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Dans le privé et le public, un syndicalisme de lutte pour la transformation sociale

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Actu Solidaires 78 Finances publiques

Solidaires Finances publiques 78 appelle au rassemblement à Limay le 10 avril contre la fermeture de la Trésorerie

L’État continue la destruction des services publics et est en train de fermer plusieurs trésoreries dans les Yvelines (Maule, Bonnières, Longnes, Conflans…) et celle de Limay est aussi dans le collimateur ! Dès la fin de cette année (2021), le recouvrement de l’impôt serait transféré à Mantes-la-Jolie pour une fermeture définitive de la trésorerie de Limay fin 2023 !

À Limay, la disparition de la trésorerie de canton aurait des effets désastreux sur l’ensemble de la population concernée en les obligeant à se rendre à l’Hôtel des Impôts de Mantes-la-Jolie ou à se contenter d’Internet pour faire leurs démarches à la condition qu’ils maîtrisent cet outil. Dans la réalité, la diminution des services publics pénalise toujours la vie des habitants au quotidien.

Alors, un collectif s’organise autour des habitants de la rive droite du canton pour combattre, dans un rassemblement le plus large possible, ce démantèlement annoncé. On connaît les effets néfastes qui n’épargneront personne, ni les communes rurales ni les semi-urbaines.

Samedi 10 avril 2021 à 10h Rassemblement devant la trésorerie, 40 rue Adrien Roelandt 78520 Limay

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Actu Solidaires 78 Ressources juridiques

6 avril : formation débat Solidaires 78 en ligne, le télétravail en questions

Avec la crise sanitaire, le télétravail s’est généralisé à tous les niveaux de la société, souvent dans la précipitation et l’improvisation, toujours au détriment des salarié·es.

Si le télétravail est actuellement présenté comme une « évidente » protection pour la santé des travailleuses et des travailleurs, voire des enfants, parfois même comme un confort appréciable, la réalité nous dit tout autre chose : surveillance accrue par les chef·fes, risques psychologiques, mise à mal des collectifs de travail, etc.

Cette formation a pour objectif de lever le voile sur les réalités du télétravail, d’en analyser les tenants et les aboutissants, ainsi que les limites. Dans cette optique, et en vue d’éventuelles négociations d’entreprise sur le télétravail, il s’agira aussi de proposer des pistes de réflexion pour construire, collectivement, les bases d’une résistance à ce qui pourrait vite devenir une exploitation des salarié·es.

3 intervenant·es pour dresser un portrait du télétravail et de ses implications. Puis un débat en vue de construire un cahier revendicatif par les travailleurs et travailleuses.

Participation à la réunion sur Zoom :
Inscription à solidaires78@wanadoo.fr

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Actu Solidaires 78 Éducation Précarité Vidéo

Éducation : Jeudi 8 avril : grève des accompagnant·es des élèves en situation de handicap

Le 8 avril, c’est la grève nationale des AESH, appelée par SUD éducation et l’intersyndicale SUD-CGT-FO-SNALC-SNCL, contre les PIAL, pour des augmentations de salaires et pour un vrai statut !

Dans les Yvelines, une conférence de presse se tiendra le mercredi 7 avril (nous contacter pour les détails : sudeducation78@ouvaton.org)

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Actu Solidaires 78 Santé-Social

Sud Santé sociaux à l’hôpital de Mantes-la-Jolie

SUD Santé Sociaux des Yvelines CH PLAISIR, 220, rue Mansart, 78370 PLAISIR Tel : 06 49 65 61 58 Mail : sudsantesociaux78@gmail.com Lors de notre dernière visite sur l’hôpital de Mantes, vous avez été nombreuses et nombreux à nous interpeller sur la facturation de la consultation médicale et du test PCR réalisés aux urgences.

Nous nous étions engagé·e·s à aborder ce sujet avec votre direction. C’est chose faite, et voici la réponse de la Direction : “Le test PCR est bien évidemment gratuit, et certain·e·s agent·e·s ont reçu une facture concernant la consultation. Il s’agit d’une erreur, et les personnels concernés doivent retourner leur facture au service contentieux de l’établissement.”

Voilà qui clôt le débat sur ce sujet après l’intervention de la section SUD Santé Sociaux de Poissy St Germain. Bien évidemment, comme il n’y a pas de médecins du travail la nuit, nous resterons vigilant à ce que les prochaines consultations et tests PCR ne soient pas facturés au personnel.

Si vous rencontrez d’autres soucis, que vous avez des questions sur vos droits, vos conditions de travail, n’hésitez pas à contacter soit la section SUD Santé Sociaux de Poissy St Germain au 01 39 27 54 98, par mail à syndicatsud.CHIPS@ght yvelinesnord.fr ou le syndicat départemental au 06 49 65 61 58 ou par mail à sudsantesociaux78@gmail.com. Ce n’est qu’un début, mais le plus important est que les choses avancent pour vous.

Vous êtes les principaux·les acteurs et actrices de ce que vous souhaitez. SUD Santé Sociaux n’est pas là pour décider à votre place, mais un outil à votre disposition pour mener à bien vos luttes pour l’amélioration de vos conditions de travail et faire respecter vos droits. C’est vous qui êtes sur le terrain, et qui mieux que vous pour porter votre voix auprès de votre Direction pour vous faire entendre. Soignant·e·s, techniques et administratif·ve·s formons une chaîne participant à la bonne prise en charge de nos patient·e·s. C’est donc tou·te·s ensemble que nous devons agir. Rejoignez SUD Santé Sociaux. On lâche rien.

SUD Santé Sociaux des Yvelines CH PLAISIR, 220, rue Mansart, 78370 PLAISIR Tel : 06 49 65 61 58 Mail : sudsantesociaux78@gmail.com

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Actu Solidaires 78 Automobile

Renault : Jeudi 8 avril : tous à Boulogne !


Plusieurs syndicats appellent à un rassemblement de tous les sites Renault (ingénierie et usines) le 8 avril à Boulogne-Billancourt devant le siège de Renault. Tous ensemble, disons non aux 4600 suppressions d’emplois prévues en France par la direction de Renault !

La direction de Renault est à l’offensive : cession des Fonderies De Bretagne, externalisation de la maintenance des moyens d’essai de l’Ingénierie, suppressions de poste tous azimuts… Il est urgent de bloquer ce processus. Des mobilisations ont commencé qu’il s’agit de développer et de faire converger.

Sur les sites d’Ingénierie de Renault en Ile-De-France et dans l’Eure, la mobilisation se développe contre l’externalisation de 27 salariés de la maintenance des moyens d’essais, mais aussi plus largement contre les suppressions de postes.

Le 18 mars, un débrayage d’une heure a rassemblé 150 salariés à Aubevoye (dans le 27) et 300 à Lardy (dans le 91). Le 30 mars, un deuxième débrayage d’une heure en a rassemblé 170 à Aubevoye, 330 à Lardy, 100 à Guyancourt (78) et 30 à Villiers-Saint-Frédéric (78). On est donc passé de 450 à 630, plus environ 200 salariés qui participent en connectant à distance sur l’AG des grévistes de Lardy. Le 30 mars, une cinquantaine de salariés de Lardy a poursuivi la grève toute la journée, suite à un vote proposé par la CGT et SUD en fin de débrayage.

Ces actions rassemblent bien au-delà des 27 salariés directement concernés, car beaucoup de secteurs sont aussi menacés par un plan de réduction d’effectifs et d’économie en cours à Renault (4600 suppressions d’emplois en France, dont 1500 dans l’Ingénierie et 1000 dans le les fonctions tertiaires).

D’autres actions ont lieu dans le reste du groupe Renault en France, notamment dans les fonderies. Le 23 mars, des centaines de salariés de la Fonderie De Bretagne (FDB), des sites Renault (Cléon, Le Mans, Flins, Lardy, Technocentre…), des Fonderies du Poitou et des militants locaux se sont rassemblées à Caudan pour dénoncer la cession de la fonderie par Renault.

Les salariés de la Fonderie du Poitou (groupe Liberty) à Ingrandes près de Châtellerault sous le coup d’un PSE, ou encore ceux de la SAM (groupe Jinjiang) à Viviez près de Rodez, qui ont pour essentiel client Renault, sont aussi en lutte pour garder leur emploi.

Le prochain temps fort est prévu jeudi 8 avril à Boulogne-Billancourt devant le siège social de Renault, dans le cadre d’un rassemblement de tous les sites (ingénierie + usines).

Nous n’empêcherons pas ces suppressions d’emplois en luttant site par site, alors que la direction de Renault met les salariés en concurrence (alignement sur le moins disant social pour avoir des activités dans les secteurs de la Fabrication, de l’Ingénierie et du Tertiaire).

Ce rassemblement est maintenu malgré les nouvelles restrictions annoncées mercredi dernier par le gouvernement (restrictions de circulation, fermeture des écoles…). C’est qu’il s’agit de stopper la propagation d’un autre virus, pas moins mortifère que le Covid19 : le virus des suppressions d’emplois.

Rassemblement devant le siège de Renault jeudi 8 avril 2021 à partir de 10h.

Lieu : Siège social de Renault sas
13 quai Le Gallo
92100 Boulogne-Billancourt

Métro : Pont de Sèvres (terminus ligne 9)
Tramway : Musée de Sèvres (T2)
Route : N118

Télécharger l’attestation de déplacement dérogatoire

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Actu Solidaires 78 Précarité TPE / TPA Vidéo

Élections TPE 2020 – portraits de salarié·e·s

L’Union syndicale Solidaires est une union interprofessionnelle qui couvre tous les départements et des secteurs professionnels très divers. Nos syndicats Solidaires, SUD, SNJ, Asso…, appartiennent à des secteurs professionnels du secteur public comme du secteur privé qu’il soit marchand ou non : commerces et services, santé/social, associations, restauration, journalisme, nettoyage, banques et finances, chimie, collectivités territoriales, culture, éducation, énergie, formation, industrie, bâtiment, métallurgie, services postaux, télécommunications, prévention et sécurité, protection sociale, recherche, transports… ainsi que chez les étudiant.e·s et le retraité.e·s.

L’Union syndicale Solidaires veut être un contre-pouvoir et propose un syndicalisme de lutte qui lie défense quotidienne des salarié·e·s et transformation de la société.

Suis-je concerné·e par les élections ?

Pourra voter tout·e salarié·e en poste en décembre 2019, dans une entreprise ou association de moins de 11 salarié·e·s ou au domicile d’un particulier employeur :
– Âgé·e d’au moins 16 ans ;
– Inscrit·e sur les listes électorales du scrutin ;
– Quel que soit son contrat de travail (CDI, CDD, contrat de travail temporaire, intermittent, contrat de professionnalisation, contrat d’apprentissage…) ;
– Quelle que soit sa nationalité.

Comment voter ?

Le scrutin se déroulera du 22 mars au 6 avril 2021.
Les électrices et électeurs pourront voter, selon leur choix, par courrier ou bien par voie électronique sur le site Internet Grand Public dédié aux élections (election-tpe.travail.gouv.fr).
Mi-mars 2021, soit environ une semaine avant le début du scrutin, les électeurs et électrices recevront de la Direction Générale du Travail un courrier contenant leur matériel de vote :
– Une enveloppe T et un bulletin de vote mentionnant la liste des organisations syndicales candidates au scrutin, afin de voter par correspondance ;
– Des codes de connexion personnels et confidentiels, afin de voter directement en ligne sur le site Internet Grand Public.

La suite très bientôt !

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Actu Solidaires 78 Commerce

PROCÈS IKEA à Versailles : La parole aux victimes, 5ème jour d’audience

Le premier jour de la deuxième semaine d’audience Ikea était consacré aux plaidoiries des parties civiles : c’est plus d’une dizaine d’avocat-es qui se sont succédé à la barre, représentant aussi bien la totalité des syndicats implantés dans l’entreprise (CFDT, CFTC, CGC, CGT, FO, SCID, SUD- Solidaires et UNSA), par l’intermédiaire de plusieurs de leurs structures locales, de branches voire nationales, que des dizaines de salarié-es et ex-salarié-es de l’entreprise, pour la plupart syndiqués mais pas exclusivement.

Pour les organisations syndicales, il s’agit de faire reconnaître l’atteinte à la profession
qu’elle représente, de rappeler que toute collecte de données doit être consentie par le salarié, proportionnelle au but recherché qui ne peut être illégal et encore moins viser à entraver la liberté syndicale et de grève. C’est aussi des histoires de vies brisées par les méthodes inquisitrices d’Ikea, qui ont engendré chez le personnel dont la vie privée a été violée dépression, cancer voire tentative de suicide, qui ont été exposées.

On sera donc guère étonné que des demandes d’indemnisation à la hauteur du préjudice subi, s’élevant parfois jusqu’à un million d’euros pour les syndicats et des centaines de milliers pour les salarié-es les plus exposés à ces pratiques détestables, ont été faites.

Face à ce naufrage juridique et moral, seul l’ancien responsable de la sécurité, cheville ouvrière du système de surveillance mis en place dans l’entreprise de 2001 à 2012 dans chacun de sa trentaine de magasins comptant plus de 10.000 salarié-es et ce dès le recrutement, reconnaît pour le moment ses torts. La société, en tant que personne morale, tout comme ses ex-dirigeant-es et les responsables des officines en charge du sale boulot continuent eux à être dans la dénégation.

Un grand absent au procès, c’est l’institution policière dont il ressort du dossier que plusieurs de ses membres ont étroitement contribué à alimenter ce système, à commencer en informations sensibles, d’où la demande des parties civiles d’un supplément d’enquête et d’élargissement des poursuites au chef de recel (il est question de pratiques qui se sont étalées sur plus de dix ans).

En demandant une condamnation exemplaire, il s’agit d’envoyer un message clair aux employeurs indélicats ou tentés par de tels procédés, qui ont encore gagné en intensité avec l’essor des réseaux sociaux contrebalancé certes par la mise en place du RGPD, là où « Big Brokea » pensait surveiller son effectif en toute impunité.

SUD COMMERCES ET SERVICES Rhône-Alpes-Auvergne /Adresse : 125 rue Garibaldi 69006 Lyon / Téléphone 06 51 25 40 77

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Actu Solidaires 78 Automobile

Sud Renault : mobilisation en hausse à l’Ingénierie/Tertiaire


La journée d’action du 30 mars contre l’externalisation de la maintenance des moyens d’essais Renault et le démantèlement de l’Ingénierie/Tertiaire a été un succès, avec 830 salariés mobilisés. Une cinquantaine de salariés de Lardy a voté la poursuite de la grève pour au moins toute la journée.

Ce mardi 30 mars, la mobilisation a été plus forte que le 18 mars à Lardy et Aubevoye. Le Technocentre et VSF ont rejoint le mouvement en organisant également un premier débrayage.

Nous avons compté au débrayage de 10h à 11h :

  • Lardy : 330 personnes (+ 40 extérieurs au site : délégations de Renault Cléon, Choisy, Le Mans, la maire de Lardy…)
  • Aubevoye : 170 (+ 30 extérieurs au site : délégations de Renault Cléon, Cergy, Choisy…)
  • Technocentre : 100
  • Villiers-Saint-Frédéric : 30
  • Connections Teams : 200
  • Total : 830 salariés de l’Ingénierie/Tertiaire (+ 70 extérieurs)
     
Salariés menacés d’externalisation : « Moi, je n’en dors plus la nuit »

Une cinquantaine de salariés de Renault Lardy a voté la poursuite de la grève au moins toute la journée.

Un prochain temps fort est prévu le 8 avril à Boulogne-Billancourt, avec un rassemblement de tous les sites Renault et Filiales devant le siège social de Renault.

La lutte continue !

Débrayage à Renault Lardy
Et plein d’autres photos en cliquant ici !
Débrayage au Technocentre
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