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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Agenda militant Collectivités territoriales En grève !

Mardi 19 novembre – Pas de bébés à la consigne : grande mobilisation

par SUD Collectivités Territoriales

Un nouveau gouvernement a été nommé :

ENSEMBLE exigeons qu’il remette à l’endroit l’accueil de la petite enfance !

  • Pour une véritable revalorisation des métiers de la petite enfance, notamment salariale !
  • Pour des conditions de travail décentes !
  • Pour un taux d’encadrement qui sécurise enfants et personnel !

Mardi 19 Novembre 2024
TOUTES ET TOUS ENSEMBLE !

Signez la pétition nationale
« Appliquer de toute urgence les préconisations pour la qualité des modes d’accueil ! »

Notre collectif demande :

  • Un taux d’encadrement de 1 pour 5 en 2027 et 1 pour 4 en 2030
  • L’inversion du ratio 40/60 en faveur des professions diplômées
  • L’arrêt du recours à des personnels sans aucune qualification ni expérience
  • La formation en urgence de 15 000 professionnel·le·s par an sur 5 ans
  • L’élévation progressive vers le niveau IV a minima de l’ensemble des formations
  • La reconnaissance des assistant.es maternel·les comme professionnel·le·s de la petite enfance avec un accès garanti à une formation continue de qualité
  • + 10% d’augmentation pour tous et dans tous les secteurs (en points d’indice dans la fonction publique)
  • L’alignement du régime des micro-crèches sur celui des crèches
  • La PSU forfaitisée pour 2027
  • La convergence du reste à charge pour les parents quel que soit le mode d’accueil sur la base du quotient familial, premier pas vers la gratuité des modes d’accueil
  • Participez au Forum du collectif
    Samedi 23 novembre – Institut de puériculture
    (23 Bd Brune – 75014 Paris) avec la participation de Maya Gratier – Professeure de psychologie du développement, Pierre Moisset sociologue, Sylviane Giampino psychologue enfants, psychanalyste et présidente du Conseil de l’enfance du HCFEA
    S’inscrire ici au forum : https://www.helloasso.com/associations/association-pikler-loczy-france/evenements/forum-pas-de-bebe-a-la-consigne-2 (accès gratuit) pasdebebesalaconsigne@hotmail.com – Facebook & Instagram – pasdebebesalaconsigne.com
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Agenda militant Internationalisme Palestine

Vendredi 22 novembre – Ciné-débat autour du film No Other Land au Cinéma Frédéric Dard des Mureaux

Le Collectif Palestine Les Mureaux et Alentours organise et anime un ciné-débat autour du film No Other Land vendredi 22 novembre 20h30 au Cinéma Frédéric Dard des Mureaux.

Un film documentaire exceptionnel qui a déjà reçu de nombreux éloges de la presse et du public.

On suit avec empathie les deux jeunes protagonistes bientôt amis : un militant palestinien contre l’expulsion massive et violente de sa communauté en Cisjordanie par l’occupant israélien et un journaliste israélien qui se joint à son combat de 5 ans.

Un débat aura lieu après la projection avec Lana Sadeq, présidente du Forum Palestine Citoyenneté et Nitzan Perelman, spécialiste de la société israélienne, co-fondatrice du site Yaani.

De nombreux documents – dont les activités du Collectif des Mureaux depuis plus d’un an – seront à votre disposition avant et après le film dans le hall du cinéma.

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(re)Penser notre syndicalisme Agenda militant Luttes féministes

25 novembre – Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes 2024 : Jin Jihan Azadi/ Femme, Vie, Liberté : tant que l’une d’entre nous n’est pas libre, tant que les violences machistes s’exerceront sur une seule d’entre nous, nous lutterons !

Partout sur le territoire

Jin Jihan Azadi/ Femme, Vie, Liberté :

tant que l’une d’entre nous n’est pas libre, tant que les violences machistes s’exerceront sur une seule d’entre nous, nous lutterons !

Les viols perpétrés sur Gisèle Pelicot par des messieurs tout le monde, les “révélations” sur l’iconique Abbé Pierre, démontrent l’imprégnation profonde de la culture du viol. La quasi-totalité des agresseurs sont des hommes (97,3%).
En 2024 nous en sommes là : découvrir que les violences faites aux femmes, aux enfants, aux personnes LGBTQIA, sont partout, perpétrées par des hommes « ordinaires » ou des personnalités préférées des Français.e.s.

Le samedi 23 novembre, à l’occasion de la journée internationale contre les violences faites aux femmes du 25 novembre, nous manifesterons en  solidarité avec  et pour les femmes du monde entier,  celles qui sont victimes des violences machistes, celles qui luttent, celles qui avec leurs enfants, sont les premières victimes des conflits armés, des famines, des gouvernements réactionnaires et des états théocratiques, avec toutes celles qui ne peuvent pas parler, celles qui subissent des violences sexuelles, des tortures et des mutilations. 

La violence patriarcale s’exerce partout, à l’encontre des femmes, des enfants et des personnes LGBTQIA+. Elle s’exerce dans nos maisons, sur nos lieux de travail, nos lieux d’étude, dans la rue, dans les transports, dans les établissements de soins, les lieux de culture, de loisirs… 

Les plus touchées par ces violences sexistes, dont les violences économiques,  sont celles qui souffrent déjà de multiples oppressions : femmes victimes de racisme,  migrantes, sans papiers, femmes précarisées, en situation de handicap, femmes lesbiennes et bi, femmes trans, femmes en situation de prostitution et celles victimes de l’industrie pornocriminelle.

La progression de l’extrême-droite en Europe est un grave danger pour les femmes.

Partout où l’extrême droite et une partie de la droite poreuse à ses idées sont au pouvoir, elles sont les premières victimes de politiques réactionnaires. L’extrême droite ne s’intéresse aux violences faites aux femmes qu’en fonction de l’origine ou de la nationalité des agresseurs : nous refusons les récupérations ignobles du Rassemblement national sur ce sujet comme lors du meurtre et du viol de Philippine. Le RN n’utilise la lutte contre les féminicides qu’au service de son racisme et de sa xénophobie.

En France, malgré le sursaut populaire, le danger de l’accession de l’extrême droite au pouvoir n’est pas écarté. 

Et ce ne sont pas les gouvernements de Macron qui ont pris en compte nos revendications. La « grande cause du quinquennat » s’est soldée par l’éviction du juge Edouard Durand de la CIIVISE, le soutien à Depardieu, la baisse des budgets dédiés à l’égalité entre les femmes et les hommes, des menaces de couper les subventions d’associations féministes. 

Les violences et l’impunité des agresseurs persistent 7 ans après l’élection d’Emmanuel Macron, en plein #MeToo. La plupart du temps, encore, les victimes ne sont pas crues, les plaintes classées sans suite. 

Les violences faites aux femmes, aux personnes LGBTQIA+ et aux enfants doivent être une priorité politique nationale. 

En 2023, ce sont encore 103 féminicides qui ont été commis par un conjoint ou un ex-conjoint. Des femmes assassinées parce qu’elles sont femmes. Le nombre de femmes victimes de violences dans le couple (213 000 par an) et les enfants co-victimes ne diminue pas, tout comme les viols ou tentatives (94 000 par an dont 8 000 au travail). 160 000 enfants sont victimes de violences sexuelles chaque année, en majorité au sein de la famille. Une femme en situation de handicap sur cinq a été victime de viol. Les femmes âgées de plus de 70 ans ne sont pas prises en compte dans les enquêtes sur les violences, elles représentent pourtant 21% des féminicides 50% des lesbiennes et 75% des bi ont été confrontées à des violences dans l’espace public, 85 % des personnes trans ont déjà subi un acte transphobe et la montée des idées d’extrême droite dans tous les pans de notre société n’a fait qu’amplifier ces phénomènes. 

La quasi-totalité des agresseurs sont des hommes (97,3%). 

Les différents rapports du Haut Conseil à l’Egalité nous alertent sur les violences et l’évolution  inquiétante du sexisme. Celui de 2018 sur les violences obstétricales et gynécologiques a proposé de nombreuses recommandations pour enrayer le phénomène, mais à ce jour aucune n’à été mise en place. 

Sans politique publique à grands moyens, sans prévention et sans éducation, les garçons continueront de perpétrer des violences.

Les organisations féministes et syndicales ne cessent d’avancer des propositions :

  • une loi-cadre intégrale contre les violences, comme en Espagne.
  • les 2,6 milliards d’euros nécessaires pour la mettre en oeuvre

Cette Loi-cadre intégrale devra décliner de nouveaux droits dans le monde du travail et notamment la prise en compte d’urgence de la recommandation 206 de la convention 190 de l’Organisation Internationale du Travail qui prévoit entre-autres un congé d’urgence en faveur des victimes de violences au sein du couple pour effectuer des démarches. La mobilité géographique doit aussi être facilitée si les victimes la souhaitent. Les agresseurs sur les lieux de travail doivent être sanctionnés : ce n’est pas aux victimes de partir ! 

La  loi-cadre intégrale devra prendre en compte aussi tous les aspects de la lutte contre les violences faites aux femmes et notamment la prévention, la sensibilisation de la population, l’accompagnement des victimes dans l’emploi, la santé, le parcours judiciaire,  des sanctions et des suivis socio-judiciaires des agresseurs avec des programmes spécifiques, des tribunaux dédiés aux violences sexistes et sexuelles composés de  magistrat·es formé·es et motivé·es, ayant des compétences à la fois pénales et civiles. 

Pour un continuum de mesures pour faire face au continuum des violences. 

Le gouvernement doit enfin écouter les organisations féministes et syndicales et mettre en place une Loi-Cadre intégrale.

Manifestons partout le samedi 23 Novembre 2024 ! (ou le 25 novembre suivant les territoires)

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Actu Solidaires 78 Agenda militant En grève ! Fonction publique

Jeudi 5 décembre – Fonction publique : Mobilisation sur l’ensemble du territoire

Les organisations syndicales CGT, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires, CFE-CGC et FA-FP appellent les agent·es de la Fonction publique à une journée d’action, de rassemblements, de manifestations et de grève sur l’ensemble du territoire le 5 décembre 2024.

Répondant à la demande de l’ensemble des organisations syndicales représentatives de la Fonction publique, Guillaume Kasbarian ̶ ministre de la Fonction publique, de la Simplification et de la Transformation de l’action publique ̶ a été contraint de nous accorder une audience le jeudi 7 novembre dernier.

Les organisations syndicales ont obtenu l’abandon de la suppression des catégories C, B et A de la fonction publique envisagée au titre du projet de loi dit « Guerini ». Le ministre s’est aussi engagé à rediscuter de son projet « d’agenda social ».

Force est de constater que Guillaume Kasbarian n’a pas répondu à la plupart des autres propositions et revendications portées par les organisations syndicales.

C’est pourquoi nous en appelons à une première journée de mobilisation sur l’ensemble du territoire, le 5 décembre 2024, y compris par la grève et la manifestation.

Une journée pour que le ministre renonce :

– aux 3 jours de carence dans la fonction publique,

– à la diminution de l’indemnisation des jours d’arrêt maladie,

– au non-versement de la Gipa.

Dans le même temps, nos organisations syndicales appellent les agent.es de la fonction publique, fonctionnaires et contractuel.les, à se mobiliser pour notamment :

– des moyens budgétaires à la hauteur des missions des services et des politiques publiques,

– des créations d’emplois partout où c’est nécessaire et l’accès à l’emploi titulaire des agents contractuels,

– l’augmentation de la valeur du point d’indice au titre de l’année 2024 et des années suivantes et des mesures salariales générales,

– la refonte des grilles indiciaires,

– l’égalité salariale et professionnelle entre les femmes et les hommes,

– l’abandon des orientations du projet de loi dit « Guerini ».

Nos organisations syndicales conviennent de se revoir après cette journée de mobilisation et de grève.

Paris, le jeudi 14 novembre 2024

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Agenda militant Éducation Luttes contre les discriminations Luttes migrant·es

Jeudi 5 décembre : stage syndical SUD Éducation 78 – UPE2A Se rencontrer & échanger pour s’organiser !

Pour la troisième année consécutive, SUD éducation 78 organise un stage syndical et pédagogique autour de la question des UPE2A.

Il aura lieu jeudi 5 décembre 2024 au Centre Hospitalier de Plaisir – Site Mansart, 220, Rue Mansart, Plaisir, de 9h30 à 17h

Au programme :

Matin :
➔Accueil, présentation
➔Bilan du début d’année, remontées de terrain
➔Axe juridique : connaître ses droits et les défendre
➔Études de cas concrets : faire face aux difficultés rencontrées

Après-midi :
➔Atelier au choix :
* Pédagogie Freinet en UPE2A, pour quoi faire ?
* Atelier penser collectivement l’inclusion
* Arpentage du livre Entrer en pédagogie antiraciste
➔Prochains rendez-vous, quelles actions collectives mener ?

Comment participer ?

Les stages syndicaux sont un droit (12 journées par an), sur temps de travail et sans retrait de salaire : faisons vivre ces droits !

1) prévenez sudeducation78@ouvaton.org de votre participation.

2) Envoyer votre demande à votre hiérarchie avant le 5 novembre 2024.
Pour le 1er degré, demande à formuler sur Colibris (choisir “formation syndicale”). Enregistrement à venir, nous contacter si problème…

Pour le 2nd degré : voici la demande de stage à compléter et envoyer à la hiérarchie avant le 5 novembre

[Nom]
[Prénom]
[Fonction]
[Établissement]

[Ville], le [date]

À [choisir et effacer les autres]

□ Monsieur/ Madame l’Inspecteur·trice d’académie sous couvert de
l’IEN [personnels du 1er degré]
□ Monsieur / Madame le·la Recteur·trice sous couvert du / de la
chef·fe d’établissement [personnels du 2d degré]
□ Monsieur / Madame le·la chef·fe d’établissement [AED]
□ Monsieur / Madame le·la Recteur·trice sous couvert du / de la
pilote du PIAL [AESH]
□ Monsieur / Madame le / la président·e d’université sous couvert du
directeur d’UFR / du chef de service [personnels de l’enseignement supérieur et de la recherche]
□ Mme/M. l’inspecteur d’académie [agent-es du 1er degré]
□ Mme/M. le président du conseil départemental/ régional s/c du chef d’établissement [agent-es du 2nd degré]

[Madame / Monsieur],
En application de la loi n° 82-997 du 23 novembre 1982 et du décret n°84-474 du 15 juin 1984 relatif aux congés de formation syndicale dans la fonction publique d’État, je demande à bénéficier d’un congé pour formation syndicale d’une journée, en vue de participer à la session de formation syndicale, qui se déroulera le jeudi 5 décembre 2024 à Plaisir, de 9h à 17h, sous l’égide du Centre d’Étude et de Formation Interprofessionnel Solidaires (CEFI Solidaires), 31 rue de la Grange aux Belles 75010 Paris.

[Signature]

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Agenda militant Médias Sites amis

Du mouvement ! Du mouvement ! Du mouvement social ! L’Agenda militant de la région parisienne

Ami·es ! Vous l’attendiez ?

L’AMI, l’Agenda Militant Indépendant est enfin arrivé !
 

Conçu par un collectif pluriel de militant·es, ce nouvel agenda participatif des luttes et des mouvements sociaux franciliens est le vôtre, le nôtre ! À nous de le faire battre au rythme du mouvement social !

Vous pouvez dès maintenant y annoncer des manifs, des rassemblements de soutien, des conf, des soirées…


Rendez vous pour une présentation, mais surtout se rencontrer et partager un moment convivial, ce vendredi 10 décembre à 19h au Lieu-Dit (6 rue Sorbier Paris 20ème). Trouvez ici l’événement Facebook à partager.


On compte sur vous pour partager et propager cette invitation !
 

L’équipe AMI,

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