Les occupations de lieux culturels se sont multipliées. Cela concerne aujourd’hui environ une centaine de lieux pour protester contre les difficultés spécifiques au monde de la culture, en particulier des intermittent.es, mais surtout pour exiger l’abrogation de la réforme de l’assurance chômage. La confirmation de la mise en place de cette réforme au 1er juillet va être une catastrophe pour plus d’un million de privé.es d’emplois qui vont voir leurs revenus fortement baisser. Des dizaines de milliers d’autres n’auront plus ou pas l’accès aux allocations chômage.
Dans ce contexte, l’Union syndicale Solidaires rejoint l’appel à faire du “vendredi de la colère” du 23 avril une journée de convergence pour l’abrogation de la réforme de l’assurance chômage, y compris par la grève, un préavis dans le secteur public sera déposé en ce sens.
Voir notre quatre pages “C’est le chômage et la précarité qu’il faut combattre pas les chômeurs·euses et les précaires !” et nos “visuels chômage”
Le 23 avril, le 1er mai et toutes les dates qui suivront, nous serons toutes et tous en grève et dans la rue.
Pour Paris : Manifestation à partir de 14h de la Place d’Italie à Bastille