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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Mois des fiertés LGBTQIA+ l’intersyndicale de l’éducation appelle à défiler

Il est temps d’assurer l’inclusion et la visibilité de toutes les personnes LGBTQIA+, tout en assurant leur protection : c’est le mot d’ordre des marches des fiertés 2024. Elles sont de plus en plus nombreuses sur notre territoire d’avril à octobre, mais leur réussite nécessite un maximum de participant·es. Aussi notre intersyndicale de l’éducation invite tous et toutes les syndiqué·es qu’iels soient LGBTQIA+, proches, ou citoyen·nes à participer aux marches des fiertés en masse partout dans le pays.

Les démonstrations festives de la diversité sont autant de résistances à la grave dégradation du débat public sur la diversité, aux actes et aux idéologies violentes et discriminatoires contre les personnes LGBTQIA+. Ce sont autant de moments de visibilité essentiels pour rappeler que nous sommes toutes et tous égaux et égales, pour permettre à tout·e personne LGBTQIA+ de s’identifier à un groupe inclusif et de faire face à ces trop nombreuses attaques.

C’est particulièrement sensible pour toutes et tous et singulièrement les personnels de l’éducation parce que :

  • l’actualité est marquée par une augmentation des actes LGBTIphobes de plus en plus violents, et des offensives transphobes, guidées en premier lieu par la droite et l’extrême droite.
  • La loi de la honte votée par le Sénat, avec la lâcheté du Gouvernement se limitant à émettre un avis de sagesse, remet en cause les droits des mineur·es trans et leur accompagnement médical. Cette focalisation du débat sur l’infime partie des enfants trans pris en charge conduira inévitablement à les mettre en danger, en plus de continuer à oublier la large majorité non prise en charge.
  • Depuis le mois de janvier, notre société a pris conscience des manquements importants d’établissements privés sous contrat en matière d’éducation à la vie affective et sexuelle, et dans l’application de la circulaire de septembre 2021 sur l’accueil des élèves trans. Cela contribue aussi à mettre en danger des enfants et des jeunes, en laissant libre cours à des discours et pratiques LGBTIphobes.
  • Les deux premiers lieux de discrimination pour les personnes LGBTQIA+ sont, de manière constante, le milieu scolaire et universitaire et celui du travail.

Personnels de l’éducation :

toutes et tous dans les marches des fiertés !

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Éducation Palestine Répression Violences policières

Halte à la répression contre les lycéens ! Communiqué intersyndical

Nos organisations CGT Éduc’action, FNEC-FP FO, FSU, Sud Éducation, ont été informées de l’arrestation et de la mise en garde à vue, jeudi 6 juin, de 48 élèves des lycées Hélène Boucher, Voltaire, Victor Hugo, Bergson, Ravel qui occupaient le lycée Hélène Boucher pour protester contre les massacres en cours à Gaza.

Après les arrestations de lycéens de Claude Monet à Paris 13ème, puis du lycée Maurice Genevoix à Montrouge, une fois de plus, la répression s’abat sur des jeunes qui se mobilisent pour la paix.

Ces arrestations s’inscrivent dans la continuité de la répression dirigée au cours des dernières semaines contre les étudiants mobilisés pour le cessez-le-feu à Gaza. Elles participent de l’escalade autoritaire qui a conduit le gouvernement à remettre en cause au cours des derniers mois les libertés démocratiques, parmi lesquelles les libertés de se réunir, de se rassembler, de manifester, et dans ce cadre à multiplier les procédures visant à criminaliser l’action de tous ceux, militants syndicalistes, militants politiques, citoyens, lycéens qui protestent contre les massacres et les crimes de guerre et réclament un cessez-le-feu en Palestine.

Nos organisations condamnent la répression dirigée contre les lycéens, les étudiants et leurs organisations qui se mobilisent pour la paix et leurs revendications.

Elles exigent la libération de tous les lycéens arrêtés et l’abandon des poursuites dirigées contre eux.

Elles exigent qu’aucune sanction pour ces actions ne soit prise par l’établissement et le rectorat de Paris contre les lycéens.

Elles condamnent la volonté gouvernementale d’intimider des jeunes auxquels l’École est censée apprendre notamment l’esprit critique, les libertés d’opinion et d’expression.

Elles appellent à rejoindre les rassemblements organisés devant les commissariats où sont détenus des élèves (centre, 5e, 17e, 18e, 20e), et à participer massivement au rassemblement contre la répression appelé devant le lycée Hélène Boucher, samedi 8 juin à 10H00.

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Dans les Yvelines, une classe en lutte, épisode n° 69

Une classe en lutte dans les Yvelines !


Petit tour d’horizon des mobilisations sociales dans le département… Liste forcément non-exhaustive, n’hésitez pas à nous transmettre vos infos à contact@solidaires78.org





Source : Le Parisien

Source : Le Parisien

Source : actu.fr

Source : actu.fr

Source : actu.fr

Source : actu.fr

Source : actu.fr

Source : actu.fr

Source : actu.fr
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Éducation Répression Solidarité !

Contre la répression syndicale : Solidarité avec notre camarade Ernesto

Publié le 1 juin 2024 par Solidaires Pyrénées Atlantiques – 64

La répression continue de s’abattre sur celles et ceux qui refusent la régression sociale.

Le 22 novembre 2023, 4 manifestants contre la réforme des retraites étaient convoqués au commissariat de Pau. Le rassemblement de soutien a réuni 200 personnes, solidaires face à la répression. Nous remercions l’ensemble des personnes mobilisées tout au long de la journée, qui ont fait la démonstration que la solidarité de classe n’est pas un concept dépassé.

Après sa convocation au commissariat et le report à deux reprises de son procès, notre camarade Ernesto, syndicaliste à Solidaires étudiant-e-s et SUD éducation, est déféré devant le tribunal correctionnel de Pau le 20 juin prochain. Il lui est reproché des faits supposés de violences lors d’une manifestation contre la réforme des retraites. Bernard, un militant gilet jaune comparaîtra le même jour pour des faits reprochés lors de la même manifestation.

Nous condamnons cet acharnement, nous le redisons : la violence n’est pas à chercher du côté des manifestant·es contre la réforme des retraites mais bien du côté des forces de l’ordre et du gouvernement Macron. Les convocations au commissariat et les poursuites sont là pour casser les militants, criminaliser une colère légitime face à une réforme des retraites injuste. Nous exprimons notre solidarité totale avec notre militant, et invitons les organisations et les militant·es opposé·es à la régression sociale à faire de même.

La nature des faits qui servent de prétexte à ces poursuites montre sans ambiguïté possible qu’il existe une volonté indéniable de la part des autorités de museler toute volonté de contestation dans le pays, en réprimant sévèrement le mouvement social et ses représentant-es. Contre cette nouvelle tentative d’intimidation, il faut répondre par la solidarité la plus large.

Contre la réforme des retraites, contre la répression syndicale, contre la criminalisation du mouvement social, rassemblons-nous le 20 juin à partir de 13h devant le palais de justice de Pau !


Communiqué signé par l’Union syndicale Solidaires, la fédération Solidaires étudiant-e-s – syndicats de luttes, Union départementale Solidaires Pyrénées-Atlantiques, SUD éducation 64-40, Solidaires étudiant-e-s Pau – Béarn, Union locale CGT Pau, FSU Pyrénées-Atlantiques, Génération.s Béarn

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Dans les Yvelines, une classe en lutte... Éducation

25 mai : appel intersyndical éducation 78 manif contre le choc des savoirs, contre les inégalités !

Un appel intersyndical 78, avec la FCPE 78, à la manif du 25 mai à Paris contre le Choc des savoirs.

Contre le “choc des savoirs” Pour l’école publique : un choc des moyens et la lutte contre les inégalités !

Les organisations syndicales des Yvelines, CGT éduc’action 78, FSU 78, Sgen-CFDT 78, Unsa éducation 78, SUD éducation 78, ainsi que la FCPE 78 appellent à poursuivre toutes les mobilisations possibles dans les établissements contre le choc des savoirs, mais aussi pour un choc des moyens et pour la lutte contre les inégalités.
Vous trouverez ci-dessous du matériel commun pour dénoncer les mesures inégalitaires et stigmatisantes du gouvernement (tract pour les familles, motions pour les CA, conseil d’école ou conseil école-collège).

Ces organisations appellent à la journée de mobilisation du 25 mai et à la manifestation parisienne qui aura lieu dans l’après-midi.

Matériel à diffuser auprès des familles

Ces mêmes organisations (CGT éduc’action 78, FSU 78, Sgen-CFDT 78, Unsa éducation 78, SUD éducation 78, ainsi que la FCPE 78) ont produit un tract commun, à l’attention des parents d’élèves.

Affiche intersyndicale

Tract intersyndical

Motion Conseil d’école

Motion CA


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Collectivités territoriales Conditions de travail Éducation Fonction publique

Agent·es territorial·es – Connaître ses droits pour mieux les défendre Demande de stage à déposer avant le 26 mai

Agent·es territorial·es – Connaître ses droits pour mieux les défendre

Ce stage syndical est ouvert à toutes et tous, adhérent·es ou non, fraîchement syndiqué·es ou non, en instance de le devenir ou encore en réflexion, vous êtes les bienvenu·es !

Tou·tes les personnels ont droit à 12 jours de congés pour formation syndicale par an, sur temps de travail et rémunérés.

La date limite d’inscription est le 27 mai (il suffit d’écrire à sudeducation78@ouvaton.org et de déposer votre demande d’autorisation d’absence pour stage syndical auprès de ta hiérarchie – voir le document ci-dessous)

En pièce jointe, vous trouverez le modèle de demande d’autorisation d’absence pour stage.

En espérant vous retrouver nombreuses et nombreux !

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Actu Solidaires 78 Éducation

Contre les groupes de niveau, nous voulons des classes à effectifs réduits, toute l’année !

Contre les groupes de niveau, nous voulons des classes à effectifs réduits, toute l’année !

Notre opposition aux réformes destructrices menées par le gouvernement Macron s’accompagne du projet d’une autre école, inclusive, égalitaire et émancipatrice pour toute la jeunesse.
Parmi les alternatives que nous voulons construire, nous évoquons souvent des classes hétérogènes à effectifs réduits. Mais… des classes à 20, qu’est-ce que ça changerait, réellement ? Comment y travaillerait-on ? En quoi l’accompagnement des jeunes serait-il différent ? Pourquoi est-ce une perspective plus désirable que les groupes de niveau ?

Des conditions de travail et d’études plus favorables

Moins de bruit, moins de fatigue !

Car nous ne travaillons jamais dans le silence : ça discute, ça chuchote, ça rigole aussi parfois, et c’est normal. A 30, c’est infernal. A 20, les élèves sont beaucoup plus libres d’échanger et de discuter entre pair·es car le brouhaha d’une classe à 20 est moindre par rapport à celui d’une classe à 30 élèves. Et au final, c’est la fatigue éprouvée après une journée de cours qui s’en trouve diminuée !

Circuler, bouger, librement !

La classe est plus aérée. Il y a beaucoup moins de tables et de chaises, ce qui permet les déplacements : l’enseignant·e et de l’accompagnant·e d’élève en situation de handicap, surtout lorsqu’elle/il a plusieurs élèves, peuvent circuler dans la classe pour étayer les apprentissages. Les élèves peuvent se déplacer avec ou sans fauteuil roulant, sans chahut pour aller chercher du matériel en autonomie, faire une recherche sur un poste informatique, prendre un manuel, etc.
Contre la domestication et l’immobilité des corps, nous souhaitons une liberté de mouvements, mise au service des apprentissages.

Des espaces différenciés dans la classe !

Au gré des scénarios pédagogiques et des besoins des élèves, il peut y avoir : l’espace cours magistral ; l’espace travail en groupe en îlots sur lesquels les élèves peuvent être autonomes ; l’espace recherche informatique et documentaire ; l’espace travail individuel sur des productions écrites ; l’espace expérimental avec des fac-similés d’archives, d’objets archéologiques ; l’espace musée avec des productions d’élèves ; l’espace conférence avec le tableau numérique ; l’espace explication, avec la professeure expliquant le même point à 3 ou 4 élèves ; l’espace calme, où un·e élève peut s’isoler un moment…
Cette organisation permet également d’offrir une véritable place à chaque élève, contrairement à un groupe beaucoup plus important dans lequel pour certains ou certaines il est plus difficile d’oser prendre la parole.
Enfin, l’espace libéré pourrait permettre d’accueillir un matériel adapté aux besoins : assise ergonomique, tables hautes, tables adaptées aux personnes en fauteuil roulant, etc.

Une pédagogie différenciée, adaptée aux besoins

Connaître chacun·e des élèves, pour mieux les accompagner

Cet effectif réduit permet de prendre la mesure, avec beaucoup plus de précisions, des compétences de nos élèves. Nous avons une connaissance plus fine des différents besoins de chaque élève. Cela nous permet de pouvoir mettre en place beaucoup plus rapidement différents ateliers de travail en fonction des compétences de chacun·e, tout en veillant à ne pas tomber dans l’individualisation des élèves plutôt que dans la différenciation. De même, le risque est de les sursolliciter et de rendre leur journée de 6 heures de travail équivalente à une journée de 8h.
1/3 d’élèves en moins, cela constitue 1/3 de temps en moins pour les corrections. Autant de temps gagné pour penser à tête plus reposée les remédiations et ajuster les accompagnements.

Travailler en ateliers spécialisés
C’est d’abord et avant tout la question pédagogique qui doit primer avant toute considération de gestion des flux ou de rentabilité.
Parfois, nous nous rendons compte que des élèves ont besoin d’un accompagnement très spécifique (lecture non consolidée, alphabétisation des élèves allophones, etc.) : ici, le travail en atelier ponctuel peut être organisé avec l’aide d’un·e collègue de l’enseignement spécialisé.

Apprendre à coopérer !
À 20 on peut faciliter le travail collectif, 5 groupes de 4, ou 4 groupes de 5 pour de vraies équipes, entre élèves de niveau hétérogène évidemment. La coopération permet l’échange de pratiques, d’astuces concernant les apprentissages, mais également la mise en commun des connaissances et des compétences de chacun·e, au profit de tou·tes.
C’est cette coopération entre élèves différent·es qui fera naître la solidarité dans la classe, contre les divisions, l’individualisme et l’esprit de compétition nourris par les politiques gouvernementales.

Les fausses bonnes idées de l’institution :

Expériences de classes de niveau… On pourrait nous rétorquer qu’on aura cet effectif dans les groupes de niveau faible. C’est une fausse bonne idée : il y a 10 ans existait le dispositif « 4eme Aide et soutien ». Prétendument pour aider les élèves à récupérer le niveau et à réintégrer une 3e ordinaire. Résultat : sur les 20 élèves, il n’y en avait que 1 ou 2 qui rejoignaient la 3ème ordinaire. Les autres allaient systématiquement en 3e prépa-pro ou découverte pro et ensuite en voie professionnelle.
Et, il faut bien le dire, le groupe était très passif, réduit à son image de “faible”. Triste.

Des petits groupes… dans de petites salles !

Il arrive souvent que la salle mise à disposition de l’UPE2A (dispositif accueillant les élèves allophones) ne soit pas une salle de classe standard, certaines sont très petite. Les faibles effectifs sont souvent l’argument pour ne pas disposer d’espace suffisant, alors que l’indispensable différenciation nécessite une modulation des espaces et différents lieux pour mettre en œuvre par exemple des ateliers….

Bien sûr, tout ceci demande un tout autre investissement de la part d’un gouvernement qui préfère investir dans le SNU, les groupes de niveau et le Pacte enseignant.

Mais cela demande surtout une autre politique éducative, de celle qui croit en l’éducabilité de tou·tes les élèves et qui vise leur émancipation, et non leur tri et leur domestication.

Tract en version imprimable

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Avril – Mai : programme des accueils syndicaux Solidaires 78 à Limay

Venez nous rencontrer !

Le programme des accueils Solidaires 78, tous les mardis de 17 h à 19 h à la librairie La Nouvelle réserve, entrée libre et gratuite.

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Actu Solidaires 78 Éducation Les travailleur·euses n'ont pas de pays ! Luttes migrant·es

13 mai date limite inscription Stage intersyndical FSU – CGT Educ’action – SUD Éducation, spécial UPE2A – Jeudi 13 juin 2024 à Bagnolet

UPE2A : se rencontrer, s’organiser pour lutter contre les inégalités

La matinée du stage sera consacrée aux parcours migratoires et à l’intégration des enfants migrants à l’école publique en France, avec les interventions de Maxime Lemaitre, chercheur associé au Centre Max Weber, Lyon 2, dont la thèse porte sur ce sujet, et de Frédéric Moreau, militant RESF.

L’après-midi sera l’occasion de présenter les actions intersyndicales menées cette année par nos organisations et d’établir collectivement un bilan de la situation des UPE2A de l’académie afin de construire un plan d’action pour celles-ci.

Ce stage est ouvert à tous les personnels intéressé·es par ces questions et particulièrement les enseignant·es qui enseignent en UPE2A ou celles et ceux qui ont une UPE2A dans leur établissement ainsi qu’aux CPE et psyEN.

Quand ? Jeudi 13 juin de 9h30 à 16h30.

Où ? Local FSU nationale : 22 rue Malmaison 93170 Bagnolet

Transport : Métro 3 Gallieni.

Comment participer ?

1) Si vous avez cours le jour du stage, remettre, au moins un mois avant la date du stage, une demande d’autorisation d’absence adressée au Recteur à partir du : modèle d’autorisation d’absence pour les titulaires et non titulaires ci-dessous :

Date limite de remise de la demande d’autorisation d’absence : lundi 13 mai.

2) S’INSCRIRE au stage auprès auprès du syndicat SUD Éducation 78 :
sudeducation78@ouvaton.org afin de participer au stage.

3) Si vous n’avez pas cours, vous devez malgré tout vous inscrire auprès du syndicat SUD Éducation 78 : sudeducation78@ouvaton.org

LES STAGES SYNDICAUX, UN DROIT POUR TOU·TES !

Chaque enseignant dispose d’un droit à 12 jours par an pour congés de formation syndicale avec traitement intégral. Ce droit n’est assorti que d’une seule contrainte : le dépôt auprès du chef d’établissement d’une demande d’autorisation d’absence un mois au moins avant la date prévue du stage.

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Mercredi 15 mai – Pour un choc des moyens et contre le choc des savoirs : réunion d’information intersyndicale

Contre le “choc des savoirs” Pour l’école publique : un choc des moyens et la lutte contre les inégalités !

Les organisations syndicales des Yvelines, CGT éduc’action 78, FSU 78, Sgen-CFDT 78, Unsa éducation 78, SUD éducation 78, ainsi que la FCPE 78 appellent à poursuivre toutes les mobilisations possibles dans les établissements contre le choc des savoirs, mais aussi pour un choc des moyens et pour la lutte contre les inégalités.
Vous trouverez ci-dessous du matériel commun pour dénoncer les mesures inégalitaires et stigmatisantes du gouvernement (tract pour les familles, motions pour les CA, conseil d’école ou conseil école-collège).

Ces organisations appellent à la journée de mobilisation du 25 mai et à la manifestation parisienne qui aura lieu dans l’après-midi.

Les organisations du 78 organisent également une Réunion d’information le mercredi 15 mai

écrire au syndicat pour avoir le lien de la visio :
sudeducation78@ouvaton.org

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