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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Internationalisme Les travailleur·euses n'ont pas de pays ! Palestine

Solidarités internationales

Le Réseau syndical international de solidarité et de luttes se rend en Ukraine avec un convoi d’aide aux travailleurs et distribue des dons

https://www.laboursolidarity.org/Le-Reseau-syndical-international-2339

Pologne : le syndicat Inicjatywa Pracownicza (OZZ IP) s’adresse aux travailleurs venant d’Ukraine

https://www.laboursolidarity.org/Pologne-le-syndicat-Inicjatywa

Ukraine : nouvelle loi du travail inacceptable

https://www.laboursolidarity.org/Ukraine-nouvelle-loi-du-travail

Journaliste palestinienne assassinée par Israël : des sanctions s’imposent

Ce matin, mercredi 11 mai, à Jénine, Israël a franchi un pas supplémentaire dans la violation permanente du droit et dans les crimes de guerre : Shireen Abu Aqleh, journaliste américano-palestinienne de 51 ans a été assassinée par l’armée israélienne d’une balle en pleine tête.

Un nombre important de soldats de l’armée d’occupation avaient pris d’assaut la ville de Jénine et bouclé une maison pour arrêter un jeune Palestinien. Des confrontations avec des dizaines de jeunes palestiniens s’en sont suivies.

Shireen Abu Aqleh qui portait un gilet pare-balle barré du mot « PRESS » a été touchée par une balle réelle à la tête. Elle est décédée.

Un autre journaliste, Ali Samoudi, a également été touché d’une balle réelle dans le dos. Il a précisé « les forces d’occupation ont ciblé directement les journalistes. »

Des témoins ont déclaré que les soldats ont tiré à balles réelles en direction de jeunes Palestiniens et des équipes de presse.

Le 25 avril 2018, le journaliste palestinien Ahmed Abu Hussein succombait à ses blessures dans la bande de Gaza. Un soldat israélien l’avait visé par balle. Un autre journaliste, Yasser Mortaja, était mort sur le coup de la même manière. Ces deux journalistes couvraient la “marche du retour.”

Les journalistes palestiniens (et parfois internationaux) sont soumis quotidiennement à des restrictions de déplacements et à des interdictions d’accès, à des confiscations ou destructions de leur matériel, à des arrestations. Selon un décompte de Reporters Sans Frontières, en quatre ans, au moins 144 journalistes palestiniens ont été victimes de violations de la part des forces de l’ordre israéliennes dans la bande de Gaza, à Jérusalem-Est et en Cisjordanie : tirs de gaz lacrymogènes, balles en caoutchouc, coups de matraques, grenades assourdissantes, tirs à balles réelles…

Shireen Abu Aqleh, 51 ans, journaliste de terrain expérimentée a été l’une des premières correspondantes d’Al Jazeera en Palestine. Pendant un quart de siècle, elle a été au cœur des actions de la résistance palestinienne pour en rendre compte. Faisant fi du danger, elle a couvert les guerres, les attaques et les agressions de l’occupation israélienne contre les Palestiniens.

Israël tente de bâillonner ceux qui documentent les crimes de guerre, comme il l’a fait en désignant comme terroristes les ONG de défenses des droits humains palestiniennes. Israël assassine les journalistes, celles et ceux qui résistent : 11 jeunes du village de Beita, village qui refuse la colonisation de ses terres ont été assassinés par l’armée israélienne en une année.

Le premier ministre israélien a donné à ses soldats un permis de tuer. Ils en usent et en abusent y compris contre les journalistes.

Les crimes de guerre israéliens sont connus, documentés. Ils durent depuis des décennies. Ils n’entrainent cependant aucune sanction de la part de la communauté internationale. Jusqu’à quand ? L’Union européenne se déclare choquée par le meurtre de Shireen Abu Aqleh. Prendra-t-elle enfin des sanctions contre Israël ?

L’AFPS transmet ses condoléances les plus sincères à la famille de Shireen Abu Aqleh. Elle transmet sa solidarité aux journalistes palestinien·nes et aux comités de résistances populaires qui la côtoyaient quotidiennement.

Elle exhorte la France, l’Union européenne de mettre fin à l’impunité dont bénéficie Israël depuis toujours en prenant des sanctions immédiates. Les crimes de guerres doivent être sanctionnés de la même manière où qu’ils soient perpétrés.

Le Bureau national de l’AFPS
Le 11 mai 2022

(CGT-FSU-Solidaires) La diplomatie française doit exiger la libération des syndicalistes biélorusses arrêté.es !

https://solidaires.org/sinformer-et-agir/actualites-et-mobilisations/internationales/cgt-fsu-solidaires-la-diplomatie-francaise-doit-exiger-la-liberation-des-syndicalistes-bielorusses-arretees/

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Défense de nos libertés Internationalisme Luttes féministes

Défendre le droit à l’avortement partout, tout le temps! Solidarité avec les états-uniennes !

Défendre le droit à l’avortement partout, tout le temps! Solidarité avec les états-uniennes !

Aux Etats-Unis, le droit à l’avortement a été reconnu en 1973 par l’arrêt historique de la Cour suprême dit « Roe versus Wade », contraignant les États à légaliser l’avortement. Mais sous la présidence Trump, les attaques pour faire annuler cette décision se sont multipliées. La nomination à la Cour suprême, par ce dernier, de 3 juges hostiles à l’avortement juste avant la fin de son mandat faisait craindre le pire.
Cette crainte pourrait devenir une réalité dans les semaines qui viennent. Les anti-avortement pourraient parvenir à faire revenir la Cour suprême des États-Unis sur sa décision emblématique de 1973.
Ce droit fédéral était déjà battu en brèche par des lois locales remettant en cause le droit à l’avortement dans certains États voire en l’interdisant.

Face à ce recul dramatique des droits des femmes, dans un pays où la mortalité maternelle est l’une des plus élevées au monde (900 décès/an) et touche près de 4 fois plus les femmes noires, l’Union Syndicale Solidaires appelle à rejoindre les mobilisations de soutien aux femmes et minorités de genre américaines qui auront lieu partout sur le territoire.

Nous dénonçons la remise en cause des droits fondamentaux des femmes et la collusion entre les conservateurs, les extrêmes droites et les pouvoirs religieux, qui perpétuent la domination patriarcale. Nous le redisons : ce projet de loi vise à contrôler le corps et les droits des femmes !

Enfin, interdire ce droit fondamental,

  • C’est accentuer les inégalités de classes, entre les femmes qui peuvent payer pour se rendre dans un État autorisant l’avortement et celles qui ne le peuvent pas ;
  • C’est renvoyer ces dernières à la clandestinité, et à nouveau les acculer à des avortements non médicalisés, avec leurs complications, ou encore les condamner à mort !

Nous appelons à la solidarité internationale !

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antifascisme Internationalisme Luttes féministes

En Afghanistan, les talibans ordonnent aux femmes de porter un voile intégral en public

Après l’interdiction faite aux Afghanes de prendre l’avion sans parent masculin et la fermeture des collèges et lycées aux filles, cette nouvelle mesure est la plus sévère restriction à la liberté des femmes depuis le retour au pouvoir des talibans.

Une attaque contre l’une d’entre nous est une attaque contre tou·tes !

Solidarité féministe internationaliste

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Internationalisme Les travailleur·euses n'ont pas de pays !

Le Réseau syndical international de solidarité et de luttes se rend en Ukraine avec un convoi d’aide aux travailleurs et distribue des dons

Le Réseau syndical international de solidarité et de luttes a participé au convoi d’aide des travailleurs à la résistance ukrainienne qui est arrivé dans le pays, précisément à Lviv, le vendredi 29 avril dernier.

Cette initiative émane des membres du Réseau syndical international de solidarité et de luttes. Depuis leur arrivée, se sont rencontrés des syndicalistes et des militants de plusieurs pays comme le Brésil (CSP Conlutas), la France (Solidaires), l’Italie (ADL Cobas), la Lituanie (G1PS), la Pologne (IP – Inicyatywa Pracownicza) et l’Autriche (RCIT), ainsi que des résistants d’Ukraine.

Le 29 avril, environ 800 kg de dons destinés à la population de cette région ont été remis directement au président du syndicat indépendant des métallurgistes et des mineurs de la ville de Kryvyi Rih, le militant Yuri Petrovich. L’initiative, soutenue logistiquement par l’organisation Sotsyalnyi Rukh [Mouvement social], a été considérée comme un succès.

Le convoi a suivi les conseils de l’organisation de résistance des travailleurs de Kryvyi Rih et a donné la priorité à l’envoi de produits d’urgence tels que des médicaments, des trousses de premiers secours, des aliments secs, des aliments pour bébés prêts à l’emploi, ainsi que des batteries et des générateurs, ressources nécessaires dans une situation de pénurie critique de l’approvisionnement en nourriture et en médicaments, ainsi qu’en électricité et en chauffage.

Kryvyi Rih est le centre industriel du pays et comptait environ 615 000 habitants. Actuellement, la ville se trouve à 60 km des troupes russes. Selon M. Petrovich, plus de 3 000 membres du syndicat se sont enrôlés dans les forces de résistance.

Maintenir et renforcer l’internationalisme

Comme nous l’avions déjà signalé dans de précédents rapports sur le convoi, « de nombreuses femmes sont restées dans le pays parce qu’elles ont décidé de ne pas abandonner leur conjoint ou de s’occuper des personnes âgées ou des enfants restés au pays. Ce sont des mères, des sœurs ou des filles, qui survivent difficilement dans des conditions de pénurie dans la distribution de nourriture, de médicaments, d’eau, d’énergie et de gaz ».

Et ce soutien doit être non seulement maintenu, mais aussi de plus en plus renforcé.

Le Service national des gardes-frontières de l’Ukraine a indiqué que le nombre de civils qui rentrent aujourd’hui dans le pays s’élève à environ 30 000 par jour. En raison de la contrainte militaire, presque tous ceux qui franchissent la frontière sont des femmes et des enfants. Ils représentent 90 % des réfugiés du pays.

En raison de ce mouvement de retour, nous devons renforcer, toujours plus, la nécessaire coopération de classe au-delà des expressions publiques et des motions de soutien.

Avec le convoi, nous affirmons une solidarité internationaliste pratique et concrète et nous continuerons à faire campagne pour la défense de ces travailleurs, qui avec peu de ressources ont opposé une ferme résistance aux envahisseurs russes.

Un 1er mai internationaliste

Le Réseau syndical international de solidarité et de luttes a marqué le 1er mai aux côtés de la délégation internationale qui composait le convoi.

En raison de la loi martiale en vigueur dans le pays, la manifestation de la Journée internationale de lutte de la classe ouvrière s’est déroulée à huis clos. L’événement a eu lieu au Hhat Khotkevych Lviv, le palais municipal de la culture de Lviv.

Plus de 50 personnes ont participé à l’évènement. Parmi elles, 19 étrangers ont participé à l’initiative de solidarité internationale. Ils venaient d’Autriche (RCIT), du Brésil (CSP-Conlutas), de France (Solidaires), d’Italie (ADL Cobas), de Lituanie (G1PS) et de Pologne (IP – Inicyatywa Pracownicza.

Plusieurs questions ont été abordées, telles que la réforme du travail, l’impact de la guerre sur les personnes et les problèmes mentaux, le stress et la dépression, la situation des femmes, ainsi que la situation des travailleurs.

Lors de la rencontre, les travailleurs des mines de la ville de Kryvyi Rih ont participé par vidéoconférence aux débats et ont pu dialoguer et remercier cette expression de la solidarité internationale de classe.

Nous avons célébré le 1er mai à Lviv et nous nous sommes réjouis de la réussite de ce convoi en soutien à la résistance ouvrière ukrainienne.

Vive la lutte internationaliste !

À propos de la région de Kryvyi Rih

La ville où s’est rendu le convoi est considérée comme stratégique et est dans le collimateur de l’armée du Kremlin depuis un certain temps.

Non seulement parce qu’il s’agit d’un important centre industriel minier et sidérurgique, proche de territoires pris par l’armée de Vladimir Poutine, comme la région de Kherson, mais aussi en raison du symbole et de la victoire politique que constitue la conservation de la ville. Kryvyi Rih est la ville natale de Zelensky et permet l‘accès à la région d’Odessa tant désirée par le Kremlin.

Le chef de l’administration militaire de Kryvyi Rih, Oleksandr Vilkul, a déclaré le 24 avril que l’ennemi « prépare une attaque offensive dans notre direction. Dans les jours à venir, nous nous attendons à une éventuelle action offensive”.

Au cours des trois derniers jours, Kyvy Rih a évacué plus de 5 000 résidents venant de la région de Kherson vers différents endroits.

Au total, plus de 100 000 migrants sont passés par Kryvyi Rih et 50 000 sont restés dans la ville, selon les autorités locales.

Jusqu’à présent, l’invasion russe a forcé 5,4 millions d’Ukrainiens à quitter leur pays et plus de 7,7 millions ont fui et sont déplacés à l’intérieur du pays, selon les chiffres officiels des Nations Unies.

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Défense de nos libertés Internationalisme Palestine Répression

Collectif Palestine vaincra : un (gros) pavé dans le jardin sécuritaire de Macron !

En suspendant la dissolution du Collectif Palestine Vaincra, lequel a pour objectif le soutien aux luttes des populations palestiniennes contre l’oppression qui leur est faite par l’État d’Israël, le Conseil d’État vient d’infliger un revers majeur à la politique de répression mise en œuvre par Macron et son gouvernement contre la liberté d’association. En effet, depuis la publication de la loi séparatisme, ces derniers ne cessent de s’en prendre au milieu associatif dont les combats leur déplaisent : des associations luttant contre les discriminations faites aux populations musulmanes mais également luttant sur le terrain de l’antifascisme jusqu’à des médias exprimant ou relayant des positions politiques avec lesquelles ils sont en désaccord.

S’agissant du Collectif Palestine Vaincra, son soutien aux populations palestiniennes réprimées lui ont valu d’être dissout par Darmanin début mars en raison, entre autres, de ses positions et actions en faveur du boycott des produits israéliens commercialisés, de son soutien à la libération de prisonnier·es palestinien·nes ou encore pour ne pas avoir modéré des propos considérés comme haineux sur les réseaux sociaux, actes qui seraient de nature selon le gouvernement à favoriser le terrorisme.

Le Conseil d’État a répondu le 25 avril en procédure de référé que les griefs sont infondés, précisant notamment que « l’appel à boycott de produits israéliens qui est une modalité particulière d’exercice de la liberté d’expression ne saurait constituer en lui-même une provocation ou une contribution à la discrimination à la haine ou à la violence contre un groupe de personnes ». Il n’y a dès lors aucun motif à dissolution et le Conseil d’État conclue que le décret de dissolution est manifestement entaché d’un doute sérieux sur sa légalité. Quand il examinera dans quelques mois ce décret au fond, il y a de sérieuses probabilités que celui-ci soit envoyé à la poubelle d’où il n’aurait jamais dû sortir. En attendant le Collectif Palestine Vaincra est réhabilité et les arguments du Conseil d’État attestent de la légalité de nombre de combats légitimes en faveur des populations discriminées et opprimées.

C’est assurément une grande victoire dont l’union syndicale Solidaires, intervenante volontaire dans ce procès, se félicite. Elle démontre toute la nocivité de la loi séparatisme dont l’ensemble des dispositions doivent être abrogées et elle permet d’avoir de nouveaux éléments de droit à opposer dans les batailles juridiques contre la campagne BDS. Cette victoire renforce notre détermination à lutter toujours plus contre toutes les discriminations et oppressions, où qu’elles se situent et contre les mesures liberticides destinées à entraver nos combats pour la justice sociale !

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Actu Solidaires 78 Internationalisme Les travailleur·euses n'ont pas de pays !

Rassemblement à Poissy du 24 avril 2022 contre la guerre en Ukraine

Deux mois de guerre en Ukraine – Intervention de Solidaires78

Sur la place de la mairie à 15h  la plupart des organisations présentes ont pris la parole : UL CGT Poissy, Mouvement de la Paix Poissy, FSU 78, LDH Poissy, Attac78 Nord, Secours Populaire Poissy, L’ARAC et Solidaires 78 devant 80 personnes. La chorale des Couacs a chanté plusieurs fois des chants anti-guerre et de lutte.

Intervention Solidaires 78

Il y a 2 mois, exactement jeudi 24 février, Poutine a commencé sa guerre en Ukraine.
Une invasion militaire russe inacceptable contre le peuple ukrainien !
Aujourd’hui, des rassemblements ont lieu, à Paris, dans de nombreuses villes et pays.
« Stop à l’agression russe en Ukraine ! Pour une Ukraine libre et souveraine pour les travailleuses et travailleurs ! » est notre position commune au sein du Réseau syndical international de solidarité et de luttes, dont l’Union syndicale Solidaires est membre fondateur.
Les conséquences de cette guerre sont dramatiques en termes de déplacement de populations, de régression des conditions de vie des habitantes et habitants, de régression des libertés syndicales et des
libertés démocratiques.
Les travailleurs, travailleuses, le peuple, subissent la mort par milliers, la privation de liberté, les viols de masse –des femmes des enfants et des hommes-, le pillage, la destruction des habitations, des services,
des commerces, de l’infrastructure des villes.
La guerre ne profite qu’aux puissants, aux marchands d’armes et aux capitalistes.
Contrairement à ce que les gouvernements, le patronat et la bourgeoisie européennes voudraient nous faire croire, il y a déjà beaucoup d’autres
guerres dans le monde ! Pas de tri entre les guerres !
Les guerres sont alimentées par les ventes d’armes de ceux qui font semblant de regretter cette guerre en Ukraine.

Être contre la guerre, c’est rejeter le militarisme, la course aux armements, les ventes d’armes.
Nous condamnons et dénonçons l’agression de la Russie contre l’Ukraine et exprimons notre entière solidarité avec le peuple attaqué.
Nous apportons notre plein soutien aux syndicalistes indépendants d’Ukraine et de Russie, mais aussi de Biélorussie, de Pologne et de Moldavie.
Aujourd’hui nous réaffirmons plus que jamais :
• Troupes russes hors d’Ukraine !
• Troupes et bases américaines hors des pays d’Europe ! Dissolution de l’OTAN !
• Soutenons celles et ceux, en Russie, qui rejettent la politique de Poutine et qui se battent pour la paix, la solidarité entre les peuples, contre le nationalisme et les extrême-droite.
• Soutenons celles et ceux, en Ukraine, qui rejettent toute politique xénophobe, d’exclusion ou fasciste.
• Condamnons tout tri fait par les dirigeants français et européens entre réfugiés ukrainiens et réfugiés africains, arabes, indiens, asiatiques en Ukraine ou aux frontières de l’Europe.
• Mêmes mesures d’urgence pour tous les réfugiés !
• Intensifions les mobilisations anti-guerre et
appelons à les rejoindre !
Stop à l’agression russe en Ukraine !
Pour une Ukraine libre et souveraine des travailleuses et travailleurs !

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Internationalisme Palestine

Invitation aux 4e rencontres du réseau syndical international de solidarité et de luttes du 21 au 24 avril à Dijon

Créé en mars 2013 sur la base d’orientations et de pratiques syndicales communes par l’union syndicale Solidaires, la CSP-Conlutas du Brésil et la CGT de l’état espagnol, le RSISL a pour but de fédérer les syndicats de lutte à travers le monde, dans un réseau de syndicalisme offensif, de luttes, et démocratique, autonome, indépendant des patrons et gouvernements, écologiste, internationaliste, construisant le changement par les luttes collectives, combattant contre toutes formes d’oppressions. Plusieurs dizaines d’organisations de tous les continents rejoignent rapidement le réseau.

Lors des rencontres de Dijon, près de deux cents syndicalistes venu-es d’une trentaine de pays se retrouveront pour échanger à la fois sur leurs luttes sectorielles (éducation, rail, banque, commerce, journalisme, santé…), mais aussi sur des luttes transversales (lutte des femmes, autogestion / contrôle ouvrier, écologie, colonialisme…).

LES ORGANISATIONS MEMBRES DU RÉSEAU SYNDICAL INTERNATIONAL DE SOLIDARITÉ ET DE LUTTE

Organisations syndicales nationales interprofessionnelles

  1. Central Sindical e Popular Conlutas (CSP-Conlutas) – Brésil.
  2. Confederación General del Trabajo (CGT) – Etat espagnol.
  3. Union syndicale Solidaires (Solidaires) – France.
  4. Confédération Générale du Travail du Burkina (CGT-B) – Burkina.
  5. Confederation of Indonesia People’s Movement (KPRI) – Indonésie.
  6. Confederación Intersindical (Intersindical) – Etat espagnol.
  7. Confédération Générale Autonome des Travailleurs en Algérie (CGATA) – Algérie.
  8. Batay Ouvriye – Haïti.
  9. Unione Sindacale Italiana (USI) – Italie.
  10. Confédération Nationale des Travailleurs – Solidarité Ouvrière (CNT SO) – France.
  11. Sindicato de Comisiones de Base (CO.BAS) – Etat espagnol.
  12. Organisation Générale Indépendante des Travailleurs et Travailleuses d’Haïti (OGTHI) – Haïti.
  13. Sindacato Intercategoriale Cobas (SI COBAS) – Italie.
  14. Confédération Nationale du Travail (CNT-f) – France.
  15. Intersindical Alternativa de Catalunya (IAC) – Catalogne.
  16. Union Générale des Travailleurs Sahraouis (UGTSARIO) – Sahara occidental.
  17. Ezker Sindikalaren Konbergentzia (ESK) – Pays basque.
  18. Confédération Nationale de Travailleurs du Sénégal Forces du Changement (CNTS/FC) – Sénégal
  19. Sindicato Autorganizzato Lavorator COBAS (SIAL-COBAS) – Italie.
  20. General Federation of Independent Unions (GFIU) – Palestine.
  21. Confederación de la Clase Trabajadora (CCT) – Paraguay.
  22. Red Solidaria de Trabajadores – Pérou
  23. Union Syndicale Progressiste des Travailleurs du Niger (USPT) – Niger.
  24. Union Nationale des Syndicats Autonomes du Sénégal (UNSAS) – Sénégal.
  25. Unión Nacional para la Defensa de la Clase Trabajadora (UNT) – El Salvador.
  26. Solidaridad Obrera (SO) – Etat espagnol.
  27. Confederazione Unitaria di Base (CUB) – Italie.
  28. Independent Workers Union of Great Britain (IWGB) – Grande-Bretagne.
  29. Ogólnopolski Związek Zawodowy Inicjatywa Pracownicza (OZZ IP) – Pologne.
  30. Centrale Démocratique des Travailleurs de Martinique (CDMT) – Martinique.
  31. Associazione Diritti Lavoratori Cobas (ADL COBAS) – Italie
  32. Pakistan Labour Federation (PLF) – Pakistan
  33. Organisation Démocratique Syndicale des Travailleurs de Centrafrique (ODSTC) – Centrafrique.
  34. Palestine New Federation of Trade Unions (New Unions) – Palestine.

Organisations syndicales nationales professionnelles

  1. National Union of Rail, Maritime and Transport Workers (RMT/TUC) – Grande-Bretagne.
  2. Centrale Nationale des Employés – Confédération Syndicale Chrétienne (CNE/CSC) – Belgique.
  3. Sindicato Nacional de Trabajadores del Sistema Agroalimentario (SINALTRAINAL/CUT) – Colombie.
  4. Trade Union in Ethnodata – Trade Union of Empoyees in the Outsourcing Companies in the financial sector – Grèce.
  5. Syndicat national des travailleurs des services de la santé humaine (SYNTRASEH) – Bénin
  6. Sindicat dos Trabalhadores da Fiocruz (ASFOC-SN) – Brésil.
  7. Organizzazione Sindicati Autonomi e di Base Ferrovie (ORSA Ferrovie) – Italie.
  8. Union Nationale des Normaliens d’Haïti (UNNOH) – Haïti.
  9. Confederazione Unitaria di Base Scuola Università Ricerca (CUB SUR) – Italie.
  10. Coordinamento Autorganizzato Trasporti (CAT) – Italie.
  11. Syndicat des travailleurs du rail – Centrale Démocratique des Travailleurs du Mali (SYTRAIL/CDTM) – Mali.
  12. Gıda Sanayii İşçileri Sendikası – Devrimci İşçi Sendikaları Konfederasyonu (GIDA-IŞ/DISK) – Turquie.
  13. Syndicat National des Travailleurs du Petit Train Bleu/SA (SNTPTB) – Sénégal.
  14. Asociación Nacional de Funcionarios Administrativos de la Caja de Seguro Social (ANFACSS) – Panama.
  15. Palestinian Postal Service Workers Union (PPSWU) – Palestine.
  16. Union Syndicale Etudiante (USE) – Belgique.
  17. Sindicato dos Trabalhadores de Call Center (STCC) – Portugal.
  18. Sindicato Unitario de Trabajadores Petroleros (Sinutapetrolgas) – Venezuela.
  19. Alianza de Trabajadores de la Salud y Empleados Publicos – Mexique.
  20. Canadian Union of Postal Workers / Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes (CUPW-STTP) – Canada.
  21. Syndicat Autonome des Postiers (SAP) – Suisse.
  22. Federación nacional de trabajadores de la educación (SUTE-Chili) – Chili.
  23. Plateforme Nationale des organisations professionnelles du secteur public – Côte d’Ivoire.
  24. Fédération nationale des ouvriers et collectivités locales – Union Marocaine du Travail (UMT-Collectivités locales) – Maroc.
  25. Centrale Générale des Services Publics FGTB, Cheminots (CGSP/FGTB Cheminots) – Belgique.
  26. Botswana Public Employees Union (BOPEU) – Botswana.
  27. Organisation Démocratique du Rail (ODR) – Maroc.
  28. Federacao Nacional dos Trabalhadores em Transportes Aéros do Brasil (FNTTA) – Brésil.
  29. Federação Nacional dos Metroviários (FENAMETRO) – Brésil.
  30. Namibia Football Players Union (NAFPU) – Namibie.
  31. Palestinian Electricians’ Trade Union (PETU) – Palestine.
  32. Missão Publica Organizada – Portugal.
  33. Syndicat National des Travailleurs du Secteur Industriel du Togo (SYNATSITO) – Togo.

Organisations syndicales locales

  1. Trades Union Congress, Liverpool (TUC Liverpool) – Angleterre.
  2. Sindacato Territoriale Autorganizzato, Brescia (ORMA Brescia) – Italie.
  3. Fédération syndicale SUD Service public, canton de Vaud (SUD Vaud) – Suisse
  4. Sindicato Unitario de Catalunya (SU Metro) – Catalogne.
  5. Türkiye DERİ-İŞ Sendikasi, Tuzla et Izmir (DERİ-İŞ Tuzla et Izmir) – Turquie.
  6. L’autre syndicat, canton de Vaud (L’autre syndicat) – Suisse
  7. Centrale Générale des Services Publics FGTB, Ville de Bruxelles (CGSP/FGTB Bruxelles) – Belgique.
  8. Arbeitskreis Internationalismus IG Metall, Berlin (IG Metall Berlin) – Allemagne
  9. Sindicato Unificado de Trabajadores de la Educación de Buenos Aires, Bahia Blanca (SUTEBA/CTA de los trabajadores Bahia Blanca) – Argentine
  10. Sindicato del Petróleo y Gas Privado del Chubut/CGT – Argentine.
  11. UCU University and College Union, University of Liverpool (UCU Liverpool) – Angleterre.
  12. Sindicato di base Pavia (SDB Pavia) – Italie.
  13. United Auto Workers local 551 Ford Chicago (UAW Ford Chicago) – Etats-unis.
  14. Sindicato Uno Prodinsa, Maipú – Chili.
  15. Asociación Gremial de Trabajadores del Subterráneo y Premetro, Buenos Aires (SUBTE/CTAt) – Argentine.
  16. ( سندیکای کارگران شرکت واحد اتوبوسرانی تھران و حومھ (واحد – Syndicat des travailleurs du transport de
  17. Téhéran et sa banlieue (Vahed) – Iran.
  18. Sindicato Único de Trabajadores de Notimex, (SutNotimex) Mexique.
  19. Eğitim Sen section de Diyarbakır (Eğitim Sen Diyarbakır/KESK) – Turquie.

Organisations syndicales internationales

  1. Industrial Workers of the World – International Solidarity Commission (IWW).

Courants, tendances ou réseaux syndicaux

  1. Transnationals Information Exchange Germany (TIE Germany) – Allemagne.
  2. Emancipation tendance intersyndicale (Emancipation) – France.
  3. Globalization Monitor (GM) – Hong Kong.
  4. Courant Syndicaliste Révolutionnaire (CSR) – France.
  5. Fronte di lotta No Austerity – Italie.
  6. Solidarité Socialiste avec les Travailleurs en Iran (SSTI) – France.
  7. Basis Initiative Solidarität (BASO) – Allemagne.
  8. LabourNet Germany – Allemagne.
  9. Resistenza Operaia – operai Fiat-Irisbus – Italie.
  10. Workers Solidarity Action Network (WSAN) – Etats-Unis.
  11. United Voices of the World (UVW) – Grande-Bretagne.
  12. Unidos pra Lutar – Brésil
  13. Corriente Político Social Sindical 1° de Mayo de Buenos Aires – Argentine.
  14. Coordinamento Nazionale Unitario Pensionati di oggi e di domani (CONUP) – Italie.
  15. National Association of Human Rights Defenders – Palestine.
  16. Red de Trabajadores – Argentine.
  17. Coordinadora Sindical de Solidaridad de Cartagena (CSSC) – Colombie.
  18. International alliance in support of workers in Iran (IASWI).
  19. Congolese Renaissance Movement (CRM) – République démocratique du Congo.
  20. Congolese civil society of south Africa (CCSSA) – Afrique du sud
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Actu Solidaires 78 Internationalisme Les travailleur·euses n'ont pas de pays !

APPEL A DONS – Des convois syndicaux pour les travailleuses et les travailleurs d’Ukraine

L’Union syndicale Solidaires participe à l’organisation de convois syndicaux pour l’Ukraine. Elle y travaille notamment avec d’autres organisations syndicales de France et avec le Réseau syndical International de Solidarité et de Luttes.

Pourquoi des convois syndicaux ?

Notre engagement est syndicaliste, nous défendons les travailleurs et les travailleuses, quel-les qu’ils et elles soient, en particulier quelques soient leurs origines ou nationalités.


Pourquoi en Ukraine ?

Notre solidarité, de tout temps, est internationale parce ce que nous savons que, en temps de guerre, ce sont les peuples, ceux et celles qui travaillent qui sont les victimes, et que nous pouvons l’être aussi ici demain. Nous avons exprimé cette solidarité internationaliste à de nombreuses autres occasions. Aujourd’hui, l’Ukraine est agressée militairement.

Des convois pour qui ?

Nous récoltons de l’argent pour les syndicats et les travailleurs et travailleuses d’Ukraine et nous achèterons selon leurs besoins. Nous ne récoltons pas de biens matériels à ce stade. Nous agissons à la demande des syndicats là bas.
L’argent récolté leur sera destiné, la logistique des convois étant financée sur les fonds de l’union syndicale Solidaires.
Nous rencontrerons nos contacts syndicaux physiquement si eux et nous le pouvons. Nous rendrons compte à notre retour des montants reçus, des actions, des personnes rencontrées. 

Comment participer ?

L’association « Convoi syndical » qui a participé à de nombreuses actions de solidarité héberge nos dons. Les syndicats, sections syndicales, syndicalistes, travailleurs et travailleuses peuvent :
faire un chèque à l’ordre de « Convoi syndical » et l’envoyer à Solidaires, 31 rue de la Grange aux belles, 75010 Paris (en indiquant « convois syndicaux » sur l’enveloppe)
ou
effectuer un virement sur le compte du Convoi syndical : 2796496A020 La Banque postale.convoi

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Liberté et démocratie pour les peuples d’Ukraine

Pour réagir à l’agression de la Russie poutinienne contre l’Ukraine, les éditions Syllepse (Paris), Page 2 (Lausanne) et M Éditeur (Montréal), les revues New Politics (New York), Les Utopiques (Paris) et ContreTemps (Paris), les sites À l’encontre (Lausanne) et Europe solidaire sans frontières, le blog Entre les lignes entre les mots (Paris) et le Réseau syndical international de solidarité et de luttes se sont associés pour coéditer Liberté et démocratie pour les peuples d’Ukraine.

Vous trouverez en fichier joint le premier volume de ce livre. Le volume 2 est en préparation.couverture

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Liberté et démocratie pour les peuples d Ukraine 1

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