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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Éducation

Alerte de la FCPE pour les écoles de Porcheville

Aux parents d’élèves du groupe scolaire Nelson Mandela

La FCPE « Les écoles de Porcheville » vous alerte

Pour la rentrée scolaire de septembre compte tenu de l’augmentation des effectifs des enfants en primaire, l’ouverture d’une quatrième classe est nécessaire.

Dans le cas contraire, avec 82 élèves, cela ferait des classes de 28 toutes à double niveau, donc pas les meilleures conditions pour l’apprentissage par les enfants et pour l’enseignement par les professeurs-es des écoles. Cela sans compter l’arrivée probable d’enfants supplémentaires avec la livraison des logements de la cité des Orchidées. Pour la FCPE, cela est inadmissible. Le 23 juin nous avons donc demandé la nomination d’un-e enseignant-e supplémentaire. Notre courrier a fait l’objet d’un refus. Un deuxième courrier, signé par les représentants-tes FCPE élus par les parents d’élèves ainsi que par Mme DIEZ maire adjointe aux affaires scolaires vient d’être adressé à la Direction départementale de l’éducation nationale. En cas de nouveau refus nous comptons sur le soutien et l’implication des parents dès la rentrée, afin d’obtenir les moyens nécessaires à un enseignement de qualité pour nos enfants et leurs professeurs -es.

Comptant sur votre soutien. Bonnes vacances !

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Actu Solidaires 78 Santé-Social

Dans le 78 comme partout, ils ont ruiné notre hôpital

Meulan-en-Yvelines : la maternité de l’hôpital restera fermée trois semaines en août

En raison d’un nombre insuffisant de sages-femmes, la maternité de l’hôpital de Meulan-Les Mureaux (Yvelines) restera fermée du 6 au 29 août 2022.

Source : 78actu.fr

Faute de soignants, cet hôpital francilien (Poissy – NDLR) ferme ses urgences

Source : Capital.fr
Faute de soignants, cet hôpital francilien                     ferme ses urgences

 Faute de soignants, cet hôpital francilien ferme ses urgences © Pixabay

Depuis trois jours, les urgences d’un hôpital des Yvelines n’ont pas pu ouvrir à cause d’une absence de personnel en vacances ou en arrêt maladie. Le maire de la ville a dû donner les consignes à suivre.

La situation est critique à l’hôpital de Poissy dans les Yvelines, raconte France Bleu. A tel point que les urgences ont dû fermer ce week-end des 25 et 26 juin, et qu’elles l’étaient toujours ce lundi.
La direction de l’hôpital confirme avoir dû prendre cette décision à cause de “l’absence de la quasi-totalité des équipes soignantes, en arrêt maladie”.
Cela concerne tout le service de traumatologie pédiatrique du CHI de Poissy-Saint-Germain-en-Laye.
Dans le communiqué publié par la direction, cette dernière met en avant les postes “vacants” dans son service d’urgences alors même que “l’hôpital connaît un important nombre de passages dans son service”.
Les lits fermés provoquent également un “engorgement des urgences”.
Dans la foulée, le maire de Poissy, Karl Olive a partagé les procédures d’urgences à suivre.
Pour cela, il ne faut donc pas se rendre aux urgences mais composer le 15 qui vous donnera toutes les informations à suivre.
En mai dernier, le service des urgences de l’hôpital Robert Ballanger d’Aulnay-sous-Bois avait fermé pendant une nuit faute de personnel. Plus de la moitié des effectifs étaient absents pour cause d’arrêt maladie.

Hôpitaux : des cabines de télémédecine                             aux urgences cet été face au manque de                             personnel

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Solidarité entre hôpitaux

Alors que le chef des urgences de l’hôpital Georges-Pompidou, Philippe Juvin avait alerté sur le risque de “morts cet été”, si rien ne bougeait,
dans le même temps, Emmanuel Macron avait lancé une mission flash pour la généralisation des services d’accès aux soins cet été. Celui qui en avait la charge notamment, François Braun, le président de Samu-Urgences de France, a formulé 150 propositions avec ses collègues dont 40 ont été retenues. Cette généralisation des services d’accès aux soins n’était prévue que l’année prochaine.
A Poissy, le maire explique que des discussions ont été menées (et le sont toujours d’ailleurs), et une “augmentation massive” des effectifs a été votée. Dans le même temps, les hôpitaux de Poissy-Saint-Germain, Mantes-la-Jolie et Meulan-les-Mureaux ont mis en place “des dispositifs de solidarité territoriale” afin de permettre aux hôpitaux de s’entraider. Face à ces situations tendues, certains hôpitaux offrent de très jolies primes pour éviter les fermetures de services.

Heures supplémentaires, soignants                             retraités... De nouvelles mesures pour faire                             face à la crise des urgences cet été

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antifascisme Écologie Éducation Idées, débats, cultures Lecture

Les Utopiques – numéro 20

Pour lutter efficacement contre l’extrême droite et ses idées, il est nécessaire de la (re)connaître. Dans cette optique, Les Utopiques dressent un portrait de la situation actuelle en France.

Loin de se limiter à sa dimension électorale, au Front national/Rassemblement national du clan Le Pen, ou encore à Zemmour, l’extrême droite est plurielle et active dans de nombreux champs.

Elle est ainsi aujourd’hui omniprésente dans plusieurs médias grand public. Un article de l’Observatoire des médias (Acrimed) analyse les relations ambivalentes de l’extrême droite avec les médias. Un autre présente un phénomène en pleine expansion : les youtubeurs d’extrême droite. Grégory Chambat (L’école des réac-publicains : la pédagogie noire du FN et des néoconservateurs, Libertalia, 2016) analyse l’action des « réac-publicains » dans le domaine de l’éducation.

Le traitement par l’extrême droite des questions environnementales, ce qu’on peut qualifier d’écofascisme, est au sommaire. On y lira également comment les extrêmes droites tentent de s’infiltrer dans les mouvements sociaux, comme les Gilets jaunes, et les formes que prend son implantation dans la police.

Le racisme, où l’antisémitisme occupe une place particulière, est évidemment une donnée centrale de la pensée des extrêmes droite et donne lieu à plusieurs textes.

Il en est de même de l’approche néofasciste du rôle des femmes, ramenées au traditionnel rôle maternel et soumises au chef naturel.

Au sommaire aussi, un tour d’horizon mondial des fascismes de notre temps et des résistances antifascistes : Espagne, Italie, Brésil, États-Unis…

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Fonction publique

Dégel du point : 3,5 % d’augmentation = 100% de mépris

Après une période glaciaire prolongée de plus ou moins 10 ans, c’est donc 3,5 petits pourcents d’augmentation du point d’indice qui ont été annoncés ce matin par Stanislas Guérini. Cette augmentation ne couvre même pas l’inflation sur un an qui s’établit à 5, 2 % et qui poursuit son accélération. Les agent-es publics ont perdu 20% de pouvoir d’achat depuis 10 ans. On est donc bien loin du compte.

Quant aux autres mesures annoncées, elles sont une déception pour certaines et ne relèvent pas des mesures générales salariales que les agent-es publics attendent pour d’autres. Par exemple, la reconduction de la GIPA prouve que le gouvernement a cons- cience que la mesure de dégel est insuffisante.

Le gouvernement a profité de la réunion de ce jour pour annoncer des mesures qui ne sont pas directement liées au dégel du point d’indice. Ces mesures telle l’augmentation de la prestation interministérielle restauration à l’Etat (+ 7%), l’amélioration de l’assiette du forfait mobilité durable désormais cumulable avec un titre de transport en commun, ou encore l’amélioration des débuts de carrière B ne peuvent faire illusion face à l’ab- sence de mesures générales indiciaires globales tendant à la reconnaissance des quali- fications des agent-es publics par la revalorisation de l’ensemble des grilles de carrière. Ces annonces donc une réelle déception pour l’ensemble des 5,5 millions d’agent-es publics qui sont pourtant en première ligne et font preuve d’un engagement sans faille en particulier pendant la période de crise sanitaire.

Solidaires Fonction publique revendique :
– une importante revalorisation du point d’indice qui couvre l’évolution de l’inflation (+10% depuis 2017)
– l’attribution de 85 points d’indice, soit environ 400€ pour toutes et tous
– la revalorisation des carrières, et notamment celle des filières féminisées, pour l’égalité salariale,
– l’intégration d’une large partie des primes dans le traitement
– l’indexation automatique de la valeur du point sur le coût de la vie
– les revalorisations doivent intégrer la situation des contractuel-les

Les agent-es publics valent mieux que le mépris.

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Automobile

Sud Renault 78 – Les effets pervers de l’Intéressement

La direction de Renault a choisi de remplacer les Augmentations Générales de Salaires par des primes d’Intéressement. Et si les salariés et tous les syndicats refusaient de marcher dans ce système aux effets pervers ?

Intéressement contre augmentation de salaire

En matière de rémunération, la direction de Renault et les syndicats signataires de l’accord Renouveau France 2025 (à savoir la CFE/CGC, la CFDT et FO) ont choisi comme seule mesure collective l’Intéressement au détriment des Augmentations Générales de Salaire (AGS). Les augmentations de salaire ne peuvent désormais être qu’individuelles.

L’accord d’intéressement aux performances locales 2022 mis en place actuellement par la direction de l’établissement Renault Guyancourt/Aubevoye se place dans le cadre des « principes généraux » énoncés dans l’accord Renouveau France 2025.

Ce choix a des conséquences désastreuses. La suppression des AGS accroit les inégalités salariales, laissant une partie des salariés sans augmentation de salaire. D’autre part, l’intéressement n’est pas soumis à cotisation sociale. Cela prive de ressources les caisses de la sécurité sociale alors que celles-ci sont en difficulté.

A l’heure où l’inflation explose, il serait au contraire urgent et nécessaire d’indexer les salaires sur la hausse des prix. SUD réclame l’ouverture de négociations salariales et invite les salariés à revendiquer une hausse générale des salaires au moins au niveau de l’inflation.

Les indicateurs de (la) Direction

Concernant l’accord d’Intéressement local 2022, SUD est en désaccord avec un certain nombre d’indicateurs choisis par la Direction :

  • Accidents du travail (taux FR2R [1]). Ce taux correspond à la fréquence des accidents de travail occasionnant au moins 1 jour d’arrêt. Indexer l’intéressement sur le nombre d’accident de travail avec arrêt est une incitation à ne pas les déclarer, ou du moins à ne pas s’arrêter après un accident ou à ne pas déclarer son arrêt. Rappelons que la sécurité au travail est de la responsabilité de l’employeur, pas des salariés.
  • Présentéisme. Ce taux est diminué notamment en cas d’arrêts maladie ou d’accidents de trajet (c’est la double peine : en plus de l’accident ou de la maladie, la prime est réduite), de certaines périodes de formation (alors que l’entreprise se vante d’encourager la formation) ou en cas de grève (le droit de grève étant pourtant un droit constitutionnel). Voici la liste complète des absences qui font baisser la prime d’intéressement :
    • Absence autorisée non payée
    • Absence autorisée non payée enfant
    • Absence autorisée non payée grossesse
    • Absence autorisée non payée procréation
    • Absence congé VAE
    • Accident de trajet
    • Arrêt maladie simple
    • Activité extérieure non payée
    • Congé sans solde (sabbatique, création entreprise)
    • Congé sans solde parental/ présence parentale
    • Congé sans solde pathologique
    • Congé sans solde suite maternité
    • Congé SS Immigré et Français d’Outre-Mer
    • Délai de route sans solde
    • Don de jours de repos (pour le bénéficiaire)
    • FONGECIF non indemnisé
    • Formation FONGECIF (> 1 semaine / ≤ semaine)
    • Formation intérieure non payée
    • Grève Interruption travail
    • Mise à pied sans solde (disciplinaire)
    • Préavis non travaillé non payé
    • Retard/bon de sortie non payé
    • Service national
  • Délais (ponctualité du KPI ratio de 50% top brands et de 50% niveau 3). La ponctualité des sorties de véhicules n’est pas de la seule responsabilité des salariés (citons par exemple les nombreuses interventions de Luca De Meo pour modifier le Design des véhicules et qui entrainent une surcharge de travail).

Indexer la prime d’intéressement sur ces indicateurs pousse les salariés à se mettre la pression entre eux (et certains syndicats signataires à mettre la pression sur les salariés) pour atteindre les objectifs fixés pour chaque indicateur.

La prime est collective, il faut donc que tous les salariés entrent dans le « jeu » pour gagner plus, c’est à dire en l’occurrence : ne pas faire de Fongecif, ne pas déclarer d’arrêt maladie, ne pas s’arrêter après un accident de travail, ne pas dépasser les jalons quitte à déclarer des indicateurs « pastèques », réduire les coûts quitte à faire de la sous-qualité… Bref, c’est un système pernicieux.

Pour toutes ces raisons, SUD n’est pas signataire de cet accord. Nous appelons au contraire les salariés et les élus des autres syndicats à se battre pour imposer un autre modèle social, à commencer par le rétablissement des Augmentations Générales de Salaires.

Notes

[1] FR2R : Frequency Rate 2 Renault ou Taux de Fréquence 2 Renault. Renault a aussi mis en place un indicateur FR1R qui concerne les accidents du travail sans arrêt.

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Défense de nos libertés Luttes féministes

Avortement : solidarité avec les femmes des Etats-Unis et d’ailleurs

Vendredi 24 juin la Cour suprême des États-Unis remet en cause le droit fondamental des femmes à avorter et dans le même temps consacre le droit des Américains à sortir armés de leur domicile. Ceux qui se surnomment les pro-vies ne sont que les pro-morts : morts des femmes qui souhaitent avorter, et autorisation des armes partout, tout le temps!

Cette décision balaie avec violence des années de luttes et de mobilisation pour les droits des femmes. L’Union syndicale Solidaires dénonce la collusion entre les conservateurs, les extrêmes droites et les pouvoirs religieux, qui perpétuent la domination patriarcale.

Si cette décision ne rend pas les interruptions de grossesse illégales, elle renvoie les Etats-Unis à la situation en vigueur avant l’arrêt emblématique “Roe v. Wade” de 1973, quand chaque Etat était libre de les autoriser ou non.

13 Etats américains conservateurs (Arkansas, Idaho, Kentucky, Louisiane, Mississippi, Missouri, Dakota du Nord et du Sud, Oklahoma, Tennessee, Texas, Utah et Wyoming) avaient adopté des « trigger laws », des lois « automatiques » leur permettant de rendre tout avortement illégal dès la décision annoncée ou dans les 30 jours suivants. Avec comme seules exceptions prévues, un risque pour la santé de la mère et, pour une poignée, en cas de viol ou d’inceste. Le Missouri devient ainsi le premier État à interdire l’avortement.

Les avortements se feront, avec ou sans autorisation par la loi, mais les femmes, et toutes personnes souhaitant avorter, seront dans l’obligation d’y avoir recours dans des conditions sanitaires infâmes comme dans l’ancien temps.

Cette décision est une honte absolue !

L’Union syndicale Solidaires rappelle qu’interdire l’avortement libre, gratuit et dans des conditions sécures :

  • c’est accentuer les inégalités de classes, entre les femmes qui peuvent payer pour se rendre dans un État autorisant l’avortement et celles qui ne le peuvent pas ;
  • c’est renvoyer ces dernières à la clandestinité, et à nouveau les acculer à des avortements non médicalisés, avec leurs complications, ou encore les condamner à mort !

L’Union syndicale Solidaires sera dans la rue, et partout en soutien pour défendre ce droit fondamental et ne pas voir le retour des aiguilles à tricoter que ce soit aux USA, en Pologne, en Italie, ou même en France !

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Transport

Bulletin de la fédération SUD/Solidaires des Transports Urbains et Inter-urbains : Solidaires sur toute la ligne ! n° 5 – Eté 2022

Le sommaire de ce numéro 5 de Solidaires sur toute la ligne est riche, parce que les sections et syndicats de notre fédération sont toujours sur le pied de guerre. TAO, Transdev, RATP, MTAG : si les patrons ont toujours un nouveau sale coup dans leur chapeau, les équipes Sud/ Solidaires sont là pour les empêcher d’imposer leur loi. Alors que les élections viennent de rendre leur verdict (un président de droite extrême et une assemblée nationale d’extrême-droite), il nous faudra, dès maintenant et pendant les prochaines années, poursuivre nos efforts pour construire concrètement le syndicalisme de luttes gagnantes que imaginons.

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Commerce

Nous n’aurons que ce que nous saurons prendre ! (Sud Commerces & Services – Bulletin d’information N°3)

Edito

Les résultats des élections législatives sont une défaite pour le pouvoir en place. Macron est en effet bien loin d’obtenir la majorité absolue des député-es, confirmant son illégitimité, d’autant plus que les chiffres de l’abstention, notamment chez les jeunes et les classes populaires, confirment la crise démocratique. La forte progression de l’extrême-droite est également un danger mortel. Le RN, c’est le mépris social de Macron, mais avec toujours plus de racisme et de division. SUD Commerces et Services porte fièrement des valeurs antifascistes. Nous ne laisserons aucune place à l’extrême-droite dans nos entreprises et dans la rue. La composition de l’Assemblée nationale laisse augurer d’une poursuite des politiques libérales et des attaques contre le monde du travail au profit des plus riches. Pourtant, face à l’inflation, il devient urgent de réhausser le smic à 1700€ net. Nous revendiquons également une augmentation de 400€ par mois pour toutes et tous, avec une limitation de l’échelle des salaires de 1 à 5 dans une même entreprise. Nous exigeons l’égalité salariale réelle pour les hommes et les femmes.

Contre les temps partiels imposés qui deviennent une norme dans le secteur du commerce, il faut réduire le temps de travail à 32h payés 35. Pour l’obtenir, nous ne devons compter que sur nous-mêmes. Seule notre capacité à nous rassembler et nous organiser pour lutter permettront d’inverser le rapport de force et gagner de quoi vivre décemment. Se syndiquer est une première étape pour se défendre au quotidien et ne pas rester isolé-es. Se battre, il va le falloir dès la rentrée si le gouvernement veut faire passer son projet de retraite à 65 ans. Une réforme cynique qui va en réalité priver de retraite à taux plein la grande majorité des salarié-es de notre secteur. Qui se voit travailler avec la pénibilité subie, jusqu’à 65 ans dans nos magasins et nos dépôts ? Préparons-nous à nous mettre en grève et à manifester. Ce sont nos meilleures armes contre le patronat et son gouvernement. La Fédération SUD Commerces et Services vous souhaite un bon été et des congés bien mérités…

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Campagne partageons le travail

Campagne partageons le travail

L’Union syndicale Solidaires lance de juin 2022 à juin 2023 une campagne de fond pour aller en direction du maximum de travailleuses et travailleurs. Échanger sur le travail, ses finalités, ce qu’il faut faire pour l’améliorer, en prendre le contrôle collectivement : c’est la campagne partageons le travail. Dans un premier temps de cette campagne, durant l’été 2022, nous allons dans les secteurs professionnels et dans nos unions départementales aller discuter retraites et protection sociale, en faisant le lien avec la question de l’inflation, des salaires et revenus et en intégrant les luttes contre les discriminations et dominations.

Partageons le travail : toutes les infos

La présentation de la campagne

Visuels de la campagne

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