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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Actu Solidaires 78 Stages syndicaux Vidéo

Le télétravail en questions… Connaître ses droits, les faire respecter.

Avec la crise sanitaire, le télétravail s’est généralisé à tous les niveaux de la société, souvent dans la précipitation et l’improvisation, toujours au détriment des salarié·es.

Si le télétravail est actuellement présenté comme une « évidente » protection pour la santé des travailleuses et des travailleurs, voire des enfants, parfois même comme un confort appréciable, la réalité nous dit tout autre chose : surveillance accrue par les chef·fes, risques psychologiques, mise à mal des collectifs de travail, etc.

Cette formation a pour objectif de lever le voile sur les réalités du télétravail, d’en analyser les tenants et les aboutissants, ainsi que les limites. Dans cette optique, et en vue d’éventuelles négociations d’entreprise sur le télétravail, il s’agira aussi de proposer des pistes de réflexion pour construire, collectivement, les bases d’une résistance à ce qui pourrait vite devenir une exploitation des salarié·es.

3 intervenant·es pour dresser un portrait du télétravail et de ses implications. Puis un débat en vue de construire un cahier revendicatif par les travailleurs et travailleuses.

Participation à la réunion sur Zoom :
Inscription à solidaires78@wanadoo.fr

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Actu Solidaires 78 Santé-Social

Sud Santé Sociaux – Spécial visite de Macron à l’hôpital de Poissy…

Ce n’est pas de bienveillance ni d’opération de COM dont a besoin le CHIPS!

Visite surprise de Messieurs MACRON et VERAN à l’Hôpital de Poissy, jeudi 17 mars.

Sans prévenir, toute une équipe de sécurité rapprochée occupe les lieux, perturbant la bonne marche de l’hôpital qui pourtant n’avait pas besoin d’une visite de courtoisie mais de moyens pour fonctionner.

Dès son arrivée, le cortège présidentiel a pu apprécier une des trop nombreuses malfaçons de la réanimation, une fuite d’eau coulant du plafond du hall de l’accueil, arrosant les usager.es et de l’Hôpital.

Au mépris des règles élémentaires d’hygiène, la Direction s’est empressée le matin de retirer rubalises et plots de chantier, jugés sans doute trop voyants pour une arrivée présidentielle…

Profitant de l’occasion, SUD a pris l’initiative de solliciter un entretien avec Mr MACRON ou son chef de cabinet. La CFDT a pris le pas avec nous pour cette demande. Ce fut finalement avec le chef de cabinet d’Olivier VERAN que nous avons pu nous entretenir.

Cet entretien a duré 40 min, en présence de SUD, CFDT et CGT, de Mr GROSEIL et d’une représentante de l’ARS. Nous avons abordé les points qui nous paraissaient les plus importants… le temps nous étant compté malheureusement.

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Actu Solidaires 78 TPE / TPA

Élisons des représentant·es Solidaires !

Salarié·e·s des très petites entreprises (TPE), de très petites associations (TPA) ou à domicile, du 22 mars au 6 avril 2021, nous voterons pour choisir le syndicat qui nous représente le mieux. Dans chaque région, nous élirons 10 représentant·e·s syndicaux issu·e·s eux·elles aussi de TPE qui nous représenteront face aux employeurs dans des Commissions Paritaires Régionales Interprofessionnelles (CPRI). Ces élections comptent pour la représentation syndicale dans les branches professionnelles et les conseils de prud’hommes. Avec un score important, nous pourrons mieux défendre nos droits.

Nous sommes 5 millions, c’est une force ! Élisons des représentant·e·s qui défendent nos intérêts !

Dans nos secteurs, les employeurs veulent nous maintenir isolé·e·s : l’absence voulue de délégué·e·s du personnel, en divisant les entreprises ou en utilisant les franchises, l’isolement ou encore la proximité avec l’employeur ne doivent pas être un frein à l’exercice de nos droits. Il est indispensable que notre syndicat sans concession y joue un rôle essentiel ! Nous sommes 5 millions en France à travailler dans des entreprises ou associations de moins de 11 personnes ou être salarié·e·s des particuliers et des services à la personne. Social, commerce, industrie, bâtiment, hôtellerie, restauration, employé·e·s de maison, santé, journalisme, associations… nous participons à la vie économique du pays. Nous exigeons le respect de nos droits ! ‌

Ne pas perdre sa vie à la gagner !

Partout, nous sommes confronté·e·s à des organisations du travail de plus en plus violentes et à des employeurs qui nient ou banalisent les dégâts humains engendrés. La crise sanitaire de 2020 liée au coronavirus a montré que nous sommes souvent en « première ligne » au mépris de notre santé et nous étions nombreux et nombreuses dans les « premier·e·s de corvées ». Produits toxiques, travaux dangereux, travail de nuit et du dimanche, pressions managériales…, Solidaires lutte au quotidien, pour empêcher la casse, améliorer les conditions de travail, gagner de nouveaux droits.

Nos employeurs, des patrons
pas comme les autres ?

L’ambiance et les rapports humains sont souvent différents des grandes entreprises. Il peut paraître plus compliqué de faire valoir ses droits dans un contexte où la proximité avec l’employeur est plus grande, les enjeux affectifs plus importants et la hiérarchie pas toujours assumée. Mais trop d’employeurs en profitent pour nous exploiter plus, par exemple en ne payant pas toutes nos heures supplémentaires ! Pour Solidaires, c’est inacceptable, nous devons avoir les mêmes droits que tou·te·s les salarié·e·s.

L’unité d’action syndicale, c’est l’efficacité !

Il existe plusieurs syndicats. C’est normal, c’est la démocratie ! Chacun·e peut ainsi contribuer au développement du syndicat dont il se sent le plus proche. Pour Solidaires, la diversité d’opinion est une richesse qui sert l’intérêt collectif. Les syndicats doivent s’unir pour être plus forts et imposer des avancées sociales.

L’Union syndicale Solidaires :
des outils à notre disposition

Dans nos secteurs où le droit syndical est quasi inexistant, l’Union syndicale Solidaires avec ses permanences juridiques, ses conseiller·e·s du/de la salarié·e, ses défenseurs prud’homaux et, pendant l’épidémie de coronavirus, son numéro vert nous permet d’être assisté·e·s face aux patrons et d’être défendu·e·s.

Pour Solidaires, l’égalité femme/homme
est une priorité

24 % de salaire en moins pour les femmes : les inégalités entre les femmes et les hommes sont encore une réalité qu’il faut changer. Cela se vérifie sur les salaires mais aussi les temps partiels subis qui compliquent notre vie quotidienne (horaires hachés, transports, garde des enfants…). Nous exigeons le respect de nos droits et la liberté de choisir.

Faire respecter nos droits !
En gagner d’autres !

L’Union syndicale Solidaires exige :
• Salaire minimum à 1700 € nets pour un temps plein et treizième mois généralisé.
• Travail du dimanche et de nuit mieux compensés.
• CDD, intérim, sous-traitance, temps partiels subis : stop à la précarité.
• Un statut du/de la salarié·e qui garantisse à chacun·e la poursuite de ses droits tout au long de la vie.
• Renforcement des moyens de l’Inspection du travail.
• Autorisations d’absences payées pour consulter l’Inspection du travail et le syndicat. ‌

Un syndicalisme de lutte

L’Union syndicale Solidaires veut être un contre-pouvoir et propose un syndicalisme de lutte qui lie défense quotidienne des salarié·e·s et transformation de la société.
Contre les politiques patronales et gouvernementales qui vont à l’encontre des intérêts des salarié·e·s.
Pour des projets alternatifs favorables aux salarié·e·s quels que soient leur statut ou la taille de leur entreprise, aux chômeurs·euses, aux précaires, aux retraité·e·s et aux sans-droits.
Contre toutes les discriminations, qu’elles soient liées au sexe, à l’orientation sexuelle, à la couleur de peau, à l’origine ou à la religion.

D’autres choix économiques, sociaux et environnementaux doivent être imposés

Agir localement contre les décisions patronales ou gouvernementales ne peut suffire si on ne s’attaque pas à leurs causes. L’Union syndicale Solidaires permet de faire le lien entre ce qu’on vit au travail au quotidien et une mondialisation libérale et financière exploitant les salarié·e·s et détruisant la planète.

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Idées, débats, cultures Lecture

En luttes ! Les possibles d’un syndicalisme de contestation

Collection Raisons d’agir, Sophie Béroud et Martin Thibault

Le mouvement des Gilets jaunes, d’abord éloigné des syndicats, est un révélateur inattendu de leurs difficultés. Englués dans le « dialogue social », incapables de faire plier les gouvernements successifs, pris dans des enjeux de rivalités internes, ils peinent à élargir leur base sociale et à peser sur les mobilisations.
Depuis près de trente ans une organisation, les SUD, devenus Solidaires, développe pourtant des pratiques plus horizontales et démocratiques et affirme le retour d’un syndicalisme de contestation. Elle rencontre toutefois des obstacles imprévus : comment avoir du poids institutionnel sans s’institutionnaliser ? Comment réussir à servir davantage les intérêts immédiats des salariés sans devenir des professionnels du syndicalisme et en rabattre sur la radicalité du combat ?
Pour éclairer ces transformations profondes, ce livre s’appuie sur une enquête sociologique au long cours qui retrace l’enthousiasme et l’âpreté de parcours militants en les resituant dans les grands mouvements sociaux des vingt dernières années. Au-delà du cas de Solidaires, il témoigne de la capacité des organisations syndicales, confrontées à un monde du travail de plus en plus fragmenté et dérégulé, à rendre aux conflits salariaux un rôle moteur et œuvrer ainsi à des revendications plus larges d’émancipation et de transformation politique.

A propos de l’auteur

Sophie Béroud a publié, en collaboration avec Baptiste Giraud et Karel Yon, Sociologie politique du syndicalisme, Armand Colin (2018).

Martin Thibault a également publié aux éditions Raisons d’agir Ouvriers malgré tout. Enquête sur les ateliers de maintenance des trains de la Régie autonome des transports parisiens (2013).

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Actu Solidaires 78 Commerce

Ouverture du procès IKEA

Communique de presse——-communique de presse——— vendredi 19 mars 2021

TRIBUNAL CORRECTIONNEL DE VERSAILLES

Du 22 mars au 2 avril 2021

Ouverture du procès IKEA

Enfin le procès pour fichage par IKEA des syndicalistes, de l’ensemble des salarié.es et même des clients avec la complicité active de plusieurs fonctionnaires de police couverts par une partie de leur hiérarchie va débuter après 10 ans d’instruction.

Au rang des accusé.es :
• IKEA France
• Deux anciens présidents d’IKEA France
• L’ex DRH d’IKEA
• Le responsable national de la sécurité IKEA
• Des directeurs de magasin
• Des anciens policiers recyclés dans des sociétés de sécurité au service de dictateur
africain et d’IKEA
• Des policiers de base ou des renseignements généraux

De 2000 à 2012, IKEA était prêt à dépenser des centaines de milliers d’euros pour obtenir de policiers les fichiers STIC (système de traitement des infractions constatées) de syndicalistes et plus largement de l’ensemble des salarié.es.

Ainsi à chaque ouverture de magasins une liste de l’ensemble des salarié.es était envoyée à la société EIRPACE dirigé par un ancien policier qui renvoyait la fiche police STIC pour la modique somme de 80 euros par salarié.e.

Apres la grève de 2010 très suivie à Franconville, IKEA dépensait jusqu’1 million d’euros pour enquêter et essayer de ’faire tomber ’ les syndicalistes qui avaient animé la grève allant jusqu’à recruter des ’fausses caissières’ pour espionner les syndicalistes.

A IKEA St Priest (Rhône) le directeur de la sécurité envoyait à la police le numéro d’immatriculation du véhicule du délégué SUD en leur demandant d’enquêter sur la façon dont il avait acquis cette voiture et comment il l’avait payé.

Tels des délinquants chevronnés, certains hauts cadres d’IKEA et quelques policiers barbouzes ont su garder le silence lors des premiers interrogatoires et faire disparaitre en quelques jours après le premier article du canard enchainé une grande partie des dossiers. Ainsi le coffre d’IKEA a été vidé et 100 kilos de document ont été brulés par la société EIRPACE de l’ancien policier.

Les syndicats SOLIDAIRES et SUD Commerce et Services sont parties civiles à ce procès révélateur de partenariat étrange entre délinquant patronaux et policiers peu scrupuleux.
Nous demandons un jugement exemplaire et l’exclusion de la police de tout policier ayant transmis les fichiers STIC.

Leschiera Frédéric
SUD COMMERCE ET SERVICES 125 rue Garibaldi 69006 Lyon 06 51 25 40 77

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Actu Solidaires 78 Éducation

#Blanquerment – Le ministre zappe les prof’docs et l’éducation aux médias

« Vous conduisez un travail indispensable auprès des élèves » dit le ministre aux professeurs-documentalistes, dans un message envoyé le 04 mars dernier. A Sud-éducation, nous en sommes tous/toutes convaincu·es mais nous ne nous satisfaisons pas de belles déclarations. Car, si le ministre tente d’amadouer les prof’docs par ces paroles lénifiantes, en leur annonçant qu’il augmente royalement leur indemnité de sujétions particulières de 233 € (par an !!!!), ses propos cachent des actes moins glorieux.
Parce que cette indemnité reste nettement inférieure à l’ISOE (Indemnité de suivi et d’orientation des élèves) accordée à tous les autres enseignants. Pourtant, les professeur·es-documentalistes contribuent aussi à l’accompagnement pédagogique et à l’orientation des élèves. D’ailleurs, le ministre le reconnaît dans son message, mais se garde bien d’aligner l’indemnisation des prof’docs sur celle des autres professeur·es. DISCRIMINATION
Le ministre ne dit pas un mot de la prime d’équipement informatique dont sont exclu·es les professeur·es-documentalistes, alors qu’ils et elles utilisent autant leur ordinateur personnel que les autres enseignant·es. Si, à Sud éducation 78, nous dénonçons toute forme de primes parce qu’elles masquent l’insuffisance de nos salaires, nous dénonçons également leur inégale répartition entre les personnels quand elles existent. DISCRIMINATION !
Le ministre ne dit pas un mot de l’Education aux médias et à l’information, première mission des professeur·es-documentalistes. Comme s’il voulait la gommer de la circulaire du 28 mars 2017 (qui fixe les missions des prof’docs). Alors que les discours officiels promettent de développer cette EMI pour lutter contre l’obscurantisme, l’Education nationale la fait en réalité reposer sur la seule bonne volonté des enseignant·es. La réalité est celle-ci : tou·tes les profs sont censé·es faire de l’EMI, mais elles et ils ont d’autres programmes à boucler, et une infime minorité d’élèves en bénéficie. Le ministre trompe les familles et minimise le rôle des prof’docs dans cette mission. TROMPERIE !
Rappelons enfin que 86 % des prof’docs sont des femmes. Ainsi, en instaurant une telle différence de traitement, le ministère accentue encore les inégalités entre les femmes et les hommes au sein même de l’Education nationale, ce contre quoi Sud éducation 78 ne cessera de lutter. DISCRIMINATION !
Syndicat intercatégoriel, féministe et égalitaire, Sud-éducation refuse cette discrimination. Nous demandons l’égalité de traitement pour tou·tes les enseignant·es !

Sud éducation 78, le 24 mars 2021

Pour tout contact : 06 71 48 60 88 | sudeducation78ouvaton.org
Permanence d’accueil syndical dans le Mantois :
Tous les mardis de 16 à 18 heures,
(Librairie La Nouvelle Réserve – Limay)

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Actu Solidaires 78 Automobile

Non au démantèlement de l’Ingénierie Renault


5 organisations syndicales de l’établissement Guyancourt/Aubevoye appellent les salariés Renault et sous-traitants à débrayer massivement mardi 30/03 à 10h devant le CTA et au TCR contre l’externalisation de la maintenance des moyens d’essai et le démantèlement de l’Ingénierie.

Les documents préparatoires au CSE extraordinaire du 29 mars le confirment : la maintenance DEA-TM est à vendre avec ses salariés RENAULT !
 

MOBILISONS-NOUS NOMBREUX Mardi 30 mars à 10h00 Aubevoye : devant l’accueil du CTA (bâtiment G1) Technocentre : Parvis de La Ruche au TCR (ou par Teams)

La semaine dernière environ 150 salariés ont répondu à l’appel de l’intersyndicale et se sont mobilisés à Aubevoye. Simultanément, une centaine de salariés du TCR ou de VSF se sont connectés par Teams. Ce mouvement inédit par son ampleur montre notre détermination à ne pas laisser passer ce projet.

Télécharger le tract intersyndical

Non à l’externalisation de la maintenance !

Les CRAINTES que nous exprimions la semaine dernière, sont INTEGRALEMENT CONFIRMÉES par les documents préparatoires au CSE extraordinaire du 29 mars.
G. LE BORGNE veut rééditer ce qu’il a réalisé chez PSA en 2015 : externaliser le même secteur (pilotage de la maintenance opérationnelle des moyens d’essais), en se basant sur le même article du code du travail (L. 1224-1) et en le vendant à la même société (P2M).

Le transfert est prévu au 01/11/2021 et sera précédé d’une réorganisation qui prendra effet le 01/04/2021, et dont le seul objet est de créer les conditions d’application de l’article L. 1224-1.

Ça n’arrive pas qu’aux autres !

La RCC ne fait pas recette, et la direction a maintenant recours aux départs contraints. Si un tel projet passe c’est le début du démantèlement de l’ingénierie France. Dans le viseur Lardy , VSF, Aubevoye et le TCR.

Une menace mortifère pour nos sites dont l’avenir après 2024-25 n’est à l’heure actuelle assuré par aucun projet. Après la maintenance, à qui le tour ?

5 organisations syndicales de l’établissement Guyancourt/Aubevoye appellent tous les salariés Renault et sous-traitants à participer massivement au débrayage de mardi 30/03 à 10h devant le CTA et au TCR pour faire échouer ce projet déloyal, lâche et méprisant.

A cette occasion, les élus du personnel feront un compte-rendu du CSE de la veille.

RDV mardi 30/03 à 10h
Devant l’accueil du CTA (bâtiment G1)
Parvis de La Ruche au TCR (devant chez Paul)

Nous sommes tous concernés, MOBILISONS-NOUS !

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Actu Solidaires 78 Santé-Social

Nouveau “Virus”, bulletin de la section Sud Santé sociaux de Versailles

ÉDITO : Mars mois de l’arrivée du printemps et de la prime de service ! Pour cette dernière, en cette année de pandémie, la direction a décidé de ne pas prendre en compte l’ensemble des arrêts de travail du 1er mars au 30 avril 2020 et les arrêts pour COVID du 1er octobre au 31 décembre.

De ce fait le reliquat calculé sur l’absentéisme versé aux agents risque d’être moins important. Lisez bien la note explicative prime de service accompagnant votre fiche de paye.

Mais où est passé le projet d’encadrement de l’ensemble des équipes (jour / nuit) par le cadre de jour que nous devions voter au CTE du 18 mars ?

La direction prouve une nouvelle fois que seul l’avis des cadres trouve grâce à ses yeux car nous n’avons jamais vu un projet abandonné sans débat ni vote en instance au seul refus des agents.

Prenez bien soin de vous

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