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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Actu Solidaires 78 International

Vendredi 5 janvier 2024, Palestine : marche aux flambeaux de la mairie de Mantes-la-Ville à celle de Mantes-la-Jolie

Le Mantois se mobilise face aux massacres de masse à Gaza


A l’initiative de l’association de solidarité inter-peuples et en coordination avecplusieurs autres organisations associatives, syndicales et politiques du Mantois, deux nouveaux événements sont organisés pour exiger la fin des massacres perpétrés par
Israël à Gaza, provoquant la mort de près de 30 000 Palestiniens dont près de 10 000 enfants.


Alors que des organisations non gouvernementales alertent du processus génocidaire en cours, le premier ministre B. Netanyahu persiste à soumettre la population Gazaouie à des bombardements d’une intensité et d’une violence inouïes.
A l’heure où le mutisme et l’accoutumance à l’inacceptable semblent s’installer, les citoyens du Mantois sont invités à venir nombreux prendre part à deux moments de commémoration et de revendication :


Le vendredi 29 décembre à 18H30, sur le parvis de la mairie de Mantes-la-Jolie qui accueillera une veillée commémorative donnant lieu à des actions symboliques en hommage aux enfants de Gaza, victimes innocentes de bombardements aveugles et continus.


Le vendredi 5 janvier 2024, pour participer à une marche aux flambeaux de la mairie de Mantes-la-Ville à celle de Mantes-la-Jolie.

L’occasion d’appeler massivement à ce que l’année 2024 soit définitivement expurgée des affres de la barbarie subie par les
populations civiles de Gaza.


Signatures :
Association de Solidarité Inter-Peuples, AFPS78,Parti de Gauche, Parti Ouvrier Indépendant, Solidaires 78, LFI-Mantois Insoumis, Génération S, Europe Ecologie les Verts, Ligue des Droits de l’Homme, Parti Socialiste, Fédération des Yvelines du Parti Communiste Français, ATTAC 78 nord, Union locale CGT de la région mantaise, Fffrac (Fortes, Fières, Féministes, Radicales et en Colère !), FSU78.

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Actu Solidaires 78 International

Vendredi 29 déc., 18H30, parvis de la mairie de Mantes-la-Jolie, veillée en hommage aux enfants de Gaza, victimes innocentes de bombardements aveugles

Le Mantois se mobilise face aux massacres de masse à Gaza


A l’initiative de l’association de solidarité inter-peuples et en coordination avecplusieurs autres organisations associatives, syndicales et politiques du Mantois, deux nouveaux événements sont organisés pour exiger la fin des massacres perpétrés par
Israël à Gaza, provoquant la mort de près de 30 000 Palestiniens dont près de 10 000 enfants.


Alors que des organisations non gouvernementales alertent du processus génocidaire en cours, le premier ministre B. Netanyahu persiste à soumettre la population Gazaouie à des bombardements d’une intensité et d’une violence inouïes.
A l’heure où le mutisme et l’accoutumance à l’inacceptable semblent s’installer, les citoyens du Mantois sont invités à venir nombreux prendre part à deux moments de commémoration et de revendication :


Le vendredi 29 décembre à 18H30, sur le parvis de la mairie de Mantes-la-Jolie qui accueillera une veillée commémorative donnant lieu à des actions symboliques en hommage aux enfants de Gaza, victimes innocentes de bombardements aveugles et continus.


Le vendredi 5 janvier 2024, pour participer à une marche aux flambeaux de la mairie de Mantes-la-Ville à celle de Mantes-la-Jolie.

L’occasion d’appeler massivement à ce que l’année 2024 soit définitivement expurgée des affres de la barbarie subie par les
populations civiles de Gaza.


Signatures :
Association de Solidarité Inter-Peuples, AFPS78,Parti de Gauche, Parti Ouvrier Indépendant, Solidaires 78, LFI-Mantois Insoumis, Génération S, Europe Ecologie les Verts, Ligue des Droits de l’Homme, Parti Socialiste, Fédération des Yvelines du Parti Communiste Français, ATTAC 78 nord, Union locale CGT de la région mantaise, Fffrac (Fortes, Fières, Féministes, Radicales et en Colère !), FSU78.

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antifascisme International Les travailleur·euses n'ont pas de pays !

Réseau syndical international de solidarité et de luttes – Soutien aux travailleurs, travailleuses d’Argentine et à leurs organisations !

Les organisations membres du Réseau syndical international de solidarité et de luttes dénoncent la tentative du gouvernement argentin de criminalisation de la protestation sociale exprimée dans le nouveau Protocole pour le maintien de l’ordre public en cas de coupure de routes et d’autoroutes (Résolution Nº 943/2023, datée du 14 décembre 2023).

Le gouvernement argentin vient d’annoncer diverses mesures économiques répondant aux ordres du Fonds monétaire international : ces décisions politiques entraînent des conséquences tragiques pour le peuple, pour les travailleurs et travailleuses de ce pays. Le mouvement syndical, et des organisations sociales, organisent déjà la riposte populaire à ces graves attaques.

C’est dans ce contexte que le gouvernement veut restreindre le droit démocratique de manifestation. Il le fait au mépris même de la Constitution du pays. Le texte du gouvernement assimile les manifestations publiques à des délits. Il autorise ainsi les forces de sécurité à réprimer toute protestation, à mener des activités de renseignement sur les organisations sociales, à saisir des véhicules et à punir des personnes et des associations pour l’exercice d’un droit fondamental.

Cela ne constitue pas seulement une violation de l’État de droit, mais signifie également que le ministre de la sécurité se voit attribuer de facto le pouvoir public suprême. Il s’agit en fait d’une déclaration d’une sorte d’état de siège sans aucune des conditions prévues par la Constitution nationale. Rappelons que le président, la vice-président et des ministres du nouveau gouvernement ont publiquement nié les crimes de la dictature militaire qui a sévit en Argentine de 1976 à 1983 (assassinats, torture et arrestations en masse, suppression des libertés publiques, etc.)

Face à cette situation, le mouvement syndical argentin organise la résistance des travailleurs et des travailleuses. Des rencontres unitaires entre les différentes organisations syndicales ont lieu, des initiatives unitaires sont prises, dans les entreprises et à l’échelle nationale : grèves, rassemblements, manifestations, etc. Les organisations membres du Réseau syndical international solidarité et de luttes soutiennent les travailleurs et les travailleuses d’Argentine et leurs organisations syndicales dans leur lutte, qui est aussi la nôtre !

  • Stop aux mesures économiques barbares : le peuple argentin ne doit pas payer les fastes de la minorité capitaliste qui détruit la planète.
  • Stop aux décisions liberticides du gouvernement argentin !
  • Stop à la négation des crimes de la dictature militaire !

Soutien aux travailleurs, travailleuses d’Argentine et à leurs organisations ! | laboursolidarity.org

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International

Vérité et justice pour SAKINE, FIDAN et LEYLA, ainsi qu’EMINE KARA, MIR PERWER et ABDULRAHMAN KIZIL

Tou·te·s dans la rue les samedis 23 décembre 2023 et 6 janvier 2024 gare du Nord à Paris, 11h

Il y a un an, le 23 décembre 2022, une fusillade visait la communauté kurde dans le 10e arrondissement de Paris faisant 3 morts et 4 blessés. Mir Perwer et Abdulrahman Kizil étaient des réfugiés politiques, Emine Kara une responsable internationale du mouvement kurde, responsable du Mouvement des femmes kurdes en France.

Presque 10 ans auparavant, le 9 janvier 2013, étaient assassinées Sakine Cansiz, Fidan Dogan et Leyla Soylemez en plein coeur de Paris par un agent aux liens avérés avec les services secrets turcs.

Ainsi, après 10 ans de déni de justice pour les familles de Sakine, Fidan et Leyla, 10 ans d’impunité pour les commanditaires de l’assassin, alors qu’elle préparait la commémoration de ce terrible drame, la communauté kurde se trouvait à nouveau frappée.

Et à nouveau, lors de ce 2e assassinat, la justice n’a pas souhaité aller plus loin dans l’enquête sur les motivations de l’assassin et ses éventuels liens avec des services secrets étrangers.

En effet, suite à l’assassinat du 7 janvier 2013, malgré plusieurs documents révélant les liens de l’assassin avec le MIT, la France n’a toujours pas levé le secret défense concernant cette affaire.

Nos camarades kurdes demandent la levée de ce secret défense ainsi que des investigations claires et transparentes, qui aillent au bout des choses et permettent de démontrer la vérité sur ces assassinats politiques.

Pour que justice soit faite il faut également, à l’instar de la cour de cassation belge en février 2020, que le PKK soit retiré de la liste des organisations terroristes, afin que celui-ci soit reconnu internationalement comme un interlocuteur indispensable à une solution politique pour les kurdes, et que la Turquie ne puisse plus pourchasser les militant·es à l’étranger.

En octobre 2023, Erdogan bombarde une nouvelle fois les infrastructures énergétiques, et par là des civils, dans le Nord et l’Est de la Syrie (le Rojava), tentant toujours de détruire une expérience démocratique et multi culturelle. À l’Est, les kurdes et tou·tes celleux qui s’opposent au régime iranien subissent une terrible répression.

L’union syndicale Solidaires appelle donc à rejoindre les manifestations des 23 décembre 2023 et 7 janvier 2024 pour la justice et la vérité, pour le soutien à nos camarades kurdes.


20231221

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International

Appel à la mobilisation partout en France pour un cessez-le feu à Gaza

HALTE AUX MASSACRES A GAZA ET EN CISJORDANIE ! CESSEZ-LE-FEU TOTAL ET PERMANENT, PROTECTION DU PEUPLE PALESTINIEN

Ce qui est en train de se passer à Gaza est un crime contre toute l’Humanité.

Après quelques jours de trêve, les bombardements, attaques militaires par voies terrestres, aériennes et maritimes ont immédiatement repris avec plus d’intensité qu’avant la trêve. L’armée israélienne vise maintenant le Sud, là où des centaines de milliers de personnes ont été obligées de se réfugier. En tout, 1,9 million de personnes ont été déplacées.

C’est une guerre atroce et criminelle entreprise par l’Etat d’Israël contre la population palestinienne de Gaza. Les 18.000 morts, dont plus de 70% de femmes et d’enfants, les 49.000 blessés, les milliers de disparus, les familles anéanties, les 75 journalistes tués sont autant de vies, de personnalités, de visages dont il faut rappeler le souvenir. Nous condamnons les arrestations massives indiscriminées dans la population de Gaza, elles sont menées dans conditions inhumaines et dégradantes.

C’est une guerre qui vise à vider Gaza de sa population par n’importe quel moyen. Les crimes commis le 7 octobre ne peuvent justifier une telle attaque contre toute une population et ses infrastructures vitales.

Des rapporteurs de l’ONU évoquent « un risque de génocide ».

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Gutteres, a activé l’article 99 pour alerter d’une catastrophe humanitaire « aux conséquences irréversibles pour les Palestiniens dans leur ensemble et pour la paix et la sécurité dans la région ». Nous dénonçons le veto des Etats-Unis au Conseil de sécurité du 8 décembre qui a mis en échec la résolution exigeant un cessez- le- feu. Ce veto est un permis de massacrer délivré à Netanyahou

En Cisjordanie, sous état de siège, la population palestinienne subit les attaques conjuguées de l’armée et des colons, qui ont fait plus de 260 morts depuis le 7 octobre. Plusieurs communautés ont été chassées de leurs terres, les cultures palestiniennes sont prises pour cible.

  • Nous dénonçons ce processus de nettoyage ethnique. Les arrestations de masse, extrêmement violentes, touchent toute la population, hommes, femmes et enfants. Nous exigeons un cessez-le-feu total et permanent pour la Bande de Gaza, l’arrêt définitif des bombardements, des offensives terrestres et des déplacements forcés de populations.
  • Nous exigeons l’entrée immédiate et sans restriction de l’aide humanitaire d’urgence et la levée durable du blocus de la bande de Gaza. Nous exigeons la libération de tous les prisonniers politiques palestiniens détenus dans les prisons israéliennes dans des conditions inhumaines. 150 prisonniers ont été libérés pendant la trêve. Mais depuis le 7 octobre, l’armée israélienne a procédé à plus de 3 000 arrestations en Cisjordanie occupée y compris à Jérusalem-Est.
  • Nous demandons la libération des otages civils israéliens. Nous demandons la protection de la population palestinienne de Cisjordanie y compris à Jérusalem-Est
  • Nous exigeons que la France et l’Union européenne s’engagent activement et sans ambiguïté pour le cessez-le-feu, y compris par des sanctions contre l’État d’Israël et en arrêtant immédiatement toute coopération militaire et sécuritaire.

Une paix juste et durable ne sera possible que dans le cadre de la reconnaissance des droits du peuple palestinien, et notamment de son droit à l’autodétermination. Elle implique l’arrêt de la colonisation et la fin de l’occupation israélienne, ainsi que le respect de l’ensemble des résolutions de l’ONU, y compris la résolution 194 qui prévoit le droit au retour des réfugiés.
Cessez-le feu total, immédiat et permanent !

Arrêt définitif des bombardements et des déplacements forcés de la population !

Levée immédiate, complète et durable du blocus de Gaza !

Protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie !

Nous appelons à manifester, se rassembler partout en France sur les bases de cet appel.

Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens

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International Les travailleur·euses n'ont pas de pays !

Solidaires Sans frontières : Bulletin n°15

Sommaire


p. 2 Décryptage du projet de loi Darmanin


p. 2 Après le vote de l’Assemblée, amplifions la mobilisation pour le retrait de la loi Darmanin – UCIJ


p. 3 Liste des mobilisations


p. 4 Parlement de rue : Personne n’est « sans-papiers »


p. 5 Retour en images sur la mobilisation du 3 décembre


p. 6 Les drames n’arrivent jamais par hasard – Rémi de Solidaires Douanes


p. 7 Notre système institutionnel permet de violer ou de battre une femme en toute impunité dès lors qu’elle est en situation irrégulière – Tribune


p. 9 Chronopost : 2 ans de lutte des travailleurs sans-papiers


p. 10 Informations diverses

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antifascisme International

DOSSIER VISA n°12 : De l’Italie de Meloni à la France de Le Pen

Il y a un peu plus d’un an, le 22 octobre 2022, pour la première fois depuis Mussolini, une leader d’extrême droite prêtait serment et prenait le pouvoir en Italie.

Son slogan préféré en meeting était : “Dieu, patrie, famille“.

Immédiatement, la dirigeante du Rassemblement national a chaleureusement félicité Giorgia Meloni : “Tous mes vœux de réussite” a-t-elle déclaré, en ajoutant : “Partout en Europe, les patriotes arrivent au pouvoir et avec eux cette Europe des nations que nous appelons de nos vœux“.

Rien d’étonnant à cela puisque le programme électoral 2022 du parti de Meloni, Fratelli d’Italia :

  • défend un modèle familial traditionnel et tourné vers la procréation,
  • s’oppose farouchement au droit du sol et à l’accueil des réfugié·es (Elle a d’ailleurs plusieurs fois réclamé que les ports italiens refusent les bateaux ayant secouru des migrants en mer Méditerranée),
  • s’oppose à l’Union Européenne en souhaitant une Europe confédérale,
  • s’attaque à l’âge de départ en retraite en voulant le repousser à 67 ans,
  • propose des réductions d’impôts à tous les étages (entreprises, ménages) et souhaite en même temps que l’État italien investisse davantage dans une industrie nationale et dans le protectionnisme. Son marqueur est la préférence nationale.

Les similitudes entre Meloni et Le Pen, même si celle-ci lui préfère son allié de longue date Salvini, le nouveau vice premier ministre, ont poussé les militant·es de VISA à produire ce dossier pour éviter le pire en 2027… Un antifasciste averti en vaut deux !

Après un retour sur les élections du 25 septembre 2022, la campagne électorale et la composition du gouvernement, ce dossier traite de la politique migratoire, de la suppression du RSA, des positionnements syndicaux.

Il se conclut par un historique du fascisme en Italie.

Avec cette documentation, les syndicalistes auront donc une vision précise de ce que fait l’extrême droite en matière de reculs des droits et des libertés lorsqu’elle prend le pouvoir.

Cet outil leur permettra d’affirmer haut et fort que l’extrême droite est plus que jamais l’ennemi à abattre, en France comme ailleurs.

Le dossier

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International Répression

(intersyndical) Iran : les exécutions capitales s’intensifient

Les nouvelles qui nous parviennent d’Iran sont très inquiétantes. Face a la montée de la colère sociale et populaire liée à la crise économique, le régime dictatorial accentue la répression en profitant du détournement de l’opinion publique mondiale vers de l’actuelle guerre à Gaza.

On note une nette augmentation du nombre d’arrestations d’activistes ouvrier.e.s sous des prétextes fallacieux : les autorités iraniennes ciblent de plus en plus des travailleur/euse.s et retraité.e.s accusé.es d’avoir organisé des manifestations pacifiques contre la cherté de la vie et les arriérés de salaires. La liste des arrestations et emprisonnements ne cesse de s’allonger. Parmi les plus récentes on peut mentionner : Reyhaneh ANSARINEZHAD (une militante ouvrière) ; Osman ESMAILI, Esmail GUERAMI et Kamran SAKHTEMANGAR (des ouvriers retraités et anciens détenus) ; Reza Aghdasi AGHDASI (travailleur licencié, invalide malade et sourd).

La répression frappe également nombre de personnes soutenant les salarié.es, exprimant des opinions ou convictions opposées à celles du régime, des avocat.es, des défenseurs/euses des droits des femmes et des droits humains, etc. Les femmes sont les premières victimes de ce régime autoritaire et patriarcal où le contrôle de leurs corps constitue l’un des piliers de ce régime. Après 28 jours de coma, l’étudiante Armita GAVARAND s’est éteinte samedi 28 octobre. Agée de 16 ans et originaire d’une région kurde, l’adolescente avait subi une violente altercation avec la police des mœurs du métro de Téhéran parce qu’elle ne portait pas de foulard.

Le pouvoir multiplie les exécutions, notamment publiques, pour tenter de terroriser la population : depuis le 7 octobre, le régime a exécuté plus de 120 personnes dont des dizaines d’opposant-es politiques et de militant.es des mouvements sociaux. Parmi ces victimes figure le prisonnier politique kurde Qassem ABASTEH, exécuté après 14 ans d’emprisonnement. Il avait été arrêté en 2008 pour « propagande contre le régime ». Citons également Milade ZOHRE-VAND un jeune ayant participé à des manifestations dans le cadre du mouvement « Femme, Vie, Liberté ».

La solidarité internationale est essentielle. Nous appelons toutes les organisations et personnes défendant les droits humains et ceux des travailleurs/euses à protester auprès des autorités iraniennes.

Les organisations syndicales françaises réaffirment leur solidarité avec les victimes de la répression. Elles condamnent avec force cette politique insupportable. Elles demandent : – L’abolition de la peine de mort, – L’annulation de toutes les condamnations injustes et contraires aux libertés et droits fondamentaux ; – La libération immédiate et sans condition de l’ensemble des militant·e·s emprisonné·e·s en raison de leurs opinions ou de leurs activités syndicales et associatives, ainsi que des citoyenn-es étranger.es dont Cécile KOHLER et Jacques PARIS ; nous demandons également l’arrêt des poursuites dont ils/elles font l’objet ; – Le respect par le régime iranien des Conventions internationales et notamment celles de l’Organisation internationale du travail (OIT), dont celles concernant la liberté d’association, de manifestation, de grève et de négociation collective.

Confédération française démocratique du travail (CFDT)

Confédération générale du travail (CGT)

Fédération syndicale unitaire (FSU)

Union syndicale Solidaires

Union nationale des syndicats autonomes (UNSA)

Paris, le 04/12/2023

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