Libraire la Nouvelle Réserve Limay à partir de 19 h
Barbecue partagé – Chacun et chacune amène un truc à griller et/ou à boire
Projection du film En grève
Programme complet à venir mais réservez déjà la date !
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Solidaires 78 a déposé un rassemblement le jeudi 6 juillet à 19 h place de l’Étape à Mantes la Jolie (au pied de la passerelle)
Dans la continuité de la répression gouvernementale à l’encontre du mouvement écologiste, 8 personnes sont convoquées mercredi 28 juin à des auditions libres ou à des mises en garde à vue suite aux manifestations de Sainte Soline (79) en résistance à la construction de méga bassines. Bassines Non Merci, Les Soulèvements de la Terre (entre temps dissous), La Confédération paysanne, la CGT et l’Union syndicale Solidaires sont visés par ces convocations.
Depuis des années tout l’arsenal répressif est utilisé par le gouvernement particulièrement contre des militant·es écologistes : matériel militaire d’écoute installé devant le domicile d’un militant, balise GPS posée sous le véhicule d’un militant, intimidation par les pro-bassines, condamnation de plusieurs militants allant jusqu’à des incarcérations et très récemment la dissolution du collectif des Soulèvement de la Terre.
En plus de 7 autres camarades convoqués le même jour, Hervé Auguin, codélégué départemental Solidaires 79, est convoqué à la gendarmerie de St Maixent (79) le 28 juin pour une audition libre. Notre camarade est “soupçonné d’avoir commis ou tenté de commettre l’infraction de : organisation d’une manifestation interdite sur la voie publique le 29 octobre 2022 à Sainte Soline (79)”.
Le gouvernement fait le choix d’interdire toute expression de celles et ceux qui défendent la planète contre les profits.
L’Union syndicale Solidaires dénonce avec force ces attaques envers les différents collectifs de défense de la nature et de l’eau, en lieu et place d’une véritable politique d’urgence pour le climat et apporte son soutien plein et entier à Hervé et à toutes et tous les réprimé·es du mouvement écologiste.
Après d’autres lois liberticides, après avoir imposé sa réforme des retraites, après la répression violente des manifestations, il s’agit d’une nouvelle attaque du président et du gouvernement, au service des capitalistes, contre nos libertés, liberté d’expression, liberté d’association, liberté d’organisation, liberté de contester et de s’opposer.
Ces attaques s’inscrivent dans une montée de l’autoritarisme du président et du gouvernement qui s’appuient sur la police et la gendarmerie, aux ordres, soutenues et encouragées, et peut-être demain d’autres corps de l’armée.
Le mouvement social est dans le viseur du gouvernement.
Mais cet autoritarisme et cette répression ne concernent pas que le mouvement social, les morts dans les quartiers populaires, encore hier à Nanterre, ou aux frontières en sont aussi un des éléments.
Il s’agit de mettre au pas et de contrôler par la violence, l’interdiction et la peur.
Mais le gouvernement ne nous fera pas taire !
NO BASSARAN
Pour l’Union syndicale Solidaires, le combat écologique, pour la justice sociale et environnementale, est un combat syndical. Gouvernements et patronat sont prêts à tout pour empêcher une véritable reconversion écologique de la société. Leur objectif est de préserver les intérêts de quelques très riches, et de maintenir un modèle économique fondé sur l’accumulation du capital et une croissance infinie, impossible dans une planète aux ressources limitées.
Notre rôle d’organisation syndicale est d’une part de dénoncer la vitrine verte des politiques menées, et d’autre part de construire les mobilisations et propositions sur le terrain pour imposer la reconversion écologique. Solidaires se bat pour une transformation en profondeur des systèmes de production et de consommation et développe une écologie pour et par les travailleuses et les travailleurs.
Cette brochure propose des pistes concrètes sur la façon dont nous traduisons ce projet de transformation sociale. Elle propose un état des lieux de la crise environnementale, des revendications, des modes d’action et outils syndicaux, et des mobilisations passées et en cours.
Nous avons appris qu’Orange se sépare de sa filiale Orange Bank par voie de presse et avant que les Instances du Personnel en soient informées.
Ce n’est pas la première fois que la direction est susceptible d’être en délit d’entrave.
Plus exactement il est prévu “le référencement auprès de BNP Paribas de quelque 800.000 clients”. Les 800 salarié-es (640 en France et 160 à l’étranger) seraient reclassé-es selon la direction. Qui peut croire cette entreprise du CAC 40, en perpétuels chantiers de démolition, qui ne cesse de pousser les salarié-es à partir ?
Appel unitaire à un rassemblement à Mantes-la-Jolie mercredi 28 juin 2023, 18 h 30 – Devant le tribunal de Mantes
Nous sommes rassemblés pour protester contre la dissolution du collectif Les Soulèvements de la terre (qui rassemble en fait des forces diverses : syndicalistes paysans, activistes du climat et de la biodiversité, associations écologistes, défenseurs du vivant, chercheurs scientifiques, militants pour une Terre vivable dans le respect des biens communs…).
Les organisations signataires n’ont pas forcément les mêmes appréciations concernant la façon de mener les combats face aux urgences écologiques.
Mais nous sommes toutes et tous inquiets de la bascule autoritaire du régime de Macron. Nous ne nous résoudrons pas à la remise en cause des libertés d’association, de manifestation, d’expression, ainsi que des droits de la défense que sous-tend le décret de dissolution.
Nous appelons à un rassemblement mercredi 28 juin à 18 h 30 sur les marches du Palais de justice à Mantes-la-Jolie.”
ATTAC, EELV, FFFRAC, Génération.s, LDH, LFI-Mantois insoumis, NPA, PG, PCF, PS, SUD-Solidaires
Ce 21 juin, en conseil des ministres, le gouvernement vient d’enclencher la procédure de dissolution des Soulèvements de la Terre. Après nous avoir jeté ses grenades mutilantes au visage, il prétend que nous n’aurions plus le droit d’exister ensemble, ni de nous organiser. Il prétend maintenant dissoudre un soulèvement par tous les moyens – même des arrestations au domicile de militant-e-s comme ça a été le cas le 20 juin.
Depuis les sinistres bureaux de la place Beauvau, cette dissolution se veut être un couperet. Elle se voulait être la fin d’une histoire. Et pourtant le bruit qui court à travers le pays, là où les espoirs bourgeonnent encore, dit tout autre chose. Des chuchotements contagieux, des éclats de solidarité innombrables nous rappellent que les pires attaques produisent parfois des renversements inattendus.
Et si cette dissolution était en réalité un appel ministériel à rejoindre un grand mouvement de résistance ? Un réseau déjà fort de 110 000 membres déclarés, de 180 comités locaux, fort d’autant de personnes engagées dans la vie publique, dans des collectifs et syndicats. Un mouvement prétendument interdit mais collectivement inarrêtable visé par le pouvoir mais ancré dans les territoires, présent dans les lieux de travail et d’études, les granges et arrières-salles, jusqu’au sein même des administrations. Le gouvernement prétendait nous faire disparaître, en réalité nous serons chaque jour de plus en plus visibles.
D’ores et déjà plus d’un millier de personnes ont affirmé vouloir attaquer ce décret, toute personne voulant se joindre à cette action en justice historique peut remplir ce formulaire
Face à la persistance de cette menace, nous vous proposons un grand jeu. Un jeu on ne peut plus sérieux, un jeu qui constitue un réseau de résistance. Nous allons ensemble, dans les jours et semaines qui viennent, continuer à faire apparaître les Soulèvements de la Terre de 1 000 manières dans l’espace public : devant les bistrots et centres sociaux, à la pause café, par des réunions ouvertes, des antennes internationales, des inscriptions sur les murs, des fanions et des fêtes, des désarmements et des pieds de nez. Malgré la dissolution, les Soulèvements ressurgiront au débotté sur des chantiers ou au cœur d’un site industriel, déborderont de rues bondées de clameurs contre l’ordre marchand, s’enracineront dans des jardins pirates, des maisons du peuple ou des fermes communes. À vous, à nous de trouver.
Ce qui repousse partout ne peut être dissous
Ces surgissements commencent dès ce soir avec des rassemblements de soutien organisés dans déjà plus de 100 villes de France à 19h, devant les préfectures
Nous, participant.es de partout aux Soulèvements, vous appelons donc à rejoindre les plus de 180 comités locaux qui se sont formés ces derniers mois, les centaines de résistances territoriales, de luttes locales, et les sections syndicales déjà existantes qui ont revendiqué publiquement leur appartenance au mouvement. La parole des Soulèvements de la Terre leur appartient, elle vous appartient.
Nous allons ensemble continuer à soutenir nos blessé.es. Nous allons poursuivre les luttes de terrain partout et converger à plus nombreux-ses encore.
Deux prochaines échéances sont déjà posées cet été, deux temps d’action essentiels pour le partage de l’eau en plein été et en pleine sécheresse historique :
Par delà ces quelques proches repères, nous allons forger partout les complicités nécessaires pour enrayer concrètement l’avancée du bitume, l’assèchement des sols, l’intoxication de l’eau et la dissolution des liens.
Nous allons nous retrouver. Vous êtes, nous sommes, les Soulèvements de la Terre.
En solidarité face à la mesure de dissolution, différents médias s’engagent à proposer des espaces pour relayer les informations sur les déclinaisons du mouvement à travers le pays dans les semaines et mois à venir. Voici les premiers : basta!, Cerveaux Non Disponibles, la Relève et la peste, Contre-attaque, Le Média, Partager c’est sympa, Lundi Matin, Dijoncter.info, Terrestres, Politis …
Ces différents canaux, créés en solidarité par des soutiens ou des orgas, hébergeront les multiples voix décentralisées qui se revendiquent aujourd’hui être les Soulèvements de la Terre :
Une adresse mail d’ami.es du mouvement qui s’engage à collecter la manière dont différents organisations et luttes locales existantes comptent le décliner localement :
lesamiesdessoulevements@cryptomail.ch
Des appuis et antennes-relais internationales des Soulèvements de la Terre sont annoncées en Italie, Suisse, Belgique, Espagne et aux Etats-Unis par un certain nombre d’organisations et médias face aux menaces de censure par le gouvernement français
Des équipes juridiques en soutien continueront à suivre les procédures engagées : antirep-bassines@riseup.net, legal-lutteslocales@riseup.net
Enfin, pour nous aider à faire face à la répression qui touche le mouvement, n’hésitez pas si vous en avez les moyens à nous soutenir financièrement et à partager cet appel à dons le plus largement possible
Collectif Asile Île-de-France
En 2022, 56 179 personnes exilées ont obtenu le statut de réfugié en France. Malgré une protection obtenue après un long parcours difficile et épuisant, les difficultés administratives continuent pour les personnes venues chercher refuge en France.
L’une de ces difficultés est l’Administration Numérique pour les Étrangers en France (ANEF), une plateforme qui doit permettre aux personnes réfugiées, depuis le 2 mai 2022, d’obtenir leur titre de séjour dans le délai de 3 mois imposé par la loi et, en attendant sa fabrication, une attestation de prolongation d’instruction (API) valant droit au séjour.
Or, le collectif Asile Île-de-France constate chaque jour que de nombreuses personnes réfugiées, et les membres de leur famille pouvant prétendre à une carte de résident, n’arrivent pas à obtenir la délivrance de l’attestation de prolongation d’instruction ou son renouvellement.
Les conséquences pour les personnes sont considérables : perte d’emploi, de revenus, de logement, de droits sociaux comme le RSA ou l’APL, etc.
De plus, cette procédure totalement dématérialisée s’impose aux personnes réfugiées. Aucun accès physique n’est prévu dans les locaux de préfectures, ce qui accentue les difficultés pour celles et ceux éloignés du numérique.
L’impossibilité de se rendre physiquement sur place pour résoudre ce problème est accentuée par l’absence de réponse de l’administration aux messages envoyés, ce qui rend le service public inefficace.
Face à ces difficultés rencontrées par les personnes accompagnées dans nos permanences, plusieurs de nos associations ont interpellé l’administration sans obtenir de solution satisfaisante.
À l’occasion de la Journée mondiale des réfugiés, le collectif Asile Île-de-France interpelle de nouveau l’administration et lui demande fermement :
Pour faire entendre la voix des personnes réfugiées, le collectif Asile Île-de-France invite le plus grand nombre de personnes à se mobiliser lors d’un rassemblement le mardi 20 juin, à 18h, près du Ministère de l’Intérieur, à l’angle Rue des Pyrénées et rue Mounet-Sully (75020), pour dénoncer l’abandon administratif des personnes réfugiées et rappeler l’importance fondamentale de respecter et de protéger les droits fondamentaux de chaque individu, indépendamment de son pays d’origine.
Mardi 20 juin 2023 de 18h à 20h
à l’angle Rue des Pyrénées et rue Mounet-Sully (75020)
(M°1 – Porte de Vincennes ou M°9 – Maraîchers )
Signatures :
Ce documentaire de 90 mn raconte, pour la première fois, l’affaire France Télécom-Orange du point de vue de syndicalistes et de salarié·es de l’entreprise. Voilà plus d’un an, ils ont eu le désir de réaliser un film à partir de leur propre histoire.
Aujourd’hui, ce film est en voie d’aboutir. Il raconte des décennies de combat, d’abord contre une privatisation rampante, puis contre des dirigeants dont l’unique boussole était le cours de l’action, n’hésitant pas à pousser dehors en un temps record 22 000 personnes « par la fenêtre ou par la porte » selon les mots de Didier Lombard, l’ancien président. Un personnel en état de choc, de nombreux suicides, deux procès, avec à la clé des peines de prison pour les dirigeants, du jamais vu pour une entreprise du CAC 40. Et une jurisprudence qui, en consacrant la notion de harcèlement moral institutionnel, inaugure une nouvelle ère judiciaire.
Avec de nombreux témoignages, le film se veut la mémoire de ce drame humain ; il retrace les difficultés du syndicalisme face aux suicides, mais aussi son inventivité, et met en débat le travail lui-même – son sens, son utilité sociale – dans le contexte économique et social actuel marqué par une régression accélérée des droits des salarié·es au profit d’un pouvoir unilatéral des actionnaires.
Même si le soutien du CNC lui est acquis, l’équipe du film a décidé de s’adresser au public pour financer l’achat des droits des archives et les différentes étapes à venir de la post-production. Dans cet objectif, elle remercie par avance tous ceux et celles qui lui apporteront leur soutien en relayant cet appel.
Lien vers la campagne de financement :
Contact presse : contact@parlafenetreouparlaporte.fr
− Patrick Ackermann | 0681233384
− Isabelle Bourboulon | 0614733660 2023
L’avant-première du documentaire ” Par la fenêtre ou par la porte “
lors de l’université d’été des mouvements sociaux, (23/27 août).
bande annonce du film
Une classe en lutte dans les Yvelines !
Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org