaques du gouvernement et du patronat sur les services publics et les salaires, et imposer des conditions de travail dignes !


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Grève 27 janvier : lettre spéciale éducation

Dans la cadre de la journée de grève interprofessionnelle du 27 janvier, la mobilisation dans l’éducation sur le département se doit d’être la plus massive possible

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Actu Solidaires 78 Éducation En grève ! Santé-Social

Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 24


Au sommaire : Mantois, Rambouillet, Versailles, Freneuse,
Santé-social, éducation, grève…


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à solidaires78@wanadoo.fr


Source : 78actu.fr
Source : 78actu.fr

Grève à l’éducation nationale : c’est historique !

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Éducation En grève !

18 / 20 / 27 janvier – l’éducation mobilisée dans le Mantois : on continue, rejoignez-nous !

Tract de l’AG éducation du 13 janvier à destination des travailleurs de l’éducation du Mantois
Contact : ag13janvier@asselma.eu

Nous, personnels grévistes du bassin de Mantes-la-Jolie, enseignants, accompagnantes d’élèves en situation de handicap, professeurs des écoles, titulaires et contractuels, de 26 écoles, collèges et lycées différents, réunis en Assemblée Générale le 13 janvier 2022, faisons les constats suivants :

  • les effectifs d’élèves par classe ne font qu’augmenter à mesure que des classes et des postes sont supprimés ;
  • faute d’investissements, les locaux sont dégradés et inadaptés à enseigner et apprendre dans de bonnes conditions : chauffage défectueux, fenêtres à l’ouverture aléatoire, toilettes insalubres, travaux qui ne prennent pas en compte les besoins pédagogiques élémentaires…
  • la médecine scolaire est abandonnée : le ministère ne s’est jamais appuyé sérieusement sur les médecins, infirmiers et infirmières scolaires pour la gestion de la crise sanitaire dans les établissements. Il aurait fallu recruter massivement ces personnels et mettre en place une véritable médecine du travail pour les personnels ;
  • les protocoles sanitaires annoncés la veille pour le lendemain, par les médias parfois payants et contradictoires entre les médias et les circulaires officielles, disparates en fonction des établissements, sans moyens pérennes associés… ;
  • dans certains établissements, nous avons même reçus des autotests périmés, et nous ne disposons que de masques en tissus lavables non protecteurs, ni pour nous ni pour les élèves, au bout de 2 ans de pandémie… ;
  • le discours médiatique du ministre dégouline de mépris envers la communauté éducative en plus d’être souvent mensonger, et cherche à attiser les tensions entre travailleurs et parents, bien loin d’une attitude de respect, d’écoute, de protection, de bienveillance et de confiance que nous appliquons nous-mêmes au quotidien ;
  • une partie significative et croissante des travailleurs de l’éducation sont sous un statut précaire de contractuel, mal payés, mal considérés, méprisés et oubliés ne serait-ce que pour recevoir des masques et des tests ;
  • il est honteux de faire remplacer les professeurs malades par des retraités, des étudiants, des « mères de famille », alors qu’on manque cruellement de titulaires pour que chaque élève puisse avoir une scolarité normale ;
  • l’impact psychologique sur les enfants de la pandémie, des confinements, des tests à répétition, et même d’une école qui devient de plus en plus difficile à vivre et stressante pour les élèves n’est jamais évalué et pris au sérieux ;
  • face à une école qui suscite chez les élèves des phobies, des décrochages, des désillusions et des inégalités grandissantes, rien d’adapté ni de bienveillant n’est mis en place, si ce n’est une orientation-sélection rapide vers des filières courtes professionnalisantes qui déboucheront sur les emplois les plus précaires ;
  • l’inclusion scolaire des élèves en situation de handicap n’est qu’un effet de discours : pas de formation pour les enseignants, des effectifs qui ne prennent pas en compte les spécificités des élèves, des personnels précaires sans perspective de carrière pour l’assurer et incidemment des enfants maltraités…
  • un point d’indice et donc des salaires gelés dans la fonction publique depuis si longtemps, et une fausse revalorisation sous forme de prime qui n’est pas applicable à tous les personnels !

En conséquence nous exigeons que le service public d’éducation soit doté à hauteur des besoins réels de la population :

  • 20 élèves par classe maximum pour enseigner et apprendre dans de bonnes conditions et permettre notamment une vraie inclusion des élèves à besoins particuliers
  • le recrutement massif de personnel titulaire par l’ouverture de place aux concours et la titularisation de tous les contractuels
  • l’augmentation du point d’indice pour augmenter d’au moins 20 % les salaires de tous les personnels
  • un véritable statut de fonctionnaire pour les surveillants et les accompagnantes d’élèves en situation de handicap
  • un accueil dans des locaux décents qui donnent la possibilité de travailler et d’étudier

Pour porter ce message et pour gagner, nous appelons à

  • une Assemblée générale de préparation le mardi 18 janvier à 17h à la Librairie
    La Nouvelle Réserve à Limay
  • une retraite aux flambeaux le jeudi 20 janvier à 18h au départ de la gare de
    Mantes-la-Jolie direction la mairie
    rejoindre par la grève et la manifestation la mobilisation interprofessionnelle du
    27 janvier à partir de 10h30 à la mairie de Mantes-la-Jolie

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Grève des bus à Kéolis

Il était temps de réagir et de nous faire entendre.

Nous avons été entendu mais nous restons vigilants.

L’intersyndicale UST/SUD, CFDT et UNSA de Kéolis Seine et Oise EST (plus de 330 salariés) a engagé le mouvement de grève le 10 janvier 2022 pour obtenir des avancées dans le cadre du transfert des deux dépôts d’Ecquevilly et de Carrière sous Poissy précédemment Transdev (Cf. tract).

Le 10 et le 11 janvier, 100% des salariés du dépôt d’Equevilly et 95% de celui de Carrière sous Poissy ont fait grève ce qui a paralysé la circulation des bus dans les secteurs de Poissy, Carrières Sous Poissy, Ecquevilly et les Mureaux.

Le 11 janvier, la direction acceptant plusieurs revendications et s’engageant à négocier sur les autres, un accord a été signé. Ce qui a entraîné la levée du préavis de grève et la reprise du travail.

Toutefois fois l’intersyndicale se réserve le droit de reprendre le mouvement social a tout moment dans le cas où les engagements pris par la direction se seront pas respectés.

Source : 78actu.fr
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Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 23


Au sommaire : Chanteloup, Gargenville, Jouars-Pontchartrain, Poissy, Les Mureaux, Mantes-laJolie,
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Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à solidaires78@wanadoo.fr


Source : 78actu.fr
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11 janvier : mobilisation à l’ESAT COTRA à Fontenay le Fleury

Mobilisation des collègues de L’ESAT COTRA à Fontenay le Fleury. Rassemblement animé, dynamique et déterminé à obtenir satisfaction sur nos revendications, à savoir les 183€ pour toutes et tous en attendant les 400€, du personnel et des places d’accueil à la hauteur des besoins.

Le médico-social ne lâche rien.

Merci à nos camarades de SUD Culture d’être venus soutenir cette mobilisation. A charge de revanche

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