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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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antifascisme Défense de nos libertés Luttes migrant·es Pourquoi des prisons ?

Contre le racisme et les violences policières et pénitentiaires

Les moyens actuellement mis en œuvre pour accueillir celles et ceux qui fuient l’horreur de la guerre en Ukraine démontrent chaque jour que les arguments jusqu’alors utilisés contre l’accueil inconditionnel étaient faux économiquement. Ces arguments ne servaient qu’à justifier les mesures qui amplifient monstrueusement le racisme et les inégalités sociales.

A l’occasion des journées internationales contre le racisme (21 mars) et contre les violences policières (15 mars) la Campagne Antiracisme et Solidarité et le Réseau d’Entraide Vérité et Justice organisent ensemble une grande manifestation nationale contre le racisme et les violences policières et pénitentiaires le 19 mars à 14h place du Châtelet.

  • La Campagne Antiracisme et Solidarité rassemble plus de 390 organisations unies dans leur opposition au racisme (https://antiracisme-solidarite.org/). On retrouve dans ces organisations l’ensemble des composantes de la société déterminées à lutter contre le racisme : des organisations politiques, syndicales, sportives, culturelles etc. . Cette campagne de solidarité contre le racisme illustre et visibilise le foisonnement d’initiatives locales et donne aussi les moyens d’initiatives nationales telles que le 18 décembre pour la journée internationale des migrant.e.s avec plus de 50 manifestations en France pour lancer l’appel “D’où que l’on vienne, où que l’on soit né.e, notre pays s’appelle Solidarité” et du 19 mars prochain inscrit dans le cadre d’une mobilisation internationale https://worldagainstracism.org/
  • Le Réseau d’Entraide Vérité et Justice, est un ensemble de collectifs d’ici et là-bas et de différentes régions. Des collectifs de familles de victimes tuées par la police, la gendarmerie et la prison, des personnes mutilées et blessées par la police, des familles qui ont perdu un proche suite à des disparitions forcées, des collectifs antifascistes, antiracistes et contre les violations des droits humains.

⇒ Billet de la Marche des Solidarités à diffuser : 19 mars le Grand Soulèvement

“Ils et elles prétendent parler en notre nom. Mais ça parle mal de nous. Et ça dégouline de haine et de racisme. Il ne s’agit pas seulement de discours car ça tue aux frontières et dans nos quartiers, ça mutile. Jusqu’où ? Non ! Pas en notre nom ! Arrêtons cette machine de mort. Tout ça n’a rien à voir avec nos besoins, notre réalité, nos désirs.”

⇒ Appel de la campagne : D’où que l’on vienne, où que l’on soit né.e, notre pays s’appelle Solidarité https://antiracisme-solidarite.org

⇒ Rejoignez les 369 organisations locales et nationales qui ont signé l’appel  : https://appel.antiracisme-solidarite.org

⇒ Relayez la campagne sur vos réseaux sociaux

Montrez que « notre pays s’appelle solidarité

Annoncez les événements que vous organisez sur l’agenda : https://appel.antiracisme-solidarite.org/declaration-evenement.php

Utilisez le logo de la campagne https://antiracisme-solidarite.org/nos-visuels/

Recouvrez les murs : utilisez les visuels de la campagne pour « occuper » les murs de vos quartiers.

Financez la campagne

⇒ depuis le site internet : https://antiracisme-solidarite.org/faire-un-don/

⇒ par chèque, à l’ordre de Attac France, en mentionnant au dos “solidarité antiracisme” ; les chèques sont à envoyer à Attac France / 21 ter, rue Voltaire – 75011 Paris

⇒ par virement, en indiquant “solidarité antiracisme” dans l’objet du virement. Bénéficiaire : « Attac France » / Banque : Crédit coopératif Paris Nation / 252, Boulevard Voltaire / 75011 Paris. IBAN : FR76 4255 9100 0008 0134 9343 353 / BIC : CCOPFRPPXXX

Construisez la manifestation nationale du 19 mars


⇒ Affiches disponibles en région parisienne à :

Solidaires Paris, 31 rue de la Grange aux Belles, Métro Colonel Fabien (Paris 10)
UL CGT 18, 42 rue de Clignancourt, Métro Château-rouge (Paris 18)
Fasti, 58 rue des Amandiers, Métro Père Lachaise (Paris 20)
Librairie La Brèche, 27 rue Taine, Métro Daumesnil (Paris 12)
AERI, 57 rue Etienne Marcel, Métro Croix de Chavaux (Montreuil)

Pour les autres régions, contactez une organisation signataire ou envoyez mail à la Campagne pour organiser des envois !

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antifascisme

Ripostes syndicales contre l’extrême droite – Mars 2022 #10

Sommaire

  • P2. L’extrême droite, un danger pour l’école
  • P6. Journée contre la banalisation de l’extrême droite dans les médias
  • P8. Nouveau tract de l’Union syndicale Solidaires contre l’extrême droite
  • P10. Bibliothèque

Edito

SOLIDAIRES DÉRANGE L’EXTREME DROITE : CONTINUONS !

Dans le dernier numéro de ce bulletin nous faisions le constat que le monde syndical et plus particulièrement notre syndicalisme était pris pour cible par l’extrême droite avec notamment la dégradation des locaux de la Grange aux Belles, mais également dans d’autres villes, ainsi que des locaux CGT. C’est malheureusement encore le cas en ce début d’année.

Concrètement il s’agit à la fois d’agressions verbales et/ou physiques, de dégradation de locaux, et d’attaques idéologiques dans les “médias” d’extrême droite qui s’en prennent à notre activité syndicale et jettent en pâture les noms de nos camarades dans des articles calomnieux ou des fichages nauséabonds.

La Commission Ripostes syndicales face à l’extrême droite tient à assurer les camarades agressé·es ou calomnié·es de son soutien indéfectible.

Par ailleurs, le site Rapports de force a établi une cartographie des nombreuses violences commises par l’extrême droite en 2021 :https://rapportsdeforce.fr/boite-a-outils/carte-2021-un-an-de-violences-de-lextreme-droite-010712334

Cette rage manifeste de l’extrême droite contre notre activité syndicale et le mouvement social est la preuve, s’il en fallait, que nos combats dérangent leurs ambitions. En quelque sorte ces agressions nous renforcent à continuer et à amplifier la lutte antifasciste.

En cette période électorale où les théories d’extrême droite gangrènent le débat public il est important de renforcer notre autodéfense. Laissons le virilisme matamore à nos adversaires : notre force, c’est notre solidarité et notre capacité à construire une protection collective et à amplifier des mobilisations unitaires antifascistes.

Documents à télécharger

Ripostes syndicales contre l’extrême droite – Mars 2022 #10

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Actu Solidaires 78 En grève !

17 mars – Augmentation des salaires et des pensions : journée de grève et de manifestations interprofessionnelles

Les luttes sur les salaires continuent et doivent s’amplifier – En grève le 17 mars

Après un mois de janvier marqué par des luttes multiples, notamment dans l’éducation et le secteur social, et la grève interprofessionnelle du 27 janvier, le mois de février a vu encore d’autres mobilisations naître autour des revendications d’augmentation des salaires (RATP, Chimie..). Dans le même temps, les annonces de bénéfices faramineux des plus fortunés ou des entreprises du CAC40 ont continué : 237 milliards de plus pour les 5 personnes les plus fortunées de France pendant la pandémie…(rapport Oxfam) !

Et pour l’ensemble de la population ? Pas d’augmentation du SMIC, pas de valorisation du point d’indice dans la fonction publique, et des augmentations très limitées lors des Négociations annuelles obligatoires (NAO)… tandis que l’inflation s’emballe et les prix à la consommation augmentent !

Ce mois de mars, sera marqué par des mobilisations féministes, écologistes et antiracistes et verra aussi plusieurs secteurs professionnels se mobiliser, dans la santé et le social, à l’inspection du travail, dans l’éducation… Parce que pour les salarié-es, les précaires, celles et ceux qui subissent des discriminations, un monde où le capitalisme ronge tout est invivable et inacceptable !

Faisons converger ces luttes, où la question salariale est centrale !

Solidaires revendique :

- un SMIC à 1 700 euros net
- la revalorisation du point d’indice dans la fonction publique
- l’égalité salariale et la revalorisation des métiers les plus féminisés
- des augmentations de salaires, pensions, minima sociaux de 400 euros
- un écart de salaires de 1 à 5 (entre les plus bas et plus hauts salaires dans les
entreprises, administrations)
- le RSA pour les moins de 25 ans

Grève et manifestations le 17 Mars

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Actu Solidaires 78 Idées, débats, cultures Lecture

29 mars (Limay) comment animer une union syndicale locale – Lecture en arpentage

Dans le cadre de ses accueils syndicaux, Solidaires 78 organise un débat-formation “Comment animer une union locale ?” sous forme de lecture en arpentage le mardi 29 mars à partir de 17 heures à la librairie La Nouvelle Réserve (Limay)

Entrée libre et gratuite.

La lecture en arpentage, c’est quoi ?

L’arpentage est une méthode de découverte à plusieurs d’un ouvrage, en vue de son appropriation critique, pour nourrir l’articulation entre pratique et théorie.



Arpentage et éducation populaire
La lecture collective, ou arpentage, est utilisée comme un outil d’éducation populaire. Il ne s’agit pas d’un apprentissage et d’une restitution scolaire, mais bien de s’approprier un texte, de s’en saisir afin de le faire résonner en nous, au sein d’un groupe.
En effet, il est moins question d’en faire un résumé classique que de susciter la réflexion, la remise en question de soi et de ses pensées, de se positionner vis-à-vis de nos expériences et de celles des autres et de populariser la lecture.
Cela va plus loin qu’une lecture individuelle, sans pour autant la remplacer. Celle-ci est militante, puissante. L’objectif est de susciter l’échange, les conversations, de mettre en perspective différents points de vue et les émotions qui naissent à la lecture de l’ouvrage.
Dans l’arpentage, l’élément le plus important est le collectif. Chacun.e, en fonction de son vécu, aura sa manière propre de parler de l’œuvre, et c’est ce qui fait toute la richesse de cette méthode de lecture collective.
La force de l’arpentage est sa fonction revendicatrice : l’accès aux écrits est un moyen de structurer notre propre pensée, partager les lectures permet donc de lutter contre les inégalités d’accès aux connaissances écrites.
L’arpentage en pratique ? Une lecture collective aux formes multiples
L’arpentage peut prendre des formes multiples : chacun.e peut lire une partie de l’ouvrage et la restituer aux autres. L’œuvre peut ainsi être entièrement couverte et mise en commun.
Et matériellement ? Tous les moyens sont bons : emprunter les ouvrages dans des bibliothèques ou à des ami·es, les acheter dans nos librairies indépendantes préférées, photocopier la partie choisie ou même découper le livre de base !
Une autre option consiste à lire à plusieurs un même passage ou chapitre afin de créer une discussion, d’échanger, de mutualiser les points de vue, les interprétations d’un même texte. A coup sûr, il y aura autant d’avis que de lecteur·rices et c’est précisément l’effet qui est recherché.

L’arpentage dans un atelier d’éducation populaire

Objectifs :
– désacraliser l’objet « livre », populariser la lecture
– expérimenter un travail coopératif et critique
– créer une culture commune autour d’un sujet, d’un savoir théorique
– comprendre qu’aucun savoir n’est neutre, que tout point de vue est situé


Origines :
Méthode de lecture collective issue de la culture ouvrière (cercle ouvrier) puis réutilisée par les praticiens de l’entrainement mental pendant la seconde guerre mondiale par des résistants (autour de Dumazedier), diffusée plus largement par Peuple et Culture, mouvement d’éducation populaire, à partir des années 1950. Plus récemment, Jean Claude LUCIEN (Peuple et Culture Normandie) a continué l’élaboration de cette méthode. Christophe CHIGOT (Crefad-Lyon) et Anthony DUROY (Agora Peuple et Culture) l’ont reprise sous une forme et un fond légèrement différent.

Témoignages :

” À Sud éducation 78, on a pratiqué une lecture en arpentage en stage syndical, autour du livre « La force du collectif ». Il y a eu bien sûr des exclamations lorsque le livre a été déchiré, puis chacun·e s’est mis en posture de lecture, a pris connaissance (possession?) de ses pages. J’ai été impressionnée par l’intensité de l’activité mais j’avoue ne plus me souvenir de ce qui en est ressorti.
Je pense que c’est aussi parce qu’il y avait globalement consensus sur l’interprétation et sur la manière dont le livre résonnait en nous.
Si je devais recommencer avec un public adulte, je choisirais plutôt un livre polémique, qui peut déranger. Je pensais à un moment à « Pour une culture du viol à la française », de Valérie-Rey Robert, qui est massif, qui convoque plein de références et… qui bouscule (et c’est un bien!).”

En 2018, plusieurs personnes se sont prêtées au jeu de l’arpentage. Voilà ce qu’elles en racontent.


“Ce que j’ai surtout aimé c’est de pouvoir verbaliser une lecture, je trouve souvent que ce que je lis reste enterré en moi, se décompose et finit aux oubliettes.
Et là en le déterrant, eh bien ça le rend vivant directement, ça me laisse plus de souvenirs sur cette lecture. Ça me permet de me la rappeler et d’entendre des anecdotes des autres personnes autour du livre. C’est très actif. “

“J’ai adoré ce moment. Et je suis rentrée avec une tête pleine de livres que je souhaiterais arpenter !”

“Ce que j’ai apprécié c’est de travailler sans stress : pas d’évaluation, pas de compétition, pas d’exigences particulières, juste lire et restituer ce que l’on a compris ou pas. D’avoir lu une partie d’un livre que je n’aurai sûrement jamais lu de mon propre chef et d’en parler avec d’autres personnes avec des sensibilités et des expériences différentes dans un cadre agréable et calme.”

“C’est intéressant de ne pas être toute seule. Ça permet de se lancer. On sent un soutien, ne serait ce que parce qu’il y a des gens autour, un thé, on se dit qu’on va y arriver.
Et puis être obligée de restituer, ça force à trouver ses propres mots. Du coup on retient mieux que lorsque l’on ne fait que le lire. Je suis presque sûre que je serai capable d’en parler.”

“Quand je lis seule, c’est toujours passionnant, mais je ne suis pas capable d’en parler ensuite.
C’est bien de prendre le temps, ensemble.
Je me demandais comment allait se faire les connexions entre les parties. J’avais mon petit chapitre perdu là…  Mais peu à peu ça prend forme !”

Pour plus d’info sur la lecture en arpentage, on peut aller voir par là :
http://www.scoplepave.org/pour-discuter
http://la-trouvaille.org/arpentage/

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Luttes féministes

Manif à Mantes-la-Jolie le 7 mars et Ensemble pour une grève féministe le 8 mars 2022

À l’appel des Fffrac, manif locale le lundi 7 mars : rassemblement 18 h à la gare – prises de parole – puis 18 h 30 défilé dans la ville.

Le système économique, exploiteur et patriarcal crée, maintient et aggrave les inégalités vécues par les femmes.


ASSEZ DE BLA BLA, DES ACTES


Ce 8 mars, nous sommes à la veille des élections présidentielles. Le gouvernement Macron nous a menti avec ses promesses vitrines, le constat est accablant, un quinquennat raté contre les violences faites aux femmes : 113 féminicides en 2021, signalement des violences conjugales en hausse, précarisation économique aggravée….

Certain.e.s candidat.e.s affichent sans complexe leurs idées misogynes, LGBTphobes, voire fascisantes et prônent des
conceptions rétrogrades concernant les droits des femmes et des
minorités.
Battons-nous pour nos droits ! Toutes en grève le 8 mars


QU’EST-CE QUE LA GRÈVE DES FEMMES ?


La grève des femmes est une grève totale. Une grève du travail
productif, du travail reproductif, de la consommation et des
études. Une grève au travail, à la maison, à l’école, partout. Nous
représentons 52% de la population française. Pourtant, notre
travail est invisibilisé et dévalorisé. Notre salaire est inférieur de
26% à celui des hommes. Le partage des tâches domestiques et
familiales ne progresse que très peu. Les femmes, piliers du
confinement, tiennent à bout de bras la vie de tous les jours,
subissent des violences sexistes et sexuelles partout dans le
monde.


On arrête toutes de briquer,
On arrête toutes de travailler,
On arrête toutes de consommer,
On arrête toutes de cuisiner…

JOURNÉE INTERNATIONALE de LUTTE
POUR LES DROITS DES FEMMES


Ensemble pour une grève féministe le 8 mars 2022


POURQUOI ?
– Pour une réelle égalité salariale et professionnelle


– Pour des moyens pour lutter contre les violences sexistes,
sexuelles et gynécologiques


– Pour une revalorisation des métiers féminisés


– Pour un rééquilibrage des pensions


– Pour une éducation féministe et égalitaire à l’école


– Pour un allongement des délais pour l’IVG et un véritable
accès aux centres d’interruption de grossesse


– Pour une gratuité de la contraception pour toutes


– Pour un accueil, un traitement à égalité, une reconnaissance
de toutes les femmes migrantes et/ou rendues invisibles

Manifestation à Paris le 8 mars – Départ à 14h Gare du Nord

fffrac@protonmail.com/ Facebook FFFRAC

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antifascisme

Vigilance syndicale contre les extrêmes droites

Les articles parus sur VISA en février 2022.
Nouvelle brochure de VISA : s’armer contre l’extrême droite – un argumentaire syndical antifasciste !
afficher en ligne.
Campagne intersyndicale contre l’extrême droite dans l’éducation
Le monde de l’éducation a jusqu’alors majoritairement résisté à la percée de l’extrême-droite de ces dernières décennies. En cette année d’élection présidentielle, nous avons toujours un rôle à jouer : toutes et tous ensemble, faisons front contre l’extrême-droite, ses intentions et ses idées, dans nos lieux de travail comme dans le débat public! Nos valeurs, en tant que professionnel·les de l’éducation, sont à l’opposé de l’extrême-droite. En effet, nous sommes : POUR l’héritage des Lumières, la raison, les valeurs républicaines, la laïcité CONTRE l’obscurantisme, l’exaltation des préjugés et des divisions. POUR la tolérance et le vivre-ensemble CONTRE le racisme, l’antisémitisme, les LGBTIphobies, le sexisme et toutes les discriminations POUR une école de […] afficher en ligne.
10ème Congrès de la FSU : résolution contre l’extrême-droite
La FSU tenait son 10ème congrès à Metz. À cette occasion, VISA fût invité pour tenir une table de presse. Très bien accueilli par les congressistes, nous avons échangé sur beaucoup de thèmes, notamment en cette période d’élection présidentielle, où nombre de candidats-es font fi de la misère sociale et font leur chou gras sur ce terreau et l’immigration. Le sujet sur l’extrême droite a été au cœur de certains débats, et les secrétaires généraux de la CGT, SOLIDAIRES et FSU, ont tenu à se rendre à notre table de presse, à l’occasion de la sortie de notre nouvelle brochure “S’armer […] afficher en ligne.
Bulletin international de la CGT : L’EXTRÊME DROITE DANS LE MONDE, LA MONTÉE DE TOUS LES PÉRILS
Une mouvance? Une idéologie? Un parti organisé? L’extrême droite est à la fois diffuse, protéiforme et tend à se normaliser, ce qui la rend extrêmement dangereuse. Nous avons conçu et imaginé ce numéro non pas tant pour dresser un panorama des partis, des tendances qui se réclament de cette idéologie, ou plutôt de ces « idéologies », mais plutôt pour proposer une analyse fine des formes qu’elle revêt dans un monde en proie à un retour sans précédent des tendances nationalistes, racistes et homophobes. L’extrême droite n’est pas un phénomène politique et social nouveau, elle est le fruit d’une tradition qui s’abreuve […] afficher en ligne.
Appel unitaire STOP BOLLORE
Presse écrite, radios, chaînes de télévision, maisons d’édition de livres, agences de communication, jeux vidéo, instituts de sondage, salles de spectacle… en quelques années, Vincent Bolloré a constitué un empire médiatique tentaculaire au service de ses ambitions idéologiques réactionnaires. Rien que dans le monde de l’édition, il possèdera bientôt plus de 70% des livres scolaires, la moitié des livres de poche, une centaine de maisons d’édition, avec un quasi-monopole sur la distribution des livres. Cette concentration de médias est sans précédent dans notre histoire. Elle renverse les principes démocratiques garantis depuis la Seconde Guerre mondiale, et tous les progrès de la liberté […] afficher en ligne.
Communiqué Solidaires Deux-Sèvres contre l’extrême droite
En ces temps où les idées nauséabondes d’extrême droite se propagent dans les esprits, jusque dans ceux de certain·es militant·es syndicaux, l’Union départementale SUD-Solidaires 79 réaffirme son engagement antiraciste et antifasciste. L’extrême droite et ses représentants que sont les partis fascistes ont toujours été les ennemis des travailleuses et des travailleurs. Quand d’aucun déclare qu’ « il faut rassembler les patrons et les salariés dans un intérêt commun » et prône les récompenses au mérite, SUD-Solidaires préfère la Solidarité, l’Unité et la Démocratie. SUD-Solidaires 79 a choisi son camp, celui des travailleuses et des travailleurs, celui des femmes, celui des […] afficher en ligne.
Poitiers : manifestation unitaire contre l’extrême-droite
Depuis de nombreuses années désormais, les différentes déclinaisons de l’extrême droite ne cessent de progresser tant nationalement que localement, profitant ainsi d’une période de crise sociale, économique et sanitaire et de relais médiatiques et politiques accrus pour promouvoir leur modèle archaïque. Cette progression, tant sur les plateaux télé que dans nos rues, s’illustre par la multiplication de propos et affichages racistes, discriminants, homophobes, voire validistes, tombant fréquemment sous le coup de la loi, mais aussi de diverses violences tant matérielles (dégradations des locaux du Planning Familial ou du Parti communiste Français en 2021) que physiques se traduisant par des intimidations et violences […] afficher en ligne.
Initiative intersyndicale en Indre-et-Loire le 24 février contre l’extrême droite
Combattre les idées d’extrême-droite dans le monde du travail Depuis maintenant de nombreux mois, nous constatons un climat politique et social alarmant. S’allier avec l’extrême droite ou reprendre ses idées ne constituent plus un interdit. Les propos et actes racistes et sexistes au travail et dans la vie se propagent. Les discours de haine, du rejet de l’autre, du bouc émissaire exploitant les peurs sont de plus en plus repris et admis. Dans ce contexte politique, économique, social et sanitaire, les injustices explosent et génèrent une forte misère sociale. Les attaques contre les libertés et les droits sociaux s’accentuent gravement. Les politiques menées […] afficher en ligne.
Intervention du SNAC FSU au congrès de la FSU : No Pasaran !
Depuis 30 ans, en France, comme ailleurs malheureusement, les idées de l’extrême droite contaminent peu à peu le débat politique et culturel, profitants des comorbidités sociales engendrées par les crises du capitalisme. Cette tendance se renforce dangereusement avec cette campagne présidentielle, qui voit la multiplication des candidats à droite de la droite, et la diffusion de leurs propos réactionnaires, identitaires, misogynes et racistes bien au-delà de leur cercles habituels, jusque dans les médias et les partis politiques soi-disant modérés. Le SNAC, membre fondateur de VISA, dénonce depuis des années cette idéologie qui ne vise qu’à exclure, diviser et casser les conquis sociaux. Pour […] afficher en ligne.
Déclaration intersyndicale 93 : Zemmour le fasciste hors de nos territoires !
La mobilisation citoyenne syndicale et politique a chassé Zemmour de Montreuil. Alors que ce candidat d’une idéologie qui tue et sème la haine, souhaitait se mettre en scène au cœur d’une ville de la Seine Saint Denis, il a été contraint de se replier dans l’enceinte d’un vaste plateau technique. Loin du souffle populaire de notre territoire, dans une zone sans habitant-es, ce fasciste va pouvoir vomir ses obsessions identitaires, racistes, islamophobes et sexistes. Le secret gardé jusqu’au dernier moment sur son lieu de repli témoigne de sa fébrilité. Nous recevons cette peur de la colère de nos villes, de ses salarié-es, […] afficher en ligne.
Communiqué de la CGT Métallurgie BFC : Nous ne laisserons pas Zemmour récupérer la situation de l’usine VBT
Un proche de la campagne du candidat Zemmour a tenté d’approcher les représentants syndicaux de l’usine VBT pour une visite de ce dernier sur le site de Montbard. Usine VBT qui est mis en vente par le groupe Vallourec et à ce jour n’a pas encore de repreneur. La région CGT Métallurgie BFC fera tout ce qui est possible pour que ce candidat ne récupère pas la situation de VBT. Les salarié-es n’ont rien à attendre de ce personnage qui veut détruire notre système social, nos droits et garanties collectives au profit d’une société ultra libérale (financeur de sa campagne électorale). Ce candidat condamné à de multiples reprises pour incitation à la […] afficher en ligne.
Communiqué intersyndical Calvados contre la dégradation de la Maison des Syndicats à Caen par l’extrême droite
Le week-end des 12 et 13 février, la porte d’entrée de la Maison des syndicats de Caen (Calvados) a été dégradée. Les organisations syndicales, CGT, CFDT, FSU, Solidaires, CFE-CGC, ont réagi par le biais d’un communiqué, le mardi 15 février 2022. afficher en ligne.
VISA 34 : Bulletin n°5, spécial extrême-droite et Occitanie
Ce bulletin n°5 fait un zoom spécial sur les 4 villes gérées par l’extrême droite en Occitanie : Béziers, Beaucaire, Perpignan et Moissac. Plusieurs militants syndicalistes et associatifs ont accepté de dresser un tableau de cette gestion qui, d’une ville à l’autre, porte bien la même marque de fabrique libérale autoritaire et le sceau d’un combat idéologique décrit par l’historien Richard Vassakos en préambule. Bulletin à télécharger en PDF ci dessous. afficher en ligne.
Médias et extrême-droite : journée débats le samedi 12 février – VISA et ACRIMED
   Après une entrée avec la fanfare invisible à 13h, la journée s’articulera autour de trois tables rondes (programme ci-dessous), suivies d’échanges avec le public. Un espace sera dédié aux tables de presse de collectifs, syndicats, médias indépendants et maisons d’édition. Evénement sur le site d’Acrimed Evénement sur le Facebook d’Acrimed   SAMEDI 12 FEVRIER 13h – Fanfare invisible 14h – Médias d’extrême droite, extrême droite dans les médias Les usages des médias par les dirigeants du FN Cartographie de la fachosphère, La Horde La gauche, les médias & l’extrême droite dans les années 1930, Dominique Pinsolle 15h30 – 30 ans de banalisation médiatique de l’extrême droite Les médias face à la menace fasciste, Ugo […] afficher en ligne.
Mobilisation intersyndicale en Côte d’Or contre l’extrême droite
Pour les libertés et contre les idées des extrêmes droites, encore et toujours. L’intersyndicale et inter associations de Côte-d’Or appellent à manifester contre la venue d’Éric Zemmour en Côte d’Or. Il n’est pas un candidat comme les autres. Condamné plusieurs fois pour incitation à la haine raciale, il attise les peurs, la haine et le rejet de l’autre, en diffusant des idées délirantes et fausses sur les migrant-es et la criminalité. Il divise la société sur des bases ethniques, religieuses, identitaires. Il a tenu à maintes reprises des propos sexistes et clairement misogynes, des propos hostiles aux militant-es antiracistes et […] afficher en ligne.
Tract VISA 29 contre le Rassemblement National
QUAND UN QUARTIER VA MAL, LE FASCISME SE PENCHE À SON CHEVET, ET CE N’EST PAS POUR PRENDRE DE SES NOUVELLES… Comme à son habitude, l’extrême droite surfe sur un fait divers et en profite pour ressortir sa vieille soupe sécuritaire et xénophobe. Les incidents qui se sont déroulés dans le quartier de Pontanézen ont attisé les appétits électoralistes de Marine Le Pen. Telle un vautour, c’est quelques jours après qu’elle annonce sa visite opportuniste à Brest. Cette course à la surenchère sécuritaire n’a que trop duré. La misère sociale ne disparait pas comme par magie, à coup d’usage de la […] afficher en ligne.
Solidaires-Météo ne transige pas avec l’extrême droite
La campagne présidentielle en cours est très largement polluée par les thématiques d’extrême droite portées par certain·es candidat·es avec la complicité des médias mainstream. Ce climat nauséabond est entretenu pour empêcher l’évocation des vrais problèmes et détourner la colère sociale vers des boucs émissaires fabriqués de toute pièce. La banalisation des idées d’extrême droite fait malheureusement son office et elles diffusent dans toutes les strates de la société, y compris dans certains milieux militants (de gauche) où on ne les attendrait pas. Solidaires-Météo n’a jamais été confronté à cette situation, mais notre syndicat anticipe le risque. Le Conseil National de Solidaires-Météo a voté […] afficher en ligne.
Communiqué Solidaires Informatique : contre le fascisme, riposte syndicale !
L’extrême-droite tente de s’imposer partout dans la société, et l’informatique n’est pas épargnée. En juin 2021, le candidat d’extrême-droite Eric Zemmour dinaît avec Stanislas et Godefroy de Bentzmann, respectivement codirecteurs de la SSII Devoteam et président du syndicat patronal Syntec Numérique. Ce dîner, organisé par le neveu et fils Theobald de Bentzmann et son associé Julien Madar, dirigeants de la start-up Chefing, réunissait également d’autres grands noms des affaires : Henri de Castries (ex-patron de AXA), Bruno Delpit (administrateur chez Safran) notamment. Plus largement, les récents articles parus dans Mediapart ont montré qu’une part du patronat soutenait le candidat raciste, sexiste, LGBTI-phobe […] afficher en ligne.
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Luttes féministes

« Pour un Metoo syndical »

Juste avant le 8 mars 2022, des militantes CGT, FSU, Solidaires, FO …s’associent pour mettre en commun leur expérience en vue de constituer un « réseau de soutien féministe » face aux agressions sexistes et sexuelles qui traversent le mouvement syndical. Plusieurs plaintes en témoignent ces derniers mois et années. Cet appel est paru dans le Club de Médiapart le 3 mars 2022.

  • Télécharger l’article : https://blogs.mediapart.fr/resyfem/blog/030322/pour-que-le-metoo-syndical-s-amplifie
  • Extrait du texte et débats récurrents : « …Brandir le non-respect de la présomption d’innocence est un classique contre-sens […]. Prendre des mesures conservatoires en interne des organisations ou des lieux de travail est une revendication que nous portons face aux employeurs en matière de violences sexuelles, elle doit s’appliquer dans nos syndicats…« .
  • Contact : resyfem@riseup.net

Pour que le Metoo syndical s’amplifie !

Une militante syndicale vient de déposer plainte contre un syndicaliste de la CGT pour « viol, agression sexuelle, torture et actes de barbarie ». Nous sommes bouleversées. Nous pensons à elle, sa force, son courage et à ses soutiens. Ce que notre camarade a subi n’est pas un cas isolé, car dans les syndicats comme partout, les agressions sont nombreuses et les réponses rarement à la hauteur.

Une militante syndicale vient de déposer plainte contre un syndicaliste de la CGT pour « viol, agression sexuelle, torture et actes de barbarie ». Nous sommes bouleversées. Nous pensons à elle, sa force, son courage et à ses soutiens. Nous lui adressons notre solidarité sans faille face à ces faits gravissimes et aux pressions exercées contre celles qui voudraient s’exprimer. Nous sommes disponibles pour toutes actions en soutien de la camarade victime, à partir de son rythme et de sa volonté.

Les mandats confédéraux de cet homme ont été suspendus par la commission exécutive confédérale (CEC) de la CGT le 22 février 2022. Nous saluons la réactivité de cette mesure mais cela ne suffit pas. La suspension de ses mandats confédéraux n’a pas fait l’unanimité avec 1 vote contre et 3 abstentions. Les syndicalistes qui ne votent pas de mesures conservatoires pour protéger de toute forme de représailles, la victime, et les syndiqué.es qui vont devoir continuer de les côtoyer, sont les complices des agresseurs et de l’impunité dont ils bénéficient.

Nous espérons qu’une enquête interne menée par la cellule de veille de la CGT permette d’avancer dans la connaissance des faits, du passif de ce « militant » pour prendre les décisions définitives qui s’imposent. Dans le communiqué du 28 février 2022,  l’Union départementale 94 ose le maintenir dans ses mandats locaux. Pour nous, il n’est pas possible de s’en rendre à la justice de Dupond-Moretti et la police de Darmanin, membres d’un gouvernement dont nous combattons les politiques libérales et liberticides et représentants d’une justice patriarcale qui tranche rarement en faveur des victimes de violences sexuelles. Cette décision est une nouvelle agression pour la victime et toutes celles et ceux qui se battent dans la CGT et dans les autres syndicats pour stopper ces violences où qu’elles soient commises (travail, syndicat, vie conjugale…).

Brandir le non-respect de la présomption d’innocence est un classique contre-sens. La présomption d’innocence ne s’applique que dans le cadre de la procédure pénale. Prendre des mesures conservatoires en interne des organisations ou des lieux de travail est une revendication que nous portons face aux employeurs en matière de violences sexuelles, elle doit s’appliquer dans nos syndicats.

Ce que notre camarade a subi n’est pas un cas isolé, car dans les syndicats comme partout, les agressions sont nombreuses et les réponses rarement à la hauteur. Souvenons-nous par exemple :

A la Mairie de Paris, des militantes syndicalistes ont lutté trois ans pour la reconnaissance de violences physiques et sexuelles commises par un secrétaire général sur deux camarades. Elles ont été victimes d’une répression syndicale qui les a conduites à quitter la CGT en 2020).

Le seul membre de la CEC qui vient de voter contre la suspension des mandats s’était déjà distingué pour avoir soutenu ce secrétaire général à la CGT Ville de Paris. Et puisque la honte ne tue pas, il a signé le communiqué intersyndical appelant à la grève CGT Solidaires FSU pour le 8 mars ! C’est insupportable.

En 2018, c’est à la CFTC, qu’une crise éclate suite à du harcèlement sexuel.

A l’Union départementale de FO Brest, plusieurs militantes et salariées du syndicat ont révélé être victimes depuis des années de violences sexuelles commises par le secrétaire général. Elles ont été victimes de représailles en interne puis licenciées, en 2021.

Au sein de l’union syndicale Solidaires, des militantes ont pu aussi révéler être victimes de violences sexuelles de la part d’adhérents. À notre connaissance, un syndicaliste violeur a fini par être exclu au bout de plusieurs années de lutte de camarades en interne.

Ces situations ne s’arrêtent évidemment pas à ces syndicats, tout ne sort pas dans la presse.

A chaque fois il est reproché aux victimes de ne pas être suffisamment « lutte de classe », de fomenter un complot politique et d’affaiblir leurs syndicats. C’est tout le contraire qu’elles font : s’exprimer contre les agresseurs et leur soutien n’est pas salir les organisations syndicales, c’est le fait de les couvrir qui les mine et contribue à exclure les femmes du syndicalisme.

Malgré les alertes et la récente tribune qui affirme se soucier de la protection des femmes et lutter contre les violences sexistes et sexuelles dans les syndicats et certains partis politiques, les femmes victimes doivent souvent quitter leur syndicat alors que les agresseurs continuent à militer tranquillement.

Dans tous les syndicats, nous faisons face à du sexisme systémique.

Les combats que nous portons en matière d’égalité professionnelle, de revendications féministes, sont encore trop régulièrement disqualifiés, jugés non-prioritaires. Les instances mises en place pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles ont beaucoup de mal à se faire entendre et à rendre opérationnels les outils pour lutter en interne contre les agresseurs et transformer nos organisations collectives, afin qu’elles ne soient plus un des terreaux du patriarcat. Les formations nécessaires à la connaissance des mécanismes des violences pour pouvoir les repérer, les dénoncer, les sanctionner sont rares et reposent sur l’énergie et les épaules de quelques militantes.

Il faut que cela change !

Un vaste plan de formation devrait se déployer à tous les niveaux et en urgence à l’adresse de tous les dirigeants. Cela devrait s’accompagner d’une profonde réflexion féministe sur l’évolution du fonctionnement et des statuts de nos organisations syndicales.

Sans attendre les actions des syndicats et en plus de ces dernières, nous pensons que nous, militantes syndicales, syndiqué.e.s, devons nous auto-organiser à la base pour créer des liens de sororité féministe face à ces violences.

Nous sommes en colère, prêtes à poursuivre le Metoo syndical !

Nous sommes convaincues de l’absolue nécessité des luttes syndicales contre le capitalisme, le patriarcat, le racisme. Les syndicats restent un outil central d’émancipation et de lutte contre les précarités et les bas salaires, les violences dans le monde du travail,

Nous voulons nous réunir pour créer des solidarités entre syndiquées de tous syndicats, éviter l’isolement et les départs, continuer à nous exprimer sans crainte,

Nous voulons nous réunir largement pour créer un réseau de soutien féministe, être encore plus fortes ensemble, transformer et faire avancer nos organisations syndicales.

Au 8 mars dans la grève et dans la rue pour l’égalité entre les femmes et les hommes – la Honte doit changer de camp !

Et que les agresseurs et complices ne s’y pointent pas !

Rejoignez-nous pour construire ce Me too Syndical !

Contact : resyfem@riseup.net

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Ce guide – réalisé par Solidaires Finances publiques – a pour objet de présenter le dispositif actuel de télétravail, les évolutions réglementaires, de faire un focus sur les principaux risques que présente ce type d’activité ainsi que quelques revendications de notre organisation sur le sujet.

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